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Juste pour dire

  • Auteur de la discussion Auteur de la discussion josé
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En même temps RA avait pas interêt a se louper sur ce coup là.

@Sorence ca dépend des jours, mais les boites quand on est sobre et que la musique est pourrie bah c'est juste des endroits bruyants encombrés de monde, qui sentent la clope (au mieux). Donc c'est pas l'environnement rêvé non. Mais je me suis promis que je serais gentil ou au moins pas désagréable avec tout le monde et depuis ca va mieux. Ca fait un peu bouddhiste comme ca mais c'est vrai.

Juste pour dire, et que vous sachiez que le GIGANTOPITHÈQUE, une espèce de grand singe ressemblant probablement à un orang outang de 3m de haut s'éteignait il y a 250 000 ans

🦧🦧🦧🦧
Premier degré très content d'apprendre l'existence de cette bestiole.
 
Lundi prochain, j'arrête les benzodiazépines.
J'ai réfléchi longtemps (des années!) avant de prendre cette décision. Ce n'est pas, il me semble, par complaisance envers un idéal de sobriété. Après une baisse progressive des dosages jusqu'à atteindre le minimum sécable, et constaté que c'est aussi mon plancher de verre, j'ai imaginé un tel avenir, avec minimum 1,5mg de bromazepam par jour, et ce n'était pas choquant. Ça sonnait presque bien. Mais ce n'était pas moi.
Cette histoire a duré trop longtemps. J'aime les drogues mais pas de cette manière. Je veux retrouver du "pouvoir d'agir". Je veux me sentir libre de mes mouvements, de mes voyages, de mes défonces. Je ne veux pas avoir à lutter contre la tolérance, paniquer quand j'oublie une sacoche, entuber des généralistes.
C'est un dosage si bas, et pourtant il me résiste ! C'est la sécurité que je dois abandonner. Ce rituel, ce confort. J'ai attendu le "bon" moment et il ne vient pas. Ça duré trop longtemps, je ne veux pas laisser ce produit s'enraciner encore, devenir davantage une partie de moi. Il faut un acte. Je ferai un serment et je le tiendrai. Je ne me laisse pas l'opportunité d'espérer, je vais juste le faire.
 
Bon courage. Il paraît qu'on ne dort pas quelque jours puis que ça revient à la ligne de base. Et si tu es déjà au minimum le risque vital du sevrage sera (je crois) évité. Je te conseille d'éviter absolument toute goutte d'alcool pendant un mois (voire deux ou trois) après ta dernière prise.

Bonne chance, c'est une belle force de prendre de telles décisions !
 
Lundi prochain, j'arrête les benzodiazépines.
J'ai réfléchi longtemps (des années!) avant de prendre cette décision. Ce n'est pas, il me semble, par complaisance envers un idéal de sobriété. Après une baisse progressive des dosages jusqu'à atteindre le minimum sécable, et constaté que c'est aussi mon plancher de verre, j'ai imaginé un tel avenir, avec minimum 1,5mg de bromazepam par jour, et ce n'était pas choquant. Ça sonnait presque bien. Mais ce n'était pas moi.
Cette histoire a duré trop longtemps. J'aime les drogues mais pas de cette manière. Je veux retrouver du "pouvoir d'agir". Je veux me sentir libre de mes mouvements, de mes voyages, de mes défonces. Je ne veux pas avoir à lutter contre la tolérance, paniquer quand j'oublie une sacoche, entuber des généralistes.
C'est un dosage si bas, et pourtant il me résiste ! C'est la sécurité que je dois abandonner. Ce rituel, ce confort. J'ai attendu le "bon" moment et il ne vient pas. Ça duré trop longtemps, je ne veux pas laisser ce produit s'enraciner encore, devenir davantage une partie de moi. Il faut un acte. Je ferai un serment et je le tiendrai. Je ne me laisse pas l'opportunité d'espérer, je vais juste le faire.
Bon courage :)
 
Juste pour dire c'est de la bombe que le forum save les topics/posts qu'on a commencer à écrire même quand on ferme la page. Bonne chance pour arrêter les benzos Sorence c'est déjà super d'avoir pris cette décision. J'espère que tu n'auras qu'a la prendre qu'une fois même si il parait que la rechute est normale dans un sevrage (mais bon toi c'est peut être pas le cas d'addiction classique par ce que c'est déjà bien sous contrôle).
 
Bon courage @Sorence !

Je viens d'apprendre qu'il y a un Front de Libération des Usagers de Drogues (le DULF) au Canada, et que Eris Nyx et Jeremy Kalicum, les cofondateurs du DULF, ont été arrêtés en octobre 2023. Ils ont été à l'initiative d'une expérimentation d'un "club de compassion", où ils vendaient jusqu'à 14 grammes d'héro, de coke, ou de meth' à une quarantaine de personnes sélectionnées pour l'expérimentation. Ils l'ont dit publiquement, on publié l'étude avec des universitaires de Vancouver, ont démontré que cela avait permis de réduire le nombre de surdoses, et ont été arrêtés parce qu'en fait ils n'avaient pas l'autorisation de faire ça. C'est quand même vachement audacieux, et maintenant j'ai envie d'acheter un de leurs t-shirts pour les soutenir.
 
