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Poésie

  • Auteur de la discussion Auteur de la discussion Strange
  • Date de début Date de début
Diazepam, obsession de la relaxation
Les muscles se relâchent tout délicatement 
Les obsessions prennent un poil moins de place heureusement 
Pas d'euphorie, juste fuir cette tremblotante tension
Des plaisirs simples, une sieste au parc
Un café sur du Slowdive et de ma vape sort une sorte de coton
Mais j'ai plus d'une flèche à mon arc
Enchaînement, spliffs, sur spliffs, sur-chargés
Les heures ont passées putain je dors pas encore fais chier !
Jamais satisfait
On monte encore plus la dose, ça deviens délire, c'pas surfait
Et 100mg plus tard on s'extasie sur de l'Acid  et de la Goa avec les vieux potes
Ça titube un peu, mais on reste debout meme si mes muscles c'est d'la compotte

Et après une n nuit d'euphorie avec les amis
Ces amis s'endorment alors c'est l'heure du Slowcore
Et de prérouler 4 spliff que j'enchaîne encore 
Et encore
Seul, mais debout .

Un nouveau jour se lève ? On a toujours pas dormi nous !
 
Amour inavoué

Scission dans l'embrasure je t'ai aimé
Je vais vivre entre les ruines et jamais tu ne sauras
Choisir une porte je ne peux pas, toutes les empreintes au bout des doigts
Tu ne me verras jamais mais je te vois
Jamais je ne vais te le dire mais tu seras mon secret
Quand les fenêtres appellent aux rêves moi je regarde ton reflet
 
Innocence

J'ai tout vu et entendu
À travers la serrure du cratère humain
Dans un filet d'ombre coule une cascade de motifs
La longe du chaos s'étire dans le marbre, l'entropie est une anguille qui se tord au fond d'abîmes verticaux
Sans importance... Mais nos âmes tapissent
Ces puits intarissables où se meuvent des torrents de cristaux

Le monde est innocence
Chaque trace d'un procès recouvre la dernière

Car au fond du trou chaque créature est l'ombre de celle qui la précède
Main dans la main sur une corde tendue

Les mâchoires sont d'un côté
La musique est de l'autre
La civilisation pose sa tête alourdie sur l'épaule anesthésiée de l'instinct

Les anges et les démons se sont vaporisés dans le plastique
Le flambeau des étoiles s'éteint et les monstres assoupis
Évanouies dans des brumes à jamais primitives

Il n'y a plus que nous maintenant,
Cachés derrière nos scènes prétentieuses
l'écume des traditions, le reflux de l'habitude

Chaque saignée est le résultat d'un tirage au sort
Chaque amour est un aléatoire incliné vers le vide

Le monde est innocence
 
Mr Sandman a dit:
Amour inavoué

Scission dans l'embrasure je t'ai aimé
Je vais vivre entre les ruines et jamais tu ne sauras
Choisir une porte je ne peux pas, toutes les empreintes au bout des doigts
Tu ne me verras jamais mais je te vois
Jamais je ne vais te le dire mais tu seras mon secret
Quand les fenêtres appellent aux rêves moi je regarde ton reflet

juste pour décrire l'esprit et pour étude sociologique... J'avais un copain hippie, il aurait intitulé ton poème

"quéquette blue by the window" ah ah

allez, ris quoi.
 
Certains des images et métaphores que tu crées sont si belles franchement ... Les anges et les démons se sont vaporisés dans du plastique ...

Et dans celle d'avant : Quand les fenêtres appellent aux rêves moi je regarde ton reflet

Je trouve vraiment magnifique
 
Acacia a dit:
Certains des images et métaphores que tu crées sont si belles franchement ... Les anges et les démons se sont vaporisés dans du plastique ...

