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Quand le besoin a remplacé l'envie.

  • Auteur de la discussion Auteur de la discussion Loadz
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Loadz

Elfe Mécanique
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14/2/13
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Bonjour, bonsoir à tout le monde.

Je ne sais pas vraiment où placer ce topic : il concerne en particulier le cannabis mais c'est un grand tout.

Je post assez peux mais je suis beaucoup les sujets du forum et certains nous font part d'histoires touchantes. Je tire d'ailleurs mon chapeau à ceux qui ont réussis à se sortir du monde des drogues dures sans aucune aide, avec leur volonté, rien de plus. Car il en faut du courage quand une dépendance physique est présente.

Perso je m'en sors plus. J'hésite même à me faire aider.
Parce que merde, je suis un "putain de camé". Plus les jours passent, plus je me remet en question. Vous n'aurez pas droit à une de ces histoires tristes d'un mec qui tombe dans les vices des drogues dures et qui s'en sort à la force de son mental. Rien que la drogue douce est un problème pour moi.

J'ai découvert le cannabis à mes 13 ans, jeune, con, bien sur que j'ai aimé ça, ce serait mentir de dire le contraire. Très vite, j'ai changé de comportement. Exclusion, renvoi, problèmes familiaux, fugues, démotivation, perte de mémoire, tout ça à cause de cette merde. Pourtant, dans ma tête, à cette époque, ce n'était que positif : j'étais plus sociable moi qui habituellement suis assez réservé, le genre de mec toujours sur le coté. Oh oui, ça m'en a apporté des connaissances. Ca m'a même apporté du bonheur autant amical qu'amoureux. Mais en faisant le point des années de consommation après, y'a beaucoup plus de négatif que de positif.

J'ai besoin de ce joint. La dépendance n'est que mentale, parait-il, pourtant j'en ai besoin. Je suis incapable de dormir sans ce foutu bédo. Faut dire que je n'ai pas le sommeil facile à la base, mais après des années de fumette avant de dormir, je me rend compte que je suis dans une impasse.
Dormir sans être défoncé me parait tout simplement inconcevable. Si par malheur je n'ai pas mon joint du soir (ce qui est le cas ce soir) je me butte à la bière ou au pinard.
C'est pour ça que j'ai parlé d'un grand tout : J'ai besoin d'être défoncé pour dormir. Et je préfère fumer ou boire plutôt que de me shooter à ces merdes chimiques que sont les somnifères.
J'en arrive même à récolter toutes mes fins de joints et à ma rouler un truc avec ces restes dégueulasses quand je suis en galère.

Et ça ne s'arrête pas seulement à la nuit. C'est là qu'est le problème : la vie sans défonce me parait bien triste.
Je suis défoncé la plus part du temps. Si je ne fume pas au moins un joint durant la journée, je passe une journée de merde. Je suis sur les nerfs. Je me dis que rien n'a d'intérêt. Et c'est ça tout le temps.
Ca m'inquiète, j'en suis à me demander "Comment ils font les gens qui mènent une vie normale, sans se défoncer ?" parce qu'à vrai dire, j'en ai plus aucune idée après 4 ans de défonce régulière.

J'ai des pertes de mémoires sans arrêt, je suis incapable de retenir quelque chose. Je peux dire quelque chose dans une conversation et le répéter 5 minutes après.
Je peux regarder un film et avoir oublié de quoi ça parle le lendemain. Je capte jamais rien. Je suis dans ma bulle de défonce.

Je n'arrive même pas à tenir une conversation. Je le remarque de plus en plus. Mes capacités de réponses et de réflexion sont limitées. J'ai tout simplement l'impression "d'être con".
Le cerveau rongé. Sur ce point, j'ai aussi pas mal de soucis. On me reproche souvent de répondre "à côté de la plaque", et c'est très difficile de me comprendre quand ça touche un sujet important. Je ne trouve pas forcément mes mots. Je fais des phrases qui ne veulent absolument rien dire.

