Juste pour dire
- Auteur de la discussion josé
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Guest
Agone a dit:
Ou se changer soi en arrivant à faire changer les autres.
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Nan lotre, ce que je veux dire ç'est que si on se sent bien dans un job, ç'est parce qu'on ne sait pas à quel point ça peut etre beaucoup mieux.
Je dis pas que t'as pas vécu, et encore moins que t'es capitaliste.
Je dis seulement que j'ai connu deux extremes. Et je vois comment ça peut etre cool quand on sort d'un systeme d'exploitation ou d'aides sociales pour bosser sans pressions ou angoisses de ne pas te faire renouveller un enieme CDD.
Apres chacun voit midi à sa porte.
Chuis pas forcement idéaliste, chuis pragmatique.
Quand ton boss te fait chier, tu te syndique, tu gueule un coup.
Et paf, bizarrement le lendemain tu peux bosser tranquille.
Je dis pas que t'as pas vécu, et encore moins que t'es capitaliste.
Je dis seulement que j'ai connu deux extremes. Et je vois comment ça peut etre cool quand on sort d'un systeme d'exploitation ou d'aides sociales pour bosser sans pressions ou angoisses de ne pas te faire renouveller un enieme CDD.
Apres chacun voit midi à sa porte.
Chuis pas forcement idéaliste, chuis pragmatique.
Quand ton boss te fait chier, tu te syndique, tu gueule un coup.
Et paf, bizarrement le lendemain tu peux bosser tranquille.
Anaclitique
Sale drogué·e
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Lotre a dit:
Ouais, en soi je te crois hein, mais plus j'y pense plus je me dis qu'avant que le monde du travail veuille de moi...^^ Pffff puis en fait j'ai pas envie de me lever tous les matins pour faire la même chose je crois. Un peu comme en ce moment où chaque matin je me lève (ou non selon dormi/pas dormi) pour faire la même chose indéfiniment, chaque jour je me lève pour faire rien. Et franchement c'est usant !
Non plus sérieusement je suis d'accord avec toi, faire quelque chose que tu aimes déjà je trouve que ça change beaucoup de choses, dont le regard que l'on porte sur ce monde du travail justement.
Love'mind.2
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J'ai pas une grosse experience du monde du travail étant donner que je suis étudiante et que j'ai encore quelques années d'études devant moi, mais des quelques jobs que j'ai pu avoir et de ce que je vois avec mon fiancé qui lui a arrêter l'école avant le bac, j'ai l'impression qu'il y a deux types de monde du travaille . Celui dans les grosses entreprises, et celui dans les petites assez familial .
J'ai eu de la chance je pense parce que je suis toujours tomber dans des petites entreprise familial ou je ne me suis jamais sentis esclave moderne . Je pense notamment à quand j'étais boulangère , le patron (super sympa mais tres pro) bossais 1000 fois plus que les employer . Et les employer était traiter comme des humains tout simplement . Même si ce n'est pas un travaille que je voudrais faire toute la vie (je suis d'ailleurs bien contente de faire des études afin de faire un travaille ou le ratio fatigue/paye est plus avantageux) le cadre et l'ambiance était tres humaine .
par contre , je vois pour mon chéri , lui bosse en interim et galère ENORMEMENT pour trouver un CDI. Et cest à chaque fois dans des grosses entreprise ou le côté humain n'existe tout simplement pas . Là oui on peut parler d'esclavage moderne . (C'est d'ailleurs pour ça qu'il a décider de reprendre ces études)
On ne peut pas mettre toutes les entreprise dans le même panier . Les petites n'ont rien à voir avec les grosses entreprises , et les patrons des petites sont vraiment pas aider avec toutes les charges qu'ils ont à payer pour les employer. Le patron de la boulangerie ou je bossais aurais vraiment voulus nous payer plus mais avec les taxes par employer il faisait du mieux qu'il pouvais .
Le marché du travail est un gros bordel , mais si on tombe sur la bonne entreprise et que l'ont fait un métier qui nous plaît ce n'est pas si terrible . Apres faut avoir de la chance. C'est pas donner à tout le monde de tomber là dessus et c'est ce qui est dommage .
