Ce qui est vraiment intéressant, ce n'est pas plus le fait de s'intéresser médicalement aux drogues en particulier, que celui de chercher la possibilité de remèdes malgré la législation apposée à une substance.
Je m'explique : c'est bien sympa, et "détonnant", de faire de la recherche médicale sur des substances classées "drogues" à l'international, pour vouloir en faire un objet du bien, de la guérison. Mais ce qui est, selon moi, bien plus fondamental, c'est d'abord de faire des recherches sur le maximum de choses à notre portée et qui sont restées oubliées pendant un temps ; les drogues sont un de ces objets-là, et certainement le plus évident, mais il en existe certainement d'autres.
On sait que des formes de médecine très étranges et éloignées de la vision mécaniste de la biologie (comme l'homéopathie, médicaments qui ne contiennent plus ou presque plus de principe actif), font leurs preuves sur certains patients. Tant mieux ! Explorons-donc le plus possible de médecines dites "parallèles", mais de façon rigoureuse, scientifique et encadrée. Le plus de cures possibles il existe, le plus de chances de guérison il y a.
Les études sur le MDMA en tant que possible catalyseur de thérapie psychologique remontent aux premières expériences de Shulgin (cf. PIHKAL). Elle ne se sont en fait jamais interrompues jusqu'à aujourd'hui (s'axant principalement autour du SSPT), bien qu'elles aient été effectivement taries entre les années 1970 à nos jours, faute de fonds financiers. Donc je ne pense pas que cette histoire des "40 ans" dépende vraiment d'une législation quelconque, mais juste, peut-être, d'un "réveil" des institutions, et surtout de la presse, concernant ces études.
Je m'explique : c'est bien sympa, et "détonnant", de faire de la recherche médicale sur des substances classées "drogues" à l'international, pour vouloir en faire un objet du bien, de la guérison. Mais ce qui est, selon moi, bien plus fondamental, c'est d'abord de faire des recherches sur le maximum de choses à notre portée et qui sont restées oubliées pendant un temps ; les drogues sont un de ces objets-là, et certainement le plus évident, mais il en existe certainement d'autres.
On sait que des formes de médecine très étranges et éloignées de la vision mécaniste de la biologie (comme l'homéopathie, médicaments qui ne contiennent plus ou presque plus de principe actif), font leurs preuves sur certains patients. Tant mieux ! Explorons-donc le plus possible de médecines dites "parallèles", mais de façon rigoureuse, scientifique et encadrée. Le plus de cures possibles il existe, le plus de chances de guérison il y a.
Les études sur le MDMA en tant que possible catalyseur de thérapie psychologique remontent aux premières expériences de Shulgin (cf. PIHKAL). Elle ne se sont en fait jamais interrompues jusqu'à aujourd'hui (s'axant principalement autour du SSPT), bien qu'elles aient été effectivement taries entre les années 1970 à nos jours, faute de fonds financiers. Donc je ne pense pas que cette histoire des "40 ans" dépende vraiment d'une législation quelconque, mais juste, peut-être, d'un "réveil" des institutions, et surtout de la presse, concernant ces études.