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[FUUU]Copine anti drogue, aka "Déconne pas Manu..."

  • Auteur de la discussion Auteur de la discussion Quetzal
  • Date de début Date de début
5tr4t0 a dit:
Je suis assez d'accord avec ça. J'ajouterais qu'on ne dispose pas d'un potentiel affectif infini (bien que cela soit inquantifiable - dieu merci), et à mon avis si tu es déjà avec une personne que tu aimes et que tu te mets à en apprécier une autre il y a forcément un stade où ça fait vases communicants.

Je ne suis pas d'accord avec toi, perso je pense que la seule chose qui est limitée/limitante, c'est le temps dont tu disposes à consacrer à chacun/chacune.

Pour en revenir à l'exemple des gamins, je pense pas qu'une mère avec 4 gosses les aime individuellement moins qu'une mère avec 2.
 
Même si je suis très d'accord avec stonedfr (à quoi bon être avec quelqu'un si tu dois lui mentir ?), j'avoue que l'argument tient la route :

Quetzal a dit:
En fait, le mensonge vise a compenser un mensonge en amont, à savoir "la drogue nous détruira, et détruira notre couple".

Pour ce qui est de la polyamorie (pas "polyamorisme" ^-^), je trouve le concept très bien pour les gens qui arrivent à la vivre (la construire) en toute plénitude, comme Tiax. Par contre, je considère quand même qu'on peut y trouver un argument contre, non pas au nom d'une quelconque bienséance, mais tout simplement, en tenant compte de la psychologie la plus élémentaire : pour la plupart des gens (dont moi), l'amour est associé à l'exclusivité. On veut être "le seul" ou "la seule", c'est rassurant, c'est très humain. Et il faut réussir à dépasser la blessure que peut être l'idée de la personne qu'on aime ayant avec quelqu'un d'autre les mêmes gestes de tendresse ou de sensualité qu'elle a avec nous-même. Perso, je ne pourrais pas le supporter, et si j'ai été infidèle pas mal de fois de par le passé avec des gens que je n'aimais pas, étant maintenant dans une relation où je ne suis pas juste aimée, mais aussi où j'aime, l'envie d'aller voir ailleurs ne me fait sincèrement pas envie. Mais je comprends tout à fait que d'autres fonctionnent très différemment, et je trouve ça chouette.
 
Tiax, j'suis pas sûr que tu m'ai bien compris pour l'histoire de stabilité sociale, c'est pas une question de '"paraître", comparable aux drogues. C'est plus que l'humain est ce qu'il est, l'idée que madame se tape intel ou l'autre abruti que t'as jamais pu saquer pendant que tu joue à compagny of heros en l'attendant ou que tu te bourre la gueule avec des potes, moi ça aurait tendance à m'exaspérer un chouilla. Et ma dame plus encore de son côté. Franchement Tiax, ça te donne pas envie de péter des gueules de savoir que ton super pote Machin-truc a fait subir les derniers outrages à ta dulcinée? Moi ça me filerait des pulsions meurtrières, un truc beau tiens.
 
Ils se "partagent" pas entre amis, si je me souviens bien.
 
Toutafay, ça fait partie des conclusions auxquelles on est arrivé: pas avec les amis communs, et si c'est juste des affaires d'une soirée, on reste discret (aka on sait que c'est potentiellement possible, mais on ne veut pas les détails).

Par contre, si quelque chose de plus axé sur les sentiments commence à apparaître, c'est une autre paire de manches. Là ça sera plus reconnaissance mutuelle du statut de chacun, respect à tous les niveaux, tchatche super ouverte (les non-dits sont absolument mortels sur ce genre de trucs) et le tout matiné d'une GROSSE dose de diplomatie et de savoir faire afin de gérer des sensibilités qui, même si elles ont accepté d'être dans ce genre de relation, n'en restent effectivement pas moins humaines.

Enfin, l'énorme avantage de ce système, c'est que même si tout part en sucette et que ça fait foirer une relation, en dehors de la tristesse inévitable liée à la relation qui se termine, tu peux toujours te reposer sur les autres (ou alors, t'as *vraiment* mal géré), et ça, c'est priceless.
 
Tiax a dit:
Toutafay, ça fait partie des conclusions auxquelles on est arrivé: pas avec les amis communs, et si c'est juste des affaires d'une soirée, on reste discret (aka on sait que c'est potentiellement possible, mais on ne veut pas les détails).

