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Bijord a dit:Un tableau que j'ai trouvé dans le bouquin "psychedelic information theory", que je vous motive tous a acheter si vous êtes intéressé par les psychédéliques, le shamanisme ou la pharmacologie. (attention lecture quand même assez ardue a capter^^)
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Les choses intéressantes a remarquer (traduction rapide de ma part du texte accompagnant le tableau) :
Le DMT, malgré qu'il soit connu pour sa puissance, n'as pas les valeurs d'affinité les plus élevées pour tous les récepteurs sérotoninergiques.
Le récepteur 5HT-2C serait le principal responsable des effets hallucinatoires. Les molécules ayant une affinité pour ce récepteur légèrement plus forte sont le DMT et le DOI.
Le récetpeur 5HT7 stimule les centre de la récompense (entre autre). Comme par hasard, le DMT, le LSD et le 5-meo-DMT ont la plus forte affinité pour ce récepteur. (est-ce de là que viens leur popularité?)
L. Kent dit par la suite qu'une faible affinité pour les récepteurs 5HT-2A/C et une haute affinité pour le récepteur 5HT-2B ferait des psychédéliques peu/pas visuels (tel que la MDMA, le 5-meo-DMT, le DIPT, la mescaline?), mais que leur haute activité pour les récepteurs adrénergiques donne un ressenti très "sensuel".
L'affinité pour le récepteur 5HT-2B provoquerai des effets principalement sensuels/entactogènes.
Le récepteur (son activation) 5HT-1A causerai des effets subjectifs de bien-être et de satisfaction.
Le DIPT est rare dans le sens ou il ne provoque peu ou pas d'hallucinations visuelles mais des hallucinations sonores. Les récepteurs 5HT2A/2C seraient impliqués dans les effets visuels.
Bijord a dit:Oui mais dans ce cas là, il faut aussi pointer qu'a dose énorme tu perd la sélectivité des récepteurs. Donc je crois au contraire de toi qu'une valeur de 0 permet de dire de façon plus ou moins fiable que l'affinité pour ledit récepteur peut être considérée comme nulle. Mais je suis preneur de toute information fiable qui me dirai le contraire
Normalization
The raw K[SUB]i[/SUB] values are distributed over several orders of magnitude, thus a log transformation is a good first step in the analysis. In addition, higher affinities produce lower K[SUB]i[/SUB] values, thus it is valuable to calculate: pK[SUB]i[/SUB]=−log[SUB]10[/SUB](K[SUB]i[/SUB]). Higher affinities have higher pK[SUB]i[/SUB] values, and each unit of pK[SUB]i[/SUB] value corresponds to one order of magnitude of K[SUB]i[/SUB] value. Table S4 presents the raw data transformed into pK[SUB]i[/SUB] values. Generally, the highest K[SUB]i[/SUB] value generated by NIMH-PDSP is 10,000, which produces a pK[SUB]i[/SUB] value of −4 (although a value of 10,450 was reported for 5-MeO-TMT). For non-PDSP data gathered from the literature, some K[SUB]i[/SUB] values greater than 10,000 are reported (i.e. 12,500, 14,142, 22,486, 39,409 and 70,000 for ibogaine).
When the primary assay did not produce >50% inhibition, the K[SUB]i[/SUB] value is treated as >10,000. When the primary assay hit, but the secondary assay was not performed, the K[SUB]i[/SUB] value is also treated as >10,000. If a secondary assay produced a K[SUB]i[/SUB] value significantly greater than 10,000, it is usually also reported as >10,000. The lowest K[SUB]i[/SUB] value in the data set of this study is 0.3 (lisuride at 5-HT[SUB]1A[/SUB]) and the highest value is 70,000 (ibogaine at D[SUB]3[/SUB]), thus collectively, the data in this study cover nearly six orders of magnitude of K[SUB]i[/SUB] values. However, ignoring values reported as >10,000, the K[SUB]i[/SUB] values for a single drug in this study never exceed four orders of magnitude in range.
