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Comment définiriez- vous l'Alcool ? Parlons en comme d'une drogue.

Et je m'attache sur le fait qu'une consommation raisonnable de cigarettes, cad 1 à 2 clopes / jour est "presque" pas nocive, s'ajoute les "bienfaits" sus nommés.

Il me semblais justement que moins que la quantité, c'étais la durée d'exposition au tabac qui était nocive. Je pense tout le contraire de toi, mais je sais plus ou j'avais trouvé cette étude.
 
Oki. Je dois être dans le faux.

Fumer c'est mal de toute façon :/
 
Y'a pas de vrai ou de faux! Ce que tu rapporte peu être aussi explicable par certains cotés! L'organisme fonctionne de façon optimale lorsqu'il est confronté a des agents stressants spécifiques qui ont un effet bénéfique sur celui-ci : Par exemple le sport est un stress positif, qui s'il n'est pas pratiqué à outrance, permet à l'organisme de s'adapter et d'être renforcé. J'avais lu je sais plus une théorie qui disait que l'effet antioxydant des légumes viennent non pas directement de leurs antioxydants, mais de substances toxiques auquel on s'est habitué au cours de notre évolution, qui provoquent un certain stress auquel l'organisme s'adapte et deviens plus résistant. Encore un autre exemple, s'exposer doucement au soleil crée des adaptations qui augmente les défenses de l'organisme contre les rayonnements néfastes, etc etc...

Cela dit, le bon sens me dit qu'un stress positif avec du sport et des légumes vaut mieux que fumer une clope par jour^^
 
Gheritarish a dit:
Ouais le whisky on commence à l'apprécier avec du temps. Un peu comme le vin et tout ça en fait.

Sinon je suis d'accord : l'alcool à jeûn, c'est plus euphorique et plus facilement maîtrisable. Après 20cL d'alcool fort, je pense qu'en une heure tu passes par tous les stades jusqu'à t'endormir dans ton vomi, mais c'est mon avis ahha. Picoler le ventre plein, ça casse l'ivresse pour n'en garder que les côtés relous (bodyload chiant, conversations chiantes, etc. etc.) et tu finis à 6h du mat' comme une loque à te lamenter sur ta vie de merde en continuant à boire jusqu'à ce que tu vomisses parce que ton estomac n'a pas la contenance nécessaire pour que tu puisses tout à fait te détruire.

Je ne veux pas te contredire parce que je pense qu'on est tous différent, mais perso moi l'alcool à jeun c'est ce qui m'a le plus détruit dans mes gueules de bois :oak:

J'ai deux soirées mémorables où j'ai commencé à boire à jeun. Je suis d'accord sur le côté euphorique, je m'en rappelle de cette soirée où je suis arrivé à 22h avec mes potes que j'ai direct sorti la bouteille de tequila et qu'on s'est mis dans un état d'alcoolémie puissant assez rapidement. Bordel je dansais comme un fou je parlais à tout le monde j'avais aucune gêne je rigolais trop et j'ai fini à 7h je me suis endormis dans le coffre de la senic de mon pote avec ce qui ressemblait à une tentative de rouler un joint à côté de moi et des souvenirs très flous. Je peux vous dire que j'ai mis 2 jours à me remettre de cette cuite sur le plan physique. Beaucoup plus violente gueule de bois que celle à ventre plein que je fais régulièrement d'habitude.

Même si c'était une bonne soirée je préfère tout de même faire un bon repas histoire d'éponger les litres d'alcool en moi et pas passer le lendemain dans mon lit à décuver. ;)
 
Ensuite c'est ta façon de gérer la soirée qui est à remettre en cause plus que le fait d'avoir bu à jeûn. ;) L'alcool c'est comme n'importe quel prod ! A jeûn ça monte plus vite, faut donc moins (re)doser pour maintenir les effets voulus que si t'as bouffé avant. Après c'est sûr que quand t'es bien chaud c'est plus facile de franchir sa limite...
 
Maintenant que tu le dis, peut-être que j'assume pas les lendemains quand je bois à jeun justement parce que ce sont les soirs où je suis le plus euphorique et donc où je fais le plus n'importe quoi. ;)
 
En me basant uniquement sur mes propres ressentis avec l'alcool, je dirais qu'il fonctionne ainsi (sur moi du coup), et ceci sans faire de distinctions entre les alcools :

- Phase 1 : Stimulant / Empatho
- Phase 2 : Empatho / Dépresseur
- Phase 3 : Dépresseur
- Phase 4 : Endormissement car trop mal

En passant d'une phase à l'autre en enchaînant les verres bien sur.