Par contre, si quelque chose de plus axé sur les sentiments commence à apparaître, c'est une autre paire de manches. Là ça sera plus reconnaissance mutuelle du statut de chacun, respect à tous les niveaux, tchatche super ouverte (les non-dits sont absolument mortels sur ce genre de trucs) et le tout matiné d'une GROSSE dose de diplomatie et de savoir faire afin de gérer des sensibilités qui, même si elles ont accepté d'être dans ce genre de relation, n'en restent effectivement pas moins humaines.

Enfin, l'énorme avantage de ce système, c'est que même si tout part en sucette et que ça fait foirer une relation, en dehors de la tristesse inévitable liée à la relation qui se termine, tu peux toujours te reposer sur les autres (ou alors, t'as *vraiment* mal géré), et ça, c'est priceless.


C'est un concept qui ne me plait pas du tout. Pour moi, cela nous réduit vraiment à l'état d'animal.
On assouvi de brèves pulsions archaïques, en omettant d'utiliser la totalité de son cerveau d'humain.
Les gens n'arrivent pas à résister à la tentation, et quand bien même ils y arriveraient, on les achèteraient de diverses manières...

Je préfère fonctionner "spirituellement" parlant avec un concept de l'amour exclusif et réfléchi.
Mais sa encore, c'est une question de point de vu, hein ?
 
Mmh, en effet, c'est peut-être symptomatique d'une société où on veut tout, tout de suite (donc où oui, certains "ne résistent pas à la tentation"), mais de là à dire que c'est "animal"... Il parle de sentiments, d'affection, pas juste d'envies erratiques de niquer ça et là. Et la façon qu'ils ont (lui et sa copine) de gérer ces sentiments est bien trop élaborée pour être traitée d' "animale", je trouve.
 
C'est marrant, perso je perçois tout ca pile à l'opposé de toi, stoned, ie ce qui me parait "animal", c'est cette exclusivité, ce désir d'etre "le seul" que je ne peux m'empêcher de relier au principe du "mâle alpha", mais là effectivement on entre dans le champ de nos perceptions, et y'a peu à débattre.

Cela dit, je précise tout de meme qu'on est *très*, mais alors très loin d'avoir adopté cette attitude pour pouvoir "tout assouvir, tout de suite!".

Par exemple, meme si en théorie je suis libre d'avoir un coup d'un soir, ca n'est JAMAIS arrivé (le pourquoi de la chose est une autre histoire). Idem pour ma copine, avec sa première nana, elles ont passé *six mois* à flirter ensemble avant de passer à l'acte (alors que vers la fin elles habitaient ensemble), parceque voilà, l'amour ca se presse pas. On est loin d'une quelconque satisfaction immédiate des pulsions animales je pense.

Enfin, arrivé à ce stade de la discussion, je précise que je ne suis pas là pour faire du prosélytisme. Je défends un mode de vie qui me convient, mais je comprends tout à fait que d'autres personnes puissent avoir des besoins différents des miens.
 
Perso, à chaque fois que j'etais amoureux et actuellement je le suis plus que jamais, je n'ai jamais eu envie de quelqu'un d'autre. Je ne m'interdis rien. C'est pas la "culture" qui m'oblige a avoir cette exclusivité. C'est juste que le cul avec une autre me semble, fade pas authentique, distant, sans comparaison possible. Bien entendu, il y a une gêne si je m'imagine que la femme que j'aime puisse fricoter avec quelqu'un d'autre. Toutefois, je suis consciens que cette gêne renvoi à mon propre doute de pouvoir tout apporter à l'autre. C'est ma propre angoisse de ne pas suffir, de ne pas être assez. Pourquoi avoir peur que l'autre puisse prendre du plaisir ailleurs? c'est je pense juste la peur d'être laissé de coté et c'est un problème qui vient de soi pas de l'autre. J'espere si cela se produit etre capable de ne pas laisser mes peurs, mes angoisses decider de mes choix et de ma vie à ma place. "partager l'autre" comme tu le fais Tiax me serait difficile a vivre car j'aurais le sentiment que celle que j'aime a une partie de sa vie que je ne peux découvrir, soi par peur de souffrir soi par malaise. Cependant je penses que ce fonctionnement s'il n'est pas trop douloureux dénote d'une bonne estime de soi. ce que je n'ai pas encore assez consolidé de mon coté.

