2'-OXO-PCE / O-PCE / Eticyclidone
- Auteur de la discussion grivois
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Gheritarish
Alpiniste Kundalini
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- 2/12/13
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- 526
Je profite d'être dans le coin pour faire un retour complémentaire sur le O-PCE.
Vous savez, le para de 22mg dont j'avais pris la moitié en sniff ?
J'ai finalement pris l'autre moitié, toujours en sniff, pas mal de temps plus tard, toujours aucune tolérance car aucune drogue depuis une plombe.
Bah c'était une grosse rouste vraiment violente, qui m'a rappelé de bonnes claques à la Salvia dans le genre "je n'existe plus", sauf que là ça dure pendant une éternité.
Voici quelques notes que j'avais prises :
Très familier et en même temps très différent de la MXE : une grande clareté, une cohérence interne et une logique apparente, mais des pensées qui volent dans tous les sens.
Grosse déshydratation mais impossible de se réhydrater : très diurétique.
Dilatation temporelle, alternance entre moments de lucidités et divagations incontrôlables.
Plusieurs impressions d'être "redescendu" brutalement à la réalité, de me réveiller, mais en fait jamais durable (et jamais vrai ?).
Vraiment plusieurs fois où j'ai cru être devenu fou, ne pas pouvoir revenir à la normale : je me suis répété mentalement que j'avais pris de la drogue (encore conscient donc), puis suis reparti dans mes délires sans trop d'idées noires.
Quelques moments avec des impressions bizarres (déformations visuelles / CEV : des insectes, démons, trucs inquiétants qui se tapissent dans les ombres, mais toujours un regard curieux plus que flippé).
Impression de "vrombissement" dans la tête toute la nuit (comme une machine à laver en essorage en fond sonore) - probablement pas vraiment le cas, donc j'imagine que c'était dans ma tête.
+ sensation très désagréable de fourmillements dans le bras gauche, une sorte d'engourdissement douloureux dans le triceps notamment. Disparu le matin.
Je me suis imaginé plusieurs fois être d'autres personnes et me parler à moi-même.
Bref, je pensais en avoir 10-12mg restant, à mon avis c'était une grosse moitié quand même (15mg ?), et ça m'a bien calmé en tout cas !
Vous savez, le para de 22mg dont j'avais pris la moitié en sniff ?
J'ai finalement pris l'autre moitié, toujours en sniff, pas mal de temps plus tard, toujours aucune tolérance car aucune drogue depuis une plombe.
Bah c'était une grosse rouste vraiment violente, qui m'a rappelé de bonnes claques à la Salvia dans le genre "je n'existe plus", sauf que là ça dure pendant une éternité.
Voici quelques notes que j'avais prises :
Très familier et en même temps très différent de la MXE : une grande clareté, une cohérence interne et une logique apparente, mais des pensées qui volent dans tous les sens.
Grosse déshydratation mais impossible de se réhydrater : très diurétique.
Dilatation temporelle, alternance entre moments de lucidités et divagations incontrôlables.
Plusieurs impressions d'être "redescendu" brutalement à la réalité, de me réveiller, mais en fait jamais durable (et jamais vrai ?).
Vraiment plusieurs fois où j'ai cru être devenu fou, ne pas pouvoir revenir à la normale : je me suis répété mentalement que j'avais pris de la drogue (encore conscient donc), puis suis reparti dans mes délires sans trop d'idées noires.
Quelques moments avec des impressions bizarres (déformations visuelles / CEV : des insectes, démons, trucs inquiétants qui se tapissent dans les ombres, mais toujours un regard curieux plus que flippé).
Impression de "vrombissement" dans la tête toute la nuit (comme une machine à laver en essorage en fond sonore) - probablement pas vraiment le cas, donc j'imagine que c'était dans ma tête.
+ sensation très désagréable de fourmillements dans le bras gauche, une sorte d'engourdissement douloureux dans le triceps notamment. Disparu le matin.
