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Crise d'angoisse

  • Auteur de la discussion Auteur de la discussion Williamsïï
  • Date de début Date de début
Je suis pressé de lire ce TR en tout cas.
 
mais ptètre un jour je les aurai toutes ouvertes et je serai enfin apaisée (?).

D'après Shulgin toutes les portes ouvertes c'est la schizophrénie, le fait que beaucoup trop d'informations arrivent seraient la cause de la folie, donc je pense pas que ça t'apaiseras ;D.
 
Larry_Golade a dit:
Je pense pas que ça rentre dans la définition médicale exacte d'une crise d'angoisse, mais ce dont je suis familier depuis la petite enfance ce sont des phases qui durent entre quelques heures et 2-3 jours au cours desquelles je vis un mélange entre apathie et mépris de soi exacerbé, le cocktail étant source d'une grande peur quant à l'avenir. C'est un peu comme si dans ma tête tournait la phrase "je suis une merde je finirai seul et méprisé de tous et je l'aurai bien mérité", je me sens incapable de renverser la tendance, j'ai honte de ma pleutrerie face à mes problèmes et je flippe de rester coincé dans cet état. Et ça va généralement en empirant, avec de légères remontées du moral par moment, qui le font chuter d'autant plus haut et plus en profondeur, jusqu'à ce que quelqu'un m'aide à "débloquer" et à comprendre l'irrationalité de cette attitude.
.

Ca ressemble beaucoup à ce que ma copine a l'air de vivre, donc ça m'intéresse. Pareil elle à l'air parfaitement cool pendant plusieurs jours d'affilée, et d'un seul coup elle n'arrive plus a supporter les gens, elle devient obsédée par l'image qu'elle donne d'elle même, se trouve merdique, indigne de vivre, elle sabote des trucs "parcequ'elle y arrivera pas", se coupe de ses amis voir de moi. J'essaye par tout les moyens de l'empécher d'être dans ces états mais c'est très très dur et j'ai l'impression qu'en plus c'est vraiment pas de sa faute, c'est comme si elle devenait irrationnelle par moment et se mettait à se détester tellement fort que ça en deviens autodestructeur.
Le coté cyclique du truc est vraiment dur a gérer, vu que tout va parfaitement bien jusqu'a un point de rupture qui est gérable quand je suis la, mais quand ça fait quelques jours qu'on s'est pas vu et qu'entre temps elle est retombée dans ces pensées négatives c'est un peu le ciel qui me tombe sur la gueule. Et vice versa, qu'une situation de tension se dévellope avec moi (parceque on est un couple, donc des fois on se prend la tête comme tout les les couples), prennent des proportions assez balèzes sans que je comprenne pourquoi, et que tout soit fini le lendemain comme si il s'était rien passé... C'est un peu les montagnes russes quoi.
 
A supposer que son problème et le mien soient similaires, ça te met dans une situation difficile parce qu'elle a évidemment besoin de ton soutien, mais aussi d'un peu de dureté de ta part. On s'y complaît vite dans ce cercle d'auto-dépréciation, et perso quand on me dit "mais bouge toi un peu le cul enfin !" ça marche plus que quand on me ménage et qu'on me dit que "ça va passer".

Je sais pas ce que ça donne dans un couple, célibataire depuis bientôt deux ans, et ma "crise" de la semaine dernière a justement suivi un râteau avec la fille dont je parle dans mon post, qui a plus de mal à passer que d'autres. Mais c'est parfois ma ... mère qui m'en fait sortir (FREUD VA TE FAIRE FOUTRE). C'est pas facile pour elle, et après je m'en veux de lui exposer mes états nihilisto-truc. Parfois, on est trop proche de certaines personnes pour pouvoir les aider. Je crois qu'il peut se passer la même chose pour ta copine, un(e) ami(e) est peut-être plus à même d'avoir cette dureté mesurée que je préconise (mais uniquement parce qu'elle marche avec moi, ne prends pas ce que je dis pour argent comptant, rien ne prouve que nous fonctionnions de la même manière, et puis si j'étais fin psychologue je résoudrais mes propres problèmes :roll: ).

Bonne chance en tout cas :wink: .
 