je crois que le concept plus difficile a accepter ou a comprendre. c'est le fait de pouvoir aimer "amoureusement" deux personnes à la fois. Je ne l'ai jamais vecu et donc je n'arrive meme pas a m'imaginer a ce que cela fait. Un attachement amoureux et un desir pour deux personnes? ça existe? quoi l'exclusivité c'est de la crotte. Pourtant franchement amoureux, et certaines etudes le montrent l'interet pour d'autres relations eventuelles baisses.
c'est une question que je me pose depuis un temps
 
petite crise hier à l'annif. Cause imaginaire (j'aurais dragué une fille... et l'aurait "défendu" de ... jsais meme pas quoi). Le caractère imaginaire du etre avoué ce matin.
Je la vois désemparée, je vois qu'elle meme ne sait pas pq elle se met dans ces état (aprés avoir quitté la soirée en précipitation pour éviter le scandale, et etre rentré a la maison, elle a voulu me mettre dehors, me faire dormir dans la rue. J'ai essayé de dormir dans le divan, elle m'a attaqué avec une bouteille d'eau, s'en est suivi une lutte avec moi tout mouillé essayant de me défendre sans lui faire mal. Trés folklo!. Un peu long quand meme (2-3h) avant qu'a bout de force, et ayant sans doute désaouler, elle se calme et qu'on "fasse la paix".)
Bref, du grand art, jdois etre un peu maso, mais j'y trouve presque un certain plaisir, tellement c'est le bordel. Et, par un mystère que je vais devoir analyser, ca ne me touche absolument pas, j'ai développé une resistance. Si ce n'est aux coups, mais bon, avec ses 45kg ca va, on peut pas appeler ca des blessures ^^
Je pense que je vais perdre bcp de crédibilité sur ce forum, moi le type responsable et rationnel qui arrive a se mettre dans cette situation...bha....
 
legrandoudini a dit:
C'est juste que le cul avec une autre me semble, fade pas authentique, distant, sans comparaison possible.

Je te suis complètement là-dessus, c'est d'ailleurs pour cette raison que les coups d'un soir ne m'intéressent généralement pas. Sans un minimum de complicité (et genre plus que "OLOL TU M'AS PAYÉ 1 BIERE T'AS L'AIR TROP COOL EN FAIT"), bin c'est 90% de l'intêret de l'acte qui dégagent.

"partager l'autre" comme tu le fais Tiax me serait difficile a vivre car j'aurais le sentiment que celle que j'aime a une partie de sa vie que je ne peux découvrir, soi par peur de souffrir soi par malaise. Cependant je penses que ce fonctionnement s'il n'est pas trop douloureux dénote d'une bonne estime de soi. ce que je n'ai pas encore assez consolidé de mon coté.

C'est clair que ça demande d'être capable de rationaliser *beaucoup* et d'être prêts à faire certains sacrifices réfléchis. De plus, comme je l'ai déjà mentionné, ça demande du respect entre toutes les parties. Ma nana peut partager ce qu'elle veut avec qui elle veut, mais si la personne me manque ou lui manque de respect, elle finira quand même encastrée dans le plafond en moins de deux.

je crois que le concept plus difficile a accepter ou a comprendre. c'est le fait de pouvoir aimer "amoureusement" deux personnes à la fois. Je ne l'ai jamais vecu et donc je n'arrive meme pas a m'imaginer a ce que cela fait. Un attachement amoureux et un desir pour deux personnes?

C'est mon impression, et ça va plus loin que deux personnes seulement. Au final, je pense que si on veut aller plus loin, il serait de bon ton de définir précisément ce que tu entends par "être amoureux" et aimer.

T'as pas des gamins? C'est toujours l'exemple que je donne (deux fois dans ce topic déjà), une mère n'aimera pas plus un fils unique que deux frangins.

Pour bibi, être amoureux, c'est l'essai. Aimer, c'est transformer cet essai. [/beauf]

Si je devais te donner une définition de la fidélité, je te dirais qu'il s'agit d'être capable de tenir tes engagements pris envers chacun/chacune de tes partenaires. L'exclusivité peut en faire partie ou non, chez moi ça n'est pas le cas.

