Neuronal
Holofractale de l'hypervérité
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@Parallel:
Je comprends ou tu veux en venir en insistant, tu veux qu'on reconnaisse que la dépendance psychologique existe chez les psychés et qu'elle peut engendrer des comportements dangereux chez certaines personnes.
La diversité des effets et leur profondeur dans les méandres du psychisme peuvent expliquer l'addiction psychologique chez certains, pendant que la perte de contact avec la réalité (avec tout l'aspect social qui va avec) et les bads trips sont les dangers psychiques engendrés.
Tu veux qu'on reconnaisse cela afin de concrétiser le message que tu veux faire passer: qu'il faut arrêter de mettre les psychédéliques sur un piédestal.
Je suis assez d'accord avec cette pensée RDR surtout sur ce forum dont l'apologie des psychés peut parfois amener à des jeunes inconscients (qui n'auraient pas pris soin de suivre toutes les infos et conseils qu'on fournit je l'accorde) à faire de grosses conneries...
Mais reconnaît quand même que la dépendance psychologique est d'une manière générale quand même beaucoup plus facile à gérer que la dépendance physique...
Que "le mec qui tartine 2C-I tous les soirs" est quand même un cas extrêmement plus rare que le mec qui tapes tous les soirs opis, amphets, benzos et que sais-je.
De ce fait, la phrase "arrêtons de mettre les psychés sur un piédestal" est à méditer, car en comparaison avec les autres catégories des drogues (bon bien-sûr le problème de classification rends confus tout cela, mais personnellement j'insisterais sur les "psychés naturels" et le LSD) ont en général beaucoup moins de facteurs de dangerosité que les autres.
Les dangers, au final on reviens toujours dessus: la perte de contact avec la réalité et le bad trip, en clair l'impact psychologique à long terme surtout sur les personnes fragiles. Un critère qu'on ne retrouve pas dans les autres catégories, et inversement les problèmes de tolérance, addiction et impacts physiologiques etc. sont souvent beaucoup plus faibles chez les psychés.
Je comprends ou tu veux en venir en insistant, tu veux qu'on reconnaisse que la dépendance psychologique existe chez les psychés et qu'elle peut engendrer des comportements dangereux chez certaines personnes.
La diversité des effets et leur profondeur dans les méandres du psychisme peuvent expliquer l'addiction psychologique chez certains, pendant que la perte de contact avec la réalité (avec tout l'aspect social qui va avec) et les bads trips sont les dangers psychiques engendrés.
Tu veux qu'on reconnaisse cela afin de concrétiser le message que tu veux faire passer: qu'il faut arrêter de mettre les psychédéliques sur un piédestal.
Je suis assez d'accord avec cette pensée RDR surtout sur ce forum dont l'apologie des psychés peut parfois amener à des jeunes inconscients (qui n'auraient pas pris soin de suivre toutes les infos et conseils qu'on fournit je l'accorde) à faire de grosses conneries...
Mais reconnaît quand même que la dépendance psychologique est d'une manière générale quand même beaucoup plus facile à gérer que la dépendance physique...
Que "le mec qui tartine 2C-I tous les soirs" est quand même un cas extrêmement plus rare que le mec qui tapes tous les soirs opis, amphets, benzos et que sais-je.
De ce fait, la phrase "arrêtons de mettre les psychés sur un piédestal" est à méditer, car en comparaison avec les autres catégories des drogues (bon bien-sûr le problème de classification rends confus tout cela, mais personnellement j'insisterais sur les "psychés naturels" et le LSD) ont en général beaucoup moins de facteurs de dangerosité que les autres.
Les dangers, au final on reviens toujours dessus: la perte de contact avec la réalité et le bad trip, en clair l'impact psychologique à long terme surtout sur les personnes fragiles. Un critère qu'on ne retrouve pas dans les autres catégories, et inversement les problèmes de tolérance, addiction et impacts physiologiques etc. sont souvent beaucoup plus faibles chez les psychés.