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Rester perché ? Mythe ou réalité ?

  • Auteur de la discussion Auteur de la discussion Sludge
  • Date de début Date de début
Plante Verte a dit:
DuckNucker: Le terme est décompenser. C'est à dire que en temps normal tu compenses ta "faiblesse mentale" par des tours de passes passes de l'esprit (refoulement entre autre). Et que lorsque cette béquille lache pour une raison ou une autre tu te laisse envahir par le flux de pensées que tu ne contrôles plus. En gros.

Vilaine erreur de ma part, j'ai demandé confirmation à mon frère et j'ai eu l'air ridicule.
Avoir ce genre de conversation le 25 décembre entre le fromage et le dessert, le tout arrosé de vin, n'aide pas à bien assimiler.
Mea culpa :roll:
 
Plante Verte a dit:
Bon aller je m'arrête la sinon je vais juste finir par dire les mêmes anneries: "les médecins sont tous des abrutis la société pue la merde bla bla bla..."


^^

préambule: Les psys, les prises de tête, les mécanismes complexes des causes à effets, les statuts sociaux des uns et des autres par la culpabilité développée, c’est has been... Ce sont des trucs malsains qui datent des années 60 / 70, de la guerre du Vietnam avec l’agent orange et le napalm dont l'horreur a réveillé un cas de conscience de l'Occident, avec la drogue comme apanage d'un style de vie (de mort), l’intoxication physique, psychologique et physiologique d’une société libre de consommer des substances faites pour agir, détruire et/ou soulager (parfois cela revient au même) au niveau des idées de l'individu et de l’idéologie politique, et aussi le climat de guerre froide entre les blocs qui étaient à un doigt de la guerre nucléaire avec une perte de contrôle sur les masses paniquées. L'âge d'Or de la psychiatrie encore en phase de revanche vis à vis des méthodes hitlériennes. Tout cela c’est psycho dans le genre thriller et nous en sommes héritiers. Les méthodes, la santé publique, en sont encore héritiers. On nous fait souvent entendre qu’il vaut mieux faire table rase de cette insanité d’un temps révolu. Et bien voila de nouvelles solutions comme celles mises en lumière par des artisans précurseurs en laboratoire biologique. Les maux classés au registre de la psychiatrie n'ont souvent RIEN de psycho, mais sont bien plus prosaïques. Il s’agit simplement de bactéries qui diffusent leurs toxines dans le sang. Il faut se faire injecter des antibiotiques pour guérir. Ou alors des antiseptiques. Décrottons-nous de toutes ces idées préconçues qui nous ont faits, nous, à l'image de l'époque révolue "d'après guerre" quand tous les excès étaient du quotidien d'un "Monde Libre" qui retrouvait à peine sa trace. L'âge d'or de l'imagination, des idées et de la psychologie. Mais aujourd'hui il faut ordonner, cultiver, entretenir et équilibrer notre existence. Alors changeons ce que on dit aux suivants. La tendance est pour un certain retour au sources, pour le bio, la simplicité, plus de solidarité, etc... détournons-nous de ce mécanisme psychologique qui nous donnait confiance en ceux dont l'erreur peut nous être fatale. Car une culpabilisation par des notions associant des maux aux tares de naissance, des antécédents génétiques de la mère (ou du père) d'un autiste par exemple, est le fait d'un diagnostic criminel. Des patients se plaignant de fatigue ou de maux invalidants en milieu professionnels, à qui on délivre des psychotropes est plus une méthode destinée à les faire taire que à les guérir... Ou même les adeptes de substances récréatives sont amenés sur cette voie par "quelque chose". Un "on ne sait quoi" à l'amorce de consommation prise en étude du comportement par les psys quand il s'agit de bactéries influençant le caractère et le comportement. Il ne s'agit que de toxines foecales dans la tête, produites par des bactéries au niveau des intestins (borréliose) ou de la maladie de Lyme (ticque). Des personnes victimes de maux attribués à la psychiatrie sont parfois engagées à suivre des protocoles médicaux absolument indus qui ne les sauveront pas d'une issue fatale, d'une addiction ou d'un aggravement de déperissement, démence ou de folie... Les psys en font pourtant leur pain alors que des familles, des cas, dérivent dans le désarroi. Quand on est ignare de la nouveauté médicale mettant en lumière les bactéries, on dit que tout roule et que on est fort d'une docte assurance médicale, bardé de nos certitudes (j'en étais comme vous en êtes à lire le forum!!). On reflète l'aura de la méthode, dépassée, de nos médecins issus d'une école qui leur auront surtout enseigné une rigidité académique bornée et criminelle. Dans l’état actuel des choses jamais ces médecins ne reconnaitront la pertinence d'un témoignage ni une intervention profane tant qu'elle ne se conforme pas à une certaine "bastille" du protectionnisme. On est vulgairement jeté dans la fosse. Je réponds à ce manque de respect, sans mettre en cause la méthode psy mais en la situant comme une application inapte pour certains problèmes. Il en a été ainsi pour toutes sortes de disciplines dans l'histoire de l'évolution... On appliquait des ventouses pour guérir de tout.
On laisse la psychiatrie se mêler de ce qui ne la regarde pas parce que les pouvoirs publics sont toujours en retard face aux nouveautés alors qu’ils instituent et dictent ce qui est politiquement correct et médicalement agréé dans notre environnement social. Les médecins préfèrent laisser aller des patients à l’irrémédiable et des malades débiles sombrer dans la démence plutôt que se départir d’une garantie instituée. Ainsi quelle que soit la vérité sur les remèdes d’une maladie, il accompliront sans risque leur exercice. Cela se perçoit surtout quand ils se givrent dans une sorte de prostration frileuse lors d'interpellations tierces à leur égard.

