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Peut-on vraiment arrêter ?

  • Auteur de la discussion Auteur de la discussion HibouMechant
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HibouMechant

Elfe Mécanique
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22/12/17
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Débat n°1: peut-on arrêter toutes les drogues (au sens toutes les drogues en général) quand on a commencé, et escaladé l'échelle des drogues (alcool, cannabis, champis, speed, etc..) ?
(mon avis: non à moins de s'être arrêté au cannabis)

Débat n°2: peut-on arrêter de dormir indéfiniment ?
(mon avis: non)

Débat n°3: peut-on arrêter une drogue qui nous a "accroché" quand on est sur "l'escalade des drogues" ?, je veux dire par exemple, imaginez un type qui s'appelle Freddie, c'est un fumeur de cannabis, un jour il prend des champis, ça bouleverse sa vie, est-ce que à votre avis c'est possible que Freddie arrête les champis un jour ou va t-il en prendre toute sa vie avant sa mort ? ou est-ce que y'a une chance qu'il arrête à moins qu'il passe à autre chose ?
(mon avis: non)

Débat n°4: peut-on vraiment s'en sortir sur le chemin du psychonautisme quand on a décidé de vaincre le mal en soi, quand on cherche la vérité et le bien au delà du mal, et ce, sans passer par la mort ?
(mon avis: non, sauf miracle)

j'attends vos avis super éclairés :angel:

WE ARE DAMNED WE ARE DEAD

ok je sors
(je reviendrais pour les réponses)
 
Une semaine sans sommeil et ce c’est la mort .
3 jours et c’est un trip par contre ^^
 
c'est bien ça qui est dur, trois jours, c'est le nirvana, à condition d'avoir bien dormi auparavant
dépasser les 3 jours, sans speeders, c'est infaisable, avec, c'est la mort
alors quand on commence à dormir après trois jour, et qu'on fait ça régulièrement, on chute pendant le sommeil, et après c'est impossible de s'en remettre, à moins de peu dormir et veiller longtemps, ce qui est impossible, d'où la nécessité de dormir peu et veiller longtemps, du genre dormir 4 fois par jour 30 minutes et être réveillé en permanence, perso, j'y arrive pas
 
Déja je ne pense pas qu'il y ait une échelle des drogues. Comment classifier les drogues sur cette échelle? Par dangerosité? Par puissance? Pour moi la puissance dépend avant tout de la dose, on peut être plus def en bouffant 2 space cakes que en tapant un petite trace de ke, pourtant la ke est vu comme un drogue plus puissante. S'ajoute à ça les idées recues sur les drogues, par ex j'ai un pote qui ne veut pas surtout pas prendre de L mais qui veut essayer les champis... Beaucoup (moi compris) se sont sentis complètement responsables et safe en commencant les taz, mais se sont vite rendus compte que ca restait une drogue plutôt violente et destructice.
Je suis étudiant en Angleterre et la coke est vachement moins stigmatisé qu'en France, ou on la voit souvent comme la pire drogue avant l'hero. Pareil pour la ke, à Manchester 35% des étudiants en ont déja pris, alors qu'en France, en dehors des teufs, on te voit comme le pire des junkies si tu prend cet 'anestésiant pour cheval'.
Même en teuf on m' déja fait le coup de 'hein? tu prend de la ke? C'est de l'anestésiant pour cheval tu sais, un vrai merde'..... 2H après je lui faisait un massage de la machoire pendant que ses yeux vrillait complêtement...

Tout ça pour dire que je vois pas sur quoi on pourrait se baser pour établir une échelle des drogues....