Rien que pour ce texte, je dois me relire une dizaine de fois pour voir si je ne me répète pas. Et même en me relisant, je sais que ça doit surement être le cas. Et j'ai des tas de choses à exprimer mais je ne sais même pas comment les dire.

Au niveau de l'aspect social, c'en est exactement pareil. J'ai beaucoup de mal avec les relations humaines. Dans beaucoup de situation, je sais pas quoi dire. Pourtant, je suis un type sympa. J'ai des amis, une copine. Même avec ma copine, j'ai peur de ça. Peur de n'avoir rien à dire. D'être inintéressant. Tout ça se résume par un gros manque de confiance en moi qui est survenu après la fumette. Mais je cogite en permanence : j'analyse les moindres faits et gestes pendant des heures. La paranoïa de la weed ?

Je n'imagine pas ma vie sans défonce. C'est devenu tout simplement impossible. La défonce rythme mon quotidien et je ne m'en sort plus. Démotivation totale.
"Le cannabis, y'a pas de dépendance voyons !"
 
Yes man,non seulement je te comprends mais je suis aussi passé par la fut un temps.
Le cannabis est une drogue dite douce certes mais son pouvoir est insidieux,va falloir que tu passes par une phase de sevrage de 2 ou 3 mois(voir plus) pour retrouver les sensations du cannabis récréatif sans en faire un besoin.
Et sans compenser par la picole.
T'as assez de posts pour qu'on échange par MP.
Je suis pas loin des 40 piges mais je te comprends.
Passer au dela de ca est presque facile au final,c'est juste une question de détermination et de temps que l'on peux s'accorder.
 
Salut !

N'ayant pas moi même été confronté à l'addiction au cannabis je ne saurai pas te dire grand chose... Certains psychonauts en parleront mieux.

Ce que je vois par contre, c'est ce texte bien écrit qui démontre de ta conscience du problème, c'est clairement un premier pas ! Mais tu es passé du côté obscur de la weed, il faut t'en détacher même si c'est dur ! Il n'y a pas de formule magique, peut-être quelques astuces mais pas l'alcool.

N'hésite pas à te faire aider si tu ne t'en sors pas, va voir un addictologue.

Persévère, ça va le faire :)
 
Passer au dela de ca est presque facile au final,c'est juste une question de détermination

C'est exactement ça, tu retrouveras vite gout à la vie, trouve toi des occupations et occupe ton temps.
En résumé, courage ! 2-3 mois c'est pas si long que ça. Je suis aussi passé par la, je te comprend.

Take care
 
Je suis passer par là il y a pas longtemps, je comprend chaque ligne de ton post. Vraiment.
Les soirées ou les joints manquent deviennent un enfer, le sommeil également, ces dernieres vacances j'ai enchainé 1 semaine a faire des nuits blanches SEULS sans joint ni personne n'avait décide de pas sortir pour me retrouver parce que mes les joints manquaient et les soirées avec les potes sans ça, devenait parfois agaçante, fort malheureusement.

Enfin bref voilà, pendant des nuits j'ai écoute mon corps, bue du thé, écouter de la musique, j'ai lue je me suis documenter pour mes pousses et pour les champis qui m'intéressaient serieusement depuis 1 an, puis par pur hasard je suis tombé sur ce forum, j'ai appris à cuisiner de la dmt, chose dont je rêvqis toucher depuis des années.
Donc de fil en aiguille en m'interessant pour des choses plus grandes et en délaissant un peu le canna, j'ai pu passer mon chemin.
Maintenant j'ai repris mes lectures philosophiques, j'attend pour pouvoir me lancer dans mes projets psychonautique avec la plus grande sagesse possible, et la communauté de ce forum ma beaucoup aidé a moins consommés car elle m'occupe lorsque'avant je fumait mes pers. Et je me retrouve parmis plein de membre, une richesse culturelle et intellectuelle unique qui est bien plus grande que le plaisir artificiel du pers.
Donc maintenant je fume beaucoup moins, je dort mieu, parfois j'ai du mal a dormir (j'ai toujours eu le sommeil extrêmement difficile) mais je lit, je l'instruit, puis a force de fatigue je m'endors.

