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Comment définiriez- vous l'Alcool ? Parlons en comme d'une drogue.

L'alcool ?

Peut-on vraiment concevoir ça comme un seul produit ? Je ne crois pas.

Ce que je veux dire : en fonction de la plante / fruit distillé(e), les effets ne sont pas les mêmes.

Après, pour chaque alcool, j'ai développé un échelle de "+" façon Shulgin. Et d'ailleurs, je trouve que le must c'est un ++ : c'est agréable tout en restant gérable et sans faire de mal au crâne ou au ventre le lendemain. Le +++++ en gros, c'est venir taper aux portes du coma éthylique, j'ai fait une fois, je ferais plus.

En fait, à mon sens, l'alcool c'est bien, mais seulement avec modération. C'est pas un big mac, mais c'est pas non plus de la grande cuisine.


Après, au delà de l'alcool, il y a le vin. Et là, c'est comme pour l'herbe : au delà du potentiel psychoactif, il y aussi le goût ;). J'me souviens d'avoir bu une bouteille de 1959 il y a quelques noël... Et là, on peut commencer à parler de gastronomie je pense.
 
C'est un peu réducteur je trouve comme analyse.

Certes, par gout et de part ma culture je mets moi aussi le vin au dessus des autres alcools.

Cependant faire une très bonne bièrre est du grand art et je comprends les amateurs, tant de parfums et de subtilités dans certaines....

Et le whisky, le cognac, l'armagnac sont également extrêmement complexes, et certains les verraient aussi différents des autres alcools. Sans parler des fruits à l'eau de vie ou l'art de faire une bonne poire.....

En fait c'est très culturel tout ça, donc affirmer que le vin est "mieux" ou est le seul que l'on pourrait classer dans la case gastronomie c'est un peu regarder les choses par le petit bout de la lorgnette.


Certaines fabrications industrielles sont vraiment merdiques, mais dans les productions familiales ou artisanales, il y a de vrais amoureux, de grands artistes et toutes les grandes œuvres ne sont pas obligatoirement vinicoles.
 
prosk8h a dit:
L'alcool ?

Peut-on vraiment concevoir ça comme un seul produit ? Je ne crois pas.

Ce que je veux dire : en fonction de la plante / fruit distillé(e), les effets ne sont pas les mêmes.

Oui mais le principe actif (éthanol) reste seul psychoactif. Les diverses molécules présentes autour participent à l'assimilation de ce dernier, le rendant plus agressif, plus doux etc.

Tandis qu'avec toutes les espèces de weed ou de champis qui sont pourtant réunis sous les mêmes noms de produits, les principes actifs varient et sont plusieurs par genre. Mais de la weed reste de la weed. Remarque il a bien le teush, le beurre de Marrakech, le skuff et l'huile.
 
Faut voir si on parle produit ou principe actif. Ce qui n'est pas forcément la même chose.

Pour ce qui est du vin, en fait, j'ai tendance à trouver ça à part des autres alcools. Ce qui explique mon analyse réductrice :p

A noter : je ne dis jamais non à une bonne bière où à un verre de rhum à 55°.
 
Perso, je ne jure que par la bière ^^, je peux donc être classé dans les amateurs éclairés là dessus. On peut tout autant le placer au niveau gastronomique qu'autre choses. Allez faire un tour en Allemagne et en Belgique, chez eux c'est une vraie culture, et ils savent en faire !

Dans les plus Française, la brasserie du mont blanc, surtout la rousse du mont blanc... c'est quelque chose aussi.

Je suis certains que d'autres seraient plus experts vis à vis du whisky, ou autre. Bref, dans tous les alcools, il y a les millésimes, et la piquette. Mettre le vin par dessus le reste est une grande erreur.

Ceci dit on s'est un peu éloigné du topic je trouve, même si ca parle encore alcool, c'est pas le sujet de base...
 
Une fois j'ai gouté un Wisky et j'ai été malade comme un chien... Ca devait etre un mauvais batch haha !
 
Zut, ,j'avais tapé une réponse et j'ai tout perdu suite besoin de se reconnecter grrrrrrr.

Bref, je disais en substance que je crois bien connaître l'alcool (plus de 30 ans de pratique). Perso, j'y trouve au début des effets euphorisants et désinhibiteurs, facilitant le contact avec les autres, l'amusement, la teuf. En revanche, à terme, il me semble que l'alcool devient plutôt dépresseur et solitaire.

