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Drogues et éthique

  • Auteur de la discussion Auteur de la discussion Ji-doo
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La mescaline synthétique règle le problème, encore faut-il connaître quelqu’un qui en fait (ça existe, ce n’est pas une légende, mais c’est rare).

L’appel à la nature peut détruire la nature…
 
Ceci n’est pas un commentaire.
 
PSYCHOCRACK a dit:
faire pousser le san pedro dans nos région dehord en plein hivers spas possible sauf dans le sud de la france, juste un rappelle.
J'en connais un content dans un jardin lyonnais. De là à dire qu'il est efficient, je ne sais pas, mais il se porte très bien. Après, Lyon est peut-être déjà le sud pour les gens de Paris ou de Lille.
 
J'dois être trop fatigué je crois je comprend rien à ce topic...
 
Acromyrex a dit:
J'en connais un content dans un jardin lyonnais. De là à dire qu'il est efficient, je ne sais pas, mais il se porte très bien. Après, Lyon est peut-être déjà le sud pour les gens de Paris ou de Lille.

Effectivement :-D
 
PSYCHOCRACK a dit:
par contre faire pousser le san pedro dans nos région dehord en plein hivers spas possible sauf dans le sud de la france, juste un rappelle.

Ces cactus s'adaptent aussi très bien derrière une fenêtre, sous réserve de les éloigner des radiateurs !


rfgg.jpg



Sorence a dit:
La mescaline synthétique règle le problème, encore faut-il connaître quelqu’un qui en fait (ça existe, ce n’est pas une légende, mais c’est rare).

L’appel à la nature peut détruire la nature…

D'une part, c'est effectivement rare et donc peu accessible (en 10 ans, on en a analysé une seule fois) et souvent elle est extraite de cactus.

Mais par rapport à l'article, c'est un non sens...les curanderos expliquent justement que :

"La valeur médicinale est souvent attribuée à la teneur en mescaline du Peruvian Torch, mais au Pérou, sa valeur ne se limite pas aux alcaloïdes. Le huachumero Josip Orlovac del Rio travaille avec le cactus depuis plus de 30 ans.

Pour Orlovac, la connaissance des plantes n'est pas une question de noms botaniques. Pour lui, il s'agit d'une relation, non pas avec un nom, mais avec un esprit, avec les montagnes, les vallées et les lacs d'où il vient. Pour ceux qui connaissent les plantes, les noms latins et les alcaloïdes n'expliquent jamais tout.

En ce qui concerne la psychoactivité, Trout met en garde contre le fait que nous ne comprenons même pas très bien comment fonctionne la mescaline, sans parler d'autres alcaloïdes non étudiés présents en fortes concentrations dans certains cactus.

Orlovac souligne qu'un échantillon de phytochimie en dit autant sur une plante qu'un échantillon de sang sur un être humain. Il parle ensuite d'innombrables séances de consommation de cactus sacrés, expliquant les nuances de l'utilisation du cactus dosé avec soin pour divers processus de guérison.

Au cours d'un WhatsApp dans un café bruyant de Lima, Orlovac me fait comprendre que la véritable astuce pour travailler avec les cactus sacrés n'est pas de compter les alcaloïdes, mais d'établir une véritable relation avec la plante, la terre et la lignée qui la soutient. Lorsque j'approfondis ma connaissance d'une plante, Sugden m'explique que son esprit vient de la terre sur laquelle elle pousse, de sa relation avec le sol, les colibris et les abeilles, et de l'amour qu'on lui porte. Elle insiste sur le fait que les relations entre les plantes et les hommes sont réciproques.

Orlovac, Sugden et Felipe Pereda Llanos, un curandero Chimbote et Coishco, ont cofondé le Huachuma Collective afin d'établir une relation entre les plantes et les hommes. Sugden explique dans la lettre d'information de l'organisation que certains essaient de "sauver" les plantes en se déconnectant complètement d'elles. Elle reconnaît que les motifs de durabilité sont nobles, mais l'abstinence de la plante, les monocultures commerciales ou la mescaline synthétique ne facilitent pas une relation réciproque. "La réciprocité n'est pas une voie à sens unique", dit-elle.