Et dans celle d'avant : Quand les fenêtres appellent aux rêves moi je regarde ton reflet

Je trouve vraiment magnifique

Mirciiii :bluush:  :heart:
 
HEUREUX DÉNI


Ô mon déni
Je te remercie
De me voiler la face
Me préserver d’autant de menaces
Qui sans toi m’angoisseraient
D’un anxieux désarroi
Grâce à toi
J’oublie mes tracas
Je ne vois
Que ce qui me va
Et c’est bien mieux comme ça





J'ai retrouvé cette poésie que j'avais écris pour une fille qui faisait de l'escalade, je ne lui ai jamais communiqué après le râteau que je me suis prit :


GRIMPER SON SOMMET


Chaussons aux pieds
Encordée au baudrier
D’un bras léger
Saisir la paroi
Pieds et mains vers le haut
Hissent au dessus de ses tracas

De prise en prise
Éprise d’un doute
Transpire la goutte
Emplie d’émotion
Transcendantes sensations
Dans le cycle ascensionnel
D'une reconnexion au tout naturel

Et repartir vers le sommet

Tout au long de la voie
De verticaux émois
Inscrivent sa destinée dans l’éther
D’une éternelle vie
Passée entre ciel et terre

Au sommet de soi
Libérées du poids de la gravité
S’élèvent les idées perchées
Dans une harmonie retrouvée
Entre corps et esprit
Apaisés
 
HEUREUX DÉNI

On la croirait extraite d’un de ces livres de prières pour enfant catho…
 
Autre râteau, autre poésie, écrite il y a quelques mois, dans le but de saisir la mécanique illusionnante des passions :

ILLUSIONS VRAIES


Face à la beauté
D’une idée
D’un corps désiré
Impression prononcée
Dans la chair imprégnée
L’esprit émoustillé
D’un idéal survalorisé
Imaginé
Tendances excessives
Et désirs exacerbés
Génèrent des passions
Chargées d’affections
Entre croyance et espérance
Aveugle confiance
Inlassable musique
Productrice d’illusions
De doutes en certitudes
Trompeuses apparences
Sublimes fantasmes
Et autres confusions fantasques
Entre imaginaire et réalité
Identifications et projections exagérées
Sans sens du réel
Pure déraison irrationnelle
Jusqu’à la désillusion
Fin de l’illusion
Déjà renaissante
 
Ça vous dérange si j'me pose ici ? J'trouve l'ambiance jolie - Non mais pas de drogue on te surveille - Juste de la poésie Monsieur

Les feuilles mortes 
Elles brunissent le gris froid du béton
Un mégot donne son charme au sol enfeuillé
Et les alliages métalliques qui s'entrechoquent 
Sur du verre, sur d'la pierre, la scie circulaire
S'accorde sur les chants du Mistral
La chaise typiquement institutionnelle
Dans cette jungle en réparation
L’azur de l’interloppe est trompeur
Dossier de planches vernies marrons
Manufacturées
PANASONIC INVERTEUR dans la gueule
Sale ventilateur
Et pourtant
Comment exprimer la beauté
De cette boue moussue recouverte de branches pourries et de mégots ?
Salis par les pluies
Fibre de bois au milieu des bois
« Quasiment 20€ Le mètre carré oh con »
Mais moi, fixant les quérons
J’vois dans notre passé, l’étoile de laquelle on viens tous

Edit : Je l'ai modifié psk génial de tapper sur tel j'avais supprimé la moitié en coupant sans faire exprès x)
 
IMMANENTE TRANSCENDANCE


Entre ciel bleu et océan azur
Écume et nuage blanc
Mirage d’un fondu transparent
A l’horizon d’un pur
Reflet apparent

Au Soleil miroitant
Une myriade de scintillements éblouissent
Les sens en éveil
De plaisirs sensoriels
Désirs et imagination sondent l'étant
De nos joies et peines

D'impressions visuelles
Narcisse s'émerveille à la surface de son moi
De merveilleuses rêveries sur soi
Croyances idéales
A l'horizon d'une mer étal

En quête de son reflet
Embarqué dans le sillage
D’une existence fantasmée
Inévitable noyade dans l'auto-satisfaction
D'aliénantes vaines illusions

Sur fond bleu
Des milliards de bulles
Bouillonnants souvenirs à demi-endormis
Dans les remous infinis
D'une blanche traînée
Vertigineux miroir d'une superficielle destinée
Pressée par les
Temps et contre-temps qui s'écoulent
Au rythme des montées et descentes du cœur