Après quand à arrêter, on voit comme même beaucoup de gens qui arrêtent les drogues en viellissant (ou en murissant?). Faut pas se leurrer beaucoup nos parents ont fumés des joints/pris des traces/gobé des pilules/carton... La drogue ça s'est démocratisé dans les années 60 et pourtant la génération qui avait 20 ans en 60, et qui as 80 ans aujourd'hui ne se drogue sans doute plus pour la majorité des gens. C'est bien joli de taper des cartons dans des concert de greatful dead a 20 ans, mais à 80 ans ca devient plus compliqué et fatiguant, et t"as sans doute envi d'autre chose....

On peut même se demander pourquoi arrêter (et là je sens que j'essaye de me justifier à moi même le fait que j'arrete pas, mais bon...) Si on a une conso raisonnée, qui empiète pas sur le reste de notre vie, si on sait prendre des doses raisonnables le long d'une soirée, si on sait s'amuser sans... Après c'est clair que c'est pas facile de savoir faire toutes ces choses :p, mais je pense que ca vient au fil des expériences. Par exemple la semaine dernière j'étais en teuf j'ai mélangé taz et ke résultat une grosse peur après avoir gobé 3/4 de taz et pris une trace pendant la montée... l'impression que mon corps pouvait pas tolérer autant de drogue... un black out d'environ 2H, ou mes seuls souvenirs se résument à: bloquer devant le mur, me faire embrouiller par un mec que j'avais bousculé, me faire embrouiller par deux mecs je sais plus trop pourquoi, et qu'on prennent un photo de moi pour me la montrer...je louchais putain.
Là hier soir j'ai passé la soiré dans un club techno/dnb après avoir pris quelques shots et fumé une pipe de beuh. Bah franchement j'ai passé une meilleur soirée hier soir, et le lendemain est beaucoup plus posé aussi ;) Mes deux potes étaient tazé et ça m'a pas empéché de les suivres jusqu'a 8H du mat'. Après deux expériences comme ça je pense que ca m'a montré que ca sert à rien de s'arracher la t^te pour kiffer... Après de la à arrêter...

Désolé si c'est un peu décousu j'ai pas trop dormi
 
Que dire de tous les gens qui se gavent de caféine toute la journée, tellement banalisé la caféine, ça reste une drogue.

Idem pour les benzo t'a une majorité de gens qui en prennent, mais pour eux c'est pas de la drogue.

Je pense que l'être humain est fait pour se droguer, très, très rare sont les personnes qui ne se droguent pas du tout.

Et en général elles ont quand même un vis genre le chocolat, le sucre ou le sexe ce qui peut s'apparenter à une prise de drogue aussi, en tout cas pour le cerveau.

Après ce ne sont que des conventions sociales, ceci, ceci et cela ne sont pas de la drogue car tout le monde où presque en prend, mais ça, ça, ça et ça c'est de la drogue pour gros junkies parce que ces consommations sont marginales.

Je pense que ta question reste très, très subjective et dépend vraiment des considérations sociales que l'on en fait et de l'hypocrisie général qui y est associé.

Et pour y répondre :

1) Non et pourquoi faire ? ( À condition que ce ne soit pas problématique )

2) Déjà fait et au final tu pètes un câble, donc non. (Hyperactivité)

3) J'en sais rien perso les champis, LSD et co, j'en prend depuis que j'ai 16 ans et j'en ai 30. Après je mettrai une nuance entre dépendance et envie, plaisir à le faire et non besoin, pas comme avec l'alcool...

4) Oui, je commence à m'en sortir depuis à peu près 2 ans, avec des hauts et des bas de moins en moins compliqués et de moins en moins souvent.
 
Comment arrêter la drogue quand on a atteint le "nirvana" absolu par la méditation, avec des drogues ? on peut-pas, on est allé trop haut pour pouvoir faire marche arrière...
 
Ca veut tout et rien dire, de quels drogues parles-tu ?

Par ex, j'ai arrêté le dxm suite à l'interdiction certe, mais parce que j'allais trop loin avec, que c'était délétère pour ma santé et que j'ai tellement mieux avec les champignons ou meme un bon acid.