Je me suis imaginé plusieurs fois être d'autres personnes et me parler à moi-même.
Bref, je pensais en avoir 10-12mg restant, à mon avis c'était une grosse moitié quand même (15mg ?), et ça m'a bien calmé en tout cas !
F
Framboise
Guest
En effet, 15mg en sniff est déjà un dosage assez costaud !
Pour ma part je vais revenir sur une grosse session d'O-PCE.. Une connerie qui j'espère n'incitera personne à faire de même mais qui apporte quelques points intéressant.
J'avais commandé 2g sur SI, fin 2015. Le jour même de la parution du produit. Le shop lui même ne savait pas comment doser ce truc là.
Au départ j'ai été très RDR, j'ai testé le produit en partant de très bas dosages, en orale. Et toutes les deux semaines j'augmentais par tranche de 5mg. Une fois arrivé à ce qui me paraissait un dosage fort en orale, je suis passé au sniff puis au plug. Et déjà, sur cette période, je sentais bien que le produit, lorsque dosé entre 15-30mg, pouvait faire vriller. Mais je ne m'expliquais pas encore pourquoi... Pourtant les réponses étaient sous mon nez, mais manque de recule.
Jusqu'au printemps 2018, j'ai consommé l'O-PCE avec des espacements correct, sans en abuser. C'est un produit que j'affectionnais beaucoup, qui m'a permis d'analyser ma vie, m'a donné des idées que j'ai réalisé.
Et puis j'ai commencé à me taper une sale dépression suite à de nombreux sevrages d'Etizolam à la dure.
Arrivé au printemps 2018, je suis une fois de plus sevré depuis plusieurs semaines, de l'Etizolam, de l'alcool, du cannabis. Toutes mes plus grosses addictions en fait... Et je ne voulais plus mettre les pieds dans ce cercle infernal. Mais ma vie était devenu un merdier sans fond, je ne voyais pas le bout de cette spirale. J'ai donc commencé à consommer de l'O-PCE de la plus mauvaise manière qui soit. C'est à dire en espaçant les prises de moins en moins...
Jusqu'à en prendre tous les jours, pendant au moins un mois. De 15mg le soir pour me détendre, je suis vite arrivé à une trace de 20mg le matin pour me "réveiller", et une à deux traces le soir/nuit allant de 20 à 40mg.
Au bout d'une semaine j'étais en pleine crise de manie. Ego surgonflé, impression d'être le plus heureux du monde.
En deux semaines j'étais devenu une sorte d'élu de Dieu. On m'avait envoyé sur terre pour comprendre la vérité puis la propager. Heureusement j'ai bien fermé ma gueule, et ne parlais à personne de mes délires mystiques.. J'ai réussi à garder la face et même passer par-dessus. Je commençais à me faire peur avec ce mode de pensé. J'en étais au point ou un simple retard de train était devenu une mise à l'épreuve de Dieu pour tester mes capacités à rester calme... Du gros n'importe quoi !
J'ai donc décidé de ne pas stopper brutalement ce binge, ayant peur d'une potentielle addiction hardcore, qu'elle soit physique ou mentale. Donc pendant encore deux semaines j'ai descendu les milligrammes à chaque prise, et ça tombait bien, le pochon était presque terminé. J'ai donc consommé tout ce qu'il me restait, en espaçant au départ d'un jour sur deux, puis un jour sur trois, etc...
Sortis de ce binge, mes idées se sont bien remises en place, et pas spécialement d'addiction à retenir. Juste un retour à la normale.
BON, pourquoi je raconte tout ça ?
