Microtubule
Glandeuse Pinéale
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Je valide !
Dans la même idée :
[youtube]toUyQbpaE8Y[/youtube]
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Techno, tech house, minimal ... de Détroit à Berlin
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Microtubule
Glandeuse Pinéale
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Un son bien classe dans un style oldies :heart:
[youtube]beyYnGVP8nE[/youtube]
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Donkey Bird
Holofractale de l'hypervérité
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Pour planer.
Pantha du Prince - Saturn strobe:
[youtube]NYY4AGPJJBo[/youtube]
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[youtube]NYY4AGPJJBo[/youtube]
Donkey Bird
Holofractale de l'hypervérité
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Petit retour dans le passé !
Laurent Garnier - Wake up:
[youtube]idhSN5q6NxA[/youtube]
Un duo (Richard Benson et Chris Duckenfield) pas très connu qui a signé sur Warp à l'époque... Oldschool, de la 303, planant à souhait MIAM!
RAC - Bad altitude:
[youtube]oNeaRm_Xjas[/youtube]
Pionnier de la scène techno française, comme l'autre là au dessus.
Scan X
[youtube]TvQcaPGQsvg[/youtube]
Laurent Garnier - Wake up:
[youtube]idhSN5q6NxA[/youtube]
Un duo (Richard Benson et Chris Duckenfield) pas très connu qui a signé sur Warp à l'époque... Oldschool, de la 303, planant à souhait MIAM!
RAC - Bad altitude:
[youtube]oNeaRm_Xjas[/youtube]
Pionnier de la scène techno française, comme l'autre là au dessus.
Scan X
[youtube]TvQcaPGQsvg[/youtube]
Microtubule
Glandeuse Pinéale
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Présentation d'un artiste d'un de mes label favoris FR (InFiné)
Style allant de la minimale au modern classical.
Arandel
Les apparences sont parfois trompeuses. En écoutant pour la première fois In D on aurait juré et foncé tête baissée sur le fait que ce disque soit une énième incarnation d'une musique digitale toujours en mouvement. Et qu'apprends t'on ? In D n'aurait rien d'électronique, du moins on aurait délaissé toute forme de sampling. On se serait fourvoyé, tellement sur de tenir là un nouveau disque de musique assistée par ordinateur. Et pourtant Arandel n'avait pas spécialement caché son jeu. Le fait que In D soit un album construit avec une instrumentation classique a été claironné un peu partout. Dont acte. On va tout de même survivre à cet aveu de faiblesse auditive. C'est peut-être cette production trop bien lêchée qui nous a induit en erreur. Du coup on reste un peu sceptique. L'effort de masterisation est telle qu'on peut facilement se laisser abuser. Admettons que tout cela n'a rien à voir avec le tout digital. Il demeure que In D est un disque fouillé qui laisse une large place aux évocation oniriques et spatiales. Sans être vraiment ancré dans le cérébral le plus rébarbatif, In D renvoie à Terry Riley (son album In C, le minimalisme américain), au krautrock (surtout dans sa frange la plus planante) et, comble de tout, au minimalisme électronique que l'on a recontré le plus souvent à partir des années 90.
Arandel, a donc voulu tout maîtriser, sans passer par l'aide des machines et s'est construit un album à la limite du vertigineux et qui touche du bout des doigts le sacré. En effet, comment ne pas penser cela quand Arandel produit une telle musique introspective qui tutoie une perfection que l'on imagine mal être le fait du commun des mortels. Si Arandel s'octroie quelques facilités en revenant parfois un peu sur terre (In D#7), on ne doit pas perdre de vue que, dans sa globalité In D est un album à géométrie variable et que les morceaux du lyonnais sont en perpétuel mouvement et évolution. Un disque mutant qui est magnifié par la performance vocale de Fredo Viola sur quelques titres. Mais ce n'est pas ce que l'on retiendra le plus. Arandel a produit ici une musique exigeante qui a le mérite d'être parfaitement accessible. A l'instar d'un Turzi, d'un Etienne Jaumet et de quelques autres, Arandel remet au goût du jour une musique qui ne semblait être réservée qu'à des érudits et mélomanes endurcis. Arandel prouve que l'on peut approcher Steve Reich (In D#8) sans pour autant s'adresser à une élite. Que voulez-vous de mieux ?