Oui c'est difficile parceque parfois faudrait que je la motive, d'autre juste que je la rassure, et d'autre fois que je me rassure moi même parceque j'ai du mal a garder la tête froide du coup, parfois je crois qu'elle va mal alors que j'ai juste fait une une connerie qui l'énèrve etc... J'ai l'impression de devoir lire dans ses pensées presque tout le temps. Je peut pas trop en parler autour de moi en plus parcequ'elle le prend très mal elle s'imagine que les gens vont la juger et penser du mal d'elle etc... Au final les trois quart du temps c'est une fille géniale avec qui tout se passe très bien et honnétement je suis amoureux d'elle, mais c'est stressant d'avoir régulièrement ce truc qui vient peser... Enfin si un jour tu découvre les causes de ces "phases" chez toi,n'hésite pas a m'en parler lol.
 
Oh, rien que du très classique je crois, problème d'estime de soi et narcissisme poussé depuis tout petit, relation inexistante avec le père et de type amour/haine avec la mère, sentiment latent d'être un gamin de cinq ans sur le plan émotionnel et de traîner derrière les "grands" qui ont des problèmes sentimentaux de "grands" à deux quand moi je rumine mon célibat. Et depuis que je consomme, l'impression de compenser le "manque d'amour" par la drogue. Dans les moments "down in a hole" je m'imagine toujours coincé dans cette boucle dans 10 ou 15 ans, ayant repris 20 kilos, sinistre petit prof en ZEP méprisé par ses élèves, etc.

Donc ouais, malgré mon "Freud va te faire foutre" c'est sans doute vers là qu'il faudrait chercher les racines du mal dans mon cas et peut-être dans celui de ta copine (même si les causes doivent être autres, bien sûr), vers l'enfance, papa-maman et je ne sais quelle blessure de l'ego qui ne s'est pas refermée.

C'était l'instant "psychanalyse de comptoir".
 
Larry_Golade a dit:
Oh, rien que du très classique je crois, problème d'estime de soi et narcissisme poussé depuis tout petit, relation inexistante avec le père et de type amour/haine avec la mère, sentiment latent d'être un gamin de cinq ans sur le plan émotionnel

C'était l'instant "psychanalyse de comptoir".

De comptoir, de comptoir... J'en était venu aux mêmes conclusions.
Personellement en tt cas je remercie beaucoup les psy freudiens qui m'ont bien aidés, give it a try.
Et j'aimerai bien que ma copine essaye aussi.q
 
Je voulais répondre mais j'arrive encore pas à foutre mes idées par écrit, ca früstre!
Enfin, super intéressant ce topic (arf!) --->

Ah... si tiens... je l'sent là ca monte, MHRRFFFF ><, c'est bon ca sort:
Il y'a beaucoup de monde qui aujourd'hui à ces problèmes d'égocentrisme j'ai l'impression.
Quand je vois avec quel type de culture on a était éduqué ça me semble assez logique; la télé-réalité, la compétition, l'espoir de la gloire et de la notoriété (aussi éphémere qu'illusoire) etc.
J'ai pas étudié la question en profondeur mais à l'intuition je pense pas que la génération d'avant l'éducation par les médias de masses avait à ce point les mêmes problèmes...
On est tiraillé entre le besoin individuel de réussite sociale superficiel et la paix de l'esprit. (Souvent à demi-conscient, voir inconscient de ce combat intérieure).
On veut réellement être bon pour ce qu'on juge être la morale mais aussi bien perçu de son entourage.
Alors que si tu est intimement persuadé de suivre une bonne morale, d'être juste envers toi-même et les autres, pourquoi aurais-tu peur de leurs regards?
Peur de la solitude?
On ce met la pression tout seul, la peur nous prends mais elle est tellement irrationnel, complexe ou inacceptable qu'on se bloque 'le temps que ca passe'. Le temps qu'on reprenne de la vigueur, "fuck le monde, à partir de maintenant je suis moi-même. T'en pis si je fait des bêtises, j'assumerais et apprendrais de mes erreurs. Et nike si les autres m'en veulent, ou me dévalue pour tel ou tel raison. C'est qu'ils m'auront mal-interprétés, ou que j'aurais mal agit auquel cas je m'excuserais et ne recommencerais pas, NA!"
Jusqu'à ce qu'on se remette en question (en général après une blessure. Peut-être ridicule pour les autres mais tellement importante pour nous même), que le doute existentielle reprenne place, et là c'est le drame, on se perd dans l'incohérente bataille de notre propre ego, et ainsi de suite...