Ce binge m'a permis de comprendre et mieux cerner l'aspect maniaque où peuvent mener les disso. J'avais déjà expérimenté cet état avec la 3-MEO-PCP, 3-MEO-PCE, la MXE, la K, le DXM dans mes pires abus... Mais je prenais cet état psychotique pour une sorte d'afterglow positif avec effet anti-dépresseur bien marqué. Ce que je prenais pour un effet positif n'était rien de plus que le début de la folie en réalité. J'ai également consommé beaucoup de MXE en binge de plusieurs semaines, et j'affirme que l'ajout d'un "3-MEO" sur la molécule, amenuise BEAUCOUP l'aspect maniaque. L'O-PCE se rapproche beaucoup plus de la PCE originale que de la MXE. Les dosages sont presque les mêmes à quelques milligrammes prêt, et on sent bien dès les premières prises que le lendemain on est toujours pété, et dans mon cas assez anxieux avec des palpitations, bref un effet stimulant un peu crade couplé à une demi-vie assez balaise. Et c'est cet effet stimulant un peu crade, qui augmentant de jour en jour, amène à être déshinibé au max avec un mode de pensé qui part à la dérive. Les symptômes principaux de cette crise maniaque : effet très stimulant, mythomanie, déshinibition totale, actes sexuels non protégés, pensées d'ordre mystiques, mise en danger de moi même.
De plus, avoir tapé de l'O-PCE de façon quotidienne et dans des dosages assez forts, m'a permis de confirmer l'aspect relativement safe du produit pour le corps. Je n'ai eu aucune séquelle, donc si il existe un effet antibiotique avec l'O-PCE, celui-ci ne doit pas être trop fort. Aussi, il m'arrivait de faire des combo assez balaise comme avec le 4-HO-MET, le 2C-C, et surement d'autres phéné/trypta. Jamais eu de soucis physiquement parlant, par contre les trip en eux même grimpaient facilement vers le +++ / ++++ (échelle de Shulgin). Faire très attention à ça aussi !
Et pour finir, pas d'addiction physique. Quelques craving assez légers ont suivis, mais toujours bien contrebalancé par la chance que j'avais eu de ne pas terminer en HP.
Ayant écrit cette fiche sur l'O-PCE, je ne peux pas dire que je n'étais pas au courant des risques, et pourtant ça ne m'a pas empêché d'en abuser et de perdre totalement le contrôle...
Pour ma part je vais revenir sur une grosse session d'O-PCE.. Une connerie qui j'espère n'incitera personne à faire de même mais qui apporte quelques points intéressant.
J'avais commandé 2g sur SI, fin 2015. Le jour même de la parution du produit. Le shop lui même ne savait pas comment doser ce truc là.
Au départ j'ai été très RDR, j'ai testé le produit en partant de très bas dosages, en orale. Et toutes les deux semaines j'augmentais par tranche de 5mg. Une fois arrivé à ce qui me paraissait un dosage fort en orale, je suis passé au sniff puis au plug. Et déjà, sur cette période, je sentais bien que le produit, lorsque dosé entre 15-30mg, pouvait faire vriller. Mais je ne m'expliquais pas encore pourquoi... Pourtant les réponses étaient sous mon nez, mais manque de recule.
Jusqu'au printemps 2018, j'ai consommé l'O-PCE avec des espacements correct, sans en abuser. C'est un produit que j'affectionnais beaucoup, qui m'a permis d'analyser ma vie, m'a donné des idées que j'ai réalisé.
Et puis j'ai commencé à me taper une sale dépression suite à de nombreux sevrages d'Etizolam à la dure.
Arrivé au printemps 2018, je suis une fois de plus sevré depuis plusieurs semaines, de l'Etizolam, de l'alcool, du cannabis. Toutes mes plus grosses addictions en fait... Et je ne voulais plus mettre les pieds dans ce cercle infernal. Mais ma vie était devenu un merdier sans fond, je ne voyais pas le bout de cette spirale. J'ai donc commencé à consommer de l'O-PCE de la plus mauvaise manière qui soit. C'est à dire en espaçant les prises de moins en moins...