Donc je ne prendrais plus quelque chose qui me fera du mal le plus possible.
 
honnêtement t'as de la chance que l'interdiction t'ait arrêté si t'arrives à te sentir heureux avec autre chose, après je sais pas peut-être que c'est pareil avec toutes les drogues mais le DXM en tous cas est vachement puissant, ça t'ammène tellement haut que si t'en fais un usage quotidien tu finis par être high à vie, c'est pas forcément un problème dans un certain sens puisque en général c'est ce qu'on cherche à travers les "substances", "i wanna go high", sauf que avec le dxm t'es tellement perché quand t'en fais un usage quotidien à travers plusieurs années qu'à la fin t'es trop "paranormal", et tu peux même pas redescendre, et si t'arrêtes, c'est pas du craving, c'est que la substance est tellement forte, que si tu l'as pas, tu chute aussi (il aurait mieux eu fallu s'élever en utilisant pas de drogues)
après t'es tellement high que la seule solution de pas souffrir de la redescente c'est de rester à ce high, càd ne plus jamais dormir, parce que chaque nuit est la même histoire, chaque nuit le diable m'emporte bas, chaque jour dieu m'emporte haut

si seulement je pouvais ne pas dormir...

mais non c'est impossible... quelques chemins s'offrent alors à toi: arrêter le dxm lentement jusqu'à ce que ton "high éternel" te rattrape et que tu meures de maladie, ou alors arrêter très très lentement (c'est ce que j'essaie de faire depuis des années, mais moins j'en prends plus je vers vers le haut quand même), ou alors deux autres possibilités: mener un chemin philosophique pour se soustraire de la souffrance (apprendre à encaisser/ignorer la souffrance, la transformer en humeurs positives), ou alors: ne plus jamais dormir
ou dormir peu

c'est ce que j'essaie de faire en ce moment, je me couche et je prévois de me lever au bout de 5 heures en mettant le réveil pour me réveiller chaque heure, parce que si je dors, je suis foutu, après c'est le cauchemar et le seul moyen d'y remédier c'est veiller + mass café
malheureusement, je n'y arrive pas, au bout de 5 heures passées sur mon lit en ayant dormi vraiment une heure, je suis trop fatigué pour continuer, je remets le réveil toutes les heures, et j'aligne 24h de sommeil en me réveillant chaque heure, échec

c'est dans ces moments qu'on aimerait avoir comme avant (avant l'interdiction) une boite de codeine pour se calmer, et pouvoir continuer tranquillement à se battre tout en ayant un sommeil sain...

j'étais accro au DXM, puis ils ont enlevé le DXM et la codéine...

quand on prend du DXM à ce genre de doses et à ce genre d'habitudes, faut redescendre avec des downers, codéine, cannabis, cocaine, sinon c'est la mort


tiens en postant ce topic j'ai fini par comprendre mon problème...
y'en a apparemment qui veulent toujours aller plus haut sans jamais retomber... (mon cas) et qui crachent sur la coke et le cannabis (mon cas)
faut que je me mette à la coke, que je fume des joints, et que je prenne de la codéine, allez hop, je vais faire l'exemple du junkie crado, et on pourra pas m'en vouloir cette fois
moi qui jurai que le cannabis et la coke étaient le mal, bientôt je vais me faire des seringues de crack, THC, curare et heroine en même temps, allez hop
c'est ça ou l'hp
(le crack, l'héro et tous ces trucs illégaux je les consomme par magie, eh oui, c'est rare, mais y'en a qui savent s'auto-droguer sans rien, en transformant n'importe quelle clope en pétard)
vaut mieux ça que l'hp, parce que si je finis en HP, ça va être comme à chaque fois, je vais droguer tous les patients avec mes pouvoirs, désensorceller les médicaments des psychiatres, mettre de la drogue dans l'eau au paranormal, 1 ou 2 patients irrécupérables vont mourir après guérison tellement ils étaient irrécupérables, ensuite je vais révolter les patients à qui le mérite contre le système, un infirmier va mourir, un psychiatre va se faire couper la gorge, je vais sortir au bout de un mois parce qu'ils voudront pas continuer les pertes
 