Il y a sans doute aussi plusieurs façons de l'utiliser, et des contextes différents. Par exemple, j'ai des (vieux) souvenirs de fêtes à la vodka-citron, rhum-citron ou tequila-sel-citron, qui restaient bien dynamiques et fun (la vitamine C et donc l'effet énergisant du citron ?). Et d'autres souvenirs avec d'autres alcools qui finissaient nettement plus avachis.

Dans tous les cas, ne pas oublier que la molécule est la même, l'éthanol, dans des proportions diverses.

Je me méfie aujourd'hui beaucoup des alcools forts, car ingurgités rapidement, ils peuvent amener à des black-outs complets. Globalement je préfère des alcools moins concentrés comme le vin ou la bière, qui me permettent de mieux gérer la montée en fonction des quantités, forcément plus étalées dans le temps.

Quoi qu'il en soit, je confirme l'effet addictif de l'alcool, même s'il s'étale souvent sur une longue période. Et a priori, dans les structures d'aides, il semble qu'on voit arriver de plus en plus de jeunes d'une vingtaine d'années, déjà bien accros (pas forcément tous les jours, mais qui, quand ils commencent, ne savent plus s'arrêter, ce qui dénote déjà une perte de liberté certaine face au produit).
 
-une drogue t en prends un peu/moyen ca va tu peux bien rigoler , t en prends fort/ou trop bah y a des risques de finir mal(plusieurs jours après )
-tu mélanges différents alcools et bah y a des risques de finir mal
-Addiction
-Tolérance
-...
 
Il y'a un truc que je trouve particulier avec l'alcool, c'est son côté MALSAIN. Comme beaucoup ici je commence a avoir une solide expérience des prods que ce soit les psychés exotiques ou les junk-drugs en tout genre et aucune je dis bien aucune n'a ce côté diabolique. L'alcool a ce pouvoir de faire resortir les pires côtés de ma personnalité, de me plonger dans une profonde dysphorie, ou de me faire bader seul avec mes fantasmes et frustrations.
Généralement j'aime bien me proder seul, je me sens souvent très a l'aise dans la solitude de la défonce, pourtant me mettre une murge solo est pour moi une expérience qui tournera toujours plus ou moins mal.
Il y'a aussi ce côté redrop conpulsif que je ne retrouve pas avec d'autres molécules, sérieusement qui passe une soirée en se limitant a 1 ou 2 verres ? il faut toujours en arriver a une semi-cuite, c'est glauque quand on y pense.
On pourrait aussi parler de l'afterglaw (gueule de bois) qui est un des plus immonde qui soit tout prod confondu, ou encore de sa toxicité généralisée...

Bref quand quand on prends le temps de regarder tout les aspects de l'ethanol c'est pas joli joli mais pourtant c'est paradoxalement socialement accepté, se murger 2x fois par semaine c'est limite normal par contre si tu avoue publiquement consommer des RC occasionnellement 95% des gens te prennent pour un dangereux tox qui a forcément des problèmes...

Mais bon je me console, si il y'a bien un truc que j'adore c'est quand je suis bien perché sous psyché/dissos c'est me foutre de la gueule des pauvres saoulard en m'imaginant à quel point leur perche est pauvre et insipide par rapport à la mienne :nod:.
 
Ableton a dit:
Il y'a un truc que je trouve particulier avec l'alcool, c'est son côté MALSAIN. Comme beaucoup ici je commence a avoir une solide expérience des prods que ce soit les psychés exotiques ou les junk-drugs en tout genre et aucune je dis bien aucune n'a ce côté diabolique. L'alcool a ce pouvoir de faire resortir les pires côtés de ma personnalité, de me plonger dans une profonde dysphorie, ou de me faire bader seul avec mes fantasmes et frustrations.
Généralement j'aime bien me proder seul, je me sens souvent très a l'aise dans la solitude de la défonce, pourtant me mettre une murge solo est pour moi une expérience qui tournera toujours plus ou moins mal.
Il y'a aussi ce côté redrop conpulsif que je ne retrouve pas avec d'autres molécules, sérieusement qui passe une soirée en se limitant a 1 ou 2 verres ? il faut toujours en arriver a une semi-cuite, c'est glauque quand on y pense.
On pourrait aussi parler de l'afterglaw (gueule de bois) qui est un des plus immonde qui soit tout prod confondu, ou encore de sa toxicité généralisée...