Lorsqu'ils récoltent la plante dans la nature, les huachumeros font des offrandes de prières aux lacs et aux montagnes avec de la coca, des fleurs et de la chicha. À l'extérieur des maisons, la plante est depuis longtemps respectée en tant que protectrice et porteuse de chance.

Au lieu d'appeler à l'arrêt de la consommation de cactus, le collectif Huachuma s'est engagé à planter un million de cactus. En tant qu'organisation à but non lucratif, les dons financent le projet, qui soutient les plantes et l'éducation dans les communautés andines. L'initiative bioculturelle vise à régénérer non seulement les plantes, mais aussi la valeur des plantes dans les communautés pour la croissance économique et spirituelle."

La culture de cactus à titre personnel permet au contraire de sauvegarder des variétés rares, voir disparues dans leur milieu naturel. C'est facilement accessible, légal (pour l'ornement), mais ça prend du temps (bien moins que pour les lophos cependant).
 
Le Peyotl (Lophophora williamsii) est mis à l'index de CITES. C'est bien ce que je disais plus haut, ce cactus à mescaline n'est pas éradiqué ni mis à la motion mais plutôt placé sur une voie de garage, ou disons en standby, en veilleuse...

ptn j'ai pris une X du Peyotl qd j'avais 17 ans... et voila la mise en stand-by!!!

On ne peut pas en faire une exploitation commerciale ni le détruire... Il ne suivra pas le sort radical d'autres espèces botaniques... Par exemple  le cannabis spontané en milieu naturel comme celui ciblé par les opérations de police et militaire est il repris par CITES au nom de la protection de la biodiversité?? Ou le pavot, comme celui éradiqué en Turquie ou en Iran, est-il protégé par CITES?? NON !!!

Quant au pavot en Afghanistan il y a là trop de chipot... Les épisodes militaires se succèdent en retournements de situation comme dans ces films burlesques où un jour c'est Alcazar au pouvoir et le lendemain Tapioca. Depuis des décennies... Mais qu'est ce qu'ils foutent?? L'opium est le point de mire central, oui mais pas comme on croit. Tous les champs seraient déjà brûlés au napalm !!! Or il s'agit d'équipes, de spécialistes... Ce serait pas une innovation par la science en cours là-bas?? Le pavot deviendrait un OGM.

Pourquoi on ne modifierait que du maïs ou des navets et pas le pavot alors que celui-ci pose question?? Ce serait bien à la mode de produire du pavot "klet" comme ce que le CBD est au THC avec le cannabis...

eh oui, perso je préfère être un peu désobligé par le caractère de la vérité que être un gus flatté par stratégie appliquée à l'endroit des Ducon Lajoie.
 
Oui j’avoue que comme c’est pas mon délire je n’y ai pas pensé.
Ceci dit, le chaman peut bien dire ce qu’il veut : la culture est une possibilité, la chimie en est une autre (tout le monde n’est pas de son obédience).
Je préfère manger des poudres impersonnelles que des machins qui font mal au ventre. Quant à tuer un être avec lequel j’ai noué une relation, je pense que la culpabilité me gâcherait le trip.

Mais vas-y son discours m’intrigue, en plus il fait trop chaud chez moi. Je me motiverai peut-être à faire pousser un petit cactus. A voir si j’ai ensuite le cœur de le manger… (j’en doute).
 
OK
Les Peyotl c'est minouche avec ces fleurs... un vrai cas de conscience question consommation, et ça pique !

...
zacatensis_var._fricii.jpg


...
williamsii_v_Mazapil.jpg


Pour l'anecdote: la mescaline est hyper soft et quand on y est on se demande (en tant que candidat potentiel au fix) si l'héro est soft de ce même acabit ou encore plus... Ou presque comparable... Mais bon je ne me souviens pas de tout, c'était il y a très longtemps...
 
amicale_du_pc a dit:
Pour l'anecdote: la mescaline est hyper soft

Soft ? Tu n'as pas dû en prendre assez honnêtement...certes, c'est moins confus que l'acide ou les champis, ça n'empêche que tu t'embarques quand même pour une bonne douzaine d' heures de voyage...faut vraiment bien préparer son set and setting et prévoir (au minimum) une journée entière de récup derrière.


