Il y a du vrai dans ce que tu dis mais je peux t'assurer qu'être associable c'est vraiment un truc chiant à la longue, après chaque personne le vit différement mais la plupart des associaux ne le sont pas par choix malheureusement ^^
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T'entends quoi par ''prendre de l'avance sur les autres'' ? Sur quel plan ? Et c'est qui ''les autres'' ? Ils forment un groupe uniforme ?EtrangeVoyageur a dit:C'est être rejeté (m'être rejeté?) des autres et exclu depuis tout petit qui m'a permis de vraiment me demarquer et de prendre de l'avance sur eux.
Dimitrip a dit:Il y a du vrai dans ce que tu dis mais je peux t'assurer qu'être associable c'est vraiment un truc chiant à la longue
Enthéogène a dit:T'entends quoi par ''prendre de l'avance sur les autres'' ? Sur quel plan ? Et c'est qui ''les autres'' ? Ils forment un groupe uniforme ?
tartopom a dit:J'étais comme ça avant, j'appelais ça "asocial refoulé" dans mon cas. Faut s'entraîner, ça finit par venir ! Mais c'est dur de se lancer au début, personnellement je m'y suis forcé en faisant du stop où je me retrouvais dans des situations où j'étais obligé d'être social sans quoi je n'avançais pas. Un peu quitte ou double comme méthode peut être mais ça a marché.
Parler et socialiser me demandait énormément d'efforts avant, maintenant ça va mieux mais ça reste difficile parfois, surtout en situation de groupe.
Gilles a dit:Pour moi, c'est toi, " les autres ".
EtrangeVoyageur a dit:C'est être rejeté (m'être rejeté?) des autres et exclu depuis tout petit qui m'a permis de vraiment me demarquer et de prendre de l'avance sur eux. Après je peux parfaitement comprendre les autres points de vue, mais je penses que beaucoup de choses pourraient êtres prises d'un bon cote (pas toujours facile) nous permettant de voir la chose sous un bien meilleur angle et d'en tirer un plus grand bénéfice.
FunkyDuck a dit:Ah oui, on se construit une différence, qui nous tient eloigné des gens peu dignes d'intérêt. A force, on se fait quelques amis, quelques personnes curieuses de vous, qui se demande ce que cache la froideur, la timidité. Il y'a un peu de curiosité morbide dans leur quête d'amitié, face aux bizarreries de l'asocial.
L'asocial pendant ce temps, il se dit chouette, quelques personnes tolèrent ma présence. Il se demande bien pourquoi, lui qui ne fait pas d'effort. Une poignée d'années passent et il se demande toujours bien pourquoi, lui qui est une ordure, au coeur noir et poisseux comme du mazout, a ces quelques amis.
L'asocial se satisfait de ce peu de contact. Il aimerait le diminuer, il aimerait rester seul tout le temps, il ne tolère plus les autres gens, ni sa réaction aux autres gens. Mais dur de disparaitre d'un coup.
Et puis il rencontre des gens exceptionnels, qu'il voit de loin. Il se dit que ces gens sont des clefs, qu'ils pourraient l'aider à grandir, à se sortir de l'armure qu'il s'est construit. Il souhaite les fréquenter, pour une fois il aimerait voir des gens. Des gens rayonnants, lumineux.
Alors il fait ce qu'il a toujours fait: il attend que ces gens viennent vers lui.
Mais l'asocial, au coeur tristement cynique, qui aimerait tant devenir lumineux, ne dégage que de mauvaises ondes et au fond de lui il sait pertinemment que les gens vraiment biens ne viendront jamais vers lui, le blanc ne peut qu'être sali par le noir.
Désireux de grandir, de changer, il se décide à faire l'effort lui même. Et la il se rend compte que cet effort il ne sait pas le faire. Qu'il lui manque quelque chose, a notre pauvre petit asocial. Qu'il est incomplet. Pas fini. Pas comme les autres.
Et sa différence qu'il avait tant développé, dont il était si fier, devient son plus grand fardeau. Un mensonge trop long, trop pesant, dont il ne se débarrassera jamais.
FunkyDuck a dit:Désireux de grandir, de changer, il se décide à faire l'effort lui même. Et la il se rend compte que cet effort il ne sait pas le faire. Qu'il lui manque quelque chose, a notre pauvre petit asocial. Qu'il est incomplet. Pas fini. Pas comme les autres.
Et sa différence qu'il avait tant développé, dont il était si fier, devient son plus grand fardeau. Un mensonge trop long, trop pesant, dont il ne se débarrassera jamais.
comme je désire changer je m'entraîne pour devenir plus social. Le fait est que ça fonctionne, petit à petit, progressivement. C'est une montagne à gravir et je n'y arriverai pas en une journée. Il y a pire que de ne pas y arriver, c'est de ne pas essayer !
Sludge a dit:P'tain faut vraiment que j'arrête de sniffer la MD. Ca ruine le pif de ouf. Ca veut pas cicatriser parce que j'arrache tout le temps les croutes. Voilà, poésie du soir.
Sludge a dit:P'tain faut vraiment que j'arrête de sniffer la MD. Ca ruine le pif de ouf. Ca veut pas cicatriser parce que j'arrache tout le temps les croutes. Voilà, poésie du soir.