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  • Auteur de la discussion Auteur de la discussion Krix
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dupondt1.jpg
 
Non mais j'te jure, y a plusieurs réponses fausses dans le corrigé (fourni par la fac, donc) des exercices qui vont avec mon cours. Sympa les 30min à galérer par exercices pour comprendre pourquoi ma réponse ne colle pas, avant d'apprendre que le problème ne vient pas de moi -__-
 
Tin ça m'aura suffi de 1 semaine de vacances après 4 mois de taf, à revoir mes potes dans la BONNE DYNAMIQUE DE LA DROJE pour retomber dedans bêtement, à passer ma première semaine de taf à crave tout et n'importe quoi...

J'ai remarqué que mon catalyseur c'est la weed. Putain j'ai fumé de l'opium, inhalé des stims, injecté des amphèts, tracé de la ké... et pour moi, le plus gros poison, c'est la beuh.
Dès fois je crave la weed, je repousse au max, et quand je craque ça me fait même pas de bien, juste ça m'assome.

Voila ce qui me faudrait: [ATTACHMENT NOT FOUND] un médoc a la tournesol qui dégoute de ça bien à fond! :mrgreen:
 
4 mois de pause c'est un bon score...

*Applause*

[video=youtube;lqpcrpC3P28]

Where is the ritual
And tell me where where is the taste
Where is the sacrifice
And tell me where where is the faith
Someday there'll be a cure for pain

That's the day I throw my drugs away
 
Quand on t'as vendu des pills de clonazolam sous dosées alors t'en gobe comme des smarties pour pouvoir dormir. Et que tu te réveilles + de 24h plus tard avec pour seul souvenir d'avoir fait des pompes dehors en pleine nuit et jouer au flipper dans ton couloir avec toi dans le rôle de la bille.

Je vais me remettre à la beuh je crois.
 
Quand tu ne peux plus voir certaines personnes parce que tu les aimes sans retour et que ça te fait trop mal ;
Quand d'autres ne peuvent plus te voir pour la même raison ; (déjà à ce stade tu te dis que l'amour c'est de la merde et qu'à part foutre le bordel ça ne sert vraiment à rien)
Et quand les personnes restantes - les plus chères - cessent graduellement de faire attention à toi jusqu'à ce que tu mettes ta fierté de côté pour les contacter plusieurs fois de suite et ce, chaque fois sans réponse ;
Tu comprends que "l'amitié est chose fragile" n'est pas qu'un vers de Youssoupha et que c'est fou la rapidité à laquelle on se retrouve isolé.
 
La distance est dure à gérer. Il y a plein de gens que j'aime mais avec qui je ne garde pas contact pour cette raison. Mais l'amour est toujours là, c'est juste que c'est trop épuisant de se donner l'impression d'entretenir une relation à distance alors qu'on se nourrit pas autant de l'énergie des autres par ce biais. Au contraire, ça nous en coûte plus, et comme on en manque déjà parfois autour de soi... c'est compréhensible qu'on laisse parfois tomber jusqu'à ce que nos routes se croisent à nouveau.
 
Oui, la distance est une chose, elle rend bizarre les relations (quoiqu'il y ait des nuances, c'est plutôt facile de garder contact avec des personnes rencontrées sur internet et uniquement connues à distance, parce que le virtuel fait partie de la relation dès le début). Néanmoins je parle de situations où je pourrais facilement voir IRL une grande partie de ces personnes :/
Y'a des périodes de creux, comme ça. Une année on a plein d'amis c'est la fête vive la société, une autre c'est le grand vide et l'on ne reconnaît plus personne.
Ce que je trouve choquant c'est que dans les années grasses on a la tentation de croire que ça y est, on est arrivé au bout du chemin, on restera toujours entouré de ces gens qui nous aime et qu'on aime, on n'arrive plus à concevoir la solitude...
 
Ah ouai tu vois ça en années, pour moi c'est en mois voire en semaines les alternances solitude/socialisation...et avant d'être en couple, c'était tout seul la semaine, et en groupe le week end, le temps de détester mes potes avant de les aimer de nouveau tout au long de la semaine suivante et de kiffer les retrouver le vendredi !
 
Mmmh je pense qu'on ne parle pas de la même chose, il me semble que tu décris des sautes d'humeur personnelles, pas une tendance générale autour de toi, et que lorsque tu détestes tes potes, c'est que tu considères encore en avoir?
 
Je parle bien d'amour, de ces moments où je ressens un désir en pensant qu'un tel ou une telle pourrait me permettre de l'assouvir. Il en va de l'idéalisation de proches en qui j'imaginais me retrouver, et partager un moment de symbiose quasi extatique. Sauf que la réalité étant telle, mes illusions se perdaient à son contact et j'en venais à être déçu d'individus que j'avais pourtant tant estimés, parce que j'avais cru en eux, parce que je m'étais dis qu'ils croyaient en moi, sauf que aimer sans retour ou se faire aimer sans donner de retour, ça fait trop mal à l'un comme à l'autre (comme tu l'as dis).

Aussi entretenir d'honnêtes et sincères "fragiles" relations n'est effectivement pas chose facile.

Donc j'ai appris à garder mes distances, à ne plus croire que la sympathie est l'amour et que l'empathie est le liant de l'amitié, à admettre que les passions sont à doubles tranchants, et que ma fierté n'est absolument pas la vérité.

Néanmoins je reste persuadé que parfois, il vaut mieux rester seul quelques temps et cogiter, qu'être tout le temps mal accompagné et jacter avec vanité (cet aspect abrutissant de l'être humain je l'ai toujours détesté, et je crois que ça ne risque pas de changer).
 