Polyamour: Le terme est importé des pays anglophones où la prise de conscience est plus vive, les francophones parlant plus volontiers d'amour libre ou non-exclusivité, termes qui représentent imparfaitement la philosophie polyamour qui se distingue du couple échangiste, libertin ou infidèle et qui ajoute des notions de responsabilité et de croissance personnelle et l'idée d'aimer plus, sans se limiter à n'aimer physiquement qu'une seule personne. Ainsi, le polyamour n'implique pas nécessairement une dimension sexuelle, de plus la franchise sur l'existence d'autres partenaires est de règle.

Enfin, j'vais arrêter de squatter le topic de Quetzal je pense.

Si ça en intéresse certains (on peut toujours ouvrir un nouveau topic, le cas échéant)... --> http://fr.wikipedia.org/wiki/Polyamour

Quetzal a dit:
Bref, du grand art, jdois etre un peu maso, mais j'y trouve presque un certain plaisir, tellement c'est le bordel.

Sans arriver dans tes extrêmes, j'ai connu une situation de couple qui partageait la caractéristique d'être devenue totalement impossible.

Me suis rendu compte après quelques mois que je m'acharnais à la faire fonctionner non pas parce que j'aimais la personne en question, mais parce que je voyais tout ce bordel comme un challenge à surmonter.

Très honnêtement, je pense pas pouvoir te donner de conseils là-dessus. Dans tous les cas, c'est de l'expérience en barre que tu es en train de récolter, si ça te servira pour poursuivre avec celle-là, tant mieux, et si c'est utile pour la/les suivante(s), tant mieux aussi.
 
Quetzal, en ces temps de discorde, évite quand même de laisser traîner des coûteaux de cuisine et autres Daï-katana daedrique partout dans ta baraque :D.
 
pas de problème pour le squatage tiax!, d'autant plus que je trouve tes posts super interessant !
Et complètement d'accord, c'est de l'expérience en masse. "on va creeper à mort, lvl up lvl up".
Autant au niveau self controle, diplomatie, écoute, compréhension, découverte de mode de fonctionnement complètement incontrolé et non voulu chez qqun (parfoi proche de la folie), détermination, rapport objectivité/subjectif, problèmatique de la rationnalisation et de sa légitimité...
Encore une foi, je trouve que mes trips psychés m'ont apporté. Dans ce cas ci : un trip psyché c'est un tas de chose nouvelle a intégrer; il faut donner de l'energie pour le comprendre, pour que serve, et tout ca trés vite. Et c'est trés différent d'intégrer du "savoir" comme à l'unif, on parle ici de chose bien moins nette et bien plus complexes. Idem dans ce cas ci.
Allez, petard cette foi ! bien mérité.
 
Ah si je me souviens avoir été dans une situation impossible avec une demoiselle qui cognait pas mais qui avait tendance à appuyer là ou ca fait mal, à se faire le miroir de ce qu'il y a de pire en moi ... bon je vais pas raconter ma vie. En regardant en arrière, je me rends compte qu'une disharmonie ne vient jamais de l'une des deux personnes uniquement, mais que moi-meme je pensait "gérer" pour le bien de tout le monde, alors qu'en fait j'était prisonnier de mes propres désirs et sentiments pour elle, impossible pour moi de l'aimer avec ma dose d'amour propre pour m'assurer, impossible d'aimer une fille qui se prend elle-meme pour de la merde.

Relation heureusement courte, elle a laissé un level up assez conséquent, soutenu par une séance chez une amie psy sans qui j'aurai pété les plombs.

Alors non mec tu perds pas de crédibilité, ta confiance nous honore, tout ce que je peux te dire c'est "bon courage!" et un conseil de lecture:

Erich Fromm
L'Art d'aimer
 
Styloplume a dit:
En regardant en arrière, je me rends compte qu'une disharmonie ne vient jamais de l'une des deux personnes uniquement

Ben oui, même si le gros du problème peut ne venir que d'une seule des deux personnes, il faut quand même se rappeler que le-dit problème n'en est un que parce qu'il trouve un "écho" dans l'autre personne : si A est cinglé ou malveillant, ça ne pose un problème à B que parce qu'il a décidé d'entretenir la relation avec A.
 
Mais c'est aussi comme cela, que deux personnes totalement différentes vont pouvoir se -stabiliser- entres eux, dira t on.

C'est parfois (malheureusement c'est loin d'être une généralité) très positif par exemple que quelqu'un de sûr de lui soit avec une personne qui n'a qu'une petite estime, aussi bien qu'elle en ai une, de soi même.
Si la relation est bonne, l'un amène ses bénéfices à l'autre, et on change presque entièrement des gens comme ça, ou du moins, on réussi à faire en sorte qu'ils soient mieux avec eux même.

