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Ce que vous aimez le plus

  • Auteur de la discussion Auteur de la discussion ToToro
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Malienkov a dit:
Les sacs d'os gavés de stims à l'égo démesuré qui hantent le forum. Dès que j'ai envie de retaper du stim, je lis leurs messages, ça calme.

C'est pas très Charlie
 
Quand je m'ennuie (90 % du temps donc.) je lis des mangas.

Donc, ce que j'aime le plus: BERSEEEEEEEEERK !!!!

Et Last Hero Inuyashiki. Treés bon manga SF édité récemment en France, par l'auteur de Gantz. Voila.

Sinon je me drogue, mais ça n'a pas sa place sur un forum de mang...wait...

Mais j'ai arreté l'alcool, donc je suis un winner (ou un mec avec le foie baisé, à toi de choiz').
 
Je me suis arrêté au 13 ou 14 sur Berzerk. Il faudra que je continue (ainsi que Transmetropolitan et d'autres trucs).
 
Sludge a dit:
Je me suis arrêté au 13 ou 14 sur Berzerk. Il faudra que je continue (ainsi que Transmetropolitan et d'autres trucs).

De la frappe atomique Transmétropolitan! j'ai été vachement contente que l'edition "condensée" sorte. Vraiment cool cte BD.
 
Il y a des travaux chez moi, nouveau velux pour les chambres sous les combles, moi j'ai droit a un nouvel escalier / nouveau mur / nouvel porte. Salle de bain mise au propre.

C'est tout bientôt l'anniversaire de ma chérie. A part des accès de paranos de temps en temps, je m'en sors plutôt bien, incroyable, j'commence même à gêrer ses crises et arriver à souffler / penser à autre chose. Mais c'est des expériences fortes qui ancre mon esprit dans du positif, c'est cool.

Là genre j'suis en crise mais sa va, on chill-out. J'ai même pu choisir la couleur de l'escalier, ça va être fendar ma chambre star fou Allah.
 
Sludge a dit:
Je me suis arrêté au 13 ou 14 sur Berzerk. Il faudra que je continue (ainsi que Transmetropolitan et d'autres trucs).

Je l'savais que t'étais un bon.

Reprend du début, jusqu'au dernier tome édité, et la tu seras avec moi, sur le petit nuage des initié au meilleur manga du monde et on regardera de très haut les fans de One Piece et Naruto et on se scarifiera des marques du sacrifice sur la nuque. A lot of fun.

Dsl fanboy inside.
 
Moi ce que j'ai beaucoup aimé ce matin c'était la sophrologie couplé au micro-dosing du lsd (10ug). Je me sens tellement biiiien dans mon corps
 
Tu m’étonnes, vu l’augmentation corticale et pas que, sérotoninergique et Nad, que tu te sentes bien. Comme quoi, micro dosé, y’a risque d’addiction sérieux. Quoi qu’en dise tout le monde. Toujours pensé. Ça reste une bonne hypothèse de recherche.
 
Apprendre à composer du son sur Reason <3
 
Burned a dit:
Tu m&#8217;étonnes, vu l&#8217;augmentation corticale et pas que, sérotoninergique, que tu te sentes bien. Comme quoi, micro dosé y&#8217;a risque d&#8217;addiction sérieuse. Quoi qu&#8217;en dise tout le monde. Toujours pensé. Ça reste une bonne hypothèse de recherche.

Je vois mal le risque d'addiction avec le micro dosing vu que si tu veux en prendre souvent tu vas finir par même plus les sentir les pauvres 10ug, donc au niveau de l'intérêt c'est moyen. Mais l'expérience est assez sympathique, c'est très léger et tu passes une journée avec un état d'esprit un petit peu plus psychédélique que la normale :)
 
Absolument. C&#8217;est exactement ce que je pense. Rapidement, tu ne vas plus sentir les 10 micro et tu vas augmenter le micro dosage. 20, 30... Et après, tu es sur la voie de la petite décompensation dépressive qd tu arrêtes. Par ailleurs, j&#8217;ai rencontré des personnes consommant du LSD (non micro dosé) quotidiennement pdt pls semaines. Ce n&#8217;est pas une légende et qd ils ont arrêté, je te dis pas le down violent, niveau thymique. Des semaines voire des mois pour récupérer^^

