ChandlerBing a dit:
J'ai deja fait le nécéssaire Chandly,j'ai fusionné les sujet
heart
Pour le reste je suis en accord avec toi,mais je pensais que tous nos posts(et sutout celui ci
(d'un auteur inconnu)suffisait a la RDR^^
Plus d'un mois de conso régulière pour moi également, frustrant au début et peu à peu on l'apprivoise.
Frustrant dans le sens ou les effets euphoriques sont relativements courts ( 1h/1h30) au début, et donc l'envie de redrop est rapidement présente et désagréable. Après redrop on repart très vite, à la différence que cette fois ci, plutôt qu'une descente frustrante et énervante, on va avoir le droit à une stimulation cérébrale puissante et agréable,
sans être euphorique. En rien comparable avec une décharge dopaminergique type 3-FA et consorts (ni rush ni jouissance intérieure non plus), une sensation de légère quiétude stimulante, clean, intérêt pour tout et n'importe quoi totalement décuplé, la stimulation cérébrale est agréable et participe au sentiment de bien-être qui accompagne le tout.
On abuse par contre vite du produit, car suivant la dose, le redrop est, si on veut conserver ces effets, nécessaire après 2/3/4 heures écoulées. Une journée complète ( 24h ) est parfaitement jouable dès lors que l'on poutre quelques dizaines de mg toutes les trois heures.
Pour ma part ( attention
pas RDR du tout, à ne pas reproduire si vous tenez un tant soit peu à votre santé, mentale comme physique ) j'ai tenu 6 jours dont 5 entiers ( jours + nuit sans dodo ) avec 2 grammes, le premier ayant tenu les trois premiers jours, donc on peut calculer ça grossièrement ( 1000mg/3 = 333mg par jours environ ) mais je n'ai pas de donnée fiable à donner puisque les doses ont toutes étés faites à l'oeil ( ne pas faire non plus ) et au feeling suivant l'état mental du moment.
Les trois premiers jours ont étés très bon,
l'insomnie que provoque le produit n'ayant pas encore causés d'effets secondaires gênants ou inquiétants,
l'hydratation très régulière et surveillé ont permis de limiter les dégâts,
la baisse d'appétit bien que gênante est bien gérable, la faim revient assez vite une fois l'EP moins actif dans l'organisme, donc profiter de ces instants pour se
nourrir au moins un minimum et maintenir une activité stomacalo-digestives.
3 fois lors de ces 6 jours, la prise du matin a été retardé autant que possible, généralement de 6h du matin jusqu'à 11h soit 5 petites heures de répits cérébral toujours accompagnés d'un énervement croissant et d'une descente bien désagréable.
Ce laps de temps me permettait d'ingurgiter un cocktail composé de diverses vitamines, magnésium, guarana, ginseng, caféine, re-vitamines C,E, B6( même si inutile une fois un certain seuil atteint, ça rassure et puis une urine arôme oranges vitaminés c'est la classe 8)... ou pas), une ampoule de Debrumyl dégueulasse, le tout avalé avec un bon thé ultra sucré suivit d'un redbull !
Honnêtement et même si une bonne partie doit être imputable à l'effet placebo, ce coktail de compléments me remettait ( les trois, quatres premiers matins du moins ) d’appoint, et limitait la fatigue nerveuse et physique qui ne faisait qu'augmenter au fil des journées.
Je précise aussi que l'abus d'ethylphenidate
perturbe l'activité gastro-intestinal ( un para a réussit à me faire aller poser une pêche à
trois reprises en moins de 15 minutes chrono en main ! et pas le petit truc hein, le vidage lourd et intégral ^^ :tonqe: alors qu'au contraire durant cette semaine d'abus volontaire mais très con et dangereux, j'ai regouté aux joies de la constipation, au bon souvenir des semaines passées sans aller poser le moindre étron, excepté une tentative mensuelle qui aboutissait généralement, après luttes acharnés me transformant en tomate, à l'insatisfaisant et frustrant démoulage chaotique de deux voire trois boulettes diamétralement ridicule et aux couleurs froides et pâles, dont la consistance assimilable à celle
d'un petit caillou
( j'ai effectivement été contrait d'y toucher... LE PREMIER KI SMOKE JLE TAPE OKAY ? mais l'histoire est futile et inintéressante :grin: ) n'aurait aucun mal à transpercer un vitrage banal...Mais pourquoi je racontes tout ça moi, bon après tout, je préfères que ce forum soit mon psy plutôt qu'un énième tacard incompétent :grin: )
Donc en cas d'éventuel abus, préparer les citrates de bétaines, laxatif thérapeutiques et autres médocs facilitant la digestion et le démoulage de kayke
5eme jour de la semaine : break médicamenteux, opis + benzos pour apaiser le tout, 24h de break dont 15 de sommeil, levé à 19h le samedi soir, étant seul et en mode " toute façon t'as fais le con avec ta dopamine toute la semaine, t'étonnes pas d'être mentalement HS et pas heureux " je décides de me faire une bonne bouffe devant la télé, et d'improvisé après.
Un Gavage de mort de faim auquel mon petit estomac, plus du tout habitué à ingurgiter autant de nourriture, réagit cash ( je pense quand même que le mélange massif de skénan et d'etizolam, probablement encore un brin présent dans l'organisme après ces heures de dodo, ont une petite part de responsabilité m'enfin, osef en fait ) en offrant un billet retour à ma belle pizza outrageusement garnit de délicieux fromages divers sur un matelas préalablement composé d'un pot quasi entier de crème fraîche épaisse :heart: :bave:, je rage encore de ce gâchis ( d'ailleurs c'est la conséquence physique qui m'énerve le plus avec l'abus de X molécule, je rêve de pouvoir bouffer normalement et en quantité conséquente comme avant, sans maltraiter mon estomac et risquer au choix nausée, gerbis, ou remontées acides ultra douloureuse et nauséabonde pendant 30 heures facile...
