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Dans quoi je m'engage avec le LSD ?

  • Auteur de la discussion Auteur de la discussion MadJa1
  • Date de début Date de début
Pour le LSD, j'ai une expérience assez chelou.
Au début, je n'avais quasiment aucuns visuels, puis mon cerveau a apprit à tripper, j'ai développé un HPPD, depuis dès que je prend un carton, ou même juste un quart, je suis retourné par les visus.
Augmenter les doses, ça fout des gros visus, mais le mental, bah c'est Moruroa.
Pour ce qui est de s'endormir dans une boucle/phase de parano, pour moi m'endormir sous trip, ça me reboot, et je me lève tout frais, tout content, tout redescendu.
Quand je flip trop, un petit benzo + une douille me calme (je conseille pas la douille).
Les joints sous acide, ça me fait rien, peut-être que ça me détend un peu. Pour passer au level supérieur de visus, je tape des douilles tout le long du trip.
Si tu veux un trip puissant, mets toi dans des situations puissantes, tripper exténué, c'est plus puissant, plus anxiogène aussi.
En fait, tout ce qui va augmenter les effets de ton trip va aussi augmenter le risque de bad.
Et j'peux t'assurer que passer 3h à chercher ses clefs sur son matelas en voyant des vers se tortiller dessus (cimer le tabac à rouler étalé sur le lit), bah tu pars vite en couille.
Après, badder ça s'apprend, et au bout d'un moment une certaine technique se développe pour s'en extirper.
 
@MydriHaze 666 messages :retard:
je crois que Percheman voulait dire que le bad tu peux apprendre à le dompter, à comprendre le pourquoi du comment il arrive maintenant et qu'avec l'expérience tu peux réussir à l'éviter ou à en tirer quelque chose de positif :oops:
 
Chez moi le LSD est tres visuel... A partir de 80ug le monde se fractalise. La fois ou j'ai gobé 2x 150ug je sui resté sur le cul tant les visuels étaient impressionants ! Le visage de mon pote qui se décompose couche par couche et se recompose, les branches des arbres qui font comme des angles droits et poussent en petit escalier, des constellations fibonacci partout ( avec les traits tirés entre les étoiles ). Le côté "2D" de l'acide, l'impression de voir des tableaux partout.

meme a 150 j'ai vraiment un côté visuel fou, je vois des plantes pousser depuis le sol, ou autour de mes bras, en mode vraiment précis, et puis elles s'évaporent.

180ug, pour une deuxieme experience, en sachant que ton premier carton était surement un DOx, c'est vraiment fort. C'est gérable apres, faut juste pas se stresser, mais je descendrai a 150 si j'étais toi. Je trouve que au dessus de 100ug, c'est fort, y'a forcément un moment ou ça va pousser.

Puis les Visus, avec certaines molécules c'est juste chiant, avec L'acide t'es investit dedans, même si les visuels sont pas stronk ça reste prenant. 180, si t'es comme moi et sensible aux visus tu vas en avoir pour ton compte.
 
Percheman a dit:
Après, badder ça s'apprend, et au bout d'un moment une certaine technique se développe pour s'en extirper.

ouaih! Avec la dynamique particulière d'une pensée qui fait son chemin en bad on finit par trouver que ce n'est pas normal de bader tout le temps... et qu'il faut rendre aux lois de la probabilité leur emprise sur la nature du trip (bon ou mauvais). Cela forge le véhicule de la pensée... C'est comme une spécialisation complémentaire de l'expérience de base. On dira que ça va dans le sens contraire aussi... Un mec qui triperait en soft tout le temps devrait en toute logique laisser la moitié de son expérience au bad au final...
 
Exactement.
Pour ma part, à chaque trip quasiment j'ai un moment ou je bad, c'est normal selon moi, c'est ça le trip, retourner sa conscience et revoir certaines conceptions.
Pour m'en extirper, j'essaie de réfléchir au pourquoi du bad, comment il est arrivé, ce qu'il signifie, puis je change d'occupation, par exemple je vais dessiner, lire, je ne sais quoi.
 