Le couple se doit aussi de s'apporter des choses unique, et qui ne concernent que chacun deux êtres, des choses strictement personnelles (égoïstes)

Certes, c'est un peu comme si on vivait parfois uniquement à travers l'autre, mais encore ici, chaque relation est propre et unique. Il faut trouver le juste milieux.

C'est compliqué l'amour :lol:



Concernant le polyamour (c'est bien comme sa qu'on dit ?), je trouve que sa en revient quand meme au libertinage, à l'infidélité: la putain de société de consommation n'est pas loin.

Si on est bien avec une personne, elle est sensé tout nous apporter, la dite sais être, une meilleure amie, une chérie, et une maitresse. A quoi bon aller au supermarché si on a tout dans le frigo ?

Quand je suis accompagné, je me fout instinctivement bien des femelles (pour en revenir aux animaux) qui voltigent un peu partout. L'amour dépasse chez moi bien plus que des pulsions reproductives primaires incontrôlées.
 
Quelle contradiction flagrante. Tu accuse d'etre "presque dans la société de consomation" et la métaphore qui suit compare la femme, ou la relation a un objet de supermarché.
Dsl c'était trop gros :)

Sinon, ouai, le problème existe que parce que je suis la pour le subir. L'arbre fait du bruit en tombant parce que qqun est la pour l'entendre... et what next? non je ne trouve pas ca pertienent.
 
Lol j'avoue, mais c'est une metaphore qui fait bien comprendre où je voulais en venir.

Sinon, ouai, le problème existe que parce que je suis la pour le subir. L'arbre fait du bruit en tombant parce que qqun est la pour l'entendre... et what next? non je ne trouve pas ca pertienent.

Ahah, on entre dans la philosophie là! Mais c'est drôle :lol:
 
stoned-fr a dit:
Concernant le polyamour (c'est bien comme sa qu'on dit ?), je trouve que sa en revient quand meme au libertinage, à l'infidélité

C'est tout simplement faux. L'amalgame n'a pas lieu d'être, comme je l'ai évoqué plusieurs fois ci-dessus.

Si on est bien avec une personne, elle est sensé tout nous apporter, la dite sais être, une meilleure amie, une chérie, et une maitresse. A quoi bon aller au supermarché si on a tout dans le frigo ?

En dehors du fait que l'image est un peu limite, j'te jure que t'auras beau remplir ton frigo à son max, tôt ou tard tu verras les limites de ce que tu es capable de te préparer à bouffer avec ce que tu as à ta disposition.

Ou alors t'es ricain et tu bouffes que des hamburgers.

Ouais, la métaphore est vraiment trop limite en fait.

Quand je suis accompagné, je me fout instinctivement bien des femelles (pour en revenir aux animaux) qui voltigent un peu partout. L'amour dépasse chez moi bien plus que des pulsions reproductives primaires incontrôlées.

Là encore, je ne sais pas pourquoi tu en reviens toujours à ça. On parle d'amour, pas de liberté sexuelle. C'est de nouveau un amalgame regrettable.

J'ai des affects féminins que j'aime profondément (et c'est réciproque), mais avec qui je ne suis et ne passerai sûrement jamais à l'acte.
 
Quetzal a dit:
Sinon, ouai, le problème existe que parce que je suis la pour le subir. L'arbre fait du bruit en tombant parce que qqun est la pour l'entendre... et what next? non je ne trouve pas ca pertienent.

Ah. C'était pas du tout une attaque personnelle (ni contre toi ni contre personne), pas même une critique, sauf peut-être de mes actes passés. Pas la peine de te mettre sur la défensive, je n'ai même pas fait le parallèle avec ton cas, c'était juste une généralité balancée à la va-vite avant de partir à la fac. C'est-vrai-je-le-jure.

Mais sinon Tiax, y a quand même un truc qui me chiffonne (un seul) dans ton argumentaire : comparer l'amour-amoureux à l'amour parental, je trouve que ça ne colle pas. A peu près tous les parents sont capables d'aimer plusieurs gosses "pareil", alors que des gens qui "arrivent" à être amoureux de plusieurs personnes à la fois, c'est extrêmement plus rare. A part ça, je suis pas trop d'accord avec le fait de comparer tes relations avec un frigo, c'est vrai. Et ta copine est plus sympatoche à regarder qu'une carotte.
 
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