HibouMechant a dit:
quand on prend du DXM à ce genre de doses et à ce genre d'habitudes, faut redescendre avec des downers, codéine, cannabis, cocaine, sinon c'est la mort

Euh non, la cocaïne est loin d'être un downer, stop bushit. C'est pas le genre de produit à recommander pour une descente. T'façons on ne recommande pas de produits tout court. Qu'on ne t'y reprenne plus, thanks.


HibouMechant a dit:
faut que je me mette à la coke, que je fume des joints, et que je prenne de la codéine, allez hop, je vais faire l'exemple du junkie crado, et on pourra pas m'en vouloir cette fois

Non on ne pourra pas t'en vouloir parce que c'est ta vie, mais toi t'auras des bonnes raisons de t'en vouloir.

HibouMechant a dit:
moi qui jurai que le cannabis et la coke étaient le mal, bientôt je vais me faire des seringues de crack, THC, curare et heroine en même temps, allez hop
c'est ça ou l'hp

C'est sûr qu'en se droguant encore plus et en s'injectant de la merde dans les veines, ça éloigne de l'HP, tout le monde le sait...
Bref à moins que tu parles de suicide, y a 0% de chances que s'envoyer du curare en IV te soigne de quelque manière que ce soit.

Bref c'est la dernière fois que tu postes du contenu dangereux sur ce forum, j'ai pas envie d'insister plus que ça, donc soit tu comprends que c'est un forum de RDR ici, pas de conseils pour suicidaires, soit on te ban sérieusement.
 
Euh... J'crois que ta tout comprit mais à l'envers à force de te mettre à l'envers...
 
C'est la question que je me pose inconsciemment depuis le début de mes conso de hard drugs.
Franchement, la je veux arreter, et ca me fais un peu peur cette histoire.
A un moment la drogue c'est un frein a le fait que tu veuille construire une certaine vie (meuf, enfant, baraque, investir, taf, un hobby qui cartonne), quelque soit le degré de conso. Meme si tu consomme peut, jtrouve que t'a toujours cette idée en tete (meme un peu motivatrice) que j'avais en 2013 au début, la promesse d'experimenter un nouveau truc cool d'ici 3 semaines/3 mois, qui te porte en fait vers l'avant. Mais bon ca détache de la réalité, c un peu se voiler la face meme si c antidepressif.

Serieux moi j'essaye de m'en sortir en ce moment et j'espere que j'arriverais a vaincre ce genre de question, meme si c'est celle qui me bloque le plus. A mon avis, apres un certain temps sans conso (on parle de 2 ou 3 ans), la drogue devient plus la mémoire d'une époque plus qu'une actualité. C'est ce que je recherche.

Apres j'avoue que j'ai du mal a me dire que je ne triperais plus jamais de ma vie. Autant, le speed, j'ai arreté, les opiacés quasiment, j'arriverai a me faire violence la dessus parce que c'est de la merde, mais putain, deja la kéta ca fait un peu chier meme si jpense que j'y arriverai parce que j'aime plus trop ca (trop pris, je sais que trop ce que ca fais, ca en devient emmerdant), mais merde, triper, c'est quand meme la dose.

Jpense que dans 6 ans on me propose 1 meuj de DMT je pourrais jamais resister par ex. J'en ai eu qu'une fois dans ma vie (un dem) et la semaine a été super fun sans pour antant mal interagir avec mon taf ou mes responsabilité. Cette impression de liberté mentale/hedoniste quand tu trip mais puré c'est vraiment l'absolution droguistique je sais pas comment m'en passer. Sans vouloir faire de prosélythisme, c juste pour montrer la merde dans laquelle je suis face a ca.
 