Et ce qui est certain c'est que si j'avais repris un sport qui me passionais ça m'aurait aidé a allez mieux mais j'ai réussi a faire sans.

Le cannabis n'est pas une drogue douce pour moi, déjà on ne peut pas faire un groupe avec qu'une drogue, et en plus quand je compare avec des drogues durs (j'ai pas test les plus fortes parcequ'addictives) et bah le canna me défonce quand même beaucoup !

Donc voilà maintenant c'est occasionnel j'suis fier de ma conso, n'attend une récolte et d'autre projets, c'est donc l'espoir qui me pousse a ne plus l'enfermer la dedans.
Je te souhaite bonne chance, j'espère t'inspirer de mon expérience et de mes conseils !
.
 
Ben pour moi y'as pas de drogues dures et de drogues douces,ca depends de notre de vie et de la place que la dite drogue a dedans!
Pour avoir subit 4 sevrages dans dans ma life(coke,alcool,canna,et clopes) ben le sevrage cannabis est le plus aisé de tous,donc pour moi oui c'est une drogue "dite" douce....
 
Je suis d'accord avec toi yoshi mais je ne fait pas le lien avec le sevrage, pour moi on l'appel drogue douce car elle n'est pas aussi incapacitante que d'autre.
Et Loadz, t'inquiète pas la mémoire et la réflexion ça revient au bout de quelques mois. Petit à petit. Le plus dur avec le cannabis c'est la flemme, ta la flemme de toit, même de réduire, donc comme l'a dit rawde, le mieux c'est de trouver d'autre occupation.
 
Bein en fait, pour arrêter, faut arrêter. Non mais c'est con, c'est simple, et ça peut paraître comme une réponse d'un type qui a rien compris.
Si tu vas consulter, je te conseille très fortement de ne pas prendre de traitement "pour arrêter". Tu comprends bien que ce serait délocaliser le problème vers quelque chose de potentiellement pire. Bien pire. Par contre une aide psychologique et un travail sur soi ce serait sûrement bienvenu !

Bon courage, c'est pas si sur que ça ! Essaie un jour, puis deux, puis une semaine. Dès que tu verras les premiers effets positifs tu vas faire "WAOUW" ;-)
 
Perso j'ai arrêté, enfin diminué ma conso de douilles de 5/6 par jours à une par semaine en changeant de cadre ---> je suis retourné chez mes parents.

De toute façon j'étais tellement niqué de la tête que je me devais d'arrêter, j'étais devenu complètement parano et comme j'avais détruit ma vie sociale, que j'ai raté mon BTS et que j'avais arrêté le sport faute de temps (ba ouai se droguer c'est un métier à plein temps), ba je n'avais plus qu'à repartir sur de bonnes bases saines et ainsi retrouver le plaisir des sorties entre amis, la satisfaction personnelle dans des études qui me plaisent et de faire du sport pour garder la pêche et l'abricot !

Bon j'ai mis du temps mais avec de la volonté tout est possible...après je ne cache pas que le reste de l'année j'ai quasiment pris de la MxE tous les week end en plus de me mettre des races à la tise...ba ouai fallait bien compenser, disons que le week end je compensais ce que je ne m'étais pas mis dans la tête la semaine.

Enfin bon l'important c'est que j'ai moins fumé et que je fume toujours moins, et que désormais j'arrive (presque) à me cadrer même si bien sur, lorsque je me suis tenu calme pendant deux ou trois semaines, mes petits démons me démangent pas mal quand même, et puis j'arrive à passer 5 ou 6 jours sobres sans ressentir ce putain de manque...