Jusqu'à en prendre tous les jours, pendant au moins un mois. De 15mg le soir pour me détendre, je suis vite arrivé à une trace de 20mg le matin pour me "réveiller", et une à deux traces le soir/nuit allant de 20 à 40mg.
Au bout d'une semaine j'étais en pleine crise de manie. Ego surgonflé, impression d'être le plus heureux du monde.
En deux semaines j'étais devenu une sorte d'élu de Dieu. On m'avait envoyé sur terre pour comprendre la vérité puis la propager. Heureusement j'ai bien fermé ma gueule, et ne parlais à personne de mes délires mystiques.. J'ai réussi à garder la face et même passer par-dessus. Je commençais à me faire peur avec ce mode de pensé. J'en étais au point ou un simple retard de train était devenu une mise à l'épreuve de Dieu pour tester mes capacités à rester calme... Du gros n'importe quoi !
J'ai donc décidé de ne pas stopper brutalement ce binge, ayant peur d'une potentielle addiction hardcore, qu'elle soit physique ou mentale. Donc pendant encore deux semaines j'ai descendu les milligrammes à chaque prise, et ça tombait bien, le pochon était presque terminé. J'ai donc consommé tout ce qu'il me restait, en espaçant au départ d'un jour sur deux, puis un jour sur trois, etc...
Sortis de ce binge, mes idées se sont bien remises en place, et pas spécialement d'addiction à retenir. Juste un retour à la normale.
BON, pourquoi je raconte tout ça ?
Ce binge m'a permis de comprendre et mieux cerner l'aspect maniaque où peuvent mener les disso. J'avais déjà expérimenté cet état avec la 3-MEO-PCP, 3-MEO-PCE, la MXE, la K, le DXM dans mes pires abus... Mais je prenais cet état psychotique pour une sorte d'afterglow positif avec effet anti-dépresseur bien marqué. Ce que je prenais pour un effet positif n'était rien de plus que le début de la folie en réalité. J'ai également consommé beaucoup de MXE en binge de plusieurs semaines, et j'affirme que l'ajout d'un "3-MEO" sur la molécule, amenuise BEAUCOUP l'aspect maniaque. L'O-PCE se rapproche beaucoup plus de la PCE originale que de la MXE. Les dosages sont presque les mêmes à quelques milligrammes prêt, et on sent bien dès les premières prises que le lendemain on est toujours pété, et dans mon cas assez anxieux avec des palpitations, bref un effet stimulant un peu crade couplé à une demi-vie assez balaise. Et c'est cet effet stimulant un peu crade, qui augmentant de jour en jour, amène à être déshinibé au max avec un mode de pensé qui part à la dérive. Les symptômes principaux de cette crise maniaque : effet très stimulant, mythomanie, déshinibition totale, actes sexuels non protégés, pensées d'ordre mystiques, mise en danger de moi même.
De plus, avoir tapé de l'O-PCE de façon quotidienne et dans des dosages assez forts, m'a permis de confirmer l'aspect relativement safe du produit pour le corps. Je n'ai eu aucune séquelle, donc si il existe un effet antibiotique avec l'O-PCE, celui-ci ne doit pas être trop fort. Aussi, il m'arrivait de faire des combo assez balaise comme avec le 4-HO-MET, le 2C-C, et surement d'autres phéné/trypta. Jamais eu de soucis physiquement parlant, par contre les trip en eux même grimpaient facilement vers le +++ / ++++ (échelle de Shulgin). Faire très attention à ça aussi !
Et pour finir, pas d'addiction physique. Quelques craving assez légers ont suivis, mais toujours bien contrebalancé par la chance que j'avais eu de ne pas terminer en HP.
Ayant écrit cette fiche sur l'O-PCE, je ne peux pas dire que je n'étais pas au courant des risques, et pourtant ça ne m'a pas empêché d'en abuser et de perdre totalement le contrôle...