Quand t'as gouté a la dope, il faut que tu trouves mieux si tu veux vraiment arrêter sans forcer. Qu'est-ce qui est mieux pour moi ? 1 ou 2h de méditation par jour. Ta vie brille comme si tu gobais un anxio sans tolérance tous les jours avec un effet de tolérance inversée comme la salvia. Le problème, c'est que au début, t'as pas les gros pics d'euphorie des mélanges morphine méphédrone. Il faut apprendre a lacher prise sur certains plaisirs pour découvrir des plaisirs plus grands sur la durée. C'est le taff d'une vie, comprendre qu'une vie bien tous les jours vaut mieux qu'une vie avec des pics de MDPV et des puits de malêtre.
 
un accessoire pour aider c'est le CPAP. Il a été inventé pour les ronfleurs et résoudre le cauchemar des apnées du sommeil. C'est efficace. C'est une machine qui coûte quelques centaines d'euros malheureusement, à moins de faire intervenir la mutuelle. Pour l'obtenir on passe les étapes d'un labo du sommeil (avec électrodes et le toutim...) à l'hosto. Autrement il faut absolument l'acheter car avec son apport d'air pulsé dans le masque appliqué sur le visage on finit immanquablement par s'endormir et l'oxygène fourré en masse gonflera vos petites cellules biologiques pour pallier le manque chimique des drogues. Essayez un CPAP. Je ne sais pas si on peut louer ça pour un test. Il faudrait se renseigner.
 
Yop !
J'pense la façon de réfléchir est de penser à remercier son futur soi. Exemple à la con, tu t'es roulé deux trois pécaux le matin, tu rentres le soir après le taffe, tu t'dis : Cool j'vais m'caler direct. C'est comme un petit plaisir qu'on se réserve.
Pour le fait d'arrêter la drogue revient à répondre à pleins de question, est ce que plus tard tu aura la conscience tranquille de t'avoir surement niquer la santé mais pour connaître ces genre de trips, unique quand même faut l'dire ! et du genre si plus tard, tu t'rends compte que niveau physique c'était pas le top car t'aurait keaffé faire du sport a haut niveau (cliché mais bon exemple) mais bon ça a enchainé des jours sans dormir à danser ..
ça revient a un bon compris, dans l'idée que tout se fait et consomme te "coute" du temps, de la santé.. Est-ce que ça en vaut vraiment la peine, faire ce qu'on l'on fait avec des raisons personnelles, pas de s'rendre compte plus tard qu'on a perdu notre temps à faire n'imp !
 
Peut-on vraiment arrêter quand on a connu des états de conscience pareil que dans Limitless ou Lucy ? peut-on vraiment arrêter le DXM ? : cette drogue qui te donne 400 de Q.I., 5 fois plus de force physique que l'amphétamine, et des capacités de concentration énormes, et qui en plus tue la plupart des maladies communes ?
Et des pouvoirs spéciaux du genre voir l'infiniment petit et toutes des lois de la physique...
Comment on peut arrêter ça ?
C'est pour moi impossible, en plus, on se sent bien avec cette molécule, sans non plus être défoncé comme aux opiacés, et en tant qu'hyperactif, c'est efficace pour calmer la douleur, et aussi, en plus, faire son ménage en 5 minutes chrono et ne plus être apragmatique.

A côté toutes les phénylethylamines, cathinones, ça a 5% du potentiel du DXM, et ça détruit le corps.
 
HibouMechant a dit:
Peut-on vraiment arrêter quand on a connu des états de conscience pareil que dans Limitless ou Lucy ? peut-on vraiment arrêter le DXM ? : cette drogue qui te donne 400 de Q.I., 5 fois plus de force physique que l'amphétamine, et des capacités de concentration énormes, et qui en plus tue la plupart des maladies communes ?
Et des pouvoirs spéciaux du genre voir l'infiniment petit et toutes des lois de la physique...
Comment on peut arrêter ça ?
C'est pour moi impossible, en plus, on se sent bien avec cette molécule, sans non plus être défoncé comme aux opiacés, et en tant qu'hyperactif, c'est efficace pour calmer la douleur, et aussi, en plus, faire son ménage en 5 minutes chrono et ne plus être apragmatique.