Envolé dans l'aéroplane d'un vertige dionysiaque
Extatique ascension portée par de puissants vents
Icare traverse l'azur en quête d'espoir perdu
Absolu éphémère trace d'un insaisissable devenir rayonnant
Aspiré par de joyeux courants
A destination
D'éternels astres brillants

Loin du temps présent

A bord d’une impulsive fusée
Expédié dans l'espace éthéré
Effleurant la voûte céleste
Vers un destin funeste
A court de carburant
Survint l'inévitable chute abyssale

Ego goûte la vie

Naufragé d'un sous-marin immergé
En eaux glacées
Trouble plongée dans les tréfonds de ses émois
Où au fil des âges
Fondent les illusions

Au fond des océans
De lumineux animaux éclairent l'abîme des êtres brillants
Brouille des instincts et tendances qui s'embrouillent
Icare et Narcisse se retrouvent
Mythiques égaux du double

A la surface
Se mêlent grandeur et profondeur
Reflets des passions guidant son vivant
Dont l'essence s'emmêle les sens
D'une raison toujours en quête de sens
 
MÉTÉOROLOGIE DES PASSIONS DE L’ESPRIT


En recherche d’identité
Ma personnalité s’étiole en de vagues idées
Entre bonheurs et malheurs
Sur la houle oscille
L’aiguille du baromètre de mes humeurs
Reflets de temps changeant
Troublant sentiments variants

Tout est vibrant
Tout est ondulant
Ressens pleinement
Tu es vivant

A l’horizon de ma destinée
Espoir d’une vie tempérée
Satisfactions de plaisirs simples et nécessaires
Ou subir des douleurs pour ne pas leur déplaire
En quête de sérénité entre corps et esprit
Espoir d’harmonie dans l’ataraxie

Tout est envie
Tout est besoin
L’ascèse légitime les souffrances endurées
Salvateurs idéaux et sublimes valeurs prônés

D’une instabilité atmosphérique
Perturbation des conditions anticycloniques
Fort cisaillement de vents
Et tournoient les nuages
D’un paradigme s’inversant
Tombent les voiles face à un incontestable changement
Inévitable retour sur soi
Encore une fois

Tout est désir
Entre plaisir et déplaisir
Toujours j’entrevois le meilleur
Mais trop souvent succombe au pire

Girouette virevoltant dans ses cycles cyclothymiques
De doutes en certitudes constat tragique
A travers la brume
Perdre ses emblèmes
Vaines illusions de s’imaginer autre que soi-même
Quand au fil des heures cesse enfin la pluie
Alors sans peur tu réalises 
Que tu n’es que toi
Ni plus ni moins, mais ça
Tu le savais déjà

Tout est déterminé
Tout est orchestré, acté et répété
Tu ne fais que jouer naïvement
Ton rôle de représentant, profites-en

Le flot musical s’assourdit
D’orage se charge l’azur assombrit
Tempête passionnelle en prévision
Souffler préjugés et illusions
Quand d’un coup de foudre pulsionnel
S’illumine le ciel
Aveuglante lumière artificielle
Dans mon cœur battant d’une intense pression artérielle
Bien au chaud dans ses bras
Me voila dans de beaux draps

Tout est amour
Tout est de velours
D’interactions électro-chimiques
Éprouver de courtes passions chroniques

D’un soudain blizzard glacé
Ô combien de bizarres affects
Déroutent mes pensées
Ma personnalité désormais dissociée

Incapable d’aimer
Je me satisferais d’avoir été préféré
Choisi entre deux temps absents
Plonger dans mon inconscient
Et si souffrir reconnectait à son vivant ?
Oui
Non
Aide moi
Toi qui dit qui je suis

Tout est motif
Tout est volition
Entre souffrance et ennui
Arrivé au talweg de ma vie
Espoir d'un jour oser m’aimer et en jouir
D’arriver à aimer et faire jouir

Le temps ne passe plus sans toi
Seul, parfois
Je me risque à vivre le moment présent
Il est temps
 
Quand on me demande ce que j'aime manger et que je dérape :

Je ne suis pas un bec sucré.