The goal of the normalization used in this study is to factor out potency, in order to allow easy comparison of the multi-receptor affinity profiles of different drugs. The normalization will adjust the highest pK[SUB]i[/SUB] value for each drug to a value of 4, and set all K[SUB]i[/SUB] values reported as >10,000 to a value of zero. K[SUB]i[/SUB] values actually measured as greater than 10,000 are not set to zero (i.e. 5-MeO-TMT and ibogaine). We will call this normalized value npK[SUB]i[/SUB]. Let the maximum pK[SUB]i[/SUB] value for each drug be called pK[SUB]iMax[/SUB]. For each individual drug:
With this normalization:
- If K[SUB]i[/SUB] treated as >10,000, then npK[SUB]=[/SUB]0
- npK[SUB]i[/SUB]=4+pK[SUB]i[/SUB]−pK[SUB]iMax[/SUB]
This normalization effectively factors out the absolute potency of each drug, and allows us to focus on the relative affinities of each drug at each receptor.
- higher affinities have higher values
- affinities too low to be measured will be reported as zero
- for each drug, the highest affinity will be set to a value of 4
- each unit of npK[SUB]i[/SUB] value represents one order of magnitude of K[SUB]i[/SUB] value
- potency is factored out so that drugs of different potencies can be directly compared
En bas de l'image :Psychedelics and the Human Receptorome
- Thomas S. Ray mail
- Published: February 02, 2010
From Ray,2010
Bijord a dit:L. Kent dit par la suite qu'une faible affinité pour les récepteurs 5HT-2A/C et une haute affinité pour le récepteur 5HT-2B ferait des psychédéliques peu/pas visuels (tel que la MDMA, le 5-meo-DMT, le DIPT, la mescaline?)
Ketamine, a known antagonist of N-methyl-D-aspartic (NMDA) glutamate receptors, had been used as an anesthetic particularly for pediatric or for cardiac patients. Unfortunately, ketamine has become an abusive drug in many parts of the world while chronic and prolonged usage led to damages of many organs including the brain. However, no studies on possible damages in the brains induced by chronic ketamine abuse have been documented in the human via neuroimaging. This paper described for the first time via employing magnetic resonance imaging (MRI) the changes in ketamine addicts of 0.5-12 years and illustrated the possible brain regions susceptible to ketamine abuse. Twenty-one ketamine addicts were recruited and the results showed that the lesions in the brains of ketamine addicts were located in many regions which appeared 2-4 years after ketamine addiction. Cortical atrophy was usually evident in the frontal, parietal or occipital cortices of addicts. Such study confirmed that many brain regions in the human were susceptible to chronic ketamine injury and presented a diffuse effect of ketamine on the brain which might differ from other central nervous system (CNS) drugs, such as cocaine, heroin, and methamphetamine.
Possible, par contre le risque aussi c'est que ca annule les effets, sans totalement annuler la dangerosité... Après si quelqu'un peut tester, sait on jamais.Xochipilli94 a dit:J'ai passe un coup d'œil sur Tikhal et rien de dit sur les affinités de la dmt.
En revanche j'ai appris que la dmt était très frottement potentialiser si elle était précédé par de l'UML-491 (aussi appelé methysergide). Un antagoniste de l'HT-2b entre autre, ça veut dire que elle empêche les effets néfastent sur le coeur de la DMT (agoniste d'HT-2b) par exemple ?
Bon... et bin mon truc de boire un peu d'alcool et prendre des anti oxydant en prime en cas de trip de disso (hors salvia), je vais garder ca voir augmenter
Après j'avoue que quand je prends quelque chose d'un peu vasoconstricteur, j'ai tendance à prendre des vaso dilatateurs. Pendant, de la Vitamine B3. Après le trip par contre c'est du praxilène. Ce dernier fait aussi antagoniste 5HT2, donc je me dis qu'après tout... si ca peut jouer au moins pour limiter la casse ma foi. Bon évidemment, j'en prends pas pendant.
