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Guest
MydriHaze a dit:Tu crois qu'il y a quoi après la mort du coup ?
Y'a rien.
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MydriHaze a dit:Tu crois qu'il y a quoi après la mort du coup ?
Astwogate a dit:La masse ca ne disparait pas comme çà ^^
Quand tes posts ressemblent à des répliques d'Hubert Bonisseur de la Bath mais au premier degré.Aid3nPearce a dit:Y'a pas de réincarnation, sérieux... Arrêtez de faire les enfants.
Astwogate a dit:quelque chose qui n'est pas mesurable ne peut pas avoir le moindre effet sur le monde physique.
snap2 a dit:Toutes ces informations ont été vérifiées et elles étaient vraies.
EtrangeVoyageur a dit:Ca serait pas très drole que la mort soit la fin du voyage, ca enlèverait une partie du sens de la vie, qui se résumerait a faire des enfants, qui en feront d'autres avant de mourir (au final ça ne sert pas a grand chose ^^).
Dysfonctions cognitives postopératoires Les causes de dysfonction neurologique postopératoire sont mal comprises mais certainement multifactorielles. En dehors des accidents graves, il existe des problèmes neurologiques moins évidents, dont le diagnostic demande la coopération des neurologues. L’existence de troubles de mémoire, de difficultés d’attention, de troubles du sommeil ou d’autres désordres neurologiques similaires peut sembler mineure à l’anesthésiste car il suit rarement le patient au-delà des premiers jours qui suivent l’intervention. Pour le patient, ces troubles peuvent représenter un handicap important. Ils seront d’autant plus fréquents que les patients soumis à la chirurgie seront de plus en plus âgés. Les troubles cognitifs postopératoires peuvent être différenciés en : – confusion postopératoire, qui se définit comme une dysfonction cérébrale précoce et transitoire – et dysfonctions cognitives postopératoires prolongées qui sont de diagnostic plus difficile, pouvant durer plusieurs mois et dont la réversibilité est incertaine [289, 290]. ● Syndromes confusionnels postopératoires Les syndromes confusionnels postopératoires se caractérisent par un mode de survenue précoce avec un début brutal, la nuit le plus souvent, et par une symptomatologie transitoire. Le tableau clinique associe des troubles de la conscience, une altération de l’attention, une atteinte globale de la cognition (mémoire, perception, pensée) avec une activité psychomotrice, augmentée ou diminuée, et des anomalies du rythme nycthéméral. Il peut également s’accompagner d’hallucinations visuelles ou auditives. Leur incidence varie de 8 %[289] à 70 % [291, 292] en fonction du type de chirurgie et de la population étudiée. L’augmentation exponentielle de la fréquence publiée de ces troubles est en partie expliquée par l’augmentation du nombre d’actes anesthésiques chez des patients de plus en plus âgés. Il existe des échelles diagnostiques de ces syndromes confusionnels pour les patients hospitalisés. Une échelle a récemment été validée pour les patients de réanimation [293]. Ces délires postopératoires sont associés à une augmentation de la morbidité, de la mortalité et de la durée d’hospitalisation [294, 295]. Ce sont des syndromes non spécifiquesliés à des dysfonctions cérébrales très diverses [289] qui résultent de nombreux facteurs incluant : – troubles métaboliques ; – infections ; – administrations médicamenteuses périopératoires ; – sevrages médicamenteux ; – infarctus cérébraux et myocardiques ; – hypotension artérielle ; – et hypoxémie. Les produits en cause sont principalement les tranquillisants et les psychotropes, les protecteurs gastriques (cimétidine, ranitidine, oméprazole), les diurétiques, les antihypertenseurs d’action centrale. Tous les produits ayant un effet anticholinergique peuvent aggraver les syndromes confusionnels du sujet âgé. Les syndromes de sevrage médicamenteux sont souvent méconnus. Le sevrage des benzodiazépines est le mieux décrit mais les antidépresseurs peuvent aussi provoquer des manifestations de sevrage. Ces syndromes confusionnels peuvent également évoluer vers des dysfonctions cognitives postopératoires prolongées.
Juste des K-hole, ou autres expériences dissociatives induites médicalement. J'upload un traité d’anesthésie générale que je linkerai ici, c'est passionnant (3000 pages), avec la fonction recherche tu trouves des dizaines d'explication rationnelles et scientifiques à tous ces phénomènes.La pharmacocinétique de la kétamine (Tableau 8) est proche decelle du thiopental, mais la molécule est cinq fois plus liposoluble que le thiopental [32]. Elle est faiblement liée aux protéines plasmatiques. Après une injection intraveineuse, ses concentrations cérébrales sont élevées, en raison de l’importance du débit sanguin cérébral et de sa liposolubilité. Dans un deuxième temps, elle se redistribue dans les tissus adipeux. La demi-vie de distribution régit l’effet anesthésique, et la demi-vie d’élimination les phénomènes tardifs comme les hallucinations au réveil. La kétamine s’accumule en cas d’injections répétées ou d’administration continue.
Aid3nPearce a dit:Oulahhh...
Je ne vois pas pourquoi la mort en tant que fin enlève une partie du sens de la vie.
Je ne vois pas non plus pourquoi tu résume le sens de la vie à la procréation.