Ce qui vous emm**de le plus

[Crounz]

C'est pas faux

 

[Gamida]

J'ai déjà essayé de passer à travers mes problèmes, d'oublier mon passé (ah celui là...), d'essayer d'être moi même en quelques sortes mais ça ne marche pas, le délit de sale gueule ne pardonne pas. En plus de ça, je fais plus jeune que moi, impossible par exemple de trouver un petit boulot, acheter de l'alcool sans montrer sa carte d'identité. Ne pas être pris au sérieux constamment c'est vraiment bof au quotidien.

Ben mon grand, c'est pas la grande joie dans ta tête et la vision de toi même qui s'imprègne de la stupidité et des aprioris de celle des autres, n'est pas très agréable à vivre, c'est certain.
Je pense qu'un truc essentiel que tu dois garder à l'esprit, c'est que tu es quelqu'un de bien et qui vaut le coup, autant que toute les autres personnes, ça c'est une vérité basique, tu es un être humain, donc un être vivant et à ce seule titre, tu as droit au bonheur, qui est bien plus proche que tu ne peux croire ;o).

Le monde extérieur, l'opinion et le jugement des gens, les situations, les conditions d'existences, tout ça, ce n'est que de l'aménagement, du contextuel, un décors artificiel, changeant qui se trame autour de toi, pour te permettre de t'épanouir (et donc, à ce titre, ne justifie pas de plus d'influence à y trouver et à y prendre, qu'il n'en faut) et de te manifester, dans ce que tu as de meilleur en toi, (l'idéal et à mon sens, la seule chose qui vaille vraiment la peine de prendre soin et de développer en soi) ce truc qui vibre, par exemple quand tu es sympa avec quelqu'un ou que tu fais un truc ou au fond de toi tu sais que c'est en harmonie, à l'unisson avec l'ensemble, qui te procure du bien être à toi et dont tu constates avec une joie sincère, les bienfaits que cela manifeste à l'extérieur, dans les autres.
Tu vois cette sensation là et l'intention, ce qui l'a généré à la base et dont elle est la conséquence, l'aboutissement, l'expérience authentique et caractéristique, vécu au sein de ta conscience , pour moi c'est ça toi, dans le ressentit et la manifestation de ton essence, de ce que tu es et c'est à l'abri et en dehors des conditions extérieurs, dans lesquelles tu peux vivre, ainsi que du jugement arbitraire et stupide que les autres peuvent porter sur toi et vis à vis duquel, la chose la plus judicieuse à faire, est de prendre du recul, jusqu'à ce que cela ne puisse plus t'atteindre, te salir, te dénaturer, car se nourrissant d'éléments erronés, décalé qui ne sont rien d'autre que du vent, au regard de ta véritable nature.
Si tu identifies cette sensation cet état, ce meilleurs en toi, tu as les clés du bonheur, il te suffit de le développer de le nourrir d'en prendre soin, de le vivre et de rayonner.
Cela est totalement indépendant, de tout le reste qui est en dehors de toi et qui jamais ne t'apportera le bonheur, par ce que celui ci et l'expérience, le vécu, la conscience profonde que tu as de toi m^me.
Tu es un être vivant, l'essence m^me de ce que tu es en soi, est quelque chose de magnifique de phénoménale, de magique, que tu peux porter vers le sublime et rien ne peux te le prendre ou le salir, l'altérer, au pire tout juste le masquer momentanément, jusqu'à ce que tu l'épanouisses à la lumière de ce qui vibre de meilleurs en toi .

Pour ton passé, ce n'est pas de l'oublier, mais de la laisser à sa place, c'est à dire dans le passé, c'est déjà vécu, la meilleur chose à en faire c'est d'en tirer l'expérience et les conséquence et si c'est possible, qu'il te serve pour t'améliorer ainsi que tes conditions d'existences.
Ce qui es sur pour moi, c'est qu'il ne faut pas le laisser polluer le présent, il n'y a aucune "loi divine" qui l'impose et rien ne sert de le subir sous une quelconque forme de souffrance, il est passé, c'est sa caractéristique ;o) .

Aussi, les points de vues et réflexions que tu peux avoir sous l'effet de prod, ne sont pas forcement (et m^me, par expérience, il vaut mieux évité, surtout si ce sont des conclusions qui vont à l'encontre de ton bien être et du bonheur que tu peux avoir du simple fait d'exister), des réalités fiables, par rapport auxquelles on peux établir une règle de conduite ou une vision authentique des choses et de la vie, et vis à vis desquelles il est justifié de conserver le recul approprié.

