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Drogue et travail

  • Auteur de la discussion Auteur de la discussion Skruffy
  • Date de début Date de début
Ok merci pour vos réponses :p
Je vais voir ce que je vais faire aha
 
Bonjour,

Je bosse en usine pharmaceutique et la drogue c'est mal vu... mais à la première fête du personnel ou pot de départ et des que les "coincés" sont partis les 30% qui vont rester et se déchirer prennent pas mal :
Coke, keta, mdma, speed,... sans parler de l'herbe (mais c'est mal vu car ça rend mou...).

Perso : psylo en micro dosage de temps en temps c'est parfait pour ce type de taff. Et joint pour décompresser.

Bav
 
Une fois une boite d’interim m’a appeler a 8h pour me dire d’aller sur un chantier au plus vite pour porter des portes.

Sauf que j’avais pas dormis apres avoir taper des trucs sppeed et ke.

J’y suis allé, mon binome était à balle de coke j’avais pas une clope en redescente.

Et ben croyez moi que les deux palettes de portes ont bien etaient réparties sur les deux étages par la force du bout de mes doigts.

Pire day at travail.
 
Je prend ces derniers temps du speed de manière assez assidue pour taffer. J'ai tellement peur de plus aimer ça à force :/

En vrai ce serait une pente super glissante si c'était pas pour une période bien définie dans le temps et un ratio travail à abattre/échéance un peu monstrueux. J'aurais peur de développer une addiction véner. Mais là j'avoue j'ai juste peur de plus aimer ma drug of choice.

Fin bref, faut faire attention avec ce genre de pratiques entre la tolérance, la dépendance pour travailler, et tout le toutim !
 
C´est exactement ce que dirait quelqu'un en train de glisser sur une pente s´il voulait se mentir à lui-même.
 
Tu m'as cramé... Nan en vrai c'est déjà arrivé par le passé sans conséquences graves. Je me rappelle de ma première charrette sous coke y a quelques années, suivie de deux semaines de teuf intense, j'en suis juste ressorti avec une tolérance explosée et le réel besoin de faire deux mois de pause. 

Mais merci de me le rappeler ;)
 
Ben moi je sais que selon toute logique je vais me taper un énorme crash dans moins de quelques jours, et cette perspective m'impatiente presque. Enfin pouvoir pleurer sans me sentir coupable de ne pas être en train de bosser. J'ai hâte de laisser les vraies émotions poindre derrière la drogue, de laisser la performance derrière moi
 
Ah ptn, se lever le matin dans le mal, et juste rester dans le mal à fumer des joints dans le fauteuil. Regarder le temps filer et en avoir rien à foutre. Actuellement mon kink
 
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