@Thomas11,
Si tu prends ton Trama (ou quelques autres antalgiques à caractères addictif) sur moins d'une dizaines de jours et en dose prescription, tu ne risques rien coté addiction physique, donc ne te laisse pas souffrir inutilement .
Pour tester, tu observes se que tu ressens en plus de ta douleurs, après environ 24h sans rien prendre (évidement si tu as réussis à tenir aussi longtemps, à cause de la douleur), si tu perçois une sorte de sensation de tension interne associé avec un genre de sueur froide, très spécifique du manque opiacé, c'est que ton corps te manifeste le début d'une addiction physique.
Tu peux aussi percevoir cette sensation au moment de la montée de l'action du produit, pendant quelques minutes, juste avant l'effet calmant, dans le cas ou la prise se ferait à moins de 24h d’intervalle (à cause de la douleurs), dans ce cas également, cela est un message de ton corps pour te notifier le début d'une addiction physique au produit.
Bon, il faut être à l'écoute, car se sont des messages qui peuvent être léger et pour lesquels il faut alors être très attentif (surtout dans ta situation qui sera de nature, d'une addiction très légère).
A ces sensations, n'insiste pas passe un autre antalgique, parle en de suite à ton toubib, et vois avec lui, (si il est assez compétent dans le domaine ce qui n'est pas du tout certain) de diminuer progressivement les doses pour éviter le syndrome de manque physique.(mais bon vraiment sur 10 jours tu ne risque vraiment pas grand chose, je dirais m^me, rien du tout ;o) ).
Par contre, et c'est là le plus important, reste à l’affût de la moindre sensation de bien ^être que tu peux expérimenté (en dehors du simple fait d'être calmé de ta douleur), et surtout de la petite pensée (plus ou moins masqué) qui te dirais "ha oui, c'est pas mal ce truc, j'aimerai bien re faire", m^me fugace.
Là c'est clairement le prémisse d'une addiction psy qui s’installe (totalement indépendamment de l'addiction physique, qui peux ne pas encore être apparente, mais qui ne manquera pas dans un temps très court de venir se rajouté en conséquence).
sans attendre, stop direct et oriente toi sur un autre antalgique.
D'ailleurs ce conseil de détection/ prévention infaillible est valable pour toute addictions.
Dés la première pensée (qui ne manque pas de se manifester, mais auquel on n'accorde pas d’intérêt, généralement), véritable garde fou de la conscience, qui exprime là son premier message de mise en garde, en ces termes « pernicieux » :
« ha, oui, sympa le truc, j'aimerai bien re faire », ou autre similaire, la seule réaction salutaire est d'avoir la sagesse d'écouter le message, de se méfier et de passer à autre chose, autrement, partant de là, le mécanisme s'installe plus ou moins rapidement, mais avec une certitude quasi absolu, et c'est le début de la grosse galère qui débute.