Je crois qu'au final c'est ce qu'on nomme en psychologie l'hyper-sensibilité nan?

Désolé si c'est pas assez développé.

Et Larry qu'est-ce qui te fait dire que:
Larry_Golade a dit:
...Oh, rien que du très classique je crois, problème d'estime de soi et narcissisme poussé depuis tout petit...
C'est peut-être indélicat de te demander ça?
 
Indélicat peut-être, après tout j'ai bien commencé à raconter ma life...et pour te répondre c'est juste que je pense pas être un cas exceptionnel, voilà. Ma petite histoire est somme toute très banale, et à la lecture des soucis de certains, j'ai honte de mes jérémiades. Mais avoir honte, c'est encore et toujours se tourner vers soi et se focaliser sur sa personne. Hors la célèbre phrase de Pascal, "le moi est haïssable", je l'approuve complètement. Ca veut pas dire qu'au quotidien j'estime qu'il faille en permanence s'ignorer (qui serait assez con pour affirmer ça ?), mais bouducon, j'aimerais avoir d'autres centres d'intérêt que moi moi moi . C'est en partie pour ça que la solitude affective m'atteint autant : mon grand craving au quotidien, c'est l'autre, la personne dans laquelle je pourrais m'oublier. Quand je suis ... youpi osons le mot, amoureux, je dis/pense moins "je " et plus "tu".

Ca doit être en poursuivant cet objectif que je me suis lancé dans l'aventure psychédélique. La fameuse "dissolution de l'égo" (toujours pas atteinte, même de loin)...Et c'est aussi ce qui m'a amené à vouloir faire de la RDR (mais ça aurait pu être la soupe populaire ou Greenpeace) : un peu de temps libre consacré au service, gratuit et volontaire, des autres, ça expie en partie le narcissisme (au risque de s'en gargariser, mais si on fait quelque chose de vraiment bien, on a un peu le droit, non ?).

On part loin des crises d'angoisse là par contre...En tout cas ton post est très juste dans ce qu'il décrit.
 
Larry_Golade a dit:
On part loin des crises d'angoisse là par contre...

Pas si loin que ça je pense ... je me reconnais dans pas mal de chose de ce que tu décris Larry : solitude affective, dépréciation de moi même puis culpabilité face à mon "égocentrisme". Pour ma part je pense que j'ai réussi à me sortir de cette spirale qui m'a amené vers ces crises d'angoisses et un passage dépressif assez sévère en parlant tout simplement. Les médocs m'ont aidé certes mais juste pouvoir parler de tout ces conflits intérieurs à un pote, quelqu'un de sa famille parfois un psy peut vraiment faire avancer les choses. Le truc c'est d'arriver à formuler tout ça et d'en tirer quelque chose de positif. Ça parait tout con mais j'ai tellement garder de trucs en moi pendant tant d'année que j'ai tout simplement fini par craquer.

Pour ma part le psy n'a servi à rien, ma famille n'aurai pas tout compris et c'est donc 2 très bon potes qui m'ont écouté pendant ces moments de doutes, de dépression, de cauchemar, .... Et c'est grâce à eux en grande partie que j'ai remonté la pente pour finalement aujourd'hui pouvoir la cher un gros FUCK rien à battre de ce que les gens pensent de moi(une façon d'asumer son égocentrisme??).
Pour les causes de tout ça, je commence à comprendre pas mal de choses après coup et j'ai l'impression au bout du compte d'avoir appris énormément de chose sur moi et sur les autres par la même occasion. :)
La psychanalyse Freudienne pourquoi pas ... même si je me sens bien dans ma peau aujourd'hui peut être pourrait-elle me faire encore avancer et découvrir des choses sur moi-même...
 