Percheman a dit:
Exactement.
Pour ma part, à chaque trip quasiment j'ai un moment ou je bad, c'est normal selon moi, c'est ça le trip, retourner sa conscience et revoir certaines conceptions.
Pour m'en extirper, j'essaie de réfléchir au pourquoi du bad, comment il est arrivé, ce qu'il signifie, puis je change d'occupation, par exemple je vais dessiner, lire, je ne sais quoi.


Non.

Ce n'est pas normal. Mais vu t'es écrit, tu devrais amélioré ta situation au quotidien plutôt que pensez que c'est normal de baddez même un peu.
 
Non.

Ce n'est pas normal. Mais vu t'es écrit, tu devrais amélioré ta situation au quotidien plutôt que pensez que c'est normal de baddez même un peu.

Je te trouve catégorique le Ston,

Je suis plutot d'accord avec percheman pour une fois, pas vraiment dans sa façon de le dire quoique.

Mais l'acide, ça pousse, y'a un moment ou c'est pas facile et puis je chemine et je me libere, et la j'atteint des especes de nirvana, des moments de libertés assez ouf, de deconditionement.

ce qu'il veut dire a mon avis, c'est que quand ça monte ça pousse un peu, et faut s'habituer petit a petit a l'état et se liberer. Mais si apres a chaque trip Percheman tu penses a ta vie et ça te fout le bad, peut être que le Ston a raison et qu'il faut ameliorer ton quotidien.

Mon plus gros trip m'a secoué par la montée au début, a 300ug y'a de quoi partir en flip, surtout quand tu te rends compte que t'es jamais allé au dessus de 120 meme si on t'annonçait des tonk a 200. Fin j'étais avec un ami qui m'a completement guidé et apres c'était juste le nirvana, grosse clarté, et pas de côté mental psycho omniprésent.

Puis deux semaines apres, avec 180ug, une teuf cracra et un spliff c'est parti en mode mental tres lourd. C'était pas un bad pour autant, mais je veux dire c'est pas forcément des moments simples et juste lumineux. Tu peux tripper noir sans pour autant forcement "badder" je crois que c'est ce que percheman voulait dire
 
J'pense que Percheman confond le bad et ce que j'appelerait le doute.

Un bad c'est très fort et ça peut marquer à vie, laisser des sequelles destructrices. C'est même un peu dangereux d'aller dire au gens que c'est normal. Ça serait comme dire dans la vie t'a 100% de chance de crever un jour. Donc le suicide on s'en balek.

Par contre le doute c'est normal c'est juste quand ta psyché ne veut pas lacher prise et qu'elle se défend un peu. Donc t'a des pensées un peu névrotiques qui arrivent dans le cerveau pour alerter le corps que y'a un truc pas comprehensible qui se passe.
C'est à ce moment qu'il faut penser à autre chose et pourquoi pas reflechir post trip au racines du pourquoi t'as refusé le lacher prise à ce moment en particulier.

Si tu bad vraiment à chaque session un arrêt total et immediat doit être effectué sinon tu te laisse à chaque session des blessures psychiques qui vont mettrent trrrrrrrrrrres longtemps à se refermer.
 
Percheman a dit:
Exactement.
Pour ma part, à chaque trip quasiment j'ai un moment ou je bad, c'est normal selon moi, c'est ça le trip, retourner sa conscience et revoir certaines conceptions.
Pour m'en extirper, j'essaie de réfléchir au pourquoi du bad, comment il est arrivé, ce qu'il signifie, puis je change d'occupation, par exemple je vais dessiner, lire, je ne sais quoi.

Je te rejoint sur ce point, parce que si t'es honnête avec toi-même tu remarques que pendant le trip tu as des moments de mou ou de down, pouvant s'apparenter à un bad comparé aux moments où tu es émerveillé et égayé. Personne ne peut vivre un magnifique et parfait trip du début à la fin, sauf en se disant que c'est trop bien et en faisant tout pour s'en persuader. Un trip c'est comme une journée normal, y a des phases où l'on est plus fatigué/lassé/déprimé, et ce sont ces moments de "bad" qui font que l'on kiffe d'autant plus les moments de béatitude ou même de joie derrière.