EDIT : Les personnes dont je parle ne faisaient pas de bad. Ils kiffaients tous les jours et prenaient des trips au ptit dej.
Et tant que y&#8217; en a eu, ils en ont pris. Et y&#8217;avait trop de stock. Il n&#8217;a jamais été question de bad, les concernant.
Et la tolérance s&#8217;installant, ils étaient très fortement euphorisés mais pas extrêmement défoncés ni incapables de se bouger ou de sortir de chez eux.
Et qd le stock a été terminé il ont tapé de méchants downers pour compenser le manque de séro et de noradrénaline en circulation.
Ensuite, ils se sont retrouvés accro comme des bêtes aux zopi. Franchement, les voir comme ça, m&#8217;a laissé perplexe, songeur et un peu effrayé.
Et je me suis dit que le LSD n&#8217;était pas du tout une drogue de hippie^^.
Par la suite, j&#8217;ai rencontré des conduites analogues avec les mushs, à savoir des gens qui, en automne, en ramassaient et en consommaient tous les jours pdt 15 jours ou plus. Dans ce cas là, c&#8217;est juste seroto mais ça envoie aussi du lourd.
Donc je me suis dit que les psychés semblaient posséder un vrai potentiel addictif. Et qd j&#8217;en prends, ben certaines fois, j&#8217;en remettrai bien une couche le surlendemain. Je ne fais ni l&#8217;apologie ni une diabolisation des psychés.
Je souligne simplement le fait que ce ne sont pas des produits anodins à gober comme des fraises tagadajones. Je sais que la conso de LSD et de psychés est hype en ce moment, (gros retour hein), mais faîtes bien gaffe à vous. Le LSD n&#8217;est pas une drogue récréative.
 
Bah du coup suffit d'espacer ses prises de la même manière qu'avec des doses normales
 
Tout à fait.
Je suis intervenu la dessus car je me demande depuis longtemps s&#8217;il n&#8217;existe pas un réel risque de développer une addict avec le LSD et les lysergamides en général.
Il existe une tolérance (tt le monde est ok sur ce point), donc une accoutumance. A partir de là, n&#8217;existe t-il pas un réel risque d&#8217;addiction au LSD et dérivés.
C&#8217;est ma question.
C&#8217;est une hypothèse. Je ne peux pas le prouver ni l&#8217;affirmer.
Mais nous somme aussi ici pour faire de la RDR.
Or, on lit souvent que LSD et dérivés n&#8217;entrainent pas de dépendance physique, sur un plan neuro-chimique.
Que les psychés, en général, ne génèrent pas de d'addiction physique, au sens physiologique du terme.
Je n&#8217;en suis pas certain au regard de ce que j&#8217;ai pu constater et de qq personnes rencontrées.
Voila, ca va pas plus loin mais il me semble que la question est intéressante.
Y&#8217;a pas de polémique, juste une grosse interrogation.
A vous de voir au regard de vos expériences respectives.
Bon WE.
 
@Burned
je me suis avancé à donner mon avis (quelque part dans "juste pour dire") sans me douter que cela allait heurter la sensibilité et les convictions profondes de certains membres mais comme au final c'est la liberté de faire ce que on veut qui est la plus forte ...

je copie colle le truc
<cut>
je ne suis pas négativement "carré" avec les drogues... C'est un sujet qui attire la curiosité de tous et suscite des prises en compte les plus diverses, sérieuses ou fantaisistes. J'ai lu des avis, des témoignages, des TR etc... J'ai lu que le LSD ne fait pas de dépendance physique et que on arrête quand on veut. J'ai vu aussi que ce produit annihile la personnalité et devient un grand danger en se plaçant aux commandes de la volonté. Comment faire la part des choses quand on a tout ça à analyser? Moi je me situe à aucun de ces extrêmes. Je prétends que le LSD a une action ciblée sur le for intérieur et qu'elle intoxique des zones cérébrales avec précision à contrario des drogues "classiques" (canabis ou hero pour le plus hard) ou même l'alcool qui intoxiquent les cellules de façon plus étendue sur des zones larges... Pourquoi ne pas évoquer les médocs qui font les prescriptions médicales selon les maux à cibler? Ces substances visent l'une ou l'autre source physiologiques d'affections. Il en est ainsi pour la chimio du cancer et d'autres maladies. Les prods chimiques qui "ciblent" sont donc une réalité. Ils visent un endroit comme une cible en préservant les zones voisines. Ayant usé de LSD et pendant et après un temps de sevrage j'ai pu développer une méditation introspective pour comprendre cette substance étrangère qui avait fait mon expérience. J'ai trouvé que le LSD est "cibleur", comme certains médicaments ou produits chimiques. Par cette action localisée on se croit justifié d'établir le bilan d'une tolérance psychique alors que d'après moi (on en discute ici) il s'agit de dépendance physiologique de certains éléments bien définis. La déchéance n'est donc pas comparable à celle de l'héro ou de l'alcool ou autres... Le malaise ressenti lors du sevrage est comparable à celui d'une cure "traditionnelle" mais ramené sur des échantillons physiologiques bien délimités et c'est ce qui permet le quiproquo établissant le malaise psychique seulement. etc, etc... Je fais étape ici en attendant de voir si ma théorie est digne d'intérêt. Quoi qu'il en soit c'est un passionnant sujet...
</cut>