Donnez-moi plutôt du salé. Le salé des larmes de tristesse et de joie, si possible mêlés ; le salé des lèvres sur la plage, les salaisons qui permettent d’être sûr de ses réserves pour l’hiver.

Donnez-moi plutôt de l’acidité. L’acidité des cornichons entre deux tranches de vie, l’acidité du citron pressé qui prend son temps pour cuire le poisson cru, l’acidité des remarques pleines d’esprit et de l’esprit plein de buvards lysergiques.

Donnez-moi plutôt de l’amer. De l’amer à boire, de l’amer comme l’amande hors-normes qui fait triplement apprécier les suivantes. L’amertume du café dont on asperge son adrénaline, et celle du thé qui a trop infusé parce qu’on était plongé dans autre chose ; l’amertume des pépins de pomme dont on a rongé le trognon, celle qui nous prévient qu’on est allé trop loin et qu’il est temps de passer à autre chose.

Donnez-moi ce qui croustille et ce qui fond. Donnez-moi l’ardeur du piment et la fraîcheur de la menthe ; donnez-moi l’oignon qui fait pleurer, la moutarde qui monte au nez, et le wasabi qui prend la tête. Donnez-moi les tanins : ceux qui roulent comme des pelles et ceux qui crispent comme le trac avant de sauter dans le vide.

Mais surtout, surtout, donnez-moi les arômes. Donnez-moi la longueur en bouche et la complexité qu’on égrène à chaque gorgée ; donnez-moi les herbes et les épices, mélangées en des proportions toujours nouvelles. Donnez-moi la fumée d’un grand feu, l’odeur de sous-bois après la pluie, et le chêne patiemment imprégné au fil des années. Donnez-moi tout ce qui a été transmuté par la fermentation, cette magie hasardeuse au long cours où l’on risque tout à chaque instant.

Et, parfois, donnez-moi une note sucrée, mais pas n’importe laquelle. Celle des miels sombres et corsés ; celle, microdosée, qui tempère, sans l’annuler tout à fait, la légère acidité du cacao presque pur. Donnez-moi le sucre caramélisé à feu très doux, et le sucre des vins liquoreux comme une après-midi entre amants.

Donnez-moi le sucre des fruits parfaitement mûrs : ceux qu’on dit « trop mûrs », mais trop mûrs seulement pour être vendus à emporter, pour être stockés, pour être mangés « plus loin » et « plus tard ». Ils le sont juste assez pour être dégustés sur place, ici et maintenant, assis sur la branche, en contemplant le soleil couchant - celui-là même qui leur a tiédi la peau pendant toute la longue journée d’été. Donnez-moi le sucre qu’on lèche sur ses doigts avant de tendre la main pour en cueillir un autre ; le sucre qui a commencé à être le festin des levures sauvages, et fait parfois même subtilement pétiller la chair.

Donnez-moi le sucre qu’on dispute toujours aux asticots, le sucre de la vie qui n’attend pas.
 
France:

Si tôt j'ai senti par les vallées les relents
L'acide pays France et la poussière étouffée
Asthmatique parfums , rendu moite par les clochers
Marchant en verticale, immobile dans les champs
L'histoire paralytique, traditions désertées

Et ce chant toujours malade, des troncs humides
des litanies mourantes de rivières embaumées

Des guerres au cuir râpeux, des couteaux élimés
Des cuivres rouillés par les aurores ébréchées

Encore je respire, dans l'air cette veille ruine
Les algues mauvaises et les âmes déjà flottantes
Et par la bise fragile et par la tourbe lente
À l'encre de bruine par les regrets étourdis
Cette rengaine de soldat, les poches alourdies
 
20 mesures

Dans les profondeurs d'mon être,
J'ai vu des trucs qui feraient chialer l'diable :
Y a plein de sales bêtes
Et d'illusions qui n'sont jamais fiables.

Dis-moi quel monstre je suis,
Dis-moi quel monde je fuis
Car j'ai beau courir toute la nuit
J'sais plus quel rêve je poursuis.

