Je me laisse un marque page physique ici...
Edit : Tu parles, ...
Il est beau le marque page...Longueur de post : Reccord personnel battu...
Désolé les gars, je suis en mode flood champion là.
Bon, au final, je dérive, digresse grandiosement, et suis parti en mode je frappe à 10 doigts à fond la caisse limite salade logorrhée hic :/, et j'ai pas tout lu le thread, je vois juste que le topic à slidé vers le delirium tremens...Qui pour moi est encore autre chose...
Parceque le mot perché, chez moi, correspond aux psychotropes/psychédéliques/hallucinogènes/etc...(mais bon, dans la définition pure, il me semble que psychotrope veux dire : Qui agi que le cerveau...Oui : Je regarde Wikipédia : C'est considéré psychotrope...Well…
. Le Délirium Tremuns surviens il me semble par rapport aussi à la quantité de liquide absorbée : L'alcoholique dois boire de l'eau, beacoup, s'il arrète trop vite sa conso d'alcohol : C'est un des facteurs déclencheurs, mais j'y connais que dalle...
Bcp de blabla, faut croire que j'avais besoin de lacher un pavé...
Je reviendrai, tel terminator I'll be back, à l'occasion, pour écrire un truc plus structuré...Qui part moins dans tous les sens.
Merci à ceux qui ont pas de temps à perdre de zapper, et autres de pardonner mon manque de structure à l'écris, et de synthèse surtout...
Pour laisser mon point de vue, et retour d'expérience perso...Un chouilla...Et aussi de ce que j'ai pu voir dans mes années de dérives folles, au milieu de gens qui eux ne dérivaient pas : Mais coulaient...
Rester percher, peut prendre moulte définitions, ça dépend du contexte, et les contextes : Sont légion.
Maintenant évidement, un cas, un seul, avant que je me casse faire autre chose, parceque le Diable en personne m'a fait renverser du café sur une machine toute neuve à 1000€ et que je suis vert :/
Pas mal de drogues, comme certains arylhex...Sont considérés comme psychotomimétiques...Et...A abuser...On peux finir par douter de ce qu'est la réalité : Et vivre entre plusieurs réalités, qui finissent 'par peser' et avoir autant d'importance les unes par rapport aux autres...Ne plus savoir, se placer, se positionner, peux rendre l'esprit perturbé et instable...De là : On peux instaurer des tic et tocs pour se protéger de tel ou telle chose : Et, au grand minimum : Aux yeux des autres : On est resté perché...Bizarre.
Mais au final, la vérité, personne la détiens...
Evidement, quand déjà tu as une pathologie au départ, 'une fragilité', fait parti du spectre des nommés Borderlines...Tu vis déjà le pied sur le fil qui sépare la névrose de la psychose...Alors produits psychotropes aidants : Le mystique, le divin, l'abstrait profond, le symbolisme, l'astrologie, la numérologie, la magie, et pas mal de choses viennent prendre un sens nettement plus parlant et clair d'un coup...Est-ce que tu délires : J'en sais foutre rien : Et c'est pas la question...
Moi, je vois des patterns, j'ai des visions à froid en fermant les yeux, des flash backs, de légères OEV à froid en forcant et me concentrant (mais j'ai aussi bossé et me suis exercer à ça car j'aime...Et j'ai développer, produits aidant une HPPD...), avec la fatigue je fait des hallu auditives, olfactives, sensorielles, et j'en passe...
Un soir, à froid, j'ai entendu un démon parler...Période DXM poussée...Ce soir là, j'avais rien pris, mais je tenais une couche d'after glow conséquente, appuyée par des nuits blanches, et etc...
Dans un langage incompréhensible...Gromelant, caverneux, déguelassse et terrifiant, jamais même dans un film d'horreur avec des effets sonores top niveaux je n'avais entendu un tel son et dialecte, sans résonnance, puissant, net et précis, comme à quelques mètres de moi : J'aurai aimé le sampler...Terriblement : Beau quelque part...
Sur le moment : Je me suis dit : Qu'est-ce qu'est le pire ?