voici un extrait récupéré sur réseau borreliose
< cut>
"INFECTIONS FROIDES : infections qui restent tapies dans l&#8217;organisme, silencieuses, jusqu&#8217;à leur éventuelle explosion. Dites aussi "infections à bas bruit" ou "infections dormantes".
"Certaines formes microbiennes, notamment les bactéries intracellulaires, ont la capacité de persister de nombreuses années dans l&#8217;organisme, et de déclencher, si le système immunitaire devient moins performant, des pathologies avec atteinte générale, qui deviennent chroniques car la cause infectieuse passe souvent inaperçue. (Dr Bottero) [1]"
Ces infections parfois très anciennes, sans signe clinique évident, peuvent se réveiller à la faveur d&#8217;un stress, d&#8217;une autre infection ou de toute autre cause. Ces infections sont souvent asymptomatiques parce que le germe est dans les cellules. (Dr Rueff) [2]
Mais le sujet est bien plus vaste puisque de nombreux patients « passent à la chronicité », et ces pathologies évoluent sournoisement pendant de nombreuses années. (Dr Raymond) [3]
Ce type d&#8217;infection concerne la Borréliose. Elle peut se déclarer sans que rien ne le laisse prévoir. Mais elle peut tout aussi bien ne pas se déclarer chez une personne montrant pourtant une sérologie positive. L&#8217;infection en sommeil peut aussi se manifester par des poussées de formes variables et dans divers endroits du corps, parfois inflammatoires douloureuses, sans que la cause en soit comprise.
Devant certains états de fatigue inexpliquée, de douleurs articulaires ou musculaires, quand les bilans protéomiques montrent la présence d&#8217;une inflammation ou une baisse du système immunitaire, il est souvent intéressant de rechercher (ces) infections dites « froides ». (Dr Rueff) [4]
Bien souvent une infection froide telle que la Borréliose fait partie d&#8217;un tout qui dérègle et le système immunitaire et d&#8217;autres métabolismes, aggravant les stress oxydatifs (Pr. Montagnier) [5], qu&#8217;il faut traiter d&#8217;une manière globale," intégrative". [6]
La persistance bactérienne à bas bruit est déjà bien connue dans certains cas : maladie de Lyme par &#8217;"Borrelia Burgdorferi&#8217;", fièvre Q par "Coxiella Burnetii", infection génitale chronique par "Chlamydia Trachomatis". [7]
Plusieurs auteurs ont montré qu&#8217;il existait des formes dormantes de ces bactéries, un peu comme les formes sporulées des levures, expliquant non seulement la chronicité de l&#8217;infection, mais aussi la moindre virulence, la résistance aux traitements antibiotiques courts, et les rechutes tardives. Si les formes kystiques des Borreliae sont bien connues, il existe bien d&#8217;autres formes dormantes.[8]
En somme, il s&#8217;agit tout simplement de petites bombes à retardement...
< /cut>

je terminerai en précisant que le Pr Montagnier, mentionné au point 5, est prix Nobel de médecine