Tu dis que tu fais plus jeune, ben tu verras quand tu auras quelques années de plus cela deviendra appréciable, justement pour le regard que les autres auront de toi (bon c'est toujours aussi creux comme regard, mais ça permet de relativiser celui que tu penses que les gens on de toi actuellement) ;o)

Voila, excuse moi, je prend conscience que je t'en ai mis un pavé là, alors que tu n'en demandais surement pas tant ;o)

 

[Perkel]

Pas fermé l'oeil de la nuit dernière et ca a l'air de repartir encore une fois comme ça ce soir....


Ce qui m'emmerde le plus ? Ce satané manque, lui j'l'aime pô.

 

[Cypripedium]

Ben mon grand, c'est pas la grande joie dans ta tête et la vision de toi même qui s'imprègne de la stupidité et des aprioris de celle des autres, n'est pas très agréable à vivre, c'est certain.
Je pense qu'un truc essentiel que tu dois garder à l'esprit, c'est que tu es quelqu'un de bien et qui vaut le coup, autant que toute les autres personnes, ça c'est une vérité basique, tu es un être humain, donc un être vivant et à ce seule titre, tu as droit au bonheur, qui est bien plus proche que tu ne peux croire ;o).

Le monde extérieur, l'opinion et le jugement des gens, les situations, les conditions d'existences, tout ça, ce n'est que de l'aménagement, du contextuel, un décors artificiel, changeant qui se trame autour de toi, pour te permettre de t'épanouir (et donc, à ce titre, ne justifie pas de plus d'influence à y trouver et à y prendre, qu'il n'en faut) et de te manifester, dans ce que tu as de meilleur en toi, (l'idéal et à mon sens, la seule chose qui vaille vraiment la peine de prendre soin et de développer en soi) ce truc qui vibre, par exemple quand tu es sympa avec quelqu'un ou que tu fais un truc ou au fond de toi tu sais que c'est en harmonie, à l'unisson avec l'ensemble, qui te procure du bien être à toi et dont tu constates avec une joie sincère, les bienfaits que cela manifeste à l'extérieur, dans les autres.
Tu vois cette sensation là et l'intention, ce qui l'a généré à la base et dont elle est la conséquence, l'aboutissement, l'expérience authentique et caractéristique, vécu au sein de ta conscience , pour moi c'est ça toi, dans le ressentit et la manifestation de ton essence, de ce que tu es et c'est à l'abri et en dehors des conditions extérieurs, dans lesquelles tu peux vivre, ainsi que du jugement arbitraire et stupide que les autres peuvent porter sur toi et vis à vis duquel, la chose la plus judicieuse à faire, est de prendre du recul, jusqu'à ce que cela ne puisse plus t'atteindre, te salir, te dénaturer, car se nourrissant d'éléments erronés, décalé qui ne sont rien d'autre que du vent, au regard de ta véritable nature.
Si tu identifies cette sensation cet état, ce meilleurs en toi, tu as les clés du bonheur, il te suffit de le développer de le nourrir d'en prendre soin, de le vivre et de rayonner.
Cela est totalement indépendant, de tout le reste qui est en dehors de toi et qui jamais ne t'apportera le bonheur, par ce que celui ci et l'expérience, le vécu, la conscience profonde que tu as de toi m^me.
Tu es un être vivant, l'essence m^me de ce que tu es en soi, est quelque chose de magnifique de phénoménale, de magique, que tu peux porter vers le sublime et rien ne peux te le prendre ou le salir, l'altérer, au pire tout juste le masquer momentanément, jusqu'à ce que tu l'épanouisses à la lumière de ce qui vibre de meilleurs en toi .

Pour ton passé, ce n'est pas de l'oublier, mais de la laisser à sa place, c'est à dire dans le passé, c'est déjà vécu, la meilleur chose à en faire c'est d'en tirer l'expérience et les conséquence et si c'est possible, qu'il te serve pour t'améliorer ainsi que tes conditions d'existences.
Ce qui es sur pour moi, c'est qu'il ne faut pas le laisser polluer le présent, il n'y a aucune "loi divine" qui l'impose et rien ne sert de le subir sous une quelconque forme de souffrance, il est passé, c'est sa caractéristique ;o) .

Aussi, les points de vues et réflexions que tu peux avoir sous l'effet de prod, ne sont pas forcement (et m^me, par expérience, il vaut mieux évité, surtout si ce sont des conclusions qui vont à l'encontre de ton bien être et du bonheur que tu peux avoir du simple fait d'exister), des réalités fiables, par rapport auxquelles on peux établir une règle de conduite ou une vision authentique des choses et de la vie, et vis à vis desquelles il est justifié de conserver le recul approprié.