Très intéressant le déroulement de cette conversation. Très proche de ce que je ressens depuis un bon moment, ça sonne familier cette spirale infernale de l'angoisse-la dépréciation-l'égoisme-la solitude-encore l'angoisse (sans les crises d'angoisse à proprement parler, mais le fond est là), le combat de tous les jours entre soi et soi pour tout un tas de raisons (sors toi les doigts du cul, arrête de fumer des bédots suffit d'un peu de volonté, t'es con t'as pas le droit de pleurer sur ta vie espèce de chouineuse, et va en cours, cherche un taf, prends pas ci, fais pas ça). Et la drogue comme un rempart à la réalité.
 
Vous devez vous en foutre, mais je sais parfaitement ce que c'est une crise d'angoisse, cela fait maintenant 2 semaines que "palpitations+sueurs+envie de rendre+tremblements+confusion, même clair+encore d’autres symptômes (insomnie, idées noires), malheusement je c'est ce que c'est, j'aurai adoré ne jamais savoir/connaitre ça, mais .... c'est la vie !


PS : je n'ai lu que les 3 premiers posts et le dernier de ce topic, j'ignore ce que vous vous êtes dit
 
J'ai eu la flemme de tout lire mais il existe une différence entre crise d'angoisse et attaque de panique. Je ne sais pas trop si vous parlez d'attaque de panique ou de crise d'angoisse. De même, j'ai cru voir les symptômes du trouble limite de la personnalité. Chez ces dernières personnes beaucoup de crises d'angoisse mais souvent qualifiées de sentiment de vide intérieur.

J'ai mal à la tête quand je lis ce qui est dit sur la psychanalyse. C'est hasbeen partout dans le monde sauf en France et en Argentine. Aux états-unis, la psychanalyse est interdite dans certains états pour une psychothérapie elle est tolérée uniquement pour le développement personnel. Lisez le rapport INSERM 2004, censuré par l'état alors que c'est lui qui a demandé l'expertise http://iis13.domicile.fr/essentiaco/Psy ... Inserm.htm
Enfin, c'est qu'a la télé, radio, journaux, dès qu'il faut parler psy, on ne voit que des psychanalystes. Ils ont trusté les médias et le pire c'est qu'ils sont très très peu nombreux.
Fin de mon coup de gueule hors topic désolé
 
Le "vide intérieur" est également un symptôme caractéristique de la dépression ...
 
Mmmh oui, parfois ce que vous dites me fait plus penser à un type de dépression qu'à des crises d'angoisse.. mais il doit certainement y avoir différents types de crises d'angoisse aussi.
J'ai vécu pendant un an en couple avec une fille qui en faisait très régulièrement, et de ce qu'elle a tenté de m'expliquer (et, su ce point, je trouve que c'est un peu comme la prise de drogue, très dur à bien rendre compte par des mots), c'est ce sentiment de dépersonnalisation, ne plus savoir où on est presque, ne plus reconnaitre personne, avoir une peur exacerbée de tout et surtout du contact physique pour elle. Le tout est faux aussi. Grr, je saurais pas trop comment dire... ça m'énerve.
Je me souviens que à l'époque, j'avais trouvé beaucoup de rapprochement avec une prise de dxm dans ce qu'elle me disait.
Et ça pouvait survenir n'importe quand, avec ou sans raison.
Du coup, même si pour moi ce n'est pas forcément des crises d'angoisse, mais je vois bien ce que tu peux vivre avec ta copine moodyman.. et je te souhaite beaucoup de courage et d'amour..
 
Et là par contre je suis très très sûr de moi: un suivi psychiatrique pour situer le trouble, éventuellement un traitement médicamenteux pour le calmer, forcément une psychothérapie à caractère analytique pour guérir.

Euh... me semble, enfin j'espère qu'un suivi psychiatrique et des medoc ne sont pas toujours nécessaires, cela dépend toujours de la situation et surtout de la personne, non? Les medoc, c'est pour les situations les plus difficiles, et encore faut y aller avec discernement à mon avis! Et pourquoi une psychothérapie analytique? Il y a aussi plein d'autres trucs, non?


J'ai mal à la tête quand je lis ce qui est dit sur la psychanalyse. C'est hasbeen partout dans le monde sauf en France et en Argentine. Aux états-unis, la psychanalyse est interdite dans certains états pour une psychothérapie elle est tolérée uniquement pour le développement personnel. Lisez le rapport INSERM 2004, censuré par l'état alors que c'est lui qui a demandé l'expertise http://iis13.domicile.fr/essentiaco/Psy ... Inserm.htm
Enfin, c'est qu'a la télé, radio, journaux, dès qu'il faut parler psy, on ne voit que des psychanalystes. Ils ont trusté les médias et le pire c'est qu'ils sont très très peu nombreux.