Voila, une personne a porté attention à cela (devanagari) et a admis que ce n'est pas impossible. Mais on ne trouve aucune référence de cela sur le Web. C'est vraiment le résultat de méditation pendant et après mon sevrage.

un usager de LSD c'est comme un vulcanologue qui se ballade autour du cratère... Normalement on ne doit pas tomber dans le feu... sauf si on ne sait pas où on est. Si on ne sait pas qu'il y a un volcan on tombera dedans. Ce sont les gens, les néophytes, non avertis...
 
Tout ce qui procure du plaisir est potentiellement addictif ! C'est aussi simple que ça. Juste que certaines drogues on des effets de sevrage plus sévère (alcool, opioïdes, anxiolytique...) à cause de certaines ruses neuro-chimique. Mais au fond ce qui fait l'addiction c'est pas le produit en lui même, mais plutôt la détresse affective de celui qui en consomme. En fonction du contexte, des opportunités et de la personnalité, chacun se tournera vers un paradis-artificiel qui lui convient. La drogue c'est l'usage que tu en fait, tout peut devenir drogue. Ca paraît simpliste et trop généraliste, mais je crois que c'est primordial de bien comprendre ce qui fait l'addiction à sa source: le manque. Le manque qui viendra trouver un objet sur lequel se centrer. Ne pas confondre le produit et la drogue.

Concernant le manque, en général les consommateurs de stupéfiant on des soucis d'ordre social/affectif. Pas forcément le manque de personnes qui nous entoure (mais ça peut être le cas). Mais aussi la difficulté à entrer en relation (et certains type de relations) avec l'autre. Voyez la manière dont vous considérer les personnes de votre entourage ? Exemple: Le meilleur ami confident; La maman "éternelle"; le père rassurant; le pote qu'on à prit sous son aile; le mentor. Etc... Chaque relation est différente et je suis sur qu'en y réfléchissant vous pouvez vous visualiser (pas forcement en image) chacune de vos relations avec les gens que vous connaissez. Et c'est la diversité et l'intensité de ces relations qui fait que l'on se sens comblé et sans manque.

C'est pas si dur de faire de test sur soi-même: Représentez vous mentalement chaque personne de votre entourage, en commençant par votre famille, et en s'éloignant jusqu'a l'ami de passage. Prenez conscience de ce que nourrit en vous chacune de ces relations, et voyez ce qu'il manque dans tout ça.
Le but ici n'est pas "d'acquérir" toutes les relations qu'il nous manque, mais de prendre conscience de ce dont nous avons réellement besoin.

Souvent on va essayer de combler ses lacunes affective avec le/la petit-e copain-ine, mais en général on va trouver quelqu'un qui à les mêmes manque affectif que nous même. Ca doit être cool d'être dans une relation à l'autre avec une conscience vis-a-vis de la dessus. Mais il est si facile de projeter ses désir sur l'autre que cela est souvent source de souffrance. D'autant plus que cela forme une demande inconsciente à la personne ce qui à terme risque souvent de plomber la relation, surtout si vous vous êtes trouvé un double émotionnel.

Hein quoi c'était pas le sujet ?
 
Retourner dans ma chère ville d'étude pendant une semaine, revoir tous mes potes, reprendre du DXM pour la première fois depuis huit mois, recalculer ma place dans l'univers, vérifier que je suis sur les bons rails, prendre une bonne gorgée de réalité, et rentrer chez moi, à ma petite vie pépère, avec des supers souvenirs et des connexions mises à jour.
Bref, cool.
 
amicale_du_pc a dit:
un usager de LSD c'est comme un vulcanologue qui se ballade autour du cratère... Normalement on ne doit pas tomber dans le feu... sauf si on ne sait pas où on est. Si on ne sait pas qu'il y a un volcan on tombera dedans. Ce sont les gens, les néophytes, non avertis...

