Nous ne sommes en réalité pas là pour discuté sur ce qu'est la sagesse et de la définition du bonheur..
Je ne prétend pas expérimenter la sagesse où le bonheur, j'en suis encore loin, néanmoins j'ai enclencher ce travail sur moi même il y a quelques temps déjà. Mais dans mon tempérament, je suis un rationnel (INTP), et donc en soi je fait plus confianceque les réfléxions logiques et mathématiques, les vérités générales que dans l'irrationnel, et en particulier l'irrationnel affectif qui, comme tu l'a dit, diffère selon les personnes.
Ainsi durant mes moults réfléxions depuis mon plus jeune âge mon ammené a dévellopé un art de vivre, lorsque ma curiosité m'a amené a m'ouvrir l'esprit sur l'histoire, et particulièrement sur l'histoire de la philosophie, j'ai remarqué que mon art de vivre (qui découle de mon conditionnement, de mon éducation) étant en adéquation avec celles de divers philosophes, majoritairement Socrate puis Sénèque (bien que j'en ai lu des 30aine de philosophes de tout époque), et en réalité les réflexions de Socrate et de Sénèque jouissait d'un vocabulaire plus riche et de certain aspect de l'art de vivre plus dévellopé que les miens, comme une suite logique. Je me suis ainsi approprier leur philosophie et essayer de l'appliquer pour accéder au savoir, a la sagesse puis au bonheur.
Donc, la définition de la sagesse m'a été apprise dans l'apologie de Socrate de Platon (trouvable a 2€ en édition librio,
n'hésitez pas lorsqu'il s'agit d'Histoire !) puis dans la constante du sage de Sénèque, de même la définition et l'accès au bonheur m'a été apprise par Sénèquelors de "la vie heureuse", puis le "savoir relativiser" pour accéder à l'ataraxie dans "Sur la brièveté de la vie" et "Sur la colère" ou on recomprend évidemment que l'irrationnel affectif et en particulier les mauvais sentiments sont les vrais problèmes (et les plus dangereux) dans une telle société (les exemples de Sénèque ne manquent pas, il prend exemple sur les perses et les romains, et croyez moi certaines histoires font froid dans le dos), et
même si je ne partage pas toutes leurs idées, car je considère qu'un épicurisme spirituelle est aussi intéressant comme inspiration par exemple, je partage leur nomenclature et répand nos idées.
Et c'est pour ça que ça serait sympa qu'on utilise tous le même vocabulaire pour éviter les quiproquo et ainsi comprend que le bonheur ne se résume à sons sens figuré actuel mais correspond à un état qui ne résulte d'aucune action directe mais d'un savoir vivre long et sinueux. Le bonheur n'est pas une sensation; pas un sentiment ; comme peuvent l'être l'extase le plaisir ou la félicité; mais c'est un état d'âme, ce que les Anciens appellent "un bien", le résultat de la
quintessence des Vertus pour les eudémoniste (pour moi), et des Vices (aussi appelé plaisir) pour d'autres.
Alors je ne résume pas la vie a plaisir et déplaisir, j'ai bien parler d'aventure etc, c'est un fait la vie est riche, diverse, néanmoins une réalité physiologique est que le plaisir et la douleurs définissent nos besoins, j'ai faim, je mange, libération de sérotonine, il en est de même pour le circuit de la récompense et de la douleurs.
Moi mon but est d'optimiser mon état pour ne pas rentrer dans des addictions; ou d'autred vices dont je sais qu'il ne me
rendront mas meilleurs, pas bien. Et j'ai prit conscience que la quête de savoir était ma principal source de bonheur, et l'optimisation de l'accès aux savoirs passent par la sagesse, et par les vertus.
Donc je comprend et je respecte que tu puisse penser différament de moi, heureusement d'ailleurs, cependant ni moi ni toi ne détienne la vérité, en partant du principe que la vérité passe par les sciences, et que les sciences utilisent le savoir rationnel, j'aurais plus de chance d'approcher de la vérité en passant par le savoir qu'en écoutant mon irrationnel affectif, mes sentiments, jamais égaux à eux même. C'est ma manière de me connaitre moi même, donc je vais tenter de poster un lien ou deux qui citent des textes de grands philosophes, et ainsi dit elle ne passeront plus pour une vérité relative (la mienne) mais en une réalité général.
En attendant, méditions sur ton antithèse: profitons de notre malheur. Et lorsque tu parle de quelqu'un qui ne se contenterait pas d'une vie comme la mienne ou la tienne pour être heureux; trouve tu ça bien ?! Où est le savoir vivre ?!
Edit: Désolé pour la longueur de mon pseudo; appel moi Xochi; et j'ai trouvé un lien traitant du bonheur et du bonheur par la sagesse selon Socrate, il met en confrontation divers courant son retrouve ici:
http://www.cvm.qc.ca/jlaberge/MesTextes/Socrate_hedo.htm