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Crise d'angoisse

  • Auteur de la discussion Auteur de la discussion Williamsïï
  • Date de début Date de début
Jeune__Peyotl a dit:
Je connais très bien les hallucinogènes,OH OUI,t'en fais pas va.Je prenait tranquillement 25mg de 2C-E devant ma télé seul,encaissé 300µg de LSd,5gr de Cubensis,bref,je les maîtrisais à fond et réussissait des trucs incroyable avec (que ça soit pendant le trip que les jours qui suivaient) . C'est le JWH qui à tout foutu en l'air.

JP, on pourrait aussi interpréter les choses ainsi:
Tu pensais "maitriser à fond" des prises fréquentes et importantes de psyché, mais un jour, il y a eu "la goutte qui a fait déborder le vase"...
Ce fut un surdosage en JWH, mais c'eut pu être une autre substance ou même un événement stressant...
As-tu déjà envisagé le problème sous cet angle?
 
C'est intéressant qu'on parle de ça car j'ai une connaissance qui est mal dans sa vie depuis des années. Il est suivi psychologiquement et il rame dans sa vie scolaire parce que l'école le déprime. Il a des gros soucis de confiance en lui notamment. J'ai commencé à lui dire qu'il pourrait essayer un jour un trip introspectif, que peut-être ça lui permettrait de découvrir de nouvelles choses sur lui-même. Je lui ai même proposé de venir un jour chez moi pour un trip au DXM. Il m'a dit qu'il en parlerait à son psy pour le risque des interactions entre médicaments.

Maintenant je me demande si j'ai pas fait une bêtise de lui proposer ça, mais en fait il est mal depuis tant d'années que je pense que ça ne peut pas lui faire de mal. Son psy avait l'air de lui dire qu'il pouvait essayait les drogues avant ça, tant qu'il ne prenait pas de "drogues dures". Je ne sais pas ce qu'il entendait par là (juste les opiacés ou le reste aussi), et je ne suis pas son docteur non plus, je ne sais pas si on lui a jamais détecté le moindre signe de schizophrénie qui pourrait s'aggraver avec un trip. Mais je pense pas a priori, il a l'air tout à fait clair dans sa tête hormis ses très profonds soucis de confiance en lui.
 
Cha(s)do a dit:
Jeune__Peyotl a dit:
Je connais très bien les hallucinogènes,OH OUI,t'en fais pas va.Je prenait tranquillement 25mg de 2C-E devant ma télé seul,encaissé 300µg de LSd,5gr de Cubensis,bref,je les maîtrisais à fond et réussissait des trucs incroyable avec (que ça soit pendant le trip que les jours qui suivaient) . C'est le JWH qui à tout foutu en l'air.

JP, on pourrait aussi interpréter les choses ainsi:
Tu pensais "maitriser à fond" des prises fréquentes et importantes de psyché, mais un jour, il y a eu "la goutte qui a fait déborder le vase"...
Ce fut un surdosage en JWH, mais c'eut pu être une autre substance ou même un événement stressant...
As-tu déjà envisagé le problème sous cet angle?[/quote:260u46r3]

Oui oui,c'est exactement ça. :wink:
Je les dit "*BING*,un con et se fût foutu." C'est belle est bien de ma faute et j'en suis conscient et d'autant plus énervé du coup.
Pourquoi avoir rajouté du JWH dans un joint de Weed ? Nan mais franchement .....mais parce que j'avais déjà tapé des bad à la fume.Trou noir,vomissement,ect...et donc,je pensée pas qu'une telle chose pouvait arrivé .J'ai sous-estimé se produit donc on connaissait rien.
Qui fait le malin,tombe dans le ravin.
 
Sludge a dit:
C'est intéressant qu'on parle de ça car j'ai une connaissance qui est mal dans sa vie depuis des années. Il est suivi psychologiquement et il rame dans sa vie scolaire parce que l'école le déprime. Il a des gros soucis de confiance en lui notamment. J'ai commencé à lui dire qu'il pourrait essayer un jour un trip introspectif, que peut-être ça lui permettrait de découvrir de nouvelles choses sur lui-même. Je lui ai même proposé de venir un jour chez moi pour un trip au DXM. Il m'a dit qu'il en parlerait à son psy pour le risque des interactions entre médicaments.