...et donc Loadz je voulais te dire que si tu te donnais la peine de te sortir de ton trou, sache que ça va être long et difficile, mais bon comme tu l'as lu on est plusieurs à être passé par là et à s'en être sorti, c'est une question de motivation et de volonté. Au final on a peu être pas arrêté complètement les conneries, mais disons qu'on ne les fait plus de manière à en souffrir quotidiennement.

Un petit joint en guise de récompense vaut bien mieux que dix joints en guise de (fausse) motivation.
 
J'apprécie vraiment chacune de vos réponses. Ca compte beaucoup de se sentir compris et soutenu.

C'est une des raisons pour laquelle j'évite de me tourner vers les médecins : je préfère bien plus m'adresser à des personnes ayant un vécu et pas juste quelqu'un qui se contente de lire des effets sur une feuille sans connaître la vraie angoisse, celle qui te prend aux trippes.

J'ai plusieurs fois tenté de faire des sevrages : me limiter à un joint par soir. Et pendant quelques mois, ça a vraiment marché et c'est vrai qu'on note beaucoup plus de clarté au niveau de l'esprit.
Je dois dire que ma copine m'avais bien aidé, elle gardais ma weed, et me donnais un seul joint tous les soirs. C'était le seul truc qui marchais vraiment. Mais elle ne sera pas toujours là car bien des choses sont éphémères et j'ai décidé par moi même d'arrêter ce mode de fonctionnement qui marchait pourtant très bien.
Au delà de la dépendance à la drogue, je ne veux pas dépendre de quelqu'un. C'est un peu déplacé le problème sans le résoudre comme il a été dis avec les médocs. Sans cette personne, je n'arriverais tout de même pas à gérer ma consommation, alors autant se mettre un bon coup de pied et faire ça soi même.

Je veux faire le pas, personne d'autre que moi ne peut m'aider, je pense. J'ai envie de faire ça seul et pas en me reposant sur l'épaule de quelqu'un.

Mais j'ai l'impression d'être un gamin n'ayant aucune limite. Comme un acheteur impulsif qui ne peut s'empêcher d'acheter des tas de conneries.
J'arrive pas à m'empêcher, à me dire "tu ne fumes qu'un seul joint", non après ce joint il faut toujours que je rajoute quelque chose derrière... Alors, je vais tapper une douille histoire d'avoir bonne conscience, parce que "une douille c'est pas un joint" seulement c'est du pareil au même.
Un peu comme un alcoolique qui va se resservir un verre, tout en étant conscient du mal qu'il se fait.

Il faut de la volonté et je ne suis pas sur d'en avoir tant que ça. J'ai envie d'arrêter cette routine mais je me plaît dans celle-ci.
Qu'est-ce qu'elle deviendrait sans tout ça ? Est-ce que le temps passerait aussi vite ? Est-ce que je me sentirais mieux ?
Je n'en suis pas sur à vrai dire. Et qu'est-ce qui remplacerait ce plaisir malsain au fil des journées ?

Dans les semaines à venir, je tenterais quelque chose auquel j'ai souvent pensé : Prendre ma conso pour la semaine et la divisée en plusieurs partie que je laisserais toujours chez moi et que je ne prendrais donc jamais en dehors.
En gros, me faire mon calendrier de l'avant version weed.. un joint que je prendrais chaque soir, pas plus, pas moins.
A voir si je respecte ce "pacte". J'essayerais.

A chaque fois que je veux me limiter, je fini par retomber dans l'excès. Je ne pense pas être assez fort d'esprit pour me limiter, pourtant, il le faut.

Un grand merci à tous pour vos réponses.


EDIT : "Un petit joint en guise de récompense vaut bien mieux que dix joints en guise de (fausse) motivation."
Je note cette phrase dans un coin, je suis sur qu'elle me sera utile ! C'est bien vrai qu'un joint en récompense d'un travail est bien meilleur que dix joints de routines..
 
