tartopom
Holofractale de l'hypervérité
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Accompagné par Tetro et 2g de mexicains chacun au cours d'une après midi de marche en forêt, nous nous posions en début de descente dans une place naturelle dont l'harmonie sauvage se laissait contempler. Un moment passe, dans la musique silencieuse de la nature.
Nous préparons une pipe de DMT. Je m'installe debout, adossé à un grand arbre qui perce la frondaison et me baigne dans une douce lumière. Je respire profondément, savourant pleinement l'instant et l'énergie qui s'en dégage. La vapeur de l'épice m'envahis et disperse la bulle, laisse place à une connexion illimitée entre mon être et l'univers. La continuité du tout est plus présente et plus perceptible que jamais.
Je commence à marcher, d'abord hésitant, puis avec plus d'assurance je finis même par courir. Au sommet d'une butte, je m'arrête, fasciné par la diversité ambiante. Cependant, j'observe une variation notable de mes perceptions visuelles. Plusieurs plantes prennent une teinte écarlate, les feuilles des arbres m'évitent, les branches me pointent et des visages modelés dans l'écorce expriment la colère. Intrigué par ce phénomène je lui donne plus de consistance en me focalisant dessus, considérant la possibilité d'un message.
Le phénomène s'amplifiant, c'est alors que j'entends : "on ne veut pas de toi ici". Surpris, je poursuis l'expérience et me demande pourquoi un tel message m'est adressé. Tout en réfléchissant, je continue d'observer mon environnement et mes yeux se posent sur mon corps, que je vois couvert de ces vêtements impliquant l'activité humaine et son impact sur la nature.
"Ah, c'est parce que je suis un humain c'est ça ?" Instantanément, les perceptions négatives s'effacent, tout redevient calme et les visages s'effacent quasiment, ne laissant qu'une vague expression déconfite. Je profite des derniers instants de mon voyage pour me poser et méditer sur cet évènement. Je rejoins Tetro qui a lui aussi voyagé.
Si j'accorde du crédit à cette expérience, il est possible de conclure que le message est : je ne suis pas en harmonie avec la nature, de par ma façon de vivre. Bien que le vécu soit en parti négatif, je considère l'expérience comme positive puisqu'elle me pousse à me rapprocher de la nature, ce qui est, en soi, une bonne chose.
Nous préparons une pipe de DMT. Je m'installe debout, adossé à un grand arbre qui perce la frondaison et me baigne dans une douce lumière. Je respire profondément, savourant pleinement l'instant et l'énergie qui s'en dégage. La vapeur de l'épice m'envahis et disperse la bulle, laisse place à une connexion illimitée entre mon être et l'univers. La continuité du tout est plus présente et plus perceptible que jamais.
Je commence à marcher, d'abord hésitant, puis avec plus d'assurance je finis même par courir. Au sommet d'une butte, je m'arrête, fasciné par la diversité ambiante. Cependant, j'observe une variation notable de mes perceptions visuelles. Plusieurs plantes prennent une teinte écarlate, les feuilles des arbres m'évitent, les branches me pointent et des visages modelés dans l'écorce expriment la colère. Intrigué par ce phénomène je lui donne plus de consistance en me focalisant dessus, considérant la possibilité d'un message.
Le phénomène s'amplifiant, c'est alors que j'entends : "on ne veut pas de toi ici". Surpris, je poursuis l'expérience et me demande pourquoi un tel message m'est adressé. Tout en réfléchissant, je continue d'observer mon environnement et mes yeux se posent sur mon corps, que je vois couvert de ces vêtements impliquant l'activité humaine et son impact sur la nature.
"Ah, c'est parce que je suis un humain c'est ça ?" Instantanément, les perceptions négatives s'effacent, tout redevient calme et les visages s'effacent quasiment, ne laissant qu'une vague expression déconfite. Je profite des derniers instants de mon voyage pour me poser et méditer sur cet évènement. Je rejoins Tetro qui a lui aussi voyagé.
Si j'accorde du crédit à cette expérience, il est possible de conclure que le message est : je ne suis pas en harmonie avec la nature, de par ma façon de vivre. Bien que le vécu soit en parti négatif, je considère l'expérience comme positive puisqu'elle me pousse à me rapprocher de la nature, ce qui est, en soi, une bonne chose.
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En plus on la connaît bien.