PrinceOfPersia
Neurotransmetteur
- Inscrit
- 7/6/19
- Messages
- 20
Je commence a vraiment aimer l'o-pce, j'en ferais même mon deuxième disso préféré après le DXM. Je n'ai pas une grosse connaissance des disso juste DXM, kéta, 3-ho-pcp, 3-meo-pcp et je n'ai pas connu la fameuse mixie.
A chaque fois il a le don de me plonger dans une douce euphorie le tout avec une clarté mentale toujours tournée vers l'optimisme, les expériences s'accumulent et toujours cette sensation d'apaisement, de sérénité, de facilité, de paix.
Certain pourrait lui reprocher son manque de profondeur mais je le vois plus dans une optique "facile d'accès", "récréatif" un peu à la manière d'un stimulant.
Ca faisait longtemps que je n'avais pas découvert un RC vraiment intéressant, le voila.
A chaque fois il a le don de me plonger dans une douce euphorie le tout avec une clarté mentale toujours tournée vers l'optimisme, les expériences s'accumulent et toujours cette sensation d'apaisement, de sérénité, de facilité, de paix.
Certain pourrait lui reprocher son manque de profondeur mais je le vois plus dans une optique "facile d'accès", "récréatif" un peu à la manière d'un stimulant.
Ca faisait longtemps que je n'avais pas découvert un RC vraiment intéressant, le voila.
Skruffy
Holofractale de l'hypervérité
- Inscrit
- 26/1/18
- Messages
- 1 830
J'ai déjà essayé le O-PCE et j'ai bien kiffé, mais cette histoire de propriété antibiotique me fait un peu peur (en plus corona toussa c'est pas le moment de détruire son système immunitaire). Le 3-meo-pcp a apparament des effets similaires, mais il me semble qu'il présente des risques accrus de manie? Lequel serait le plus 'safe' selon vous, et pourquoi? A moins que ce ne soit finalement qu'un choix entre Charybde et Scylla, entre la manie et l'effet antibio?
Aussi, les deux lurons qui ont vaporisés 100mg de O-PCE en quelques jours sont comme même dans une conso hyper soutenue (20mg = très grosse perche en sniff, j'imagine que le dosage doit être encore plus faible en vaporisation, donc ça correspond à des doses assez folles pour un tel laps de temps). Donc est ce que les potentiels effets antibiotiques du O-PCE peuvent aussi être problématique dans une conso 'raisonnée' (conso tout les mois voir toutes les semaines)?
Enfin est ce qu'il y a un topic qui parle de bon sites pour commander des rc ou c'est hors charte?
Merci pour votre savoir les dissonautes
Aussi, les deux lurons qui ont vaporisés 100mg de O-PCE en quelques jours sont comme même dans une conso hyper soutenue (20mg = très grosse perche en sniff, j'imagine que le dosage doit être encore plus faible en vaporisation, donc ça correspond à des doses assez folles pour un tel laps de temps). Donc est ce que les potentiels effets antibiotiques du O-PCE peuvent aussi être problématique dans une conso 'raisonnée' (conso tout les mois voir toutes les semaines)?
Enfin est ce qu'il y a un topic qui parle de bon sites pour commander des rc ou c'est hors charte?
Merci pour votre savoir les dissonautes
- Inscrit
- 22/2/11
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- 5 933
Bonjour les psychos, c'est Grivois mais j'arrivais pas à me reconnecter avec mon mail initial.
Après un arrêt total des drogues pendant 1 année (cannabis compris), j'ai recommencé à commander des petites substances..
Concernant l'O-PCE, j'ai l'impression que la synthèse est mieux maîtrisée dans sa conception générale des marchés gris. Le produit a des vertus psychédéliques indéniables dissociatives, mais il faut (oui on le sait tous mais bon) pas abuser dans le dosage, les hauts dosages sont nocifs.
Mais j'ai plutôt bien kiffé le nouveau batch reçu récemment.