Je ne connais personne qui ne vivent pas de petits moments de bad lorsqu'il trippe, ou qu'il vit tout simplement, parce que l'esprit humain évolue par vague (très houleuses pour les gens malade, mais avec des petits hauts et bas pour les gens sains).

Mais le problème en utilisant le mot bad, c'est qu'il y a moyen de croire à un infernal moment de détresse sur fond de panique, alors qu'en fait ça peut juste être un moment où tu es moins extasié pour te replier dans ton intériorité, et te mettre à penser au lieu de t'amuser coûte que coûte. Pour moi c'est un passage obligé pendant le trip, que ça soit pendant la montée ou la descente, et ceci peut s'expliquer par le fait que les psychés ont cette tendance à me pousser à l'introversion. Quand chez d'autres ils poussent à l'extraversion, et au divertissement en étant toujours dans une dynamique d’extériorisation et de paraitre, ce qui peut leur masquer leur moments baddants si ils sont plutôt occupés à percevoir le monde environnant que leur intériorité.

Et si cette croyance qu'avoir des moments de bad n'est pas normal, est une vérité indéniable chez certains, on peut se demander si dans leur avis des plus tranchés, ils ne sont pas dans une forme de dénégation à vouloir idéaliser leur défonce, et qu'ils ont oublié que seul chez eux, ils s'amusent d'autant moins qu'en groupe lorsqu'ils sont trippés. Et que la grande majorité des retours de trip traitent de moments dit baddant, de phase passagère où nous pouvons entrer dans la partie sombre de notre être, et au travers d’expérimentations en apprendre plus sur soi pour en tirer force. Mais faut-il encore oser s'aventurer dans les méandres de son esprit pour cela.

Au final on retrouve là le problème des différences d'interprétations de ressentis entre introvertis et extravertis, entre les gens qui d'un côté se basent sur des trips en groupe où le mimétisme sympathique ou empathique permet de répondre au rire d'autrui par un autre rire spontané, et d'un autre côté ceux qui se basent sur des trips en solitaire, où ils sont plus en proie à rentrer dans leur intériorité, faute de divertissement extérieur pour se maintenir dans la joie.

Edit : bon en fait j'ai répondu à peu près la même chose que les deux coms' précédents..
 
@SandozLover : Rolala reste pas sur la symbolique sinon t'as pas finit ! :rolleyes: Enfin je dis ça mais je sais pas trop comment ne pas le faire tout le temps.

Sinon je trouve effectivement pas que l'acide soit très visuel. Après il n'y a pas que ce sens non plus, et les psychédéliques les boostent. Avec le mental bien sûr et à mon avis c'est là le challenge, la connexion établie entre sens et mental à ne pas pas trop emprunter, accepter que le trip te fasse ressentir des choses que tu ne comprend pas, accepter que le trip te fasse comprendre des choses que tu ne ressens pas. Il y a un vrai travail dans le post-trip aussi je pense, à savoir ne pas rester bloquer sur l'introspection induite par les psychédéliques, ça peut être vraiment néfaste, question de self-discipline j'imagine.
 
Percheman a dit:
Exactement.
Pour ma part, à chaque trip quasiment j'ai un moment ou je bad, c'est normal selon moi, c'est ça le trip, retourner sa conscience et revoir certaines conceptions.
Pour m'en extirper, j'essaie de réfléchir au pourquoi du bad, comment il est arrivé, ce qu'il signifie, puis je change d'occupation, par exemple je vais dessiner, lire, je ne sais quoi.

ouaih il peut y avoir une série de trips comme tu dis avec une phase de mise à l'épreuve par cogitation existentialiste. C'est un bad léger que on reconnait à chaque x. Pour finir on en fait klkchose. On se fait philosophe ou on amorce de grandes décisions. Moi je m'étais décidé d'arrêter pck après un certain nombre (une 20taine? Plus?) j'avais eu aussi de très beaux trips de leur début à la fin et j'avais l'impression d'avoir fait le tour. J'ai eu des trips de ouf, aussi des trips avec petite tambouille interne qui fait psychoter (cela semble correspondre à ton cas actuel), et des bad plus forts (on a comme des electro-chocs dans la tête)... pour développer un peu sur le bad: je ne sais pas si tu as déjà eu une vraie indigestion mais le bad c'est l'indigestion de la psyché. Tu deviens malade d'un festin plein de bonne choses et pourtant tout se transforme en cauchemar et tu deviens malade grave pour plusieurs jours... C'est dégueulbiffe !!! Le trip, les hallus, etc, c'est pareil pour le bad.