Bref quand quand on prends le temps de regarder tout les aspects de l'ethanol c'est pas joli joli mais pourtant c'est paradoxalement socialement accepté, se murger 2x fois par semaine c'est limite normal par contre si tu avoue publiquement consommer des RC occasionnellement 95% des gens te prennent pour un dangereux tox qui a forcément des problèmes...

Mais bon je me console, si il y'a bien un truc que j'adore c'est quand je suis bien perché sous psyché/dissos c'est me foutre de la gueule des pauvres saoulard en m'imaginant à quel point leur perche est pauvre et insipide par rapport à la mienne :nod:.

C'est clair que l'alcool, ca doit bien être LE truc à jamais prendre seul. Enfin Le... sûr que si on met la salvia ou autre, il vaut mieux un sitter mais, disons que c'est pas les mêmes raisons. Seul ca devient vite malsain.
 
Ableton a dit:
Il y'a un truc que je trouve particulier avec l'alcool, c'est son côté MALSAIN. Comme beaucoup ici je commence a avoir une solide expérience des prods que ce soit les psychés exotiques ou les junk-drugs en tout genre et aucune je dis bien aucune n'a ce côté diabolique. L'alcool a ce pouvoir de faire resortir les pires côtés de ma personnalité, de me plonger dans une profonde dysphorie, ou de me faire bader seul avec mes fantasmes et frustrations.
Généralement j'aime bien me proder seul, je me sens souvent très a l'aise dans la solitude de la défonce, pourtant me mettre une murge solo est pour moi une expérience qui tournera toujours plus ou moins mal.
Il y'a aussi ce côté redrop conpulsif que je ne retrouve pas avec d'autres molécules, sérieusement qui passe une soirée en se limitant a 1 ou 2 verres ? il faut toujours en arriver a une semi-cuite, c'est glauque quand on y pense.
On pourrait aussi parler de l'afterglaw (gueule de bois) qui est un des plus immonde qui soit tout prod confondu, ou encore de sa toxicité généralisée...

Bref quand quand on prends le temps de regarder tout les aspects de l'ethanol c'est pas joli joli mais pourtant c'est paradoxalement socialement accepté, se murger 2x fois par semaine c'est limite normal par contre si tu avoue publiquement consommer des RC occasionnellement 95% des gens te prennent pour un dangereux tox qui a forcément des problèmes...

Mais bon je me console, si il y'a bien un truc que j'adore c'est quand je suis bien perché sous psyché/dissos c'est me foutre de la gueule des pauvres saoulard en m'imaginant à quel point leur perche est pauvre et insipide par rapport à la mienne :nod:.

Ableton à bien résumer, j'ai l'impression de me retrouver dans ta description!
 
J'me permets d'intervenir ayant une certaine expérience de ce produit.
Perso j'ai eu plus de mal à arréter l'alcool que la rabla.
Au fur et à mesure des années, j'ai réellement apprivoisé les effets de l'alcool et je suis tout naturellement devenu bien dépendent durant mon adolescence(Contrairement à ce que certains disent : nop, je ne l'ai pas décidé).

J'ai consommé beaucoup de produits en tous genre (en mode "old school" pas de RC) et mes 2 favoris étaient la rabla et l'alcool. L'alcool m'a accompagné durant des années jusqu'à devenir MON produit privilégié (étant passé sous substituts pour la rabla: Sub puis metha par la suite).

J'ai le souvenir que dès l'age de 12 13 ans, l'alcool était LE produit "de base" qui était toujours présent, à toute les soirées et consommé en quantitée de plus en plus importante à des frequences de plus en plus rapprochées, en plus de tous les autres produits. C'était un peu un accompagnement obligatoire quoi.

Pour la petite histoire, au paroxisme de ma conso je buvais environ une bouteille de vodka/j + du pinard (et les conso au bar). Ajoutez à ça une très mauvaise alimentation (pour ne pas dire inexistante hormis des bandeaux acidulés haribo) et je me suis retrouvé en cure forcée, hospitalisé un mois et demi sous perfusions après avoir fait une pancréatite aïgue à 26 ans et avoir faillu crever comme une merde. Inutile de vous dire que j'étais le plus jeune du service et que mes "potes" de chambrée était plus du genre "60 ans cirrhosés" que "jeunes teuffeurs égarés à l'hosto".

En cas de conso chronique, les effets l'alcool ne sont plus du tout les mêmes (comme pour toutes les drogues) : impossible de retrouver le peps des débuts, impossible d'être "bien".. Perso je me levais le matin avec 1.5g (c'était mon état "normal") et je passait direct en mode "je m'écroule comme une merde ivre mort" en milieu de soirée après avoir bu toute la journée, sans jamais passer par la case je m'éclate avec mes potes, je suis euphorique, la vie est belle.