Si tu t'en sors tout seul, tu seras capable d'évoluer indépendamment dans la vie...enfin tu sauras comment te sortir des situations merdiques dans lesquelles tu te mets au moins, et ça c'est pas rien !

Edit : voir même tu pourras les éviter, et ça c'est encore mieux :D
 
Enfin d'un autre coté c'est normal d'avoir besoin de soutient dans ce genre de passes ! Donc ne te prive pas complètement de l'aide que pourrait t'apporter ta copine juste pour essayer de te sortir de ça tout seul "comme un grand". Parce que quand on est dans ce genre de situation personne n'est grand, tout le monde n'est plus qu'un gosse perdu dans un grosse mer d'incompréhension et de doute et qui galère pour s'en sortir.
Et c'est en s'en sortant qu'on devient grand ! Ça changera rien d'avoir réussit à faire ça tout seul plutôt qu'en ayant reçut un minimum de soutient. Et ce soutient t'en aura surement besoin, je dis pas que tu peux pas faire sans, je dis juste que c'est bien moins désagréable avec :pai:.

L'empathie existe (encore) dans ce monde :heart:
 
L'empathie existe (encore) dans ce monde :heart:

<3 Tisalut

Je veux faire le pas, personne d'autre que moi ne peut m'aider, je pense. J'ai envie de faire ça seul et pas en me reposant sur l'épaule de quelqu'un

Détrompe toi, les amis sont la pour ça, pour les moments difficiles. N&#8217;hésite pas a en parler, ouvre toi à eux, n'ai pas peur de tes sentiments et tu verras que tu arrêteras de te mentir a toi même et tu trouveras en toi la motivation pour arrêter.
Ce n'est pas une honte de se reposer sur tes amis dans les moments difficiles, au contraire, ne porte pas seul ton fardeau.

En dernier recours, il existe des "coach psycologique" , se ne sont ni des médecins, ni des psy, mais des gens qui écoute, comprenne et aide les gens (motivés) à s'en sortir.
 
Le bedo, cette galère... je suis en plein dedans aussi
 
Salut,

T'as l'air de vivre assez mal ton addiction au cannabis apparement, j'ai pris le temps de lire tout mon post de la première à la dernière ligne.
Comme beaucoup de personnes ici, on te dira qu'on est passés par là, ou qu'on est en train de vivre la même chose que toi. Je suis un pokeur de douilles et je connais bien cette sensation de merde quand n à rien à se mettre sous la dent, pour te dire je suis allé jusqu'a racler la calamine de mon bang pour la refumer (a ne pas faire si vous tenez à votre gorge et à vos poumons). J'attends encore le déclic qui me fera arrêter car je ne sens pas la volonté réelle d'arrêter en moi, j'y repense, et ca sert qu'à se faire du mal et à se torturer mentalement. En cinq années, n'ayant pratiquement jamais fait de breaks sauf forcés, les jours de dèche sont d'un ennui inimaginable.

Je m'endette souvent pour acheter mon matos, j'ai pas le choix. Ca fais quelque temps que je suis pris dans l'engrenage et c'est pas facile tout les jours, de recevoir des coups de pression parce qu'on à pas le fric, et que à coté y'a rien à fumer. Je pense qu'il faudrai que je travaille avec Sally pour me recentrer et peut-être me donner envie de décrocher (il n'y à qu'elle qui le sait).

En tout cas mon pote, je te souhaites du courage. J'ai vraiment l'impression de me retrouver dans ton post, c'st pour cela que j'ai pris la peine de te répondre et de te lire jusqu'a la fin, si tu as envi d'en discuter via MP sache que je suis disponible assez souvent! Ca fais du bien de dire des choses qui nous pèsent.

Peace! :smirk:
 
J'y vais de mon conseil mais pour dormir sans passer par les benzo, essaie les antihistaminique, certes leurs effets ne sont pas funky pour un sous mais ça aide sans créer de dépendance.
Après pour le bédo ben comme disent les autres => sevrage, perso j'aime le cannabis comme un peu près tout le monde ici mais quand j'en fume tout les jours, a la longue l'humeur dépressive est là et je n'apprécie pu le truc.
 
