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Le forum des amateurs de drogues et des explorateurs de l'esprit

Quand le besoin a remplacé l'envie.

  • Auteur de la discussion Auteur de la discussion Loadz
  • Date de début Date de début
Au lieu de t'apparenter a une forme de conformisme vis à vis de cette odeur, au contraire tu pourrais te servir d'un esprit de marginalité pour t'élogier de l'accomplissement d'un ralentissement de la consommation au profit de ta santé (psychologique et physiologique).

A contrario du fumeur dans une famille de non fumeur, soit non fumeuse dans une famille de fumeuse, et flatte toi en.

Je sais ça peut paraître enfantin, mais au début de ma consommation (j'ai commencé au même âge que toi, j'ai eu des comportements similaires durant la défonce, mettant à part mes réflexions au profit de l'égo). En tout cas ça motive et le résultat est satisfaisant.
 
Vous avez tous raison , je pense que la force mentale est la chose la plus importante si je veut pas craquer .. en tout cas je sais ce qu'il me reste a faire ... Merci a tous de vos conseils et que la force soit avec nous tous ! :)
 
T'as déjà pris conscience du problème, c'est un grand pas... D'une manière plus générale que la dépendance (psychique et physique dans ton cas), j'pense qu'il faut que tu revois tes intérêts, tes valeurs, ton environnement global, tes habitudes, toussa toussa. T'es clairement dans un phénomène d'addiction.

Tu dis que la vie est inintéressante sans weed. Faut que tu retrouves ta capacité à vivre sans weed, ouais la vie est bien différente sans défonce, mais c'est ça, la vie c'est pas être défoncé en permanence.
T'as pas trop d'intérêts, trouve-toi des occupations sans joints. Des activités que tu dois faire en étant lucide ou qui te permettent de te passer de fumer. J'sais pas si tu bosses, mais avoir un travail j'trouve que c'est déjà énorme pour se sevrer. Aller bosser avec les idées claires, être alerte, réfléchi, et retrouver la motiv de bosser... juste parce que tu aimes ce que tu fais.

J'parle pour moi, mais j'ai toujours adoré mon job et j'ai toujours fumé de manière récréative, càd en soirée avec des potes ou le week-end quand je sortais. Depuis quelques mois, j'me fais chier comme un rat crevé à mon travail, ça devient inintéressant, j'vais en changer bientôt mais en attendant, j'vois bien que depuis ces quelques mois j'ai bien augmenté ma consommation. Avant j'minterdisais de fumer les jours où je bossais, ou même la veille d'un jour de taf. Baaah ... ça c'est fini lol

Franchement, courage. Tu verras que la vie sans être déf tout le temps, c'est beaucoup mieux... et tu seras fier d'avoir arrêté.

Pour les antihistaminiques, si j'peux juste rajouter quelque chose : les antihistaminiques H1 de 1ère génération sont dépresseurs du SNC, donc sédatifs. C'est même donné en pré-médication lors d'une op parfois. Tandis que ceux de 2ème génération sont pas dépresseurs du SNC, mais y a certains principes actifs qui provoquent quand même une somnolence. Pas tous... par ex. la cetirizine est connue pour ça, mais la loratadine ne rend pas somnolent pour un sous!
 
J'ai lu les deux pages de ce topic et je me rends compte que j'ai de la chance de ne jamais avoir franchis le côté obscur, pour le cannabis mais pour les drogues en général. A défaut de pouvoir vous donner des conseils sur la façons d'arrêter, je vais vous partager mon ressentie sur comment j'ai pu garder une conso modéré.