- Entendre des démons qui n'existent pas : Et cela fait de moi un 'Fou' ? Un délirant ?
- Entendre des démons qui existent : Et là : Les démons existent, je les entends, ils s'adressent à moi : Je suis dans une situation particulièrement ...Disons....Stupéfiante
Si vous aviez à choisir : Vous préfèreriez être 'dans le vrai' et dans un univers foutrement inquiétant et dangereux : Où les démons existent et vous les entendez ?
Ou bien être fou ?
Dans les 2 cas c'est pas fameux...A priori.
Mais...
Moi....
Je préfère vivre dans un monde empli d'une part d'obscurité, et pas me considérer, ou être considéré comme fou : Ces choses s'atténuent avec le temps, si on fait ce qu'il faut, mais en tache de fond, restent, on apprend à vivre avec...
Je parle avec qqlun en ce moment...Dans ma famille, ça bosse en psy...Et je m'y connais aussi...
Les Borderlines, les PMD aka Bipolaires, 'les névrosés aveugles', les Skizos, en général : Je les flairent à 4000 bornes...
En général, pour certains (surtout ceux que je connais le mieux : Ceux du spectre borderline...), ils ont un sens développé en physionomie, en ressenti, en lecture de signes et patterns : Ils sentent les ambiances, les humeurs des gens, et ce parfois par le biais de patterns visuels, couleurs, signes visuels symboliques : Tout ça, c'est juste un espèce de langage / des informations, que notre cerveau nous envoi, et c'est à nous de les interpréter de façon correcte, et pas aveuglement, ou encore de faire le choix de les faire disparaitre et s'en foutre : Libre à chacun de faire ce qu'il veux avec ces trucs là...C'est perso.
La symbolisme, et l’interprétation des patterns et autres signes : C'est avec recul, confiance en soi (pas de sûreté...), un peu aussi d'esprit cartésien : Qu'il faut en retirer des choses, et se méfier...Les signes restent des signes, ils contiennent aucunes vérités ni informations précises ou complètes : Ils montrent des directions, représentent schématiquement des déjà - vu : Ce sont des ....Signes...Ils peuvent même être trompeur, misleading things, et au final : Il y a une part (car je pense en parrallèle de plusieurs façons différentes...Je suis 'sans bannières' avec un sytème de croyance bien personnel façonné par mes soins en piochant ici et là dans ce que je considère comme étant bon...Mais ç : Ca me regarde c'est perso...En tout cas : Je suis pas Athé, ni Agno...) : Nous voyons aussi souvent ce que l'on veux voir, et ce qui nous arrange...
D'autres fois, on vois des choses nouvelles, à interpréter, que l'on peux s'amuser à décrypter : Comme on peux le faire avec les rêves...Pareil...
Comme pourrait l'être le panneau routier triangulaire : Pointe en bas : Danger à 150m...
Déjà : Quel danger ? On sait pas...
Ensuite : Le danger peut être potentiel...Si ça se trouve, ce sera un simple cédez le passage, et y'aura pas un chat a l'intersection...
Si ça se trouve, le panneau est resté là...Il est vieux, et correspond même plus à rien...Et tout ceci ryhme à rien.
Faut rester zen, autant que l'on peux, surtout devant ce que l'on ne comprend pas :
Dans le noir, face à l'obscurité, l'inconnu, rester alerte, still, et c'est tout...Si tu est courageux : Avances si tu veux...Personnellement je 'garde ma garde'...Je fait attention... Etre tranquille et avec un tant soit peu de controle, en toutes circonstances, c'est ce qu'il faut faire je crois, même dans les cas d'urgence où il faut agir vite et efficacement : Laissez les 'choses', nommées peur/bad trip/phreaking out/and so on : Pour ceux qui souhaitent ressentir ces choses là. Après, c'est facile à dire : Je sais...En réalité et dans les faits : Les choses se déroulent de façon différente...
Un minimum de peur est moteur, naturelle, si elle existe, la nature l'a crée à des fins utile, elle sert, sa motricité sert.