Maintenant je me demande si j'ai pas fait une bêtise de lui proposer ça, mais en fait il est mal depuis tant d'années que je pense que ça ne peut pas lui faire de mal. Son psy avait l'air de lui dire qu'il pouvait essayait les drogues avant ça, tant qu'il ne prenait pas de "drogues dures". Je ne sais pas ce qu'il entendait par là (juste les opiacés ou le reste aussi), et je ne suis pas son docteur non plus, je ne sais pas si on lui a jamais détecté le moindre signe de schizophrénie qui pourrait s'aggraver avec un trip. Mais je pense pas a priori, il a l'air tout à fait clair dans sa tête hormis ses très profonds soucis de confiance en lui.

C'est à double tranchant.
Soit la lumières fût,soit l'obscurité deviendra nuit.
Je pense pas que ça soit un risque à prendre.Enfin,que ça soit pas à toi de décidé de faire ça.Il le le veut,il le veut mais toi,en aucunement tu dois le poussé vers cette voie.
 
PaRaLLeL a dit:
Conseiller N'IMPORTE quelle drogue hallucinogène à quelqu'un qui angoisse dans sa vie de tous les jours est, en tout cas je le pense, une grosse connerie.

C'est pas n'importe qui, c'est JP :D
 
Sludge a dit:
C'est intéressant qu'on parle de ça car j'ai une connaissance qui est mal dans sa vie depuis des années. Il est suivi psychologiquement et il rame dans sa vie scolaire parce que l'école le déprime... Je lui ai même proposé de venir un jour chez moi pour un trip au DXM. Il m'a dit qu'il en parlerait à son psy pour le risque des interactions entre médicaments.

Maintenant je me demande si j'ai pas fait une bêtise de lui proposer ça

Attention mec, s'il prend par exemple des ISRS (style prozac, déroxat, etc) ça va pas le faire DU TOUT avec le DXM ! :shock:
Il me semble (à confirmer) qu'il y a quand même un risque de syndrome serotoninergique...
 
Oui c'est pour ça qu'il devait se renseigner. De toutes façons il ne m'en a pas reparlé, je n'ai pas l'impression que ça le branche plus que ça. Il a été assez dégouté de tout ce qui est substances synthétiques à cause des medocs qui l'ont rendu accro.
 
Le seule VRAIE crise d'angoisse que j'ai vue de mes yeux c'était à l'internat. C'était impressionnant.

J'avais ce livre

mes_prisons_verlaine.jpg


Sur ma table de chevet. Une voisine vient me voir s'asseoit sur mon lit et choppe le livre. Elle le regarde 20 seconde ne bouge plus se crispe. Puis elle tombe et peine à respirer, on aurait dit qu'elle allait mourir. Elle criait, ne répondait plus quand je lui parlait, bavait partout, pleurait.

Super bizarre, pour rien en plus...

Elle a dit que cette image avait fait emergé des sentiments noirs en elle qu'elle n'avait jamais ressenti :? guuueee ?

On m'a dit que je faisais des crises d'angoisse mais rien de comparable à ça
 
@Jeune_Peyolt: Ok je vois. Donc de ce que tu me racontes, vraiment le gros truc incompréhensible, LE bad-trip avec tout plein de manifestations somatiques terribles et une sensation d'angoisse impossible à gérer.

Heu, t'as fait une IRM pour vérifier que c'était pas un AVC?

J'ai un type dans ma famille qu'en a fait un récemment, et on a découvert que c'était son troisième en fait, deux autres avaient eu lieu avant mais n'avaient pas été détéctés. Pas un drame au final pour lui, mais bon voilà deux AVCs légers pas détectés, ça fout un peu les boules.

Je peux un peu mieux m'imaginer ce que tu peux ressentir à l'idée de gober un psyché à nouveau, surtout aprés ce trip affreux au 2C-E.