L'alcool m'a fait perdre pas mal de choses que je considérais comme aquises et reste encore aujourd'hui mon talon d'achile (alors que j'ai réussi bien gérer le pb des opiacée, que je ne consomme plus de drogues ni médoc hormis mon traitement à la metha).

Bref, pour moi l'alcool est à double tranchant car socialement accepté, complètement démocratisé, pas cher, accessible partout et provoquant des effets assez séduisants pour certains. Je crois que nous ne sommes pas tous égaux face au prod et l'alcool ne fait pas exeption à la règle. Certains vont boire comme des salopards sans jamais avoir de pb et d'autres accrocheront très vite. J'vous l'dis les amis, mieux vaut ne pas se trouver dans le deuxième wagon car c'est quand même extrêmement difficile de se sortir d'un pb de dépendence avec ce produit.
 
l’alcool est une drogue, enfin sauf le vin qui est un aliment.
 
PSYCHOCRACK a dit:
l’alcool est une drogue, enfin sauf le vin qui est un aliment.

Nan la bière c'est une boisson aussi, pour s'hydrater

(petite provoc' personnelle, je déteste le vin mais adore la bière, à prendre au second degré ^^).
 
Je préfère la bière quand elle dépasse le 6 ou 7ème degré. Chacun son truc, j'en conviens.
Oui, l'alcool, c'est une saloperie. Y'a qu'à voir l'état de nos parents/grands parents pour s'en rendre compte... Mais ça rapporte bcp d'argent au léviathan qui nous sert d'Etat... Alors, circulez, y'a rien à voir.
 
Je définirais surtout l'alcool comme étant une drogue social qui rassemble les gens, désinhibe, détent et permet de passer un bon moment. Evidemment l'abus d'alcool est dangereux pour la santé, il est important de le rappeler.
Vous pouvez me dire Oui mais c'est pareil avec le cannabis ou bien la coke qui est très souvent partagé entre amis et sert de prétexte pour passer la soirée ensemble.
Oui mais l'alcool est socialement le produit qui rassemble le plus de monde, outrepassant les catégories sociales et les interdits puisque l'alcool est autorisé contrairement aux autres drogues. L'aspect culturel joue un rôle indéniable puisque en caricaturant on peut dire que la France le pays du vin, l'Allemagne le pays de la bière, l'Irlande le whisky, la Pologne la vodka et j'en passe et des meilleurs.
Avec l'engouement autour de la légalisation du cannabis (USA, Uruguay), les choses vont sûrement changer mais pour le moment il n'y a pas vraiment d'équivalent à l'alcool pour ce qui est de l'aspect social.
En plus, la variété des boissons alcoolisées disponibles permet à chacun d'avoir son "alcool favori", sorte de marqueur social : "oui mais moi c'est la bière que je préfère" et toc, "non moi c'est le vin c'est plus rafiné" et paf !
Et pour le côté addictogène, les risques sont moindres comparés au cannabis, coke et autres joyeusetés. Enfin, les effets sont plutôt gérables, même en cas de surdose (il faudra tout de même appeler le samu si besoin). Donc du point de vue des autorités, il n'y a pas de grands risques de mouvements contestataires ou révolutionnaires liés à l'alcool. Bref, une drogue social de masse idéal qui agit comme une soupape de sécurité pour l'Etat par le biais de l'effet défouloir : "j'en ai marre donc je me bourre la gueule et le lendemain je suis plus calme avec en prime une belle gueule de bois" ;)
 
Le côté socialement accepté, ça dépend des pays tout de même.

Au Maroc, par exemple, il est plus socialement accepté de fumer du hash que de boire de l'alcool... Pourtant le pays est aussi un producteur de vin (pas très bon, mais ça n'est que mon avis).

Et franchement, entre une intoxication à l'alcool et une intoxication au cannabis, à mon sens le pire ça reste l'alcool dans le sens où tu peux en crever de ton intoxication. Croyez-moi, je sais de quoi je parle, on m'a déjà placé en PLS, me sauvant ainsi d'une mort ô combien débile et horrible.

