jegthegui
Neurotransmetteur
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Vous avez été nombreux à répondre à l’enquête « outils numériques et usage(r.e)s de drogues. Maintenant que nous avons des chiffres, nous aimerions poursuivre l’étude en vous donnant la parole sur les résultats et lancer des débats. Il s’agit d’obtenir des éléments plus qualitatifs mais également d’orienter la recherche vers la cyberpsychologie (étude des impacts des « machines » sur la psychologie humaine). Les questions sont placées après l’infographie qui suit.
Les forums et encyclopédies communautaires sont les outils les plus consultés et jugés les plus adaptés par les usagers. D’autres outils (sites grand public, sites gouvernementaux, réseaux sociaux) sont très consultés mais jugés inadaptés par les usagers. Pour 52 % des répondants, il manque des informations sur les drogues sur Internet, notamment concernant les drogues les moins connues, ou la présence de sites de références exhaustifs, avec des références validées et en français. En matière de soins, les informations recherchés concernent majoritairement le sevrage à domicile sans aide extérieure. Enfin, 49 % des répondants sont déjà tombés sur des sites qu’ils qualifient de « bizarre » ou « dangereux ».
Question 1 : Quelles expériences négatives ont été vécues en cherchant des informations sur Internet ?
Question 2 : Pourquoi selon vous les usagers s’informent-ils plus sur les sevrages à domicile sans aide extérieure que sur les sevrages accompagnés par une structure par exemple ?
Merci !
Les forums et encyclopédies communautaires sont les outils les plus consultés et jugés les plus adaptés par les usagers. D’autres outils (sites grand public, sites gouvernementaux, réseaux sociaux) sont très consultés mais jugés inadaptés par les usagers. Pour 52 % des répondants, il manque des informations sur les drogues sur Internet, notamment concernant les drogues les moins connues, ou la présence de sites de références exhaustifs, avec des références validées et en français. En matière de soins, les informations recherchés concernent majoritairement le sevrage à domicile sans aide extérieure. Enfin, 49 % des répondants sont déjà tombés sur des sites qu’ils qualifient de « bizarre » ou « dangereux ».
Question 1 : Quelles expériences négatives ont été vécues en cherchant des informations sur Internet ?
Question 2 : Pourquoi selon vous les usagers s’informent-ils plus sur les sevrages à domicile sans aide extérieure que sur les sevrages accompagnés par une structure par exemple ?
Merci !