Tu dis que tu fais plus jeune, ben tu verras quand tu auras quelques années de plus cela deviendra appréciable, justement pour le regard que les autres auront de toi (bon c'est toujours aussi creux comme regard, mais ça permet de relativiser celui que tu penses que les gens on de toi actuellement) ;o)

Voila, excuse moi, je prend conscience que je t'en ai mis un pavé là, alors que tu n'en demandais surement pas tant ;o)

Je kiff trop ce mec !!! rayer:
il faut croire que tu as passer la bonne barrière gamida( j'y arriverai un jour j'espère ) , chapi chapeau bas

 

[Crounz]

Voit la vie comme un combat, pas comme quelque chose dont on devrait jouir, ça aide

 

[Xochipilli94]

Voit la vie comme un combat, pas comme quelque chose dont on devrait jouir, ça aide

Dans un combat on combat pour quelque chose et contre quelque chose.
Je ne pense pas qu'on ne vive pour quelque chose, et encore moins contre quelque chose, on vie parce que notre mère nous a données la vie, et étant donné que la vie se termine irrédiablement par la mort. On peut considérer que la brièveté de la vie mérite la meilleure vie possible, et donc une importante sagesse.

De plus la chance qu'on a d'avoir la vie, d'impacter celle des autres, induit une sagesse de reconnaissance et donc pas un combat.

Moi je voirais plutot la vie comme un ruisseau.
L'eau découle indéfiniment et même si il s'assechèra tot ou tard, l'eau coule toujours à la même vitesse, le but est donc de la respecter, ne pas l'empoisonner, ne pas tout boire trop vite sous peine qu'elle s'assecherà prématurément, mais ne pas non plus se priver d'y boire et de souffrir de soif.
Ainsi pourrais-je y boire le plus longtemps possible, dans les meilleures condition.

Après je chipote un peu, ta comparaison est pas mal non plus, mais à titre personelle, meme dans les combats, qu'en j'ai plus la foi de continuer, j'arrête, pas facile de se battre quand le moral est au plus bas.

Le combat est sujet à envie, pas le ruisseau

Sinon tout a fait d'acoord avec avec Gami !

 

[Cleminou]

Voit la vie comme un combat, pas comme quelque chose dont on devrait jouir, ça aide

 

[1943737629E9]

L'eau découle indéfiniment et même si il s'assechèra tot ou tard, l'eau coule toujours à la même vitesse, le but est donc de la respecter, ne pas l'empoisonner, ne pas toutboire trop vite sous peine qu'elle s'assecherà prématurément, mais ne pas non plus se priver d'y boirr et de souffrir de soif.

Et pourquoi ne pas l'empoisonner ? Si l'eau n'est pas jolie, pourquoi ne pas y verser du sang, de la boue, du poison, pour rendre l'eau folle, qu'elle fonde son lit, qu'elle répugne et éloigne tous les poissons, afin de voir un peu de quoi est faite la terre dessous ? Et je ne parle pas de drogues.

 

[Xochipilli94]

Et pourquoi ne pas l'empoisonner ? Si l'eau n'est pas jolie, pourquoi ne pas y verser du sang, de la boue, du poison, pour rendre l'eau folle, qu'elle fonde son lit, qu'elle répugne et éloigne tous les poissons, afin de voir un peu de quoi est faite la terre dessous ? Et je ne parle pas de drogues.

Parce que si tu l'empoisonne, tu ne peut plus la boire, ici on peut y voir une comparaison avec la santé, oublie nature même, il faut préserver les choses vitales, ce n'est pas quitte ou double, on ne va pas trouver "une fontaine de jouvance" sous ce ruisseau, et on ne peut même pas se permettre de prendre le risque.

Si tu veut l'empoissoner c'est une manœuvre d'autodestruction, et là on peut même faire le parallèle avec la drogue pour certain, le suicide pour d'autre, mais dans un combats, personne ne se mutile, un suicidaire pourrait, mais c'est un absolue, on peut toujours se suicider. Et encore dans le combats on peut voir le suicide comme l'achèvement d'une souffrance, tandis que dans l'empoisonnement de l'eau, la mort est lente et douloureuse pour soi et pour les autres.

 

[Crounz]

Pas mal la métaphore du ruisseau. ça m'a un peu fait penser à l'esprit de celle du roseau et du vent.

 

[Xochipilli94]

Ah ouai ? Merci ça m'intéressent tu peux développer :weed: stp

 

[Crounz]

Je n'ai pas la citation exacte sous les yeux, mais ça reste de la philosophie grand publique, donc c'est trouvable via google assez rapidement

Edit: D'après google, ça serait de Lafontaine

 

[1943737629E9]

Parce que si tu l'empoisonne, tu ne peut plus la boire, ici on peut y voir une comparaison avec la santé, oublie nature même, il faut préserver les choses vitales, ce n'est pas quitte ou double, on ne va pas trouver "une fontaine de jouvance" sous ce ruisseau, et on ne peut même pas se permettre de prendre le risque.