Sorence a dit:
le chaman peut bien dire ce qu’il veut : la culture est une possibilité, la chimie en est une autre (tout le monde n’est pas de son obédience).

En fait, dans leurs pratiques ça n'a juste pas de sens (certaines plantes sont vues comme "enseignantes" et c'est souvent dans une optique de soin). A ce sujet, dans l'interview (de l'article posté plus haut), un des curanderos raconte cette anecdote :

"Ce n'est pas une drogue", lui répétait son grand-père, "ce n'est pas quelque chose que l'on utilise pour s'évader". Orlovac continue d'honorer ce point de vue, expliquant que s'il demandait à son fils d'en boire, celui-ci lui répondrait : "Je n'ai pas besoin d'en boire, c'est un médicament, et je ne suis pas malade."

Mais par exemple, dans la série documentaire "Voyages aux confins de l'esprit", certains amérindiens de la Native American Church, étaient très clairs là-dessus : que les gens bouffent de la mescaline synthétique autant qu'ils veulent, mais qu'ils ne touchent pas au peyote sauvage.

Sorence a dit:
Je préfère manger des poudres impersonnelles que des machins qui font mal au ventre. Quant à tuer un être avec lequel j’ai noué une relation, je pense que la culpabilité me gâcherait le trip.

La mescaline pure peut aussi retourner le bide hein  ^^
Et tu n'es pas obligé de tuer ton cactus pour le manger ! Si tu fais une coupe propre et que tu n'abîmes pas la racine, il refait de nouvelles pousses.

Mais la remarque est intéressante, car elle traduit bien un changement de paradigme dans le psychonautisme.
Au début des années 2000, dans les communautés en ligne liées aux psychédéliques, il y avait pas mal de critiques du modèle "smartshop".
Le troc (de graines, de plantes - la plupart n'étant pas interdites - ou de spores) était très présent. L'autoproduction encouragée et valorisée.

Avec l'arrivée progressive des RC (d'abord psychédéliques, puis peu à peu tous le reste), on est passé à un modèle nettement plus consumériste ! Produits à l'autre bout du monde vs local, synthétique vs naturel, poudres inertes vs êtres vivants.
 
Not For Human a dit:
amicale_du_pc a dit:
Pour l'anecdote: la mescaline est hyper soft

Soft ? Tu n'as pas dû en prendre assez honnêtement...certes, c'est moins confus que l'acide ou les champis, ça n'empêche que tu t'embarques quand même pour une bonne douzaine d' heures de voyage...faut vraiment bien préparer son set and setting et prévoir (au minimum) une journée entière de récup derrière.
XXX XXX

<copy voir là sur toxquebec.com  >
Les principaux effets centraux de la mescaline sont l’euphorie (sensation de bien-être et de satisfaction), l’accroissement de l’acuité sensorielle, etc...etc... XXX... etx, et parfois la panique
</copy>

perso j'ai eu un trip soft genre floating... c'est bien après que... etc...

EDIT: Je ne sais pas quelle variété de peyotl j'ai eu... J'ai vu dernièrement qu'il y en a plusieurs et il est possible que les nuances d'effets existent... ppfff encore une étude à établir.
 
Not For Human a dit:
En fait, dans leurs pratiques ça n'a juste pas de sens

Mmh j’entends bien, mais j’imagine qu’il n’y a pas que des pratiquants de leur obédience qui piquent du cactus sauvage si ?

Not For Human a dit:
Et tu n'es pas obligé de tuer ton cactus pour le manger ! Si tu fais une coupe propre et que tu n'abîmes pas la racine, il refait de nouvelles pousses.
C’est noté ! M’enfin j’imagine qu’il n’est pas très content quand même. Tant d’efforts pour finir dans mon estomac et repartir de zéro, à sa place j’aurais le seum. C’est bien beau de remercier la plante mais on lui a pas demande son avis.