Quand on a eu tout ça on a fait le tour du LSD... On pense alors à d'autres horizons existentiels. Je n'aurais pas arrêté l'acide sans avoir eu au moins un super bon trip de ouf qui me convainc vraiment pck ça c'est une compensation pour tout le reste.

MydriHaze a dit:
Sinon je trouve effectivement pas que l'acide soit très visuel.
on ne parle pas de la même chose. J'aurais dû mourir à 20 ans et je suis un rescapé de la drogue. Je suis étonné d'être en vie. Mais ça me donne une raison de témoigner autrement si on ne veut pas il fallait me laisser crever. bordel je sais pas ce que on fourgue comme jus de chaussette aujourd'hui... OK?
 
Quand je parlais de bad, je parlais en effet de moments de down, les moments ou tu es dans le doute, lorsque tu t'interroge sur certains fondements.
Un bad, c'est pas forcément voir le diable, être en PLS à crier qu'on veut t'agresser, chacun a sa psyché, chacun a donc SON/SES bad (c a d une manifestation différente).
Quand je bad, je suis un véritable autiste renfermé sur moi, je me renferme sur moi, je suis tout seul et je me cache du monde (c'est un exemple).
Suis-je assez clair ? J'ai l'esprit un peu embrouillé ces temps ci.

Ps : J'ai arrêté de prendre des trips justement lorsque mes trips sont devenus lisses et sans passages de bad.

PPS : Distinguons donc plusieurs niveau de bad ?
 
wizonatrip a dit:
Je te trouve catégorique le Ston,

Je suis plutot d'accord avec percheman pour une fois, pas vraiment dans sa façon de le dire quoique.

Mais l'acide, ça pousse, y'a un moment ou c'est pas facile et puis je chemine et je me libere, et la j'atteint des especes de nirvana, des moments de libertés assez ouf, de deconditionement.

ce qu'il veut dire a mon avis, c'est que quand ça monte ça pousse un peu, et faut s'habituer petit a petit a l'état et se liberer. Mais si apres a chaque trip Percheman tu penses a ta vie et ça te fout le bad, peut être que le Ston a raison et qu'il faut ameliorer ton quotidien.

Mon plus gros trip m'a secoué par la montée au début, a 300ug y'a de quoi partir en flip, surtout quand tu te rends compte que t'es jamais allé au dessus de 120 meme si on t'annonçait des tonk a 200. Fin j'étais avec un ami qui m'a completement guidé et apres c'était juste le nirvana, grosse clarté, et pas de côté mental psycho omniprésent.

Puis deux semaines apres, avec 180ug, une teuf cracra et un spliff c'est parti en mode mental tres lourd. C'était pas un bad pour autant, mais je veux dire c'est pas forcément des moments simples et juste lumineux. Tu peux tripper noir sans pour autant forcement "badder" je crois que c'est ce que percheman voulait dire


Non mais voilà, à chaque fois, il y a un problème. Soit sur la dose soit dans le set.

Et je dit pas, sa retourne bien l'acid mais Sandman le dit bien, y'a un pas énorme entre subir une monté déstabilisante et un bad-trip, même si passé de l'un à l'autre est possible.

J'ai prit du LSD ce week-end, quand sa kick, sa kick quoi, les premières fois c'est déroutant mais Mydri le dit-bien, faut faire la part des choses, respirez. J'pense pour ma part que c'est mieux de le faire pré-trip car sa peut être difficile de faire la part des choses après.

Sinon pour les visuel, le LSD est très imagé, la vision périphérique dégage très vite des formes et des couleurs pour peu que la vision s'attardes. Après un certain dosage il est indéniable que c'est très visuel mais la pensée est aussi rythmé et pulsé que le flot de couleur, lumière, forme.

Néanmoins à la différence des champignons notamment, je trouve pour ma part qu'il est plus facile de se reposer l'esprit quelques minutes pendant une monté d'acide qu'une monté de champi mais l'intensité du trip sera beaucoup plus longue.