Evidemment pour moi c'est un peu facile de préconiser un trip thérapeutique, après tout c'est comme ça que j'oriente toute ma conso de psyché depuis mes débuts dans le psychonautisme. Du coup nous avons des approches très différentes. Il y a des trucs que tu ferais avec la drogue et que je ne tenterai pas, parceque je considère que ça ne m'aiderai pas, et inversement il y a des trucs que je fais et qui ne t'intéresserai certainement pas.

En tout cas total respect que t'ai survécu, moi ça me donne une bonne raison (une en plus) de pas trop faire le con avec la drogue.

@Sludge: A mon sens le manque de confiance en soi c'est en soi un problème si grave que je pense pas que ce soit une bonne idée de lui faire vivre un trip au DXM. Gérer le DXM peut être une tâche bien difficile qui réclame justement pas mal de confiance en soi. Et ce n'est surtout pas à combiner avec des antidépresseurs.
Maintenant, si ton pote est partant et qu'il veut à tout prix essayer...

Là les gars (et les filles) vous êtes en train de me faire relativiser mon point de vue sur l'aspect thérapeutique des prods. Vous et mon violent trip au DXM d'hier (et oui ça m'a marqué. Je vais vous faire un TR, epic is epic)

@Ettenissral: Ouais cette histoire est typique. Ce bouquin a été un éléments déclencheurs d'éléments refoulés de l'inconscient. C'est des grands mots pour dire qu'une frustration probablement remontant à son enfance (tu dis: des sentiments noirs qu'elle n'avait jamais ressenti) et qu'elle avait oubliés. Ca fait mal quand ça remonte d'un coup.
J'ai une copine qui a sombré dans la dépression entre autre en entendant une chanson à la radio. J'en rajoute mais elle cite ce passage comme un élément pivot dans son histoire.

Si ça peut vous rassurer: on nous dit en psycho que les troubles mentaux déclenchés par un facteur externe sont plus faciles à guérir que ceux qui sont uniquement internes. Après, je laisserai Svidha confirmer, j'en ai marre de dire trop de connerie.
 
Je pense pas que ça rentre dans la définition médicale exacte d'une crise d'angoisse, mais ce dont je suis familier depuis la petite enfance ce sont des phases qui durent entre quelques heures et 2-3 jours au cours desquelles je vis un mélange entre apathie et mépris de soi exacerbé, le cocktail étant source d'une grande peur quant à l'avenir. C'est un peu comme si dans ma tête tournait la phrase "je suis une merde je finirai seul et méprisé de tous et je l'aurai bien mérité", je me sens incapable de renverser la tendance, j'ai honte de ma pleutrerie face à mes problèmes et je flippe de rester coincé dans cet état. Et ça va généralement en empirant, avec de légères remontées du moral par moment, qui le font chuter d'autant plus haut et plus en profondeur, jusqu'à ce que quelqu'un m'aide à "débloquer" et à comprendre l'irrationalité de cette attitude.

Par contre ça n'arrive pas comme ça sans rien, il y a peut-être/sans doute des causes profondes et liées à l'inconscient, mais je sais généralement ce qui la provoque concrètement.

Je m'en suis tapé une comme ça la semaine dernière, c'était très moche. Et juste avant quelque chose qui se rapproche d'une vraie crise d'angoisse, au cinéma, très comparable à mon bad sous LSD au Hadra : soit voir une fille qui me plaît très beaucoup beaucoup s'installer quelques rangs devant moi en compagnie de mon rival le plus évident, me retrouver à "mater" jalousement pendant la séance pour voir s'il se passe quelque chose entre eux, et me souvenir que je parlais avec la fille la veille d'un film de Roman Polanski, Le Locataire, et plus précisément d'une scène où le personnage principal pelote une fille au cinéma et se retourne pour constater qu'un type laid et un peu dégueu les mate. Sur le coup, forcément, ça ne pouvait pas être une coïncidence, c'était l'oeuvre du "mauvais démiurge", entrevu sous LSD, me jouant des tours. Tachycardie, bouffée de chaleur, paranoïa et tout le tremblement.
 