Source : http://www.liabilitywebzine.com/?ac=non ... hr&id=4074
[youtube]m-y3GZrCjx0[/youtube]
Style allant de la minimale au modern classical.
Arandel
Les apparences sont parfois trompeuses. En écoutant pour la première fois In D on aurait juré et foncé tête baissée sur le fait que ce disque soit une énième incarnation d'une musique digitale toujours en mouvement. Et qu'apprends t'on ? In D n'aurait rien d'électronique, du moins on aurait délaissé toute forme de sampling. On se serait fourvoyé, tellement sur de tenir là un nouveau disque de musique assistée par ordinateur. Et pourtant Arandel n'avait pas spécialement caché son jeu. Le fait que In D soit un album construit avec une instrumentation classique a été claironné un peu partout. Dont acte. On va tout de même survivre à cet aveu de faiblesse auditive. C'est peut-être cette production trop bien lêchée qui nous a induit en erreur. Du coup on reste un peu sceptique. L'effort de masterisation est telle qu'on peut facilement se laisser abuser. Admettons que tout cela n'a rien à voir avec le tout digital. Il demeure que In D est un disque fouillé qui laisse une large place aux évocation oniriques et spatiales. Sans être vraiment ancré dans le cérébral le plus rébarbatif, In D renvoie à Terry Riley (son album In C, le minimalisme américain), au krautrock (surtout dans sa frange la plus planante) et, comble de tout, au minimalisme électronique que l'on a recontré le plus souvent à partir des années 90.
Arandel, a donc voulu tout maîtriser, sans passer par l'aide des machines et s'est construit un album à la limite du vertigineux et qui touche du bout des doigts le sacré. En effet, comment ne pas penser cela quand Arandel produit une telle musique introspective qui tutoie une perfection que l'on imagine mal être le fait du commun des mortels. Si Arandel s'octroie quelques facilités en revenant parfois un peu sur terre (In D#7), on ne doit pas perdre de vue que, dans sa globalité In D est un album à géométrie variable et que les morceaux du lyonnais sont en perpétuel mouvement et évolution. Un disque mutant qui est magnifié par la performance vocale de Fredo Viola sur quelques titres. Mais ce n'est pas ce que l'on retiendra le plus. Arandel a produit ici une musique exigeante qui a le mérite d'être parfaitement accessible. A l'instar d'un Turzi, d'un Etienne Jaumet et de quelques autres, Arandel remet au goût du jour une musique qui ne semblait être réservée qu'à des érudits et mélomanes endurcis. Arandel prouve que l'on peut approcher Steve Reich (In D#8) sans pour autant s'adresser à une élite. Que voulez-vous de mieux ?
Source : http://www.liabilitywebzine.com/?ac=non ... hr&id=4074
[youtube]m-y3GZrCjx0[/youtube]
ToTo
Holofractale de l'hypervérité
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BON , vraiment.
Jpense que l'avenir de la "grande" musique electronique passe par une fusion avec des son plus classique.
Bon, c'est un avis perso ... mais qd c'est bien fait ces 2 styles qui peuvent s'accorder d'une putain de maniere.
Jpense que l'avenir de la "grande" musique electronique passe par une fusion avec des son plus classique.
Bon, c'est un avis perso ... mais qd c'est bien fait ces 2 styles qui peuvent s'accorder d'une putain de maniere.
Microtubule
Glandeuse Pinéale
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ToTo a dit:
Pas mieux, vraiment.
G
Guest
Guest
MaXzz a dit:Enjoy !
[youtube]xi_I8wHvijk[/youtube]
Raaaaah, Minilogue ça me tue, en rentrant de Goa y'a quelques années on avait fait de l'autostop et on s'était retrouvé dans la caisse d'un mec qui en passait.
Un morceau magnifique, genre pile ce qu'il fait sous son autre projet (Son Kite) mais en version chill, et ça trouait trop le cul.
Et j'ai jamais retrouvé ce morceau, un grand manque dans ma vie... :'|
Microtubule
Glandeuse Pinéale
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Un bon gros classique !
