Luc Montagnier, codécouvreur du virus du SIDA et prix Nobel a fait une découverte surprenante : l'ADN du virus du V.I.H, présent dans des cellules humaines, émet des ondes électromagnétiques décelables quand l'ADN est hautement dilué dans l'eau. Et cette étonnante découverte s'applique aussi à l'ADN de bactéries. De ce fait, repérant l'ADN de bactéries ou virus chez des patients, le Pr Montagnier relie leur présence à des maladies dont l'origine était jusqu'ici inconnue, comme par exemple l'autisme. En ce qui concerne le SIDA, comme il le pressentait depuis plus de 20 ans, il a repéré que le virus n'agissait pas seul, mais avec au moins un autre élément, un cofacteur. Une piste primordiale de recherche dans la guérison de la maladie.
Ces découvertes seraient les prémisses d'une nouvelle médecine, celle de la biologie numérique : il serait peut-être un jour possible de soigner certaines maladies avec des ondes. Mais cette approche iconoclaste rencontre une opposition farouche du milieu scientifique. D'autant que ces découvertes se sont faites en utilisant la technologie mise au point par Jacques Benveniste. Ce chercheur de l'Inserm disait avoir découvert ce que l'on a appelé "la mémoire de l'eau" : au contact de l'eau, une molécule active ayant ensuite disparue laisserait pourtant son empreinte et ses effets dans le liquide. L'eau aurait donc une mémoire. Théorie contraire à tous les dogmes scientifiques qui valut à Jacques Benveniste d'être rejeté par la communauté scientifique, jusqu'à sa mort en 2004. Pourtant, d'une autre façon, Luc Montagnier vient conforter cette hypothèse.
Ce film raconte l'émergence d'une possible révolution scientifique, un univers où les ondes et la matière seraient constitutives des êtres vivants.