Ableton a dit:
J'y vais de mon conseil mais pour dormir sans passer par les benzo, essaie les antihistaminique, certes leurs effets ne sont pas funky pour un sous mais ça aide sans créer de dépendance.
Ouaip cependant tout n'est pas tout beau tout rose avec les antihistaminiques(atarax).
Pas dépendance physique effectivement mais dépendance psychologique idem au cannabis si pris sur la durée et pour compenser le bédo chaque soir.
Pas folichon coté rénal.
Et paie ta tête dans le cul jusqu'au lendemain midi^^
 
Ableton a dit:
J'y vais de mon conseil mais pour dormir sans passer par les benzo, essaie les antihistaminique, certes leurs effets ne sont pas funky pour un sous mais ça aide sans créer de dépendance.
Après pour le bédo ben comme disent les autres => sevrage, perso j'aime le cannabis comme un peu près tout le monde ici mais quand j'en fume tout les jours, a la longue l'humeur dépressive est là et je n'apprécie pu le truc.


Le truc c'est qu'avec les antihistaminiques t'as certains effets qui t'empêchent de dormir, comme la jambe qui saute toute seule ou le muscle qui s'amuse à suivre le ryhtme du battement cardiaque. J'en cite que quelques uns mais bonne chance pour dormir avec ça, moi perso grosse dysphorie sous antihistaminiques...
 
Je disais ça pour trouver une solution aux insomnies, après oui je suis d'accord l'effet est horrible.
 
Bon début de journée à tous !

Tisalut : De toute façon, je crois que je n'aurais pas vraiment d'autre choix que de faire appel à elle. Mais il faudrait que j'arrive à me limiter sans elle par la suite et c'est là dessus que je dois faire un gros travail.
L'empathie existe encore (mdma, blague à part... :))
amOi : Pour ce qui est de mes amis, et bien je dirais simplement qu'au contraire, ils ne me sont d'aucune aide. Soit ils sont dans le même "état" que moi et donc c'est grosse défonce en permanence, soit ce sont des connaissances qui au contraire n'ont aucune connaissance de la drogue et passe leurs temps à dire des absurdités dessus. Pas vraiment le meilleur moyen d'en parler.
Les coachs psychologiques je n'en connaissais même pas l'existence. Je me renseignerais la dessus, pour voir plus précisément ce que c'est dans un premier temps.

ShaneEDM : Bon courage à toi !

LuciDXM : (Tien, un amateur de DXM :karu: ) J'ai pendant un bon moment tappé pas mal de douille, c'est encore plus malsain. C'est un peu l'effet du "à porter de main". Tu sais que ton bang est dans un coin, tout prêt, t'as juste à le prendre, foutre de la weed et tapper ton truc. Du coup, ça deviens un truc encore plus régulier je trouve. (Et pour l'anecdote de la calamine : Perso, c'est les poils de pinceaux, je fais ça tout le temps pour racler mon grinder.. et les poils partent avec. Je pense que ça doit être pas mal mauvais pour les poumons les douilles weed/pinceau)
Je ne sais pas si un travail avec la Salvia serait utile pour ta part, pour n'avoir essayé que deux fois je ne connais pas assez bien les effets pour m&#8217;avancer dessus. Je te souhaite que ça marche.
Mais il ne faut pas que la Salvia en vienne à remplacer le cannabis par la suite.. Bien que ce ne sera pas aussi fréquent, j'imagine.
Bref, tu as l'air de le vivre aussi mal, je te souhaite bon courage !

Ableton : Je vais faire des recherches aussi sur les antihistaminiques. Après, ça me parait pas une bonne solution. Parce que même si aucune dépendance physique j'en suis au stade de dépendance mental, ça deviendrais simplement un remplaçant du cannabis.. et donc de ma dépendance pour en créer une autre.
 
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