J'ai beaucoup de mal avec l'alcool personnellement, j'ai pour habitude de subir des gueules de bois assez violente qui m'ont un peu dégoutté de sa consommation. En plus de ça si je consomme de la bière en début de "soirée pour ce mettre une caisse" avec des potes je me tape un horrible mal de crâne éthylique en plein milieu de la soirée qui vient clairement me détruire. Du coup je me suis mis à expérimenter, quel alcool dois-je consommer ? à quelle fréquence ? pour ainsi éviter de finir trop dans le mal.

Etant actuellement étudiant en grande école, l'alcool berce mon quotidien, il n'y a pas une semaine sans soirée (ce qui ne signifie pas que je fais soirée toutes les semaines), son coté désinhibiteur à dose raisonnable n'est quand même pas à rejeter, il aide un peu à la sociabilisation je ne peux pas le nier. Malgré cela je me rend compte qu'à dose plus élevé il rend beaucoup de gens idiot au possible, et violent par dessus le marché pour certains, les traits de caractère que je déteste particulièrement.

Après bon, j'ai de bons souvenirs "grâce" à l'alcool on va dire, se retrouver à près de 400 étudiants dans un camping au bord de la mer, où les 3/4 de ces étudiants sont bourrés non-stop pendant 3 jours, ça laisse des souvenirs indescriptible ahah :)
 
J'avais lu une étude qui disait que la vodka était l'alcool provoquant le moins de gueule de bois, et le rhum le pire (avec le whisky juste avant). C'est une question de distillation je crois.

M'enfin dans tous les cas il faut se rappeler de boire autant d'eau que d'alcool pour éviter la grosse gueule de bois.

Pendant longtemps je n'ai pas cru à la "théorie des mélanges" (mélanger plusieurs alcool = gueule de bois carabinée), mais je dois avouer que les dernières caisses que je me suis pris comme ça ont fini en gueules de bois carabinées...
 
J'ai des potes qui disent qu'ils ont pas les mêmes gueules de bois suivant la bière avec laquelle ils se torchent.
Mention spéciale à la Ninkasi Triple qui met bien bien cher.
 
Certains diront que de l'éthanol c'est de l'éthanol et point barre, mais perso me prendre une cuite a l'Absolut ou a la Zub me fait moins mal et me donne moins la nausée qu'avec de la vodka bon marché élaboré a partir de sucre de betteraves.

Sinon vous y croyez vous a la devise concernant le pinard: blanc sur rouge rien ne bouge, rouge sur blanc tout fout l'camp ?
Moi oui car j'en ai déjà fait les frais, mais je me demande si ce n'était pas psychosomatique vu que je connaissais le proverbe^^
(et si quelqu'un a une explication a ça je suis preneur)
 
Bah je suis totalement d'accord avec l'étude sur les lendemains de cuites : rhum > whisky > vodka

Bonus, candidat hors concours : le calvados (ma pire cuite -> "bonjour le coma éthylique, oui, c'est moi, ça fait 3 jours que je dors pas")


Le rhum, j'adore mais c'est pas réciproque. Mais vraiment pas. J'ai déjà vomi du sang après seulement 3 verres de 3 rivières.
 
"51 je t'aime (phase 1)
J'en boirais des tonneaux (phase 2)
A me rouler par terre (phase 3)
Dans tous les caniveaux." (phase terminale) .
 
si c'est de l'alcool à 90° je considère ça comme un médicament!
 
çafais sauté le bouchon c'est tellement bon j'fais des bonds j'usqu'au balcon!

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Juste une aparthé, pour reprendre les propos sur la cigarette.
Rien de scientifique, mais ayant été courtier en prêt immobilier, lors du questionnaire médicale, un client fumant moins de trois cigarettes, est considéré comme "non-fumeur"
 
enfantdushit2 a dit:
Juste une aparthé, pour reprendre les propos sur la cigarette.
Rien de scientifique, mais ayant été courtier en prêt immobilier, lors du questionnaire médicale, un client fumant moins de trois cigarettes, est considéré comme "non-fumeur"

Juste un rappel à propos des 'petits' fumeurs, c'est loin d'être anodin.
 
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