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Neurotransmetteur
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Quand je parle des scientifiques, je parle de ceux qui tiennent une place dans les organismes chargés de la santé publique en matière de substances psychoactives, tels que l'OFDT (dispositif SINTES, MILD, TREND), l'OEDT... C'est-à-dire ceux qui donnent les informations influençant les dispositions légales.
Aucune étude à ma connaissance ne s'est interessée à proprement parler aux buts de consommation des RC, et c'est bien là l'objet de ma recherche.
Cependant, ces différents organismes ont rédigé des études et autres rapports illustrant leurs observations, dans lesquels ils définissent les NPS comme :
"des substances psychoactives non réglementées conçues pour imiter les effets de drogues réglementées. La structure chimique de ces substances est légèrement altérée afin de contourner les contrôles existants." ET "Dans le but de contourner les réglementations sur la consommation et la commercialisation, de nouvelles substances psychoactives sont également vendues sous diverses étiquettes de produits, comme «produits chimiques de recherche», «sels de bain» ou «plante à usage alimentaire". Pour ces citations je te renvoie à :
[FONT=Times New Roman, serif] EMCDDA (2012). Annual report on the state of the drugs problem in Europe. [/FONT] [FONT=Times New Roman, serif]: [/FONT] EMCDDA | 2012 Annual report on the state of the drugs problem in Europe
Les systèmes d'alerte ont pour but de détecter et d'identifier le plus rapidement possible les NSP. Elles concernent effectivement les professionnels. En fait ils ont pour but à terme de "contrer" l'expansion des ces NSP.
Je peux te renvoyer ici :
http://www.ofdt.fr/BDD/publications/docs/odOEDT111215.pdf
Je suis d'accord pour changer la formulation en "profils de consommation", mais j'avais choisi délibérement "motifs de consommation" (je reconnais que cela puisse faire sourire) car selon moi, je peux me tromper, les profils de consommation font trop référence aux profils de consommateurs. C'est-à-dire qu'une population va consommer parce que ça, d'autres vont consommer parce que ça, etc. sans prendre en compte que certains vont consommer parce que ça ET ça ET ça, sans faire référence à un profil particulier.
Aussi je peux te renvoyer vers cet article tout frais tout neuf de l'OFDT qui cite ces "profils de consommateurs" sur la base d'enquêtes (et non d'études !), qui a touefois le bénéfice d'entrevoir des changements dans la politique menée en matière de santé publique concernant les substances psychoactives :
http://www.ofdt.fr/BDD/publications/docs/eftxelt1.pdf
Aucune étude à ma connaissance ne s'est interessée à proprement parler aux buts de consommation des RC, et c'est bien là l'objet de ma recherche.
Cependant, ces différents organismes ont rédigé des études et autres rapports illustrant leurs observations, dans lesquels ils définissent les NPS comme :
"des substances psychoactives non réglementées conçues pour imiter les effets de drogues réglementées. La structure chimique de ces substances est légèrement altérée afin de contourner les contrôles existants." ET "Dans le but de contourner les réglementations sur la consommation et la commercialisation, de nouvelles substances psychoactives sont également vendues sous diverses étiquettes de produits, comme «produits chimiques de recherche», «sels de bain» ou «plante à usage alimentaire". Pour ces citations je te renvoie à :
[FONT=Times New Roman, serif] EMCDDA (2012). Annual report on the state of the drugs problem in Europe. [/FONT] [FONT=Times New Roman, serif]: [/FONT] EMCDDA | 2012 Annual report on the state of the drugs problem in Europe
Les systèmes d'alerte ont pour but de détecter et d'identifier le plus rapidement possible les NSP. Elles concernent effectivement les professionnels. En fait ils ont pour but à terme de "contrer" l'expansion des ces NSP.
Je peux te renvoyer ici :
http://www.ofdt.fr/BDD/publications/docs/odOEDT111215.pdf
Je suis d'accord pour changer la formulation en "profils de consommation", mais j'avais choisi délibérement "motifs de consommation" (je reconnais que cela puisse faire sourire) car selon moi, je peux me tromper, les profils de consommation font trop référence aux profils de consommateurs. C'est-à-dire qu'une population va consommer parce que ça, d'autres vont consommer parce que ça, etc. sans prendre en compte que certains vont consommer parce que ça ET ça ET ça, sans faire référence à un profil particulier.
Aussi je peux te renvoyer vers cet article tout frais tout neuf de l'OFDT qui cite ces "profils de consommateurs" sur la base d'enquêtes (et non d'études !), qui a touefois le bénéfice d'entrevoir des changements dans la politique menée en matière de santé publique concernant les substances psychoactives :
http://www.ofdt.fr/BDD/publications/docs/eftxelt1.pdf