Comme la souffrance physique sert...A retirer la main du feu quand on se brûle par exemple...Bref...Je fait des comparaisons foireuses simplement à fin de me faire suivre...Ne pas me prendre aux mots.
Mais au delà de ça : C'est sombrer, perdre la face, perdre pied, et s'exposer au grand n'importe quoi....
Une expression, en Anglais, m'est resté, un jour où je prenais trop cher, et commençais à perdre mon sang froid et contrôle, le peur panique s'installait, l'intensité des choses était trop forte : Voilà ce que l'on m'a dit, et voilà à quoi je me suis accroché : J'y voyais encore assez clair pour le faire : Et cela à fonctionné :
" Hold your ground".
Faut s'adapter...Faire des plans, s'y tenir...
Parfois, les plans deviennent incompréhensibles, changent, perdent leur sens, il faut en faire d'autres...
Parfois, plus rien n'a de valeur, tout semble si sombre et douloureux, insupportable: Là : Je prend posture, je m'isole, fait une pause, me propulse dans l'instant présent à coups de méditation et auto hypnose un certains temps : Et via ces états particuliers de conscience modifiés obtenus 'sans adjuvants"/Chemical help/Drugs : Je respire, et me retrouve...En général...Puis je reviens à l'endroit où je pigeais plus rien : Voir si la brume s'est estompée, si les ressentis sont moins dark.
Faut pas se leurer la face, et moi, depuis le début, je le savais, depuis mes 16ans : Qu'a prendre des psychotropes je modifierai ma perception des choses, ma personnalité serait affectée, mes choix en seront affectés : Ma vie serait pas la même, l'impact serait d'une conséquence 'lourde' : Car j'avais sous les yeux des amis plus vieux, que j'ai vu avant qu'il prennent du .25 all weeks...Des proches/amis d'enfance....Et moi j'étais trop jeune, je prenais Jack-shit/Nada/rien : Sur quelques années, à les observer, j'ai vu la transformation de leur psyché opérer : Mais ce ne sont pas de bons exemples : Ils avaient une approche de la chose, une façon de prendre des psychotropes particulière, qui n’était pas la mienne principalement (elle l'a été aussi , évidement, je me suis intentionnellement défoncé la poire, comme tout le monde, en mode auto destruction : Mais cela à évolué par la suite...), ni celle de tout le monde : Eux : Littéralement, et textuellement, voilà ce qu'ils faisaient :
>>> Ils se défonçaient : Et ce fait, n'a jamais changé.
Dans leur esprit, ils prenaient de la drogue, hard drugs, dans leur inconscient je pense qu'ils pensaient que ce qu'ils faisaient était mal : Et au fond, c'était leur but : Se faire mal, se faire peur, thrill seekers, et au passage : C'est vrai : Qu'est ce qu'on se marre...Heureusement...Y'a un bon côté...
Aussi, à mes 14 ans, je traînais avec un groupe de gens d'une 20ene de personne, qui allaient en Rave : Eux, c'était Tazz+ 0.25 : La même, part/party, défonce, et aucune pensées/démarche d'aucunes sorte disons : Un tant soit peu réfléchie, spirituelle, ou quoi : Je veux dire :
Ils se sont jamais posé la question de pourquoi je fait ça ? Qu'est ce que je cherche ? Qu'est ce que je compte en retirer ? Quels sont lez risques potentiels et retombées conséquences à long et court termes ?
Nada ----> Plan d'action très simple : Fuite vers l'avant : On se défonce la bouche, pour oublier la semaine > Et au fond, 'on' le sait : On est des sales drogués...
Évidement , à penser de la sorte, on fini par être 'un sale drogué', et on obtiens présentement ce que l'on cherche : De la souffrance, on se défonce, le corps, le crane...Et on fait des trips 'inutiles' : On se fend la poire sous 0.25, on retire aucunes informations, on s'introspecte surtout pas : Ça fait peur oulalallala....Et surtout : On en parle pas : Même entre potes : '''Sinon, ils vont croire que je suis fou, et ils vont m'exclure du groupe...'' : Mentalité 0.