Tout d'abord, j'ai essayé le cannabis vers l'age de 16 ans, quelques morceaux de shit avec des potes, cependant je n'aimais pas spécialement le goût et à chaque fois que je tirait un taff, j'avais comme un flash noir.. enfin c'est très difficile à expliquer. Donc ma consommation était très exceptionnel, jusqu'au point qu'a partir de mes 17 ans je n'y ai plus toucher pendant deux ans. Refus catégorique issue d'une grande volonté. Vers mes 19 ans, j'ai renoué avec mes potes, et j'ai découvert avec eux l'univers de la rave, et parrallèlement, les drogues. J'ai petit à petit repris une conso de cannabis, très lègère. Un des points qui m'a le plus marqué et qui me suis toujours, c'est lorque mon ami m'a fait découvrir la MDMA, la première drogue "dure" illégale que j'ai gouté. Il nous a brieffé pendant 30min-1h sur le fait que c'était nocif, très addictif, et que ême si on allait être les plus heureux du monde, ceci était illusoir et qu'il ne fallait jamais perdre ça de vue. D'autant plus qu'on s'est fixé des limites, interdiction de touché à un drogue dure plus d'une fois par mois, par conséquent, interdiction d'inciter. Du coup, il y a une sorte de pacte de crée. On pourrait appeller ça un "Pacte de Modération". Au final, ceci nous permet de profiter des avantages des drogues, tout en minimisant grandement les risques sanitaires et l'impact psychologique. Je crois que c'est depuis cette époque que j'applique la modération à ma vie, et honnêtement j'en suis très fièr.

Etant actuellement sans emploi, en reconvertion professionnelle, je pourrais fumer tous les jours, toute la journée. Cependant je ne m'en accorde seulement un le soir. Parfois deux, parfois aucun. Tant que je reste dans l'envie et non l'obession, je ne me considère pas en tort. Par conséquent je reste en harmonie avec moi même. Et depuis quelques mois je suis passé au vaporisateur. Et j'en suis très heureux. Je pense d'ailleurs que ça pourrait aider d'arrêter, ou du moins diminuer la conso (à quantité équivalente, l'effet est 30% à 40% plus puissant), tout en enlevant le tabac. Après l'inconvénient, c'est le fait qu'il n'y a plus ce petit pétard avec lequel on a l'habitude de jouer. Mais au fur et à mesure que je vapote, je me dégoute du pétard, qui je trouve fait perdre tout le goût du cannabis, qui démonte la gorge, la trachée, les poumons et qui laisse un goût de brûler dans la bouche. Cependant, il faut vouloir passer au vapo, et accepter de perdre un petit peu d'un côté (qui peut être chère à nos yeux) pour en gagner d'un autre. Ne fumant pas de tabac et n'aimant pas ça, ça a été plutôt simple pour moi j'dois l'avouer.

Ensuite je suis tout a fait d'accord sur le fait qu'il faut s'occuper si on ne veut pas passer son temps à bédhave, et croyer moi étant sans emploi j'ai du temps à occuper, et j'y arrive. Par exemple, plutôt que de consommer des drogues, je me renseigne sur elles (psychonaut.com !) et donc je consomme de manière plus responsable, notamment le cannabis, j'ai du regarder une trentaine de documentaire sur le cannabis, d'un peu tout les points de vue qu'il existe, et au final je me suis construit une culture assez importante qui me permet de peser le pour et le contre et de ne pas sombrer dans le chaos. Je me suis aussi cultivé sur d'autres produits psychoactifs, tel que les champignons que j'apprends à cultiver au jour le jour.

D'ailleurs ces champignons m'on ouvert un nouvel horizon spirituel. Enfin je dirais plutôt l'horizon de la drogue et la spiritualité. Désormais, lorsque je consomme de la drogue (toute confondus) j'essaye de travailler sur moi même, et plus généralement de faire un travail spirituel. Je trouve que la spiritualité est un bon subsitu à la drogue, tout comme elle se marie bien avec. Je veux pas inciter quelqu'un à rejoindre tel ou tel religion, je n'en ai aucune personnellement, ou alors je fais partie de toutes. Je prends les idées bonnes la où elles se trouvent. Tout ça pour en venir à une autre de mes activités de sans emploi : écouter les gens parler. Via des documentaires ou des interviews, je me renseigne sur la vie de grands maîtres spirituel, d'artistes, de militants, etc... Je pourrais citer des interviews de Jacques Brel, Bruce Lee, Brassens, Jack Herer, Alexandre Astier, et j'en passe tellement il en existe !

Voilà, j'espère avoir pu aider quand même un peu, j'dis pas que j'ai une vie modèle et que ce que j'applique à ma vie pourrait marcher avec la vôtre, mais pourquoi pas, ou du moins il faut que vous trouviez votre voie. En tout cas continuez votre combat, il n'est pas vain et en vaut la peine, la vie mérite d'être vécue sans drogue, tout comme la drogue mérite occasionnellement qu'on s'intéresse à elle sans qu'elle nous capture. Tenez-nous au courant de vos évolutions, j'pense qu'ici tout le monde vous soutient.