Je me demandais où ils en étaient, justement (sans trop de surprise).
 
Juste pour me plaindre. J'ai encore dû sortir ma facture avec HHCPO, THCP et THCPO + un petit liquide THCP. C'est vraiment à la gueule.

Et deux fois qu'ils me disent qu'on a pas le droit de fumer du CBD dans la rue, genre... Bah oui, monsieur l'agent, je sais bien que vous pouvez pas faire la diff, mais clairement c'était du cbd 🐳🐳🐳🐳🐳🐳🐳🐳🐳🐳🐳🐳🐳🐳🐳 et j'ai été heureux qu'ils me mettent pas l'amende en leur disant que je rentrais finir mon joint à l'intérieur du coup... Deux fois qu'ils vérifient si "[je suis] connu des services de l'ordre", comme j'ai R, que je suis gentil et que je fais un peu le benêt, ça passe.

Marrant le flic qui me posait des questions, qui avait l'air d'être un ancien fumeur, car il me parlait des résines des années 90 et voulait des précisions sur les taux marqués. Il me faisait la causette pendant que ses collègues regardaient mon profil de l'Intérieur.

Je les hais.

(Ils avaient leurs caméras piéton allumées, j'arrivais pas ne pas les fixer.)
 
Comme ça craint... Ça dépend vraiment des endroits aussi car par chez moi, même avec un joint illégal dans la main ET le pochons marqué à l'effigie de mon dealers à côté de moi sur le banc (genre bien à la vue de tous) les flics passent reniflent, rigolent et me précisaient même de ne pas flipper quand ils me voyaient me planquer.

"On a d'autres chats à fouetter, disent-ils" Au final les seuls endroits où on peut vraiment avoir des problèmes, c'est en sortant du point de vente

Mais maintenant avec le vapo portable, personne ne me remarque
 
Au final c'est toujours les chats qui prennent 😞
 
D’expérience, rien que pour ça, ça vaut le coup
Avec les demies vies longues. on ne connait pas ce soucis

Bravo Sorence ! Je te souhaite que ca se passe bien d'arrêter ces 1.5mg !
Ça va enlever un sacré poids !

Yay y'a vraimment personne de plus dangereux dont la police devrait s occuper que qqn qui sort d un CBDshop....
 
Merci vous tous :) j'ai hâte que tout ça ne me concerne plus !
 
Est-ce que qq1 a une idée pour se laver dehors en plein hiver si on peut pas faire de feu ni compter sur autrui ?
Quelque chose me dit que nos ancêtres nomades du paléo devaient pas se laver souvent en hiver...

Sur les forums de survie ils disent qu'il ne FAUT PAS se laver en hiver si on ne peut pas faire chauffer l'eau ou se réchauffer par la suite, à cause des risque d'hypothermie. Ça semble logique en vrai.

Je me suis déjà lavé en décembre dans une rivière à 1500m d'altitude, et j'étais vraiment pas bien en sortant de l'eau ; mais je savais que je pouvais faire du feu 🔥 ensuite
 
Dernière édition:
Sans faire de feu c'est un peu risqué en effet.

Mais j'imagine que se sécher très rapidement + se couvrir très chaudement + activité physique intense pour booster la thermogenèse, ça peut passer ? (testé uniquement pour douches froides d'hiver en intérieur ou baignade dans la mer en fin d'automne / début de printemps)

Si t'as moyen, le thermos de boisson chaude peut être salvateur aussi.

Pour plus de sécurité, quand les conditions thermiques sont un peu limite je scinde le lavage des cheveux et du corps (grosse déperdition thermique par la tête, et difficulté à sécher les cheveux selon leur longueur)
 
Dernière édition:
Pas mal de scinder tête et corps, j'y aurais pas pensé.

Bon en vrais je pense que si je prévois de passer plusieurs semaines dehors l'hiver en haute montagne (pas de combustibles dispo) je doublerai le litre d'alcool (et je vais me renseigner sur la puissance calorifique de l'huile, pê que ça chauffe plus longtemps ?) pour pouvoir faire chauffer l'eau. Mais ça contraint à redescendre plus souvent pour recharger.
 
le mieux c'est pas le réchaud gaz ?
 
Pour les cheveux il existe les shampoings à sec. Peut-être qu'il existe aussi des savons à sec (j'en ai déjà vu au magasin de bricolage mais ça ressemble au genre de produit qu'on ne voudrait pas se mettre sous les aisselles).
 
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