Les gars, plus je cogite sur mon voyage d'hier, plus je vous lis, et plus je me rends compte

que la vie est un combat de tous les instants
que c'est dur
que l'acide ça aide mais c'est surtout nous-mêmes qui sommes là pour nous aider

Mettez The Scientist de Coldplay en fond et vous aurez toute la portée pathétique de mon émotion.

MAY! c'est possible de changer! Ca se fait! On peut y arriver! Regarder le problème en face, le résoudre, se confier à nous-même, prendre notre petit enfant intérieur dans les bras et attaquer la vie à grands coup d'épreuves, d'aventures, de découvertes, de défaites et de victoires!
Ca nous construit, on se trouve, et à un moment donné la musique (remplacez Coldplay par de la psytrance) se met à pousser comme pas possible et nous dit:

OUI mon gars, c'est POSSIBLE, tu PEUX ETRE HEUREUX BORDEL!

Ah ça fait du bien.
 
Styloplume a dit:
Les gars, plus je cogite sur mon voyage d'hier, plus je vous lis, et plus je me rends compte

que la vie est un combat de tous les instants
que c'est dur
que l'acide ça aide mais c'est surtout nous-mêmes qui sommes là pour nous aider

Je dirais que ce coté "Vie = combat" est implicite dans la définition même de la vie.

Or donc, de wiki ->

Définition de la vie:

Life is a characteristic that distinguishes objects that have signaling and self-sustaining processes (i. e., living organisms) from those that do not, either because such functions have ceased (death), or else because they lack such functions and are classified as inanimate.

On retient "sustain".

Définition de "Sustainability":

Sustainability is the capacity to endure.

To endure ->

en·dure (n-dr, -dyr)
v. en·dured, en·dur·ing, en·dures
v.tr.
1. To carry on through, despite hardships; undergo
2. To bear with tolerance.

v.intr.
1. To continue in existence; last
2. To suffer patiently without yielding.
 
C'est exactement ça, Tiax. La vie c'est un mouvement permanent qui se construit et se défends des problèmes.

Ca veut dire lutter contre les problèmes pour perdurer, et si on pousse la logique jusqu'au bout, ça veut dire créer en permanence.

Donc, un combat pour la survie, quand il aboutit, conduit à la victoire de la vie, ce qui est encore autre chose, quelque chose de foutrement excitant.
 
Styloplume a dit:
Heu, t'as fait une IRM pour vérifier que c'était pas un AVC?

Et bien non,je n'est pas pu car il est impossible de faire une IRM sur une demande dût à une angoisse.
Y'aurais fallut que j'ai une pression artérielle de malade,que je tombe ou qu'un de mes membres sois paralysé pour qu'il me la fasse.
Donc oui,je suis un peu condamné à ce qu'il m'arrive quelque chose avant de savoir quoi pour de vrai.
Mais bon,sachant que les anxio calme cette sensation,un benzo ne soigne pas les AVC donc limite,j'ai une bonne partie de ma réponse.
Mais je le répète,de me le dire à me l'appliquer ,y a un énorme faussé.
 
Honnêtement, j'ai pas lu le topic, mais je vais quand même répondre à la question posée :
Quoi que ça fait une crise d'angoisse ? Et bien du temps où j'en faisais (c'est-à-dire il y a encore 5-6 mois), ça se traduisait par un engourdissement du bras gauche (genre le truc bien flippant, sachant que je suis nickel niveau cardiaque), l'impression que je vais claquer d'un instant à l'autre, ce qui induisait entre autre une force physique plus faible que la normale, et une ou deux fois j'ai même été gratifié de confusion mentale. Autant dire que les benzos m'ont bien aidé à ce moment là.

edit : ah si, les douleurs à l'arrière du crâne aussi (en mode je suis persuadé qu'un vaisseau va péter d'un instant à l'autre).
 
Et bien non,je n'est pas pu car il est impossible de faire une IRM sur une demande dût à une angoisse.
Y'aurais fallut que j'ai une pression artérielle de malade,que je tombe ou qu'un de mes membres sois paralysé pour qu'il me la fasse.
Donc oui,je suis un peu condamné à ce qu'il m'arrive quelque chose avant de savoir quoi pour de vrai.
Mais bon,sachant que les anxio calme cette sensation,un benzo ne soigne pas les AVC donc limite,j'ai une bonne partie de ma réponse.
Mais je le répète,de me le dire à me l'appliquer ,y a un énorme faussé.