J'en ai prit solo chez moi, c'était si doux et calme, en pleine aprèm, il faisait beau.
Perso je recommande de prendre l'acid de journée, car déjà sa peut vraiment empêcher de dormir et le lsd, même si on fait rien, sa fatigue. S'évité une nuit blanche sa peut être un plus pour récupéré et évité trop de side-effect en descente. Manger un truc quelques heures avant et kiffez quoi.

Quand l'acide donne la sensation physique d'envoyez comme des vagues le long de la peau, quand ton esprit boucle sur lui même, oui, c'est déstabilisant mais le LSD ne te fera pas de mal, don't panic.


Quand je bad, je suis un véritable autiste renfermé sur moi, je me renferme sur moi, je suis tout seul et je me cache du monde (c'est un exemple).

Enlève Bad et on dirait du LSD, quoi ... Quand je prend du LSD je peux facilement passer 15h sans presque parler et juste faire mon trip, avec des gens ou pas, parfois sa me rend social, parfois je mate le mur pendant 6h à la monté et je plonge dans ma tête en fermant les yeux.
 
on ne parle pas de la même chose. J'aurais dû mourir à 20 ans et je suis un rescapé de la drogue. Je suis étonné d'être en vie. Mais ça me donne une raison de témoigner autrement si on ne veut pas il fallait me laisser crever. bordel je sais pas ce que on fourgue comme jus de chaussette aujourd'hui... OK?
Ça dépend du trip et des phases j'imagine, perso j'ai jamais égalé mon premier trip niveau sensations, c'était sur un double-face apparemment et le Set/Setting à beaucoup joué aussi je pense. Mes expériences suivantes m'ont appris à relativiser.
 
Pour ceux que ça intéresseraient, voici un texte regroupant et synthétisant différentes études qui tentent d'expliquer "Pourquoi voit-on ce que l'on voit quand on trippe"

Toutes ces études sont sensibles et très contreversés, donc veuillez à prendre ces informations avec des pincettes.

Pour autant, ça fait grandement plaisir de voire un vrai renouveau engouement dans les études menés sur les enthéogènes:prayer:

Qui sait, avec toutes ces nouveaux travaux, peut-être qu'un jour certains états admettrons enfin le LSD (ou autre hallucinogènes) comme des outils thérapeutiques efficaces dans la lutte contre la dépression/PTSD/les troubles mentaux/le stress/etc...

Ce jour-là, Hofmann et Leary (pour ne citaient que ces deux personnages) pourront enfin reposer en paix ! :rolleyes:
 
thanks Sandozlover, je vais aller matter ça !

Le ston ton trip m'inspire bien, doux chaud en fin d'aprem.. mmm :)

Mais j'aime autant me percher la nuit. Y'a une ambiance magique la nuit, et le fait de moins voir, je trouve que les visus s'apparentent plus a de veritables hallus. Fin c'est peut être moi apres.

Bref les deux apportent leur touche !

Vous parliez de basculer entre deux états, je me souviens de mon dernier vrai trip qui accrochait vraiment bcp, j'étais dans une yourte entouré d'irlandais ( va comprendre quoi que ce soit ) et l'ambiance me foutait mal, me rongeait, je me suis redressé, calmé, et en 10 minutes je passais de completement bloqué sur moi même a une espece de transe ou je me sentais trop libre. Mon image n'importait plus du tout, plus rien n'importait d'ailleurs, j'avais l'impression de gouter a la vie, vraiment. Et c'était un sentiment incroyablement simple ! juste se sentir libre, complet !

J'ai pris 50ug le week end dernier, bah il m'a suffit d'un joint en descente pour avoir de super visuels, fallait aller les chercher mais c'était trop bon, le visuel acide quoi... toujours cette impression de voir des trucs un peu comme ce que ferait Claude Ponti.
 
La Royal Society... Excuse mais j'ai du mal.

Parce que si vous n’êtes ni une tronche en maths ni un habitué des acides, la lecture de cette étude risque bien de vous faire croire que vous êtes défoncé.
Ah c'est pour ça, faut prévenir !

J'ai pris 50ug
Il reste de la pizza ?
 
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