)
Suite à ça, vidé mentalement comme physiquement, envahit d'un coup de blues, je me souviens que je dispose de 300mg de 6-APB. Un para de 100mg et rules. La nuit se déroule très bien, molécule vraiment sympa, descente pas difficile, bref, bon produit, d'autant plus après une quasi semaine de spoil et de sollicitation continue du système dopaminergique (
)
Le dimanche matin passé, laisse place à un début d'après-midi
pénible nerveusement, revêtant un pessimisme et un sentiment je m'en foutiste totale, je suis pris du fameux " allez on termine la semaine de toute façon, une de plus une de moins... on arrêtes les conneries dès lundi de toute façon ! " ... Pochon sortit, deux pointes de couteau avalés avec de la flotte, et deux dans les narines qui soulagent immediatement...
Aux alentours de 17h des premiers signes inquiétants se manifestent :
Palpitations puissantes et inhabituelles, difficultés à prononcer une phrase d'une traite, sans bafouiller ou chercher un mot. A partir de cet instant ( 18h environ ) va apparaître et se manifester crescendo, de façon de plus en plus forte et de plus en plus génante à mesure que les minutes défilent, ce que j'appellerais une
hypersensibilité sensorielle et paranoïaque.
En gros, le sentiment que le moindre son entendu est agressif, fort, et cause des dommages cérébraux ( difficilement explicable ), l'impression insupportable qu'à tout moment quelqu'un peut venir par surprise taper une gueulante dont le cerveau ne se remetrait pas, la sensation parano d'être au coeur de toutes les conversations et de monopoliser la totalité de l'attention, la peur de voir quelqu'un surgir et causer un trauma, grosso modo plus les effets se développaient plus le sentiment de peur était présent. Quelques hallucinations visuelles et sonores aussi, avec cette sale impression que le cerveau est au bord de la rupture et que le moindre choc peut-être dévastateur...
Bref je sais pas de quoi il s'agit vraiment, j'ai cherché sur le net sans résultats convaincants ( si certains ont une piste, grand merci d'avance ) mais qu'il s'agisse de réels symptômes ou que ce soit le résultat d'un épuisement nerveux, dû à un profond manque de sommeil et de l'abus de stimulants, ça fait bien flipper en tout cas ! ( Il va de soi que dès l'apparition de ce symptôme je n'ai pas redropé le moindre mg... pas suicidaire non plus hein )
L'organisme fait généralement savoir par diverses manifestations, lorsqu'il est proche de la
rupture, qu'il est à bout et que
la limite est atteinte... Mais parfois il n'a pas le temps de prévenir, parfois l'empoisonnement subit est trop important et l'intoxication le met HS en quelques secondes. Donc plutôt que de tâter les limites et prendre le risque qu'il n'est pas le temps de prévenir que là c'est bon stop... Prenez soin de lui et si abus il doit y avoir ( ce serait utopiste et naïf de croire le contraire ), faîtes le au moins
souffler 24h dès que le double ( 48h ) en conso est atteint
Les aspects récréatifs n'en seront que meilleure, et la récupération mentale et physique facilités :grin:
PS : Après un mois d'abus et donc de perturbations biologiques ( organisme ) subit par le corps, j'ai depuis lundi soir après le repas, des
maux d'estomac sur la droite du nombril et sur plusieurs centimètres en longueur, véritablement
douloureux et génants, accompagné de ballonements et d'un gonflement ventral anormal en tenant compte de mes repas équilibrée et peu copieux ( système digestif et stomacale flingués indissociable des conséquence de mon passé d'opiomane, réparable et modifiable chroniquement et progressivement... mais incompatible avec la sur-conso de drogues qui influent ( celles que j'apprécies consommer en tout cas ) à 90% toutes, plus ou moins sur ce qui touche à la bouffe (globalement parlant)...
riches en légumes et en fibres pourtant sans effets sur ma constipation actuelle qui doit jouer dans ces maux de ventres, remplissant les conduits de gazs... JE SAIS QUE VOUS AIMEZ MES REFERENCES SCATO BANDE DE MENTEURS, Huhu :grin:
( je glisse une questions d'ailleurs, l'étizolam influe t-il sur l'activité digestive et gastrique ? Même question pour la Bupré du sub 4mg ? Le mélange des deux peut-il totalement ralentir la digestion ? Merci d'avance
)
Bref, j'espère avoir été le plus clair et précis possible, souhaitant sincèrement que ce post serve et permette à certains de pas faire les mêmes bêtises, du moins faire prendre conscience du
risque et du fait que l'on ne parle pas là d'une molécule cousine de la caféine mais bien d'un
psychostimulants
qui même si bien moins potent que la Cocaïne, fonctionne de la même manière sur le cerveau, sachant en plus qu'il est plus puissant,ou, formulé autrement, plus pote avec Seigneur dopamine que ne l'est docteur Methylphenidate ( Ritalin ) ( so plus euphorique et potentiellement addictif aussi... vulgairement mais on va pas repartir pour 10 lignes hein ) donc prudence vraiment, take care les koupains koupines :heart: ( dispo pour toutes questions/infos, hésitez pas
)
Mais tu as raison de rappeler les inconvénients et dangers de cette substance....
Je suis un mauvais modo :(