Un mélange d'effet de kéta, et de methoxetamine... Avec un côté visuel plus prononcé.
Par contre le gout de plastique, beark !!!!
Après un arrêt total des drogues pendant 1 année (cannabis compris), j'ai recommencé à commander des petites substances..
Concernant l'O-PCE, j'ai l'impression que la synthèse est mieux maîtrisée dans sa conception générale des marchés gris. Le produit a des vertus psychédéliques indéniables dissociatives, mais il faut (oui on le sait tous mais bon) pas abuser dans le dosage, les hauts dosages sont nocifs.
Mais j'ai plutôt bien kiffé le nouveau batch reçu récemment.
Un mélange d'effet de kéta, et de methoxetamine... Avec un côté visuel plus prononcé.
Par contre le gout de plastique, beark !!!!
T
TRAB
Guest
Quelqu'un a t'il eu, par hasard, une potentialisation particulièrement puissante des rêves suite à une conso d'O PCE ?
J'ai un pote qui m'a demandé de poser la question, il lui est arrivé un truc comme ça apparemment vraiment complètement ouf, et c'était le lendemain (le mec fait que dormir) il m'a dit mes rêves c'est des énormes trip de salvia x1000 et pourtant il est habitué aux rêves déglingo (sachant qu'il dort bien plus qu'il ne le faut).
Il a trouvé le prod assez ouf a forte de dose (bah oui pas étonnant il était prévenu), trip très difficile à expliquer selon lui, à ne plus se souvenir qu'il avait drop par exemple.
J'ai un pote qui m'a demandé de poser la question, il lui est arrivé un truc comme ça apparemment vraiment complètement ouf, et c'était le lendemain (le mec fait que dormir) il m'a dit mes rêves c'est des énormes trip de salvia x1000 et pourtant il est habitué aux rêves déglingo (sachant qu'il dort bien plus qu'il ne le faut).
Il a trouvé le prod assez ouf a forte de dose (bah oui pas étonnant il était prévenu), trip très difficile à expliquer selon lui, à ne plus se souvenir qu'il avait drop par exemple.
- Inscrit
- 5/8/14
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TRAB a dit:
Pas vraiment chez moi pour ma part... Après l'O-PCE est un dissociatif très puissant du au fait qu'il n'as que peu de substitution il est as rapprocher énormément au PCE... et donc par extensions a l'usage du PCP connue pour avoir était stoppé en anesthésie du au fait que beaucoup de patient faisait état de récits en phase de sommeil cauchemardesques (ou parfois onirisme intense)
Peut être que ton pote a cru qu'il était dans un état de rêve mais qu'il était simplement dans un hole puissant et confus ?
Pour ma part je note pas de potentialisation sur mes rêves venant de la prise de dissos comme l'O-PCE, mais les situations "holesques" et "onirique" que j'ai vécu sous O-PCE ressemble fortement à des rêves par moment...
Après est ce que le le simple fait (peut être) d'avoir vécu ce genre d'expériences débloquerai chez lui des rêves plus vivaces et une capacité a s'en rendre compte ?
Perso j'ai consommé et consomme beaucoup de dissos et tout mes rêves sont particulièrement vivaces quand je m'en rappelle en général, mais c'est un peu la roulette russe...
Mais du coup ce serait pas étonnant qu'il y est une action sur les rêves et phases du sommeil...
Tridimensionnel
Cheval théorique
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Stim résiduelle -> sommeil profond perturbé -> sommeil paradoxal prolongé -> rêves intenses ?
Tridimensionnel
Cheval théorique
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Peut-être oui, mais il y a sûrement d’autres facteurs, qui font qu’un jour c’est particulièrement remarquable et qu’on l’attribue à un prod en particulier
Perso j’ai souvent des rêves très vivaces et inconfortables apres un stim/psyché
Perso j’ai souvent des rêves très vivaces et inconfortables apres un stim/psyché
