Non l'explication est de nature neurobiologique, l'Homme en tant qu'espèce évolué ( tout comme les animaux mais de façon plus basique forcément puisque eux sont totalement prisonniers de leurs instincts et de leur circuits de la récompense qui guide leur façon de se comporter dans la nature ) a au cours de son évolution développé un circuit lui permettant d'abord de ne pas être consumé par la peur et le stress parfois intense qui est cérébralement une éxpérience de nature aversive, et ce stress il a été prouvé que lorsqu'il persiste dans le temps il est particulièrement nocif pour l'homéostasie de l'organisme humain, et notablement dangereux pour le cerveau et le bon fonctionnement des neurones. De la même façon, nos ancètres plus ou moins primitifs selon la chronologie ont survécu en allant à la recherche de ce qui permettait leur survie ( nourriture ) et la pérénité de l'espèce ainsi que son nombre et donc sa force ( les hommes primitifs évoluaient en groupe de nombre variable ) en bref des situations qui ne leur procurait dans l'idéal aucun stress, aucune mise en alerte de l'instinct de survie ou autres situations provoquant une souffrance et/ou une aversion. Et ce circuit de la récompense/du plaisir que l'on à maintenant est le fruit de cette très longue évolution et malgré notre titre d'éspèce ( intelectuellement ) évoluée s'opposant dans son sens conceptuel aux bas instincts primitifs qui jadis permettait à nos ancètres de survivre et d'éviter quand cela était possible les situations très hostiles.