Ceux là : Ce groupe là, aujourd’hui : Il y a deux pans.
Le premier pans, 's'en est sorti', est rangé, famille travail enfant, classique schéma de vie, sur lequel je n’émet aucuns jugements, ce sont des faits simplement : Par contre : Cette période de leur vie : Ils cherchent à l'oublier, ils l'ont enterrer, ils en sont pas fier, ils occultent selon moi, ils n'y pensent très certainement pas, ou si ils y pensent, ce doit revenir à ça : "Mouai, c'était des conneries de jeunesse, puis tout ce que j'ai pu voir : C'est la drogue...Jack-shit/Du vent/Chimères...C'était mal...".
Le second pan : A poursuivi, et à prendre trop de uppers, sur 20 ans de façon soutenue au sein d'un style de vie marginale : On fini tendu/nerveux/stressé/anxieux, on fini par avoir besoin de downers : Je la fait courte.... Ils sont aujourd’hui ou morts, ou avec des aiguilles dans le bras à s'injecter des trucs...Tout, et n'importe quoi...Fin de vie imminente pour certains.
Ah ! J'ai oublié le troisième pan : Certains sont restés perchés comme on dit...Déjà prédisposés, borderline au départ : 2/3 ans de party régulières : Ont accentué leur patho, voir l'ont fait exploser, décompensation...Dépressions à répétition (Bipolaire type 3 :/ La mierda...Que du down...) pour certains, inaptes à retourner en société et fonctionner selon les us et coutumes communs qui font que tu t'assimiles et te fait pas remarquer...D'autres, sont restés comme avec l'esprit modifié, et figé dans une position particulière, qui au yeux des autres peux sembler folle...Un de ceux là est resté un ami : Et croyez moi, il a tout cessé et n'a jamais rien repris depuis cette période : 20ans après : Il parle encore parfois de façon très incohérente, mystique, fait des liaisons entre des choses où franchement tu peux chercher le fil conducteur tu le trouvera pas...Seul lui le vois...Il fait de la belle parano...Est blindé de tocs, superstitieux à mort...Et son trip suprême, après tout ça : Je ne sais pas si c'était une chose dans laquelle il était versé avant : Mais l'astrologie et la numérologie, WOW : Il s'est mis à lire là dessus, réfléchir à mort, et systématiquement, il demande le signe des gens, et sort des théories fumantes...
Au volant, avec lui, je suis pas à l'aise : Il li les plaques d’immatriculation des voitures : Et selon ce qu'il en retire comme info : Il agi...
Mauvais signe : Oulala panique à bord...
Bon signe : Excitation : On court et chasse le papillon...
Toujours est il, une chose sure, sa nature de fond n'a pas changée : Il reste le même, ses vertus, ses qualités sont là. Certaines choses ne changent pas, au moins dans ce cas là, mon pote...
Longtemps, longtemps, moi qui n'accordait aucun crédit à l'astrologie : Je me foutais de sa gueule, mais gentillement, car je respecte les croyances des autres...Mais vous savez quoi, à la longue...J'ai fait mes tests moi aussi, et certaines choses/patterns, sont là, les proba sont là, ils y a certaines choses que tu retrouves sans cesse, et qui semble montrer que tout ceci n'est pas QUE du vent...Et tu fini par...Au moins développer de la curiosité.
La compatibilité entre les signes par exemple, m'a frappé...
A chacun son trip...
Religion, astro, numero, magie, magik, spiritualité, new age stuffs, satanism, luciferism, symbolism, lecture de signs, vision, rêves prémonitoires, contact avec certaines entités, pratiques certaines diverses et variées : A chacun son trip. Du moment que le respect est là, et que cela n'entrave en rien la paix de l'autre : Qu'est ce que ça peux foutre ?
On est tous le con de quelqu'un...
On est tous le perché de quelqu'un...
De toutes façons...