Ton histoire peut devenir triste
Et encore qu'est-ce qu't'y ferais ?
Ton espoir ? Brûlé vif
Comme le corps d'un pestiféré.

J'me demande bien ce qu'il me reste.
En tout cas même pas d'pudeur,
J'écris tout c'qui m'passe par la tête,
Et ce bien même jusqu'à plus d'heure.

Coeur gelé, sang froid,
Comme un lézard mort.
La peur je l'ai, sans ça,
J'm'abandonne à mon sort.

J'voulais rêvasser, pas ressasser.
Me relaxer, pas m'angoisser,
Me dépasser, pas m'effacer,
Encore moins me faire remplacer.

Tu veux t'désillusionner sans devenir taré ?
Faut qu't'arrêtes, moi ça m'taraude
D'écrire tard et j'ai pris du retard eh !

Pourquoi j'me parle à moi-même
Comme si j'voulais que ma voix m'aime ?
Je verrai bien où cette voie mène,
Je sais qu'la terreur est humaine.

Les blessures ça n'se compte pas,
Les faiblesses ça se combat,
Ton avenir c'est des bons choix.
Pour grandir fais des constats.

Et dommage que ça s'coupe là,
C'était mon dernier couplet.
Mais plus ma rime te foudroie
Et plus je me sens complet.
 
WOW !!!

Il y a du talent !  Je suis fan
 
snap2 a dit:
20 mesures

Dans les profondeurs d'mon être,
J'ai vu des trucs qui feraient chialer l'diable :
Y a plein de sales bêtes
Et d'illusions qui n'sont jamais fiables.

Dis-moi quel monstre je suis,
Dis-moi quel monde je fuis
Car j'ai beau courir toute la nuit
J'sais plus quel rêve je poursuis.

Ton histoire peut devenir triste
Et encore qu'est-ce qu't'y ferais ?
Ton espoir ? Brûlé vif
Comme le corps d'un pestiféré.

J'me demande bien ce qu'il me reste.
En tout cas même pas d'pudeur,
J'écris tout c'qui m'passe par la tête,
Et ce bien même jusqu'à plus d'heure.

Coeur gelé, sang froid,
Comme un lézard mort.
La peur je l'ai, sans ça,
J'm'abandonne à mon sort.

J'voulais rêvasser, pas ressasser.
Me relaxer, pas m'angoisser,
Me dépasser, pas m'effacer,
Encore moins me faire remplacer.

Tu veux t'désillusionner sans devenir taré ?
Faut qu't'arrêtes, moi ça m'taraude
D'écrire tard et j'ai pris du retard eh !

Pourquoi j'me parle à moi-même
Comme si j'voulais que ma voix m'aime ?
Je verrai bien où cette voie mène,
Je sais qu'la terreur est humaine.

Les blessures ça n'se compte pas,
Les faiblesses ça se combat,
Ton avenir c'est des bons choix.
Pour grandir fais des constats.

Et dommage que ça s'coupe là,
C'était mon dernier couplet.
Mais plus ma rime te foudroie
Et plus je me sens complet.

du lourd comme j'en ai rarement vu ! big up


Bonsoir, un ptit dialogue improvisé entre une fille et son père dans un monde où le temps suis (e^)(x).

Pulsion de ....

  • “Pulsion, pulsion, c’est toi qui fait pulser le sang dans mon crâne ?!
             et Papa, c’est quoi une pulsion  ?? ”

  • “Juliette ! qui t’as appris ce mot ?
            Une pulsion est une forme d’énergie qui te traverse et qui t’anime. IL faut s’en méfier.”

  • “ Papa, pourquoi j’entends du bruit dans votre chambre le soir ?”
  • “ Mais de quoi tu parles Juliette ? Tu es bizarre ajd…”
  • “ Papa, pourquoi j’ai du rouge qui coule sous ma jupe ?
              Papa, je crois que le le temps s’accélère !!! “

               Juliette ! Non ! NANNNNNNNNNNNNNNNNNNN .