Pour terminer, un GROS PEACE ! :P
 
Un peu dans la même situation que le post initial.

J'ai commencé à bédave quotidiennement y'a maintenant 4ans avec mon premier compagnon. Après des hauts, des bas et des plus ou moins longues périodes d'arrêt (Max 1mois), je me retrouve aujourd'hui également dans une impasse. Plus de motivation et l'envie de tout lâcher pour partir loin, ça me pose pas mal de problème aussi d'un point de vue social (comme dit l'auteur, la sensation de n'avoir rien à dire et de se sentir "con" est récurrente). Et surtout en ce moment incapable de freiner ma consommation qui tourne à 4-6 pétards par jours.

Mon problème est que je vis en ce moment en collocation avec une amie dans un petit appartement sans chambres séparés. À chaque mini période de sevrage je deviens très vite irritable, voir sec et très cassant. Et j'ai peur d'un long sevrage qui pourrait transformer une amitié en confrontation. Je ne vois malheureusement plus la vie sans défonce...

Comment freiner une consommation et arriver à contrôler ses émotions quand on vit à deux? Également j'aimerai savoir comment certain on eut le déclic d'arrêter ou de ralentir?
Sans soutiens est-ce faisable?

Sinon pour l'auteur original tu en es ou dans ta conso depuis le temps?

EDIT : Si quelqu'un est dans la même situation, je serai heureux d'avoir un petit camarade de MP avec qui parler de notre état d'avancement ;p
 
Salut mec.

J'suis pas dans la même situation que toi; je m'enfume comme un chien et j'ai pas l'intention de m'arrêter mais je me suis pas mal reconnu dans ce passage:

"Plus de motivation et l'envie de tout lâcher pour partir loin, ça me pose pas mal de problème aussi d'un point de vue social (comme dit l'auteur, la sensation de n'avoir rien à dire et de se sentir "con" est récurrente)."

Donc si ça te dit, on passe en MP dès que t'y auras accès (20 posts constructifs sur le forum).

Bonne fin de journée.
 
yes mec, avec plaisir. Je te MP dès que j'aurai le nombre de messages requis. :)

Je vais essayer de me faire une semaine de sevrage à partir d'aujourd'hui (bon en même temps mes clats sont tous à sec pour la première fois depuis des mois...), on verra ce que ça donne sur une semaine complète et si j'arrive à m'y tenir...

Bon dimanche !
 
Les arrêts de fume rendent con...
(cf "ma femme")
 
Je te comprends, 5 mois que je fume tous les jours. Je vois ce que je deviens, et c'est dur d'en sortir. Fumer ne doit pas devenir un besoin, et c'est pour ça qu'on ne doit pas fumer tous les jours.

* Bon courage ;)
 
Wooow je me reconnais aussi dans ton texte étant moi meme complètement accro au hashish...moi aussi j'ai l'impression qu'on me prend toujours pour un con,je ne peut dormir sans "ma t". La derniere fois que j'ai essayer d'arreter d'un coup la conso j'ai failli me suicide j'avais des idées sombres, je mangeai quasiment plus, dormait a peine...aujourd'hui j'essaie de me dire que je suis mieu avec la conso que sans..peut etre par manque de maturiter ou bien que je sois seulement faible.
Bref je te souhaite de retrouver un mode de vie dit "normal".
Bonne chance l'ami
 
Faut pas cesser toute consommation d'un coup aussi, sinon effectivement, tu pètes les plombs. Faut pas sauter les étapes ; d'abord tu diminues le nombre de joints par jour (il y a des joints dont le manque se fait moins ressentir que d'autres selon le moment auquel tu les prend, comme le joint du matin et le joint du soir, ceux là, enlève-les en dernier). Si tu arrives à ne fumer qu'un joint par jour avant de t'endormir, tu auras déjà fait un grand pas. Pour ma part, la chose qui m'a aidée, c'est de faire la distinction entre ma weed et celle des autres. La mienne, j'y touche que le week-end (bien sûr, la tentation est parfois forte, mais faut savoir ce que l'on veut) ; par contre, si on me propose un joint, je vais tirer quelques taffes dessus si je sens que si je ne le fait pas, je vais avoir envie toute la journée. Avec cette méthode, je suis passé de 5 joints/jour à plus ou moins 5 joints par semaine (bon parfois y'a des semaines où je fume plus, mais seulement le week-end), et ma consommation actuelle me satisfait. Par contre, n'essaie pas tant que tu ne te sens pas prêt(e), car si ça se passe mal, ça va créer un blocage lorsque tu voudras ré-essayer d'arrêter.
 