~ les restrictions morales qui font l'austérité d'aujourd'hui d'où proviennent-elles?? Le folklore met en mémoire une société de bons vivants, d'activité par une vie nocturne, des restaurants et des commerces ouverts tards... Cela existait (mis à part le mouvement des chevelus, hein... je parle même plutôt des valses musettes et des accordéons à la limite) jusqu'au moment où l'occident s'est vu responsable d'atrocités dans le sud-est asiatique. Les pistes d'Ho Chi Min (l'orthographe?) cachées sous une jungle massive, étaient un réseau développé d'acheminement d'hommes, matériel, armes, toute l'intendance du Nord vers le front. Alors Monsanto (c'est là que cette société trouve sa consécration) invente l'agent orange consistant en des défoliants pour mettre à nu les voies Ho Chi Min afin de les annihiler. Ces choses là ont fait les actualités en non stop sur les médias qui suivaient l'évolution de la situation... (je n'ai pas été cherché ces infos sur Wikipedia) La jungle a disparu et les êtres humains ont subit des dérèglements génétiques avec l'agent orange. L'occident engagé à poursuivre selon ses principes a néanmoins pris conscience d'un crime. C'est de ce jour que l'austérité que nous vivons a été instaurée. Le type de société, ce que vous dites, ce comment vous êtes, ce que on vous transmet, part de cette amorce là. Pour changer, être responsable et indépendant, il faut le savoir. Dites vous que plein de gens lisent le forum et voient au travers de vous (et de moi). Le réflexe d'ostracisme ou de ségrégation pour ce que on ne peut argumenter est immature... C'est un comportement de petits blousons noirs délinquants avec les dogmes psys comme la pègre s'octroie la respectabilité. Pour ma part je ne suis peut-être pas psychologue ni diplomate mais je suis vraiment témoin...
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Stylo 2.0 a dit:
La psychose, ça dépasse le corps, c'est quand le corps perds ses frontières. Un psychotique c'est quelqu'un qui sort de son corps même contre son gré, et qui peut traverser votre enveloppe mentale comme un couteau traverse du beurre.
En Inde, ceux qui entendent des voix entendent leurs grand-parents qui leurs disent de faire la vaisselle. Le concept de folie n'existe pas là-bas.
Chez nous, hommes modernes qui avont inventé le concept de folie pour bâtir celui de raison, nous créons les fous afin de mieux imposer l'homme bien-pensant.

Donc pour toi si on souffre quand on fait une BDA , c'est que l'homme occidental n'accepte pas la folie dans les m&#339;urs.
C'est a mon avis un raisonnement loin de la réalité. J'ai côtoyé des schizophrènes et des bipolaires, sans traitements leurs vies sont des enfers et ils sont handicapés par leur raisonnements au quotidien.

La psychose c'est pas un trip au LSD qu'on peut comprendre et analyser après coup...C'est une vrai maladie invalidante dans tous tes rapport sociaux.

L'image de l'indien qui communique avec ses ancêtres, c'est plus de la spiritualité qu'autre chose pour moi.

Amicale: Serieux, arrête de tous mélanger. Et surtout de foutre des photos de bébés malformés...
 