Si tu veut l'empoissoner c'est une manœuvre d'autodestruction, et là on peut même faire le parallèle avec la drogue pour certain, le suicide pour d'autre, mais dans un combats, personne ne se mutile, un suicidaire pourrait, mais c'est un absolue, on peut toujours se suicider. Et encore dans le combats on peut voir le suicide comme l'achèvement d'une souffrance, tandis que dans l'empoisonnement de l'eau, la mort est lente et douloureuse pour soi et pour les autres.

Mais la douleur n'est elle pas préférable à la laideur ?

 

[Gamida]

Pas mal la métaphore du ruisseau. ça m'a un peu fait penser à l'esprit de celle du roseau et du vent.

Ah ouai ? Merci ça m'intéressent tu peux développer :weed: stp

Je n'ai pas la citation exacte sous les yeux, mais ça reste de la philosophie grand publique, donc c'est trouvable via google assez rapidement

Edit: D'après google, ça serait de Lafontaine

C'est cela Zboubixx, c'est la fable de La Fontaine "Le chêne et le roseau"

Je met ici, un collé de cette magnifique fable, qui se passe de commentaire.
La Fontaine, avec le talent qui lui est propre a parfaitement intégré les éléments dans l'énoncé de l'histoire,
pour conduire vers sa mythiques "morale de l'histoire".

• Jean de LA FONTAINE (1621-1695)

Le Chêne et le Roseau

Le Chêne un jour dit au Roseau :
"Vous avez bien sujet d'accuser la Nature ;
Un Roitelet pour vous est un pesant fardeau.
Le moindre vent, qui d'aventure
Fait rider la face de l'eau,
Vous oblige à baisser la tête :
Cependant que mon front, au Caucase pareil,
Non content d'arrêter les rayons du soleil,
Brave l'effort de la tempête.
Tout vous est Aquilon, tout me semble Zéphyr.
Encor si vous naissiez à l'abri du feuillage
Dont je couvre le voisinage,
Vous n'auriez pas tant à souffrir :
Je vous défendrais de l'orage ;
Mais vous naissez le plus souvent
Sur les humides bords des Royaumes du vent.
La nature envers vous me semble bien injuste.
- Votre compassion, lui répondit l'Arbuste,
Part d'un bon naturel ; mais quittez ce souci.
Les vents me sont moins qu'à vous redoutables.
Je plie, et ne romps pas. Vous avez jusqu'ici
Contre leurs coups épouvantables
Résisté sans courber le dos ;
Mais attendons la fin. "Comme il disait ces mots,
Du bout de l'horizon accourt avec furie
Le plus terrible des enfants
Que le Nord eût portés jusque-là dans ses flancs.
L'Arbre tient bon ; le Roseau plie.
Le vent redouble ses efforts,
Et fait si bien qu'il déracine
Celui de qui la tête au Ciel était voisine
Et dont les pieds touchaient à l'Empire des Morts.


@Ambulance,
tu peux développer, si tu en a envie, en plus "limpide", d'ou tu pars et vers ou tu te diriges, je n'ai pas réussis à te suivre dans ton développement ? ;o)

​

 

[Crounz]

Au début je croyais que c'était issue de la philosophie orientale, mais en fait non, c'était ce bon vieux Jeannot.

 

[Xochipilli94]

Ah Douai, pas mal du tout, je ne la connaissais absolument pas, merci Gqmida, merci Zboubixx.

Mais la douleur n'est elle pas préférable à la laideur ?

Tu parle de la laideur matérielle ou immatérielle ?
Concernant la laideur matérielle, je ne pense pas qu'elle soit préférable a la douleure, la laideur physique n'est qu'une apparence qui peut cacher le plus bon des hommes et le plus grand des sages. Socrate par exemple.

Et concernant la laideur immatérielle, intérieure, les gens mauvais souffre le plus souvent de cette laideur, c'est elle qui est a la base de leur douleur.
Dans la plupart des médecines, le but n'est pas de soigner les symptômes, mais la source, la maladie, donc il vaut mieux soigner la laideur oui, la douleur ne sert à rien d'être soignée.

Et pourquoi pense tu que le ruisseau est laid ?

 

[Liam]

La désintégration d'ISON. J'suis vert ...
Trainée !

 

[tartopom]

La désintégration d'ISON. J'suis vert ...
Trainée !

Tu devais la voir passer ?

 

[Liam]

A l'œil nu, comme tout le monde.

Oh pitin ! Y'en reste pitetre un piti bout !
Je vais jouir !

 

[Deleted-1]

Fils de pute de transilien !!!