Là, comme ça, je m'identifie mieux à ce que tu dis.
J'ai eu une longue période en dents de scie, de cette manière, à l'époque du lycée. Je m'en suis "soigné" en me coupant des autres, en prenant mes distances, en apprenant à gérer mes peines au lieu d'en faire porter le chapeau à d'autres - qui n'ont pas que ça à faire de ménager mes sentiments!
Là ce qui m'ennuie le plus c'est qu'il s'agit de relations qui, justement, semblaient avoir passé l'épreuve du temps. C'est comme si je ré-apprenais tout ce que tu viens d'écrire :<
C'est sans fin, quoi
 
Toujours à regarder s'il y a pas un problème avec les piles ou alors a taper le bouton marche arrêt comme un débile en espérant que ça marche.

En plus ça bug dès qu'il y a trop de mouvement.

Sandman le baladeur cd humain.
 
Tridimensionnel a dit:
Là, comme ça, je m'identifie mieux à ce que tu dis.
J'ai eu une longue période en dents de scie, de cette manière, à l'époque du lycée. Je m'en suis "soigné" en me coupant des autres, en prenant mes distances, en apprenant à gérer mes peines au lieu d'en faire porter le chapeau à d'autres - qui n'ont pas que ça à faire de ménager mes sentiments!
Là ce qui m'ennuie le plus c'est qu'il s'agit de relations qui, justement, semblaient avoir passé l'épreuve du temps. C'est comme si je ré-apprenais tout ce que tu viens d'écrire :<
C'est sans fin, quoi


C'est ça, faut constamment renouer les amitiés qui se délient, les amours chauds qui refroidissent, et parfois c'est dur, y a moyen de s'abandonner, même si l'abandon permet le réinvestissement de ses relations une fois ressourcer et calmer, sans fin oui !
 
Etre victime du racisme ! Que je plains mes confrères qui connaissent ça plus souvent.
 
Xochipilli94 a dit:
Etre victime du racisme !

Parce que tu ne porte pas de cagoule !

Un peu de pudeur bon sang !
 
Tridimensionnel a dit:
Mmmh je pense qu'on ne parle pas de la même chose, il me semble que tu décris des sautes d'humeur personnelles, pas une tendance générale autour de toi, et que lorsque tu détestes tes potes, c'est que tu considères encore en avoir?

En y repensant tu as raison pour les sautes d'humeur, elles participent à me faire passer de l'amour à la détestation et inversement, selon que je suis dans une phase ascendante ou descendante dans mes humeurs.

Je remarque ça autour de moi parce que je suis entouré de personnes me correspondant plus ou moins dans leurs sautes d'humeur, même si au final tout le monde vit des hauts et des bas, après reste à voir ceux qui oscillent légèrement, et ceux qui vivent dans des montagnes russes à la limite du vertigineux.

Pour ma part j'ai des sautes d'humeur naturellement, lorsque d'un coup je sens qu'un équilibre se rompt dans ma tête et que je passe d'un état neutre à un état dépressif ou extatique, et de là je peux juger de ma tolérance quand je me sens bien et de mon intolérance quand je me sens mal, et que mon esprit vire à la critique acerbe. Il m'arrive de détester les gens et ma propre personne dans ces moments là, et c'est en dévalorisant autrui que je me réconforte parce que je me sens mal, tout en essayant de faire la part des choses en même temps. Autrement lorsque je suis déçu par mon entourage, je peux en être affecté parce que j'avais idéalisé les choses différemment, et parfois il me faut du temps pour me remettre du constat que je fais de la réalité, parce que je ne suis pas du genre à dire que c'était trop bien quand c'était juste bien, ou même nul.

Pour ce qui est d'avoir encore des amis, c'est une notion relative et j'ai toujours su que j'avais plus de fréquentations amicales et de connaissances que de vrais amis, ceux-là je les comptent sur les doigts d'une seule main. Après tout est mouvant comme on le disait, il y a des phases où je m'entends très bien avec moi-même et mes potes, d'autres moments où je doute, je me questionne, et là j'ai tendance à m'isoler sans que ça ne me dérange de ne pas voir du monde.
 
C'est chiant, je viens de faire un voyage ou j'ai pas mal appris, ça fait 7h30 que j'ai pris 5 graines, j'étais parti en ballade et la je suis revenu chez moi (j'habite dans de la famille) parceque mentalement je suis pas mal redescendu, mais par contre mes pupilles elles sont pas redescendues et ça je m'y attendais pas, du coup c'est socialement bizarre, vu qu'il n'ont aucune idée que j'ai pris qqch, et vu que c'est socialement pas bien accepté je sais pas trop ou me placer, la confusion lysergique de fin de trip n'aidant pas...
 
L'huitrerampante a dit:
C'est chiant, je viens de faire un voyage ou j'ai pas mal appris, ça fait 7h30 que j'ai pris 5 graines, j'étais parti en ballade et la je suis revenu chez moi (j'habite dans de la famille) parceque mentalement je suis pas mal redescendu, mais par contre mes pupilles elles sont pas redescendues et ça je m'y attendais pas, du coup c'est socialement bizarre, vu qu'il n'ont aucune idée que j'ai pris qqch, et vu que c'est socialement pas bien accepté je sais pas trop ou me placer, la confusion lysergique de fin de trip n'aidant pas...

Bah la prochaine fois mets des lunettes de soleil ! :Ninja:
 
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