bien sûr, la tentation est parfois forte, mais faut savoir ce que l'on veut

Exact, bien dit. Y'a bien sûr des méthodes pour limiter les effets désagréables de l'arrêt/réduction d'une substance, mais faut pas croire que ça va se passer sans rien sentir. Y'a des gens qui disent vouloir arrêter mais s'offusquent de devoir passer par des moments désagréables, ou de faire face à la tentation. Faut savoir ce qu'on veut et se faire un peu violence parfois.
 
Bonjour à tous ! Presque un an et demi que je n'étais pas venu poster sur ce topic. Le temps passe....
Je ne voulais pas reposter tant que je n'étais pas "guéri", quand j'ai créer le sujet, je n'étais pas du tout dans une optique de reprise en main. C'était plutôt un appel à l'aide, sans vraiment vouloir changer dans le fond, je m'en rends compte.

En un an, il s'est passé pas mal de choses dans ma vie. Beaucoup de changement.
Je m'étais repris en main un certain temps, j'avais du travail, j'étais plutôt heureux de vivre des journées bien remplies, sans fumer pour autant si ce n'est le soir.
Puis j'ai perdu ce travail, et tout à recommencé. En rajoutant les drogues dures par dessus régulièrement. C'était devenu assez problématique de rajouter de la MD et des trips tous les week end en plus de la weed.

Autant dire que ça m'a pas mal rongé le cerveau. Mon moral n'était qu'un yoyo qui ne s'arrêtaient jamais. Passé de la joie à la tristesse en l'espace de deux minutes, péter un cable dès que quelque chose n'allait pas dans mon sens, la paranoïa etc. C'était devenu assez malsain.

De fil en aiguille, j'ai perdu mes amis, ma vie sociale. J'ai eu beaucoup de mal à l'accepter, mais ce n'est que le fruit de mes mauvaises décisions.
J'ai passé pas mal de mois enfermé, à tapper douilles sur douilles, et à ne plus voir personne si ce n'est ma copine qui me boost et que je remercie d'être toujours à mes côtés d'ailleurs. C'est un énorme soutient.

Rester enfermé à tapper des douilles n'a rien arrangé, au contraire. Après de longs mois, j'en suis enfin venu à me dire "Il est temps de changer".
Ca n'a pas été facile, mais je l'ai fait. Fini ce putain de bang, je l'ai foutu dans un coin sans y retoucher pendant quelques temps. Je suis passé des douilles aux joints pour commencer.
Et je suis plutôt fier de moi car j'ai retappé quelques douilles il n'y a pas si longtemps que ça, et je n'ai pas ressenti cette envie de vouloir en refaire. Je l'ai simplement vidé après, et il est toujours dans un coin.

Ensuite évidemment, ça n'a fait que reporté le problème. Je fumais 10 pets par jour, c'était pas tellement mieux que les douilles, au final.
J'ai beaucoup travaillé sur moi, j'ai découvert que remplacé le joint du matin par un bon thé bien chaud n'était pas une mauvaise chose.....
Je me suis empêché de fumer chaque matin. Puis chaque midi. Pour au final, ne plus fumer du tout la journée !

Je reste un consommateur régulier étant donné que je fume encore tous les soirs pour dormir. Cependant, j'ai fait une grosse avancée sur ma surconsommation et je me sens tellement mieux. Je suis fier de pouvoir le dire enfin. Je peux passer des journées normal, en étant actif.

Maintenant, le plus gros est à faire. Me reprendre en main, reprendre des études ou trouver du travail. Dans quelques mois, je déménage normalement à l'autre bout de la France, ca fais plusieurs mois que je pensais à "tout recommencer" ainsi. C'est un nouveau départ et je ferais tout pour qu'il se passe le mieux possible.

En éspérant que les autres qui se trouvaient dans la même situation que moi s'en soit sortis aussi ou réussiront à s'en sortir. Tout est question de volonté, courage les amis.. ! Peace.
 