              “PAPAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA !!!

rem : j'ai jamais écris un dialogue en pensant écriire un poème 
 
Odyssée Chimérique : Un Ballet de Molécules Synthétiques

Au royaume des molécules de synthèse,
Où l'imagination chimique ne connaît pas de trêve.
Voici notre épopée, un trip report acide,
Avec des nouveaux jouets, oh, que c'est ludique !

Le 1P-LSD danse, une version de la réalité altérée,
Comme un Picasso, il déforme chaque couleur, chaque nuance partagée.
Les murs respirent, applaudissent en silence,
Une symphonie chimique, une illusion en résidence.

Là-bas, le 2C-B, une diva colorée,
Des vagues d'euphorie, une palette éthérée.
Les frontières s'estompent, entre le rêve et le réel,
Un pas de danse entre deux mondes parallèles.

Le DMT, une star parmi les éthers,
Un voyage cosmique, entre les galaxies à l'envers.
Des entités mystiques chuchotent à l'oreille,
"La réalité n'est qu'un masque, ô cher voyageur éveillé."

Et voici le 5-MeO-DMT, la perle rare,
Une plongée dans l'univers, une ombre dans l'éclair.
Le temps se dissout, l'ego s'évapore,
Un rendez-vous avec l'infini, une rencontre au-delà du décor.

Mais attention, chers audacieux chimistes,
Ces molécules ne sont pas des jouets, une évidence.
Leurs danses peuvent séduire, mais aussi troubler,
Un pas de trop peut mener à des vagues difficiles à dompter.

Dans ce bal de molécules, la critique se lève,
Une question persiste : où est la frontière entre rêve et rêve ?
La chimie, une artiste capricieuse, une magicienne,
Nous invite à danser, mais aussi à méditer sur l'essence.

Alors, cher lecteur, si tu t'aventures dans ce cirque,
Prends garde aux échos, aux fantômes chimériques.
L'odyssée chimérique continue, une danse entre ciel et terre,
Dans l'empire des molécules, où l'illusion est reine et sorcière.
 
Baume Anesthésiant :


Des flacons de recherches, un baume engourdissant,
Pour apaiser l'âme, un calme éphémère.
Pourtant, dans nos villes sombres, les angoisses...
Elles se tissent et rampent,
Engloutissant les cœurs dans la garde du sommeil,
Ivre et assoupis dans une brume quiétude.

Les rêves abyssaux se cachent dans les voiles,
Où les échos se tordent et coïncident,
Et l'esprit s'enlace en un labyrinthe sans fin,
En son sein la danse des fantômes, hébétude spectrale.

À travers les dédales d'une pensée altérée,
Se font entendre les échos de la réalité,
Méli-mélo de souvenirs perdus, comme des chuchotements,
Sur les plaines silencieuses de nos luttes intérieures.

Dans la transe d'une Aryl un esprit complet.
Dans la danse de l'irréel (The Unreal) s'associer et se dissocier.

Sur les peines silencieuses de nos plaies intestines,
Dansent des démons, des esprits sinistres,
L'âme endure l'emprise de la vie,
Alors que la santé mentale devient de plus en plus faible.

Le monde extérieur, une sphère lointaine,
Sous emprise il disparaît,
Il suit un chemin solitaire,
Dans les royaumes où les rêves et l'éveil ont saigné,
La ou les songes de la veille ont soignés.

Pourtant, l'espoir peut encore illuminer,
Les profondeurs les plus sombres qui l'étouffent,
Avec une volonté d'amour inébranlable pour guider,
Une chance pour les cœurs fatigués de se reposer.

Chercher le réconfort dans la tendre lumière,
Et bannir les ombres de la nuit,
Car dès l'aube, il y a une chance de se lever,
et de revendiquer les cieux.

Oh, âme troublée, prends courage et écoute,
Ou mène le chemin de la guérison ?
Dans les ombres projetées d'un rayon de lumière ?
Lequel nous guidera dès lors vers la porte ouverte de la vie ?

Dans de doux sifflements, la rédemption chante,
L'espérance dévoile ses ailes douces.
Pour nous soulever du rivage de l'abîme,
Répare les rêves brisés de l'esprit.
 
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