A côté toutes les phénylethylamines, cathinones, ça a 5% du potentiel du DXM, et ça détruit le corps.

Est-ce que tu peux arrêter l'apologie bidon s'il-te-plait. Nous on a surtout remarqué que le DXM ça faisait perdre pied avec la réalité le temps d'un moment, et que si on en abuse on finit par dire et faire n'importe quoi.

Si t'as envie de nous faire part de tes difficultés et parler de chose que nous autres simples mortels on connait alors ma foi pourquoi pas. Mais si c'est pour partir dans des logorrhées qui explorent tellement les limites de l'absurde que tout adulte normalement constitué comprends que c'est que le fruit d'un délire, abstient-toi.

Lucy, Limitless, voir l'infini ou les lois de la physique, tous ça c'est dans les films, dans la réalité, lorsqu'on prends des susbstances hallucinogènes, (je vous le donne en mille) on hallucine ! Donc désolé de paraître abrupt, le volatile, mais il faut bien comprendre qu'ici des gens te lisent, et qu'ils n'ont pas envie de lire quelqu'un raconter n'importe quoi. Ou à la limite, qu'il le fasse mais dans la section TR.
Pour la simple et bonne raison qu'ici c'est une plateforme d'auto-supports entre usager de drogue, donc on est en mesure de faire la distinction entre ce que relève de la fiction et ce qui n'en relève pas, mais la personne très jeune ou non consommatrice qui n'a pas besoin de s'inscrire pour lire nos échanges peut très vite être induit en erreur par ce genre de fabulation.
 
Je pense que la réponse est à trouver à la racine, càd ce pourquoi on a commencer à prendre des prods..


Si on a commencé à prendre des prods pour vivre des trips, les enchainer, s'échapper du quotidien, s'arrêter va être extremement difficile car en arrêtant on revient à la case de départ qu'on a fuit d'un certain point de vue.

Si on prend des prods pour qu'elle nous apprenne des choses, nous donne des leçons, ça va être plus facile. Mais dans ce cas-là on tombe rarement dans l'addiction car on va espacer les prises pour pouvoir "intégrer" dans la vie ce que la prod nous a enseigné.

Mais pour moi la réponse reste quand même "oui" pour la possibilité d'arrêter. Si la volonté est assez forte et on est prêt à passer par ce que l'on doit passer pour se sevrer, on y arrive coute que coute. Il faut cela dit, que la décision soit ferme et pas qu'une part veule arrêter mais une autre part en nous surtout pas.
 
Hibou je rejoins complètement ce que dit Xochi et je rajoute qu'à la prochaine apologie c'est un ban de nouveau...
Réfléchis 30 secondes à ce que tu vas montrer de notre forum au public avant d'appuyer sur le bouton "poster une réponse" ça ne pourra qu'être bénéfique pour tout le monde.
 
Si cela peut te rassurer, j'ai arrêté le DXM et je m'en porte très bien !
Plus sérieusement, je pense qu'il est important de faire un profond travail sur sois histoire de démêler ce que les drogues peuvent effectivement nous apporter ou pas .
L'humain est fort pour se mentir à lui-même et c'est marrant comment on tolère beaucoup moins les désagréments quand le "traitement" est agréable à consommer !
Si sur le court terme, certaines drogues peuvent être une solution efficace, l'expérience de nombreuses personnes plus vielles que nous témoigne que si l'on est une personnalité prompte à l'abus, soit on meurs empatouillé dans nos problèmes soit on arrête . Et "Lucy", c'est un film il n'y'a rien à en tirer dans la réalité .
 
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