D’ailleurs, quitte à étendre les limites de la sollicitude, dans une perspective animiste on peut se demander quel statut donner à ces poudres « inertes » si puissantes. Moi, si je devais déifier quelque-chose, ce serait la molécule elle-même. Qu’elle ne soit pas « vivante » la rend presque plus mystérieuse. Une sorte de professeur alien.

Not For Human a dit:
Mais la remarque est intéressante, car elle traduit bien un changement de paradigme dans le psychonautisme.
[…] on est passé à un modèle nettement plus consumériste !
Ah c’est clair, je suis la pute du consumérisme, un pur produit de mon époque. Avec aussi tout ce qu’elle a de contradictoire d’ailleurs.
 
amicale_du_pc a dit:
Le Peyotl (Lophophora williamsii) est mis à l'index de CITES. C'est bien ce que je disais plus haut, ce cactus à mescaline n'est pas éradiqué ni mis à la motion mais plutôt placé sur une voie de garage, ou disons en standby, en veilleuse...

Si tu veux plus d'infos sur le sujet, cette vidéo devrait t'intéresser :

[video=youtube]


amicale_du_pc a dit:
EDIT: Je ne sais pas quelle variété de peyotl j'ai eu... J'ai vu dernièrement qu'il y en a plusieurs et il est possible que les nuances d'effets existent... ppfff encore une étude à établir.

Oui, les fricii sont souvent vendus à la place des williamsii par exemple.


Sorence a dit:
Mmh j’entends bien, mais j’imagine qu’il n’y a pas que des pratiquants de leur obédience qui piquent du cactus sauvage si ?


M’enfin j’imagine qu’il n’est pas très content quand même. Tant d’efforts pour finir dans mon estomac et repartir de zéro, à sa place j’aurais le seum.

Non bien sûr ! (d'ailleurs pour le peyote, la vidéo ci-dessus le montre bien)

Quand tu le coupes, il fait généralement plusieurs rejets, donc ça repart pas tout à fait de zéro  ^^
 
Merci Not For Human
La vidéo: on comprend juste assez pour  acquérir la certitude des différences en teneur de mescaline d'une variété à l'autre. Cela a été dit. Donc il y a bien des caractéristiques psychotropes spécifiques n'étant pas toujours les mêmes.

Des plasticiens des sixties / seventies bénéficiaient de subventions académiques sous forme de rémunérations pour matérialiser, à leur égard, un tribut moral et idéologique succédant encore à la 2de GM. C'est grâce à ces moyens pécuniaires qu'ils pouvaient prendre un ticket d'avion pour approcher l'objet de leur attention passionnée, càd les lieux où se cultivait et se consommait tout ce qui fera progressivement le registre des stupéfiants interdits par la suite.
Mais on comprend par quel canal l'Occident, l'Europe a pris contact avec les substances d'autres longitudes planétaires. Ce sont des explorateurs "en voyage d'étude" ayant ramené, de ci, la Marijuana, de là, du peyotl, des champignons, des truffes (et du LSD25) et ajouter ensuite leur apport à une certaine société "branchée" sur un courant de pensée en plein mouvement à cette époque là .

J'ai l'impression qu'aucune méthode ne reprend l'intuition induite par la pratique psychédélique des sixties. Tant pis. On ne saura pas vraiment bien quelle variété de peyotl produit quels effets (idem avec les marijuanas).
Bref, je ne sais pas quelle variété de peyotl j'ai eu au final... La faute vient autant de ces voyageurs qui n'ont pas fixé leurs observations sur carnet (comme les anciens explorateurs) autant que à l'étude méthodique impropre à rendre de vrais témoignages. Et aussi c’est de ma faute. Je me laissais vivre sans me poser de questions d'ordre technique...