Jolie métaphore. Totalement d’accord avec toi.
 
avec le LSD il faut beaucoup d'enseignement pour ne prendre que le bon... Il y a moyen mais cela ne se fait pas les doigts dans le nez.

tiens Burned, mais je dois te dire que en général j'ai difficile à faire passer mes convictions trop révolutionnaires, trop progressistes, sur ce forum. Mais puisque en tant qu'interlocuteur d'exception tu prouves que j'ai droit à défendre ma raison et un credo, je récupère un treath que je colle ici.

<cut>
quand j'ai débarqué sur le forum avec mon témoignage sur le LSD j'avais fait mention de la tolérance psychique comme mythe escamotant l'hypothèse de l'addiction ciblée sur des zones physiologiques délimitées. Mon but n'était pas de heurter mais mon intervention faite au nom de la science (très vulgarisée et intuitive) a pourtant provoqué une levée de boucliers assez générale. Doucement je suis revenu tout dernièrement avec cette hypothèse du ciblage chimique pck elle est mon intime conviction ( <-- pléonasme évolutif). La réaction a été plus pertinente que la 1ere x. Pareillement, au début, quand on a polémiqué sur la vitamine C sur le forum, aucun des arguments n'a eu d'attribution positive de la part des participants. Je reviens donc avec la Vitamine C, comme avec l'idée du ciblage chimique, dans l'espoir d'un vrai débat. Avant, j'avais dépeint l'usage de la vitamine C à ses débuts (60/70) et de l'espoir fou généré par ses facultés rédemptrices auprès des junkies et du monde underground... Les réactions des psychonautes mettant la vitamine C en doute sont pourtant différentes de ce qui est établi sur le Web, càd il semble être définitivement admis que la vitamine C bue en montée de LSD épure le trip et a une tendance à le raccourcir un peu en durée. Par "épurer" on comprend des couleurs plus kleen, un trip moins brouillon mais concis, mieux "à sa place". En descente la vitamine C écourte le délai. Au cas d'un bad la vitamine C à forte dose interrompt le trip. On ne confond pas avec le jus de citron ou d'orange qui a d'autres effets (relativement inverses)... Ces certitudes communément admises sur les espaces Web francophones et anglo-saxons vont assez bien dans le même sens que mon témoignage, càd la vitamine C est "capable" de choses et devrait mieux être prise en considération par les usagers de drogues. Si j'avais mieux connu cette vitamine lors de mes trips, elle aurait été un élément de mon attirail porté en bandoulière dans ma besace militaire du surplus américain. La vitamine C semble être très fine au niveau sympathique dans le cytoplasme et elle peut donc se mesurer au LSD en cette place de la cellule humaine. Si tout ça était à refaire je crois que je m'administrerais un cachet effervescent de 1000 mg 1 heure avant le trip, pour laisser le temps à la vitamine de fortifier le cytoplasme des cellules des zones cérébrales ciblées par le LSD. Ou alors (seconde méthode) un cachet à sucer de 500mg tous les 2 jours. Pas plus à cause de la saturation qui empêche le repos... Et aussi une sensibilité accrue à la douleur. Par exemple si vous êtes malade des nerfs, un excès de vitamine C augmente la sensibilité. Si vous avez mal aux dents, aux gencives, la vitamine C (en excès) en est la cause. Il y a donc des effets indésirables mais ils ne sont jamais fondamentaux. Oui, si le cacao pur est bon pour le coeur, la vitamine C est idoine pour préserver l'intellect et fortifier la psyché dont on a besoin pour bien triper.

Sur un site qui développe la RdR on ne devrait pas sous-estimer la Vitamine C. C'est un prod extraordinaire pour la prévention car sans danger. On parle bien sur de l'authentique Vitamine C, celle qui a un gout de citron, pas l'autre inventée plus tard (au gout d'acerola)
</cut>
 
Il existe un culte ancien de la vitamine C, les adorateurs discutent ascorbate, L-ascorbique, levogyre et racémique, on s'y emmêle les pinceaux autant qu'avec l'alphabet de la Ké.

Autrefois on trouvait la cristalline partout, aujourd'hui le plus simple (et économique) est d'acheter de l'oenologique au kilo
 
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