Mon avis, aucunement scientifique, basé simplement sur le fonctionnement des femmes que j'ai connu et qui prenaient des prods:
La MD, la coke, n'annule pas les effets de la pillule, sinon je serais surement père d'une colonie de vacances^^. Par contre oui, ça peut les décaler, sachant qu'une fréquence de nuits blanches peut à elle toute seule le faire, moi cela ne me surprend pas. Chez certaines, un simple changement de rythme de vie peut en être la cause ( partis en corse 3 semaines cette année, ma femme ne les a pas (ou presque) eu, nuit presque blanche sur le bateau? Effet psychologique du camping? J'en sais rien, mais en rentrant tout est redevenu normal).
Concernant la prise de produits pendant la grossesse, je pense que c'est a exclure completement, si la femme est addict, bin c'est con a dire mais je pencherais plutôt pour le sevrage avant. J'ai connu plusieurs histoires de fausses couches (a priori) à cause de cela.
Ma femme, elle même, dit avoir vécu de sales histoires dont les produits seraient responsables, aucune preuve médicale, mais quand une femme ressent ce genre de chose, j'ai tendance à la croire (instinct, écoute de soi même). Résultat des courses, pendant son premier mariage, elle a connu, fausses couches et un mort né (pas très fun pour une femme, ça poursuit toute la vie). Je sais très bien qu'au fond de sa tête, elle culpabilise un peu du manque de capacité à la concentration d'un de ses enfants, j'ai tendance à dire qu'il ne faut pas psychoter non plus, vu qu'elle n'a jamais été une grande consommatrice, mais cette idée restera toujours là, je ne pourrais jamais l'enlever complètement (concernant celui ci, elle n'a plus rien pris à partir du moment ou elle a su qu'elle était enceinte, mais entre la conception et le moment ou elle l'a appris.....là persiste un doute).
Tout ça pour dire que c'est pas un simple risque sur l'instant et pour certains profils psychologiques, si il ya le moindre petit pepin cela peut avoir des effets désastreux définitifs sur la femme et que cela n'en vaut pas la chandelle.
Si vous vous droguez protégez vous de façon la plus sure (capote), ou arrêtez les prods. C'est mon avis......
Concernant le THC, il ya des études contradictoires (les études et la drogue, souvent information/ désinformation, on ne sait plus quoi penser au bout), ma première femme avec laquelle j'ai eu 2 enfants fumait beaucoup, évidemment c'était ma femme^^. Le docteur lui a dit de diminuer
très très fortement, mais que si le stress devait s'en mêler valait mieux qu'elle fume un joint très léger, plutôt que de vivre sa grossesse les nerfs en pelotte. aujourd'hui mes filles ont 15 et 13 ans, dorment très bien, sont zens, et ont des résultats remarquables à l'école, toutes les deux entre 16 et 18 de moyenne (la grande a même eu son brevet avant même de passer l'examen et a obtenu mention "très bien", la petite fait les devoirs de la grande pour s'amuser :Oo
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Concernant la lubrification, peut être que certains produits la stoppent de façon mécanique, moi je n'en connais pas.
Coke, speed, MD, THC, LSD, alcool, rien vu de tel, je ne connais que très peu les RC, plutôt les drogues "classiques", donc je ne serais pas catégorique. Il faut savoir que la dite lubrification est très psychologique, donc, comme pour l'érection, une simple suggestion ou crainte peut évidemment être la cause de sécheresse. SI on va par là, une femme qui se dit que faire l'amour sous produit peut, peut être, influencer les qualités vitales du fœtus (directement par les spermatozoïdes ou l'ovule), pourrait provoquer une barrière psychologique.
Le plaisir, la lubrification de la femme a beaucoup trop été délaissé par la médecine (machisme de la société et de l'ordre des médecins), nous n'en savons encore malheureusement pas assez. Quand je pense que certains médecins remettent encore en cause "l'éjaculation féminine" (j'aime pas trop ce terme , c'est moche, mais il n'en existe pas d'autre) et que même ceux qui l'acceptent n'en connaissent pas encore exactement l'origine, c'est une honte!