C'est une vrai maladie invalidante dans tous tes rapport sociaux
Bah ouais les rapports sociaux. Comment est la société aujourd'hui ? Chaleureuse, accueillante, à l'écoute tolérante, ouverte à la différence ? Aujourd'hui on te met à l'écart juste pour une coupe de cheveux ou parce-que t'as pas les bonnes pompes. Alors une personnalité une peu chelou c'est dead. Ensuite c'est la spirale: car sans rapports humains la santé mentale se dégrade vite, du coup on veut encore moins te fréquenter, et tu préfères te rassurer avec la voix du médecin qui te dit "prend ces pilules ça ira mieux". Tu prends des pilules qui te défoncent complètement, et tu te convaincs que ça va mieux. Entre l'effet placebo rassurant de ton docteur pleins de diplômes, et la léthargie imposé par le produit tu survis à peu prêt.

Voilà comment on donne l'impression que ces "médicaments" sont utile dans le "traitement de la schizophrénie". Après je suis d'accord que il y à des cas ou c'est utile de pouvoir mettre son cerveaux sur off chimiquement. Mais tant que des gens continueront à penser qu'ils ont "une pathologie lourde" pour se rassurer, ils continueront à souffrir. Car ça revient à accuser ses propres émotions d'êtres mauvaises, alors qu'il n'y à pas de mauvaises émotions une fois qu'elle est entendue.
 
@Sandman : ce que je raconte ce sont des spéculations théorique. D'après ceux qui ont fondé la clinique institutionnelle, on souffre d'une double aliénation : l'aliénation sociale et l'aliénation mentale. Les deux ont tendance à se multiplier, ce qui n'arrange rien. Aussi, on essaie d'abord de leur offrir un environnement désaliéné socialement, en espérant que la désaliénation sociale suivra.

Évidemment, c'est pas en disant simplement "c'est parce que la société ne reconnaît pas la folie qu'on développe des psychoses aussi terribles !" que les choses vont s'arranger si facilement.

Je sais pas, j'essaie juste de faire avancer le topo.
 
Je ne pense pas que l'on puisse considérer la psychose comme un rallongement de la personnalité ou une "façon" de voir différente. C'est une maladie, c'est tout.

Après que que la cause de la psychose soit sociale, environnementale ou autre, ça je laisse aux experts, même si quelque part je suis persuadé que l'aliénation sociale et l'aliénation mentale c'est la même chose.

J'abonde un peu dans le sens de Plante Verte et de son analyse, même si elle est simpliste, je pense qu'un mauvais rapport aux autres et la base des psychopathologies. Donc ouais, si une société légitime ta psychose, tu la vivras surement mieux, en te croyant normal et intégré.

Mais quelles société légitime la psychose ? Quelle société prendrait la psychose comme un apport bénéfique...
 
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Pendant les années 60 dans un journal éphémère (Spécial-Pop) j'ai lu un article qui se terminait pas cette phrase: "après un trip on est plus le même", cela me paraissait invraisemblable, je ne pouvais pas croire qu'une pilule puisse vous changer définitivement et je m'étais promis d'essayer pour le savoir, voilà comment je suis venu à la chose.

Dès mon premier voyage, j'ai su que c'était vrai, que je venais de basculer de l'autre côté du miroir et que je ne retournerai jamais dans l'ancien monde, que l'acide puisse transformer à jamais votre vision des choses et votre façon d'être était une certitude pour notre génération qui l'abordait à doses pachydermiques et parfois, comme ce fut mon cas, sans même être passé par la fumette, effet de surprise garanti.

C'est peut-être moins évident maintenant qu'avec les RCs vous arrivez à l'acide en ayant souvent déjà une expérience impressionnante de diverses molécules, tout de même avec le LSD il faut s'attendre à ce qu'il se passe des choses à l'intérieur de vous, et en extérieur aussi l'acide peut vous amener à faire des trucs surprenants, danser avec votre slip sur la tête ou crier Allah Akbar en vous pissant dessus, normalement le lendemain vous serez redescendu, mais si vous jouez à ça n'importe où alors oui il peut se produire des choses graves et définitives.

dxm<3 tu as bien failli rester perché pour toujours, à quoi ça tient, au buvard que tu as pris ou aux freins de la bagnole sur laquelle tu t'es jetté parce qu'il n'y avait personne pour te retenir ? Ta description du bad est épatante, ton tunnel m'en a rappellé un autre. On sort toujours du tunnel. Normalement.
 
même si elle est simpliste
Elle est simple car j'ai pas envie d'écrire un roman, elle est pas simpliste. Es tu déjà passé par la case psychose ?
 