J'ai eu de la chance je pense parce que je suis toujours tomber dans des petites entreprise familial ou je ne me suis jamais sentis esclave moderne . Je pense notamment à quand j'étais boulangère , le patron (super sympa mais tres pro) bossais 1000 fois plus que les employer . Et les employer était traiter comme des humains tout simplement . Même si ce n'est pas un travaille que je voudrais faire toute la vie (je suis d'ailleurs bien contente de faire des études afin de faire un travaille ou le ratio fatigue/paye est plus avantageux) le cadre et l'ambiance était tres humaine .
par contre , je vois pour mon chéri , lui bosse en interim et galère ENORMEMENT pour trouver un CDI. Et cest à chaque fois dans des grosses entreprise ou le côté humain n'existe tout simplement pas . Là oui on peut parler d'esclavage moderne . (C'est d'ailleurs pour ça qu'il a décider de reprendre ces études)
On ne peut pas mettre toutes les entreprise dans le même panier . Les petites n'ont rien à voir avec les grosses entreprises , et les patrons des petites sont vraiment pas aider avec toutes les charges qu'ils ont à payer pour les employer. Le patron de la boulangerie ou je bossais aurais vraiment voulus nous payer plus mais avec les taxes par employer il faisait du mieux qu'il pouvais .
Le marché du travail est un gros bordel , mais si on tombe sur la bonne entreprise et que l'ont fait un métier qui nous plaît ce n'est pas si terrible . Apres faut avoir de la chance. C'est pas donner à tout le monde de tomber là dessus et c'est ce qui est dommage .
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Guest
Agone a dit:
C'est pas que je suis pas d'accord en fait, je ne cherche pas a opposer nos points de vue, c'est juste pour dire que les choses ne sont pas a sens unique.
Sludge
Holofractale de l'hypervérité
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Love'n'mind : Oui alors bien sûr il y a des exceptions, mais le truc c'est que c'est selon la volonté du patron dans ce monde. Donc s'il veut t'arnaquer, il essaie par tous les moyens. Et c'est le cas dans beaucoup de petites entreprises aussi. Si le patron gère tranquille son affaire et qu'il est sympa, ça peut aller. Mais s'il a du mal à joindre les deux bouts (et c'est beaucoup le cas pour les petites entreprises bien sûr, puisqu'elle n'ont pas de fonds pour encaisser les coups durs), c'est sur les employés que ça retombe.
Artisan de Liberté
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Tiens Sludge, entre ton post et celui de Dimitrip ,j'ai pas put résister! 
[video=youtube;q_evGcZYiqY]
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Plante Verte
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J'aime les concombres
Xyro
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Question existentielle : combien de grammes de LSD dois-je mettre dans une piscine olympique (2500 mètres cube) afin d'être chéper suite à un buvage de tasse. (J'ai mesuré ma capacité buccale à 90 ml.)
Selon un calcul nocturne et néanmoins scientifique : il faut 2,7 kilos de cristaux de LSD.
Conclusion : tu mets 2,7 kilos de LSD dans un piscine olympique, dès que tu bois la tasse, tu trippes.
Edit: décalage de virgule, j'étais pas très clair quand j'ai fait le calcul
Selon un calcul nocturne et néanmoins scientifique : il faut 2,7 kilos de cristaux de LSD.
Conclusion : tu mets 2,7 kilos de LSD dans un piscine olympique, dès que tu bois la tasse, tu trippes.
Edit: décalage de virgule, j'étais pas très clair quand j'ai fait le calcul
Anaclitique
Sale drogué·e
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Wooow, p'tain... Je n'sais pas à quoi tu tournais mais tu tournais !Xyro a dit:
La Cigale, ayant perché
Tout l'été,
Se trouva fort dépourvue
Quand des benzos elle n’eut plus.
Pas un seul petit morceau
De valium ou de bédo.
Elle alla crier famine
Chez la Fourmi sa voisine,
La priant de lui prêter
Quelque grammes pour substituer
Jusqu'à la saison nouvelle.
Je vous paierai, lui dit-elle,
Avant l'août, foi d'animal,
Intérêt et principal.
La Fourmi n'est pas prêteuse ;
C'est là son moindre défaut.
Que faisiez-vous au temps chaud ?
Dit-elle à cette emprunteuse.
Nuit et jour à tout venant
Je prodais, ne vous déplaise.
Vous prodiez ? j'en suis fort aise :
Et bien ! décrochez maintenant.
Tout l'été,
Se trouva fort dépourvue
Quand des benzos elle n’eut plus.
Pas un seul petit morceau
De valium ou de bédo.
Elle alla crier famine
Chez la Fourmi sa voisine,
La priant de lui prêter
Quelque grammes pour substituer
Jusqu'à la saison nouvelle.
Je vous paierai, lui dit-elle,
Avant l'août, foi d'animal,
Intérêt et principal.
La Fourmi n'est pas prêteuse ;
C'est là son moindre défaut.
Que faisiez-vous au temps chaud ?
Dit-elle à cette emprunteuse.
Nuit et jour à tout venant
Je prodais, ne vous déplaise.
Vous prodiez ? j'en suis fort aise :
Et bien ! décrochez maintenant.