Le coup du rapport censuré par le ministre qui l'a lui meme demandé, c'est vraiment trop fort!!! Ca fait pitié... Mais le rapport ne dit pas que la psychanalyse est inutile, juste qu'elle est conseillée pour certaines difficultés et non de façon automatique et répétitive... Instructif mais long a lire par contre. Allez, c'est con, mais me semble qu'on est tous différents. Par contre, je trouve qu'en France c'est assez lourd d'avoir quasiment que la psychanalyse...
 
B_G a dit:
Euh... me semble, enfin j'espère qu'un suivi psychiatrique et des medoc ne sont pas toujours nécessaires, cela dépend toujours de la situation et surtout de la personne, non? Les medoc, c'est pour les situations les plus difficiles, et encore faut y aller avec discernement à mon avis! Et pourquoi une psychothérapie analytique? Il y a aussi plein d'autres trucs, non?

Yop, y'a plein d'autres trucs! (le LSD entre autres :twisted: ), mais là je donne juste l'opinion retenue officiellement par la communauté des psys orthodoxes tel qu'on est appellé à le devenir (je suis étudiant en psycho).
 
Merci d’avoir remonté ce topic, c’est très intéressant et instructif. Ça m’a permis d’un peu mieux cerner mes bad trips cannabiques que je faisais à répétition pendant des années, presque à chaque fois que je fumais. Quelqu’un ici a dit qu’une crise d’angoisse peut s’apparenter à un bad trip. Je dirais plutôt un bad trip ne serait-il pas une crise d’angoisse déclenchée par la prise du produit ? Du moins dans mon cas avec le THC, où la peur n’est pas provoquée par des hallucinations horrifiques, elle est juste bien là sans raisons apparentes. Symptômes : tachycardie, panique, transpiration. Ces effets presque systématiques ne m’ont pas empêcher d’avoir et de rechercher toujours une consommation régulière et relativement élevée, allez savoir pourquoi. Je pense aujourd’hui que j’ai peut-être quelque chose à régler, que cela passe par le cannabis ou pas. Ma piste quand même c’est que ces effets se sont déclarés après que j’ai eu des problèmes d’ordre scolaires et familiaux à cause du cannabis : viré de mon collège pour revente, mes parents qui apprennent ainsi que je fume et qui réagissent mal. Ça ne faisait pas longtemps que je fumais mais avant ça les effets avaient été bien sympathiques.

Bref tout ça pour dire que ça m’étonne pas tellement que toi JP tu ais eu des problèmes avec un cannabinoïde malgré ta maîtrise des psychés. Et aussi pour vous demander plus de précisions sur les pour et les contre de la psychanalyse, et les solutions alternatives.

Pour finir la ptite histoire perso, aujourd’hui je ne fais quasiment plus de bad-trip-crises-d’angoisses, faut dire que je fais assez attention sur la quantité quand je fume. Pi je gère mieux les grosses quantité quand je suis seul, bien que des fois gérer = attendre que ça passe. C’est pas de l’ordre de la crise d’angoisse, plutôt de l’anxiété diffuse un peu exacerbée (tolérance à l'adrénaline? ^^ honnêtement je crois pas). Bref problème un peu mieux géré mais pas réglé pour un sous.
 
Perso, la psychanalyse c'est quand tu as déjà touché et fait pas mal de psychothérapies... C'est comme le lsd, tu touches pas tout de suite, tu bong et tu gobes d'autres trucs avant de commencer! Ah oui, je suis un orthodoxe, une analyse c'est 3*/semaine :wink:
 
Bon, j'irai me renseigner sur les définitions (pas maintenant, trop fatigué). Jusqu'ici psychanalyse et psychothérapie étaient synonymes pour moi, je pense après ton post que psychothérapie = juste voir un psy et parler avec lui. Ou se faire prescrire des trucs par un psychiatre ? Bref j'irai voir.
 
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