Oui, et ton explication était simpliste. C'est une face du problème. Tu l'as bien résumé de manière simple. Mais tu n'as parler que de cette face, donc c'était simpliste.

C'est quelque chose qu'on ne me reproche pas trop car j'ai tendance à parler de manière générale et a ne pas partir dans les détails. Ce qui quelque part est simpliste aussi mais ça passe mieux car quand tu parle de détails, tu ne parle qu'aux concernés, donc tu ne parle plus du problème, mais de tes expériences et les liens qu'elles entretiennent avec le problème. Ce qui quelque part est réducteur.

Pis de toute façon j'étais d'accord avec toi, donc me fais pas chier sinon je met plus d'engrais. :mrgreen:
 
S'toi qui est réducteur. Appeler psychose une maladie ce n'est pas pertinent.
 
Maladie: Altération de la santé ou des FONCTIONS des être vivant.

Si tu veux partir dans la rhétorique ok, mais c'est pas très utile. On à surement tous les deux autre chose à foutre.
 
C'est pas une altération de la santé et fonctions, c'est une fonction utile du cerveau.

Certains voient l'utilité, d'autres pas ;)
 
La psychose est une fonction utile du cerveau ???

Ouais bon je crois que je vais arrêter de parler avec toi...Soi t'es de mauvaise foi, soi t'es barré. J'ai bossé avec des psychotiques, va leur dire que ce qu'ils vivent est utile, ça leur fera une belle jambe.
 
Nan ce sont les psys qui sont utiles. Faut pas confondre.

Attention amicale, il existe plusieurs sortes de psys, pas la peine de me parler de ceux qui t'ont torturé en HP dans les 70's.
 
On peut parler sur ce forum cordialement sans être du même point de vue ? x). T'as du lire mes autres messages en biais pour dire que tu étais d'accord avec moi en espérant clore la conversation. Franchement si t'es vénère mec, ça sert à rien d'essayer de discuter.
 
Je suis pas vénère. J'ai juste atteint le point ou je ne peux plus discuter avec toi.

La psychose n'est pas une maladie et elle est utile...Pffff qu'est ce que tu veux que je réponde à ça...

Nan sérieusement, je continue de discuter quand la discutions est un minimum logique et lucide. C'est pour ça que je me garde bien de parler religion ou d'autre truc du genre.

Et sinon je suis quand même d'accord avec toi sur ton premier post, que tu continue à me répondre ou pas.

Edit: Amicale, t'es plus perçant et direct quand tu fais de l'ironie que quand tu veux faire passer un message socio-politique. Pourquoi ? C'est le grand age qui te fatigue quand tu dois taper plus d'un paragraphe :mrgreen:
 
Il a déjà bien expliqué dans ses posts précédents qu'à ses yeux, la psychose était une façon pour le cerveau de gérer une situation psychologiquement ingérable. Cela ne veut pas dire que c'est une promenade de santé.
 
Si c&#8217;était une façon de gérer, cela impliquerai qu'il y a un situation plus critique que la psychose que le cerveau veut nous faire éviter.

Moi je considère que la psychose est la résultante de l'incapacité du cerveau à gérer. Sinon pas de séquelles ni de traumatisme.
De plus la tu parle de crise psychotique et non de psychose.

J'ai eu des crises psychotiques dues à mon abus de drogues. Mais je ne suis pas psychotique.
 
Nan sérieusement, je continue de discuter quand la discutions est un minimum logique et lucide.
T'es pas vénère mais ça t'empèche pas de manquer de respect, j'aimerais pas voir quand t'es vraiment énervé alors.
C'est pour ça que je me garde bien de parler religion ou d'autre truc du genre.
C'est ton choix mais alors va pas bosser avec des psychotiques tu les aideras pas avec cette fermeture d'esprit.

Bon aller je m'arrête la pas envie de pourrir d'avantage le post de Sludge. Bonne soirée.
 
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