C'est comme ci, tout ça n'existait pas pour moi...J'ai trainé avec des 'tordu du cerveau' toute ma vie, torturés, marginaux, bras cassés, ou encore artists super zen et spirituels high level (qui pour certains, ne consomaient rien, ou encore, juste du shit...) j'en suis un, maintenant j'ai 39 berges, de l'expérience, les surprises se font rares...Mais elles existent encore...
Rester perché, c'est 'grossier'....
Moi, je me considère comme ça, et ça me conviens bien, et je le vi bien, j'ai tellement bouffé de trucs, c'est le syndrome d'Obélix et de la marmite vous voyez : Plus besoin de rien pour être perché, piger les perchés, ressentir et voir des choses qui 'normalement' sont reservées à des instants où tu est sous influence...
Prendre des produits qui touchent à l'ego, 'foutent le bordel', ou ont un impact important sur le fonctionnement du cerveau : C'est jouer.
La vie est un jeu pour moi, ou une guerre ou encore...
Si tu joues, tu t'exposes à perdre, normal : La probabilité de perdre un jour : Est énorme...
Tu marches ? Un jour tu trébuchera, et il est quasi certain que tu tu vautrera même...Qui ici, s'est jamais pris 'les pieds dans le tapis' ?
Voilà...
Après les chutes, on se relèvent, faut tenter de retenir les leçons...
Pardon des formulations...Mais c'est de cette façon que je parviens le mieux à m'exprimer, métaphores qui peuvent sonner religieuses ou spiritoMachiChose : Alors qu'en fait...
Prendre certains produits, ceux qui bouleversent ardemment, certains Hallucino/Déliros/Dissos, à certaines doses et fréquences trop soutenues, sur certains sujets, et dans certains contextes (là, j'ai couvert large je pense...) c'est danser avec le Diable d'une certaine façon : Tu payes deux fois la danse.
Il te mets dans des habits avenants, tu te trouve beau, tu le trouve beau, c'est faux et absurde mais tu crois que personne d'autre ne pourra te donner autant de bien être et de joie : Que le plus fort, beau, puissant : C'est lui, et c'est toi...Il t'aide à réaliser des pas et à virevolter d'une façon géniale et formidable et c'est enivrant à souhaits évidement, et : Dès que la musique commence et que tu est dans ses bras : Tu payes le ticket d'entrée de la soirée, mais tu t'en rends pas compte.
Ensuite, tu prends ton pieds, danse, rêve, rave, c'est l'éclate, elle peux être assez pure et sans aucuns points noirs, surtout au début...Cela peux durer un certains temps, sans embûches ou soucis, et nous ne sommes pas égaux face à ces choses là : Certains payent moins cher que d'autres, certains s'en tirent mieux que d'autres : Mais : Tout le monde paye, d'une façon, ou l'autre : On ne danse pas avec le Diable sans payer, il y a un coût.
Quelque soit la durée de la soirée dansante avec ce charmant partenaire : Comme au restaurant, c'est à la fin, après avoir digéré, bien posé relax et repu (dans le meilleur des cas...Là : J'exclus les bad trips, et tout un tas de désagréments qui surviennent pendant ou après qui sont très probables...), loin dérrière le désert et le café : Que tombe l'addition : L'ardoise finale : Le second coup, la deuxième facture : Effet Kiss-Cool.
Donc, pour finir, et à question grossière et imprécise, réponse du même acabit :
Rester percher : Là : Dans le contexte X, comprenant X puissance x paramètres et variables, avec la personne Y, et bien d'autres choses que je suis pas à même de couvrir... Oui, y'a moyen : Easy. Ça dépends de ce que vous mettez derrière le mot perché, et ce que vous vous imaginez...
Moi, je me consière comme perché, à vie.
Trop pris...Et je le savais, je savais ce que je faisait. Je n'ai pas de regrets, si c'était à refaire : Je referai pas, ou je referai mais très différemmment...Mais les regrets sont inutiles : J'ai une chance de cocu d'être encore en vie, et je compte bien rester là au maximum...
Mes chers,...Un bon week-end en avance...Et prenez soin de vous.