On continue dans les portes ouvertes :mrgreen:Bijord a dit:Ouais c'est clair que ça doit être un truc du genre (mais spéculation totale de ma part là). Ton corps possède certains mécanismes de défense. Tant qu'ils tiennent, tout va (relativement) bien. Après, ça casse de façon exponentielle si l'on perpétue le comportement destructeur. Ca se ressent très bien dans le cas du GHB par exemple. Tu peux en consommer régulièrement pendant une longue période sans presque d'effets secondaires, mais si tu passe par une période d'abus quotidiens, le produit sera plus jamais le même et tu commence vraiment a douiller en très peu de temps. Enfin c'est pas vraiment une explication scientifique et rigoureuse là donc bon j'arrête c'est pas trop l'objet du topic, mais il me semble que ça se passe comme ça : On peut avoir une consommation occasionnelle ne n'importe quelle saloperie sans trop de dommages, mais a trop forte fréquence, même les substances les plus innocentes peuvent te brûler comme il faut. (je sais j'aime bien enfoncer des portes ouvertes^^)
Mais vrai mine de rien. Enfin si, je tique un minimum, On peut avoir une consommation occasionnelle ne n'importe quelle saloperie sans trop de dommages moué fin, de "pas mal de saloperies" plutôt. J'irai pas généraliser, jpense qu'on peut trouver des exceptions ^^. Mais en tout cas, c'est intéressant, parce que par exemple la meth la neurotoxicité directe est quantifiable. Là, c'est le cerveau qui dégénère "a la longue". Un mécanisme bien différent, intéressant.Toutes les choses sont poison, et rien n’est sans poison ; seule la dose fait qu’une chose n’est pas un poison
Dans une optique de RdR j'aurai tendance a dire que tant qu'on a pas totalement élucidé un mécanisme de dommage et comment le contrer, il n'est pas bon de recommender de prendre quoi que ce soit en plus pour annuler un effet secondaire, surtout avec une seconde substance qui peut elle aussi créer des effets secondaires négatifs. Après des trucs aussi bénins que des vitamines/minéraux/antioxydants, ça peut pas trop faire de mal mais bon. On sait jamais! Je me rappelle comme ça l'exemple de la supplémentation en mélatonine (hormone qui as une forte action antioxydante si je ne me trompe pas). Hormone du sommeil, ça a l'air assez inoffensif comme ça. Et ba j'avais trouvé une étude qui rapportait que la toxicité de la methamphetamine était augmentée lors d'une prise conjointe en mélatonine.
Edit : Bon en fait j'ai cherché a retrouver mon étude, on peut aussi bien trouver des études qui disent que la mélatonine diminue la toxicité ou qu'elle l'augmente mélangée a la meth^^ Ducoup ouais, prendre du recul par rapport a tous ces scientifiques a la con qui veulent le nobel^^
A review of clinical manifestations in adolescent and young adults after use of synthetic cannabinoids.
Authors
Brewer TL,et al. Show all
J Spec Pediatr Nurs. 2013 Dec 10. doi: 10.1111/jspn.12057. [Epub ahead of print]
Abstract
PURPOSE: The purpose of this review is to heighten the awareness of the increased use and risks of synthetic cannabinoids (SCs) and associated clinical manifestations among adolescents and young adults.
CONCLUSIONS: Reviewed case studies suggest that the use of SCs have unpredictable negative psychological and physiological effects. Predominant manifestations reported were anxiety, agitation, paranoia, hallucinations, tachycardia, nausea and vomiting, and diaphoresis.
PRACTICE IMPLICATIONS: Nurses provide the most direct and supportive care to patients who present for medical treatment after the use of SCs. Knowledge of clinical manifestations can facilitate supportive management of patients suspected of SCs use.
Alors qu'on pensait généralement que la prégnénolone n'avait pas d'effet biologique propre, les chercheurs ont montré qu'elle était en fait capable de protéger le cerveau des effets néfastes du cannabis Parmi les effets les plus connus figurent des déficits cognitifs et notamment des troubles de la mémoire ainsi qu'une perte générale de la motivation.
En administrant de fortes doses de cannabis à des rats et des souris, les chercheurs ont réussi à augmenter la concentration cérébrale de la prégnénolone dans leur cerveau et à bloquer les effets néfastes du principe actif ducannabis (le THC) qui agit sur des récepteurs cannabinoides (CB1) situés sur les neurone.
Les doses ingérées étaient bien supérieures à celles auxquelles sont exposés les consommateurs réguliers de cannabis «de l'ordre de 3 à 10 fois plus», a précisé à l'AFP Pier Vincenzo Piazza qui a conduit l'étude.
En augmentant les doses, les chercheurs ont découvert un processus naturel jusqu'alors inconnu, protégeant le cerveau d'une suractivation des récepteurs CB1 et diminuant les effets du cannabis sur la mémoire. Ils ont également réalisé des tests en laboratoire sur des récepteurs CB1 humains faisant apparaître les mêmes résultats.