Si aujourd'hui l'alcool rassemble tant de gens, c'est par ce qu'on en trouve partout, à quasiment toute heure du jour et de la nuit, qu'on a le droit d'en faire la publicité (en indiquant juste que l'abus d'alcool est dangereux pour la santé, alors qu'en fait, l'alcool, même sans abus, est déjà dangereux pour la santé (dans une moindre mesure qu'en cas d'excès j'en conviens)), que jusqu'en 1970, l'alcoolisme n'était pas reconnu comme une maladie mais juste comme "un vice de l'Homme", que l'industrie de l'alcool pèse lourd sur le plan économique, que des milliers d'emplois sont liés à cette activité, que c'est légal et pas juste à cause d'un vide juridique.

Et si vous pensez que l'addiction à l'alcool est moins grave ou moins dangereuse que celle au cannabis, c'est que vous n'avez jamais entendu parler des crises de démence (delirium) liées au manque d'alcool, ce qui n'a encore jamais été observé avec le manque de cannabis.
 
Altered States a dit:
Et pour le côté addictogène, les risques sont moindres comparés au cannabis, coke et autres joyeusetés.

T'a grandement tord sur le coup, l'alcool est l'une des substances les plus dangereuses. A tire de comparaison, on met bien souvent l'alcool dans le même sac que la C et l'héro. Tant au point de vu addictogène, que de dégats sur soi-même, sur les autres, les dangers sociaux que tu encours. C'est certes plus difficile de tapper une overdose car les dosages ne sont pas les mêmes, il faut un certain volume, et bien souvent c'est étalé en petites doses tout au long de la soirée/nuit/journée.
L'alcool est une drogue sociale, car elle est dans notre patrimoine culturel, dans nos habitudes, elle est légale et se trouve au supermarché, et comme il est possible d'en synthétiser avec autant de choses qui contiennent du sucre, il y a aussi autant de saveur et de goûts qui peuvent contenter tout le monde. D’ailleurs l'un des plus gros problème de l'alcool est sa banalisation, et cela ne le rend que plus dangereux.

Ayant été impliqué dans une situation ou il ne me fallais pas boire d'alcool, j'ai été content d'apprendre que mon goût pour l'alcool est plus du coté gustatif que psychoactif, ce qui n'est pas le cas pour tout le monde, mais là aussi ça peut devenir un sérieux danger. A la même image que si je toppais de la coke aux repas pour des raisons de gourmet, le goût n'enlève pas le danger...

Pour te donner un petit aperçus des dangers de l'alcool, l'alcool installe une dépendance physique, psychologique, est neurotoxique, installe facilement une tolérance qui induit un plus grand dosage, elle détruit le foie, attaque l'estomac, tape sur un nombre incalculable de neurotransmetteur ce qui le rend imprévisible, active bien souvent des comportements violent et socialement intolérables ce qui influe beaucoup négativement l'entourage.
Voilà voilà, je dis pas qu'il ne faut pas en consommer... moi-même j'adore l'alcool, gustativement, mais aussi j'apprécie souvent l'effet que la substance active nous fait... Je dis simplement qu'il ne faut pas non plus la banaliser, la prendre pour ce qu'elle n'est pas, mais il faut y faire très attention. La dépendance à l'alcool est existante et non négligeable.

Pour informations, quelques liens :
Classification des psychotropes
http://www.sg.unimaas.nl/_OLD/oudelezingen/dddsd.pdf
http://upload.wikimedia.org/wikiped..._(mean_physical_harm_and_mean_dependence).svg
http://www.doitnow.org/pages/203/jpg/risks-1.jpg
 
L'alcool est un produit hautement neurotoxique. Et bien qu'il suscite l'engouement par sa capacité cathartique et désinhibitrice, il ne nous apprend pas grand chose sur nous même mise à part qu'il révèle (à trop grande dose) la profonde bêtise qui nous anime. Il n'en reste pas moins qu'à petite dose il se place comme un voire le meilleur antidépresseur notamment au niveau de son mode de consommation bien ancré dans la tradition notamment gastronomique.
 
Artisan de Liberté a dit:
L'alcool est un produit hautement neurotoxique. Et bien qu'il suscite l'engouement par sa capacité cathartique et désinhibitrice, il ne nous apprend pas grand chose sur nous même mise à part qu'il révèle (à trop grande dose) la profonde bêtise qui nous anime. Il n'en reste pas moins qu'à petite dose il se place comme un voire le meilleur antidépresseur notamment au niveau de son mode de consommation bien ancré dans la tradition notamment gastronomique.

Tu dis de la merde en essayant de faire ronflant man, sorry ^^
 
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