Nan mais c'est très fréquent que quand on fait des crises d'angoisses, ont croient qu'on va mourir, que notre tête va exploser, qu'on à choper une maladie très grave, j'avais toujours cette impression. J'ai un oncle qui fait une grosse dépression en ce moment, mais vraiment extrême chez lui ça va jusqu’à la folie, il est persuadé d'avoir un cancer à l’estomac malgrès 2 tests qui ont été révélé négatif il en est toujours persuadé, il est même plus cohérent dans ce qu'il fait, ce week end il était persuadé d'avoir renverser des gens en voiture alors qu'il c'est rien passé on a vérifié et re-vérifié (maintenant on le laisse plus rouler bien sûr). On pense qu'il va falloir l'interner, et oui c'est héréditaire ma mère est aussi sous AD.
 
Pour répondre rapidement à Styloplume, dont je ne me rappelle plus exactement le post... tu parlais en gros de la facilité à résoudre des problèmes induits par soi, et ceux provoqués par une source externe ? J'avoue que j'en ai vraiment aucune idée. Par contre, dans ma tête il est totalement clair qu'on ne peut pas, jamais, dire "c'est le/la [insert drug here] qui l'a rendu barjo". Ptèt t'aurais jamais pété un plomb et tu serais resté tranquille avec ton adaptation de surface mais y'avait un schéma de pensée à la base, la drogue l'a juste libéré. C'est de l'apparence. Ma trop grosse perche au LSD au Ozora a fêlé un petit truc dans ma tête, pas grand chose, juste une façon de penser qui me protégeait du monde extérieur - je vis pas mieux sans, au contraire j'en chie tous les jours toutes les heures, mais faut apprendre à vivre avec et je ne blâme pas les trips que j'ai bouffés. J'aurais du faire gaffe/mieux me connaître, mais je regrette pas, j'ai juste des oeillères qui ont sauté. (bon mais là je m'éloigne du sujet de base)

EDIT : je viens de te relire, je crois qu'on est pas forcément en désaccord et que j'ai un peu déformé tes propos. Tant pis
 
T'inquiète j'ai bien compris ce que tu veux dire.

Je me faisais les mêmes réflexions que toi sur le DXM, comme quoi ça a ouvert des portes, irrémédiablement, que ça m'a collé la dépression...
Et puis je l'ai accepté, j'ai décidé de faire avec, j'ai décidé de partir à fond dedans, en faisant gaffe, mais en abandonnant mon état d'avant. Avant-hier je me suis pris 600 mg avec comme seul objectif de me réconcilier avec la molécule et de me placer bien dans ma peau. Les petits détails qui n'en sont pas, à savoir toute mon histoire de dépression, je me suis mis en tête de les régler avec la même substance qui les a laisser sortir.

Résultat: OH PUTAING ça marche. Evidemment, je suis en train de devenir un mec barré, mais un mec barré et heureux, et j'en suis très content, mes meilleurs amis sont eux-mêmes bien barrés.

Donc, les psychés, dangereux quand on ne veux pas aller au bout de soi. Si on veut se connaître, si on est prêt à combattre, pas contre.... ouch ça pousse, ça marche ouais. Promis je vous poste mon TR bientôt.

Concernant Cactus je ne vais pas m'avancer à sortir des hypothèses sur le pourquoi du comment, c'est pas mon rôle non plus. Je gère ma vie, chacun gère la sienne du mieux qu'il peut.
 
Ouais, à ce stade ça s'appelle même plus ouvrir des portes mais enfoncer des portes ouvertes. Régler le mal par le mal, c'est vraiment une technique du quitte ou double, c'est bien si ça marche pour toi. Moi ça ouvre les portes une par une, ça fait serrer et ça fait suer, mais ptètre un jour je les aurai toutes ouvertes et je serai enfin apaisée (?).
 
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