Merci à toi Kronenberg,

Oui j'avais déjà constaté ça pendant de nombreux mois : plus aucun rêves. Et le matin effectivement, c'est toujours assez dur d'émerger.
Depuis que ma conso a diminuée, même si je fume le soir, j'en refais bien plus qu'avant.

(D'ailleurs, je me suis posé la question il y a quelques temps de si les rêves sont utiles au bien être d'une personne ? Ce que je veux dire par là, c'est que les rêves nous permettent d’extérioriser sûrement une partie de peine et de l'autre côté nous faire voyager dans "un monde merveilleux". Quand on consomme régulièrement, on ne "s'échappe" plus pendant son sommeil. On dort, c'est tout.
Je pense que les rêves sont très importants pour le moral et le bien être de n'importe quel personne. C'est un sujet à creuser, que je trouve très intéressant.)

Je vais essayer de me régulier et de fumer 1h avant de dormir, puis 2h... Pour au final, j'espère, réussir à fumer 5-6h avant de dormir comme toi, et pas juste 10min avant comme je le fais maintenant.

Cependant, je reste assez attaché à ce joint. Je ne souhaite pas le supprimer définitivement. Vu que ma consommation n'est plus excessive, ça ne me pose plus tellement de problèmes les journées, ça reste un petit plaisir que l'on s'accorde le soir. Il ne faut juste plus aucun excès. (le pire étant de fumer le matin, ça te plombe direct la journée complètement)

Je te souhaite bonne continuation ! :)
 
Loadz a dit:
Dans quelques mois, je déménage normalement à l'autre bout de la France, ca fais plusieurs mois que je pensais à "tout recommencer"...

[video=youtube;CiaXQIoWFqo]


Bravo pour tes efforts et bon courage pour tes projets !
Changer de lieu peut effectivement permettre un renouveau, aider à changer ses habitudes, etc...
Et comme tu le dis, tout est possible avec de la volonté :yawinkle:
 
Ne plus rêver la nuit c'est faire une croix sur une partie entière de soi, sur son équilibre.

J'aime bien ce forum, j'apprends quelque chose à presque tous les posts que je lis. C'est super intéressant ce que tu dis et merci de l'avoir mis en lien avec les analyses de Freud, je vas me renseigner à ce sujet et sur ses écrits à propos des rêves. Je ne pensais pas que ça influait autant sur l'équilibre mental.

Je te comprends bien ! Comme je le disais dans un autre sujet, arrêter complètement est absurde, suffit de trouver son équilibre personnel... Pour ma part, au quotidien, cette fumette de soirée finissait par m'ennuyer profondément tout en n'ayant plus que de côtés négatifs. Mon but : une prise tous les 15 jours :-)

Arrêter complètement peut être une bonne chose sur du long terme, ce qui est absurde est d'arrêter d'un coup : c'est juste pas vivable.
Où en es-tu dans ton but de fumer uniquement tous les 15 jours ?
Au vu de tes paroles, je pense que tu n'auras pas de "mal" (entre guillemet évidemment) à atteindre ce stade !

Jhi-dou a dit:
[video=youtube;CiaXQIoWFqo]


Bravo pour tes efforts et bon courage pour tes projets !
Changer de lieu peut effectivement permettre un renouveau, aider à changer ses habitudes, etc...
Et comme tu le dis, tout est possible avec de la volonté
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J'ai écouté la moitié mais je dois partir j'écouterais la suite ce soir, belle découverte je ne connaissais pas merci ! C'est carrément sympa comme musique ! :)
Oui puis la terre est tellement grande, c'est dommage de s'enfermer dans un seul et unique lieu.. Plus que "l'addiction" au cannabis en elle même, l'endroit où tu vis joue une grande partie sur les habitudes ! Et il est bon de casser ces habitudes.
 
Kronenberg a dit:
J'en suis à 1 fois (dab) par semaine, par toujours simple mais j'ai fait mon deuil : je resterai toujours un vilain drogeyyy :-p

(dab ?) Tu m'étonnes que c'est pas toujours simple mais tu as fais le plus gros ! On ne change jamais vraiment totalement, on garde toujours une part de ce que l'on était, ça n'est pas forcément négatif :)
 
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