[youtube]AwyV2P5DoDE[/youtube]
Un remix bien envoutant d'une zic d'Ellen Allien que je trouvais pas forcément stylée, contrairement à d'autres :
[youtube]-lA_ZA_JxD8[/youtube]
Et mon coup de coeur :
[youtube]GFXZaqhfRJs[/youtube]
[youtube]AwyV2P5DoDE[/youtube]
Un remix bien envoutant d'une zic d'Ellen Allien que je trouvais pas forcément stylée, contrairement à d'autres :
[youtube]-lA_ZA_JxD8[/youtube]
Et mon coup de coeur :
[youtube]GFXZaqhfRJs[/youtube]
Donkey Bird
Holofractale de l'hypervérité
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Dusty Kid - A ravers diary:
[soundcloud:2rtcxkwi]
Biographie:
Dusty Kid (alias Paolo Alberto Lodde) fut qualifié d'enfant prodige à 10 ans puisqu'il gradua en une seule année l'équivalent de 6 ans de leçons de piano et violon. Après l'aventure classique, il a commencé à s'intéresser à l'électronique et il réalisa son premier single I Found A Reason à 19 ans sur l'étiquette anglaise Lowered Recordings.
En 2006, il revient à la charge avec son projet solo. Sa première sortie fut New Ordinament EP sur Motivo suivit en 2007 de plusieurs parutions sur des étiquettes très en vogue comme Boxer (Anatome EP Vol.1), Kling Klong (Signal '63 EP), Systematic (Tsunamy EP) et Southern Fried Records (The Cat/The Kitten EP). Toutes ces parutions se sont retrouvées dans le top 10 de plusieurs djs à travers le monde et font toujours des ravages sur les "dancefloor". Il prépare maintenant son premier album. Lors de ses performances live on peut s'attendre à un mélange des genres... une sorte de techno éclectique avec des influences des années 80 et de l'acide house le tout avec une touche minimal.
[soundcloud:2rtcxkwi]
Biographie:
Dusty Kid (alias Paolo Alberto Lodde) fut qualifié d'enfant prodige à 10 ans puisqu'il gradua en une seule année l'équivalent de 6 ans de leçons de piano et violon. Après l'aventure classique, il a commencé à s'intéresser à l'électronique et il réalisa son premier single I Found A Reason à 19 ans sur l'étiquette anglaise Lowered Recordings.
En 2006, il revient à la charge avec son projet solo. Sa première sortie fut New Ordinament EP sur Motivo suivit en 2007 de plusieurs parutions sur des étiquettes très en vogue comme Boxer (Anatome EP Vol.1), Kling Klong (Signal '63 EP), Systematic (Tsunamy EP) et Southern Fried Records (The Cat/The Kitten EP). Toutes ces parutions se sont retrouvées dans le top 10 de plusieurs djs à travers le monde et font toujours des ravages sur les "dancefloor". Il prépare maintenant son premier album. Lors de ses performances live on peut s'attendre à un mélange des genres... une sorte de techno éclectique avec des influences des années 80 et de l'acide house le tout avec une touche minimal.
Bonjour,
Très Bon Topic ya de bon Track que j'avais entendu mais je connaissais pas les titres.
Je me suis remis à écouté de la techno comme ça fais longtemps que j'ai pas suivi l'actualité niveau label et sortis.
je suis complètement perdu ça fais depuis 2006 que je mix plus et je comptais m'y remettre plus tard.
Est-ce que vous connaissez des sites qui référence les meilleurs label minimal
de Detroit et surtout en Allemagne ou même vos choix personnelle
Merci de votre aide
Très Bon Topic ya de bon Track que j'avais entendu mais je connaissais pas les titres.
Je me suis remis à écouté de la techno comme ça fais longtemps que j'ai pas suivi l'actualité niveau label et sortis.
je suis complètement perdu ça fais depuis 2006 que je mix plus et je comptais m'y remettre plus tard.
Est-ce que vous connaissez des sites qui référence les meilleurs label minimal
de Detroit et surtout en Allemagne ou même vos choix personnelle
Merci de votre aide
D
DasFrog
Guest
Un petit tour par la case présentation est apprécié.
Voire recommandé.
Même obligatoire...
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Même obligatoire...
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