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Aucune idée du début d'un soupçon de ce que ça peut vouloir dire mais merci. x)Brusque a dit:Acro, tu es comme les intros des écritures, mais tu as ton +1
Y'a des ensembles de différences significatives, voui, bien sûr. Il s'agit pas de les nier juste de souligner à quel point ça devient complexe à déterminer sur les fossiles et que ça relève de partis pris (multiplier ou réduire ce nombre d'espèces), ou à quel point il existe de petites subtilités. "La règle" est plus précisément et en théorie, et dans les faits pour la grande majorité des cas : qui ne peuvent pas avoir de descendance fertile. Genre un mulet ça va, ça peut pas se reproduire. Par contre genre tigres et lions peuvent avoir une descendance elle-même pseudo-fertile si c'est une tigresse et un lion ou l'inverse ou quelque chose comme ça. Et genre on en sait potentiellement rien du tout entre les espèces d'insectes. Cela dit ça ne rend pas le terme inopérant.BrusqueArabesque a dit:Même on peut considérer qu'il y a des frontière floues entre espèces (Sachant que même un chiwawa descend d'un loup), il y a en effet une séparation "progressive" entre espèces. Mais un chat ne peut pas baiser un chien, les amis ... Il y a des barrières que l'on pourrait qualifier de "ponctualistes".
:heart:BrusqueEnamouré a dit:Je vous aime, les gars :heart::heart::heart:
FunkyDuck a dit:-contrairement à une croyance populaire, la viande des grisons c'est du boeuf, et pas du grison ( un animal imaginaire qu'on imagine pourtant tous en mangeant de la raclette). Les grisons sont une region de suisse.
FunkyDuck a dit:-manger de la pizza base crème est interdit par le bon goût.
-Si Nico repasse en 2017, ce sera un précédant. Matière à prétexte pour une 6eme ça ? NON ?
-S'il n'existait pas les interdits judéo-chrétiens et les obsessions natalistes, on seraient tous bisexuels.
"durant les année 60, pour tenter de faire disparaître la malaria, l'organisation mondiale de la santé (oms) a mis en route un vaste programme destiné à débarrasser les régions tropicales des moustiques, vecteurs de cette maladie. Bornéo faisait partie des pays bénéficiant de ce traitement, l'oms entreprit, dans les zones les plus affectées, une grande campagne de pulvérisation de ddt.
le programme de l'oms commença par être couronné de succès et le nombre de moustiques diminua de façon spectaculaire. Mais cette population ne fut pas la seule à être exterminée : De nombreuses autres espèces furent intoxiquées par le ddt, et parmi elles une minuscule guêpe, prédatrice des chenilles qui vivent dans le chaume des maisons locales. Une fois les guêpes décimées, le nombre des chenilles s'accrut et pris les proportions d'un véritable fléau : Dévorant le toit des maisons, elles provoquaient leur effondrement. Le programme de pulvérisation du ddt ne s'en poursuivit pas moins, mais, seconde conséquence néfaste, les cadavres des moustiques servirent de nourriture aux geckos qui abondent à bornéo et ces lézards, rendus malades par le ddt, devinrent une proie facile pour les chats du pays qui accumulèrent dans leurs tissus de fortes concentrations du ddt.
les chats trépassèrent par milliers et les rats de bornéo connurent alors une véritable explosion démographique. Or non seulement ces rongeurs dévorent les récoltes locales, mais ils sont porteurs d'une menace bien pire, la peste bubonique. En désespoir de cause, le gouvernement de bornéo a demandé qu'on parachute des chats dans les régions les plus atteintes.
Rasf a dit:Mais c'est astronomique comme valeur !