[FONT=&]Il s'agit d'une affection rare, extrêmement douloureuse et invalidante pour celui qui en souffre. Elle se manifeste sur l'une des moitiés de la tête. On la surnomme "la céphalée suicidaire", tellement la violence des attaques et leurs fréquences rendent infernale la vie des personnes qui en sont atteintes, soit environ 0,1 % de la population (soit 600 000 personnes dans le monde). La douleur intense est causée par une dilatation des vaisseaux sanguins qui crée une pression sur le nerf trijumeau. Il existe des preuves anecdotiques que les sérotoninergiques hallucinogènes comme la psylocibine et le LSD stoppent les périodes de crises.[/FONT][FONT=&] A l'heure actuelle, en Allemagne, à la faculté de médecine de Hanovre, une équipe dirigée par Matthias Karst travaille sur l’utilisation d’un dérivé non psychotrope du LSD, le BOL, dans le traitement de l’algie vasculaire de la face. Le BOL-148 peut être particulièrement thérapeutique à une dose impossible avec le LSD (qui engendrerait une overdose), Il serait utilisé pour stabiliser la neurotransmission sérotoninergique (neurotransmission de la sérotonine. cf chimie et fonctionnement).[/FONT]
[FONT=&]"Nos études indiquent également BOL-148 est non-toxique. Les résultats montrent que l'ingestion de trois pilules de BOL-148 (moy. 3 mg. Par comprimé) dans 10 jours, diminue considérablement la fréquence et l'intensité des attaques. Mise à part de très légères modifications de l'état subjectif pendant environ 2 heures, pas d'autres effets secondaires ont été observés." [/FONT](Informations provenant du site Entheogen que nous avons traduit de l'anglais.)