Je me souviens juste d'un trip à la mesca hyper soft
 
Not For Human a dit:
PSYCHOCRACK a dit:
par contre faire pousser le san pedro dans nos région dehord en plein hivers spas possible sauf dans le sud de la france, juste un rappelle.

Ces cactus s'adaptent aussi très bien derrière une fenêtre, sous réserve de les éloigner des radiateurs !

[/quote]
je n'ais jamais dit le contraire , j'en ais fais pousser moi mème y'a plusieurs années donc je disais dehord faire pousser des san pedro en france c'estr pas possible.

Sorence a dit:
Not For Human a dit:
En fait, dans leurs pratiques ça n'a juste pas de sens

Mmh j’entends bien, mais j’imagine qu’il n’y a pas que des pratiquants de leur obédience qui piquent du cactus sauvage si ?

Not For Human a dit:
Et tu n'es pas obligé de tuer ton cactus pour le manger ! Si tu fais une coupe propre et que tu n'abîmes pas la racine, il refait de nouvelles pousses.
C’est noté ! M’enfin j’imagine qu’il n’est pas très content quand même. Tant d’efforts pour finir dans mon estomac et repartir de zéro, à sa place j’aurais le seum. C’est bien beau de remercier la plante mais on lui a pas demande son avis.

c'est pas un problème pour la plante le problème pour la plante c'est de vivre dans sont milieux pour pouvoir transmètre sa génnétique, comme le cannabis elle est heureuse qu'on la cultive, et le bouturage est un de ces mode de reproduction dans le milieux naturel.

en prime elle est protèger des prédateur terrestre, personne ne viendras essayer de la manger à part les inssecte de petite tailles qui tue pas la plante.
 
amicale_du_pc a dit:
Merci Not For Human
La vidéo: on comprend juste assez pour  acquérir la certitude des différences en teneur de mescaline d'une variété à l'autre. Cela a été dit. Donc il y a bien des caractéristiques psychotropes spécifiques n'étant pas toujours les mêmes.

Oui, mais je trouve que c'est intéressant aussi par rapport aux causes de sa disparition (et notamment les différents groupes humains qui participent à l'extinction dans son milieu naturel).

amicale_du_pc a dit:
Ce sont des explorateurs "en voyage d'étude" ayant ramené, de ci, la Marijuana, de là, du peyotl, des champignons, des truffes (et du LSD25) et ajouter ensuite leur apport à une certaine société "branchée" sur un courant de pensée en plein mouvement à cette époque là .

J'ai l'impression qu'aucune méthode ne reprend l'intuition induite par la pratique psychédélique des sixties. Tant pis. On ne saura pas vraiment bien quelle variété de peyotl produit quels effets (idem avec les marijuanas).

Ça existe encore (mais c'est peut-être rare) ! La personne qui m'a aiguillé sur cette problématique (exploitation du San Pedro) fait régulièrement des aller-retours Europe / Pérou. Elle collecte des spécimens rares de cactus (boutures ou graines), souvent auprès de chamans locaux - ça a prit parfois des années pour établir le contact - qui documentent l'usage particulier de chaque souche. Après expérimentation, elle peut dresser un "portrait" selon la variété.
 
Not For Human je ne sais pas si c'est abuser de vouloir un partage de connaissance par ces notes et ces portraits selon variété.

Peut-être cette étude est-elle une chose intime de l'auteur qui ne veut pas partager... ou plus tard??
 
en fait cette histoire de souches c'est à cause des produit autre que la mescaline contenue dans la plantes.

mais ça le fait avec casi toutes les plantes, les plantes psychotropes sauf exeption sont des coctail de produit avec le cannabis et le khat en tète, se dernier contiendriais plus de 80 produits psycho.
 
@amicale_du_pc

Je poserais la question, mais c'est un peu délicat je pense. S'il veut continuer à pouvoir collecter / et propager ces variétés ici, ça me paraît compliqué de parler publiquement de leurs usages traditionnels. On peut les conserver et les cultiver pour l'ornement, mais dès qu'on évoque l'ingestion (et donc les effets), c'est répréhensible d'un point de vue juridique.
 
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