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Peut-on être intelligent et heureux ?

  • Auteur de la discussion Auteur de la discussion Albatar
  • Date de début Date de début
Je me répète, pour le plaisir
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Demande à 3 types ce qu' est " l' abnégation ".
_Le premier va te répondre cash, sans perdre une seconde. (Pas con le type..)
_Le second, avant de te répondre, va vérifier dans le dictionnaire, vu qu' on parle quand même d' abnégation, pas de boite ou de canard. (Pas con non plus le type)
_Le dernier, le simple d' esprit, va chercher dans le dico, et tomber sur " Sacrifice de son intérêt, renoncement".
Alors il va aller aller à la page de "renoncement", puis, de là, il ira à renonciation, et ainsi de suite..
Au final, le chemin du simple d' esprit sera plus long, plus riche, plus intéressant; il voyagera plus.
"Heureux le simple d' esprit"
 
Papi > Bien de me juger ? Je pose juste une question... Peut-être qu'elle est sans intérêt pour toi mais pour moi elle mérite débat. J'ai lu pas mal de trucs sur le sujet et il en ressort pas mal que c'est incompatible... Après, pour ce qui est de la définition de l'intelligence, c'est selon moi d'avoir compris le plus de choses... Je m'explique... Dans la vie on a des déclics, certaines personnes de 30 ans en auront plus accumulés que quelqu'un ayant le double de son âge sera considérée comme plus intelligente. L'argent ne fait pas le bonheur par exemple (il est easy celui la) est un des nombreux déclics qu'ont peut avoir lors de notre existence. Certains diront qu'il y a plusieurs formes d'intelligence (sensibilité, analytique, adaptation, etc) ce qui n'est pas complètement faux. Pour finir, je parle pas forcément d'intelligence "intellectuelle"... Un chirurgien ayant fait bac+10 peut être complètement con (enfin pas complètement faut en avoir un minimum pour en arriver la).
 
qui dit sagesse dit bonheur

La sagesse c'est le savoir, rien a voir avec le bonheur. Sinon l'image résume plutôt bien l'idée que tu donne, pas mal du tout.
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Je suis pas sur que le fait d'être intelligent agisse sur le système de récompense, tu peux très bien être ignorant et avoir un cerveau qui te délivre trop de dopamine, alors que quelqu'un qui étudie qui apprend que telle substance lui augmentera son taux de sérotonine, sera-il heureux sachant qu'il lui aura fallu une pilule pour l'être?

Bon en fait je dit ca mais je ne comprend pas bien la question, le lien entre les termes, je crois que je vais ouvrir un topic "Peut-on avoir étudier la dentition des crabes sibérien, et avoir un bon système digestif?" (je blague hein ^^)
Cela dit il y a pas mal de réponses intéressantes.
 
C'est rigolo quand personne n'est d'accord avec personne XD
 
Tous le monde peut-être heureux, je pensais que c'était implicite...

:weed:
 
Peut t-on considérer sa propre personne comme bête et inintelligente?
 
Selon des critères différents du coup, genre intelligent dans un domaine et idiot dans un autre.
 
La sagesse conduit au bonheur, c'est l'art de vivre.
 
Je suis d'accord avec pas mal de gens mais je ne le suis pas avec certaine choses:

Premièrement, Devanagari, mettre en opposition un athée et un religieux est une erreur, la plupart des philosophes étaient athées, et certains religieux ne cherchent pas le bonheur, quel que soit sa conception sous jacent leur religion. Encore une fois je sais que tu y a mis de la nuance, mais même avec c'est erroné.


Après lorsque tu dit que le bonheur n'est qu'une illusion, je ne suis fondamentalement pas d'accord avec toi, la pensée est neutre, cette, mais le bonheur n'est pas un vulgaire sentiment comme le plaisir, le bonheur c'est la philosophie, le lien entre pensée logique et rationnelle et sentiment irrationnelle, le bonheur c'est une sorte d'État d'âme on est fier de ce que l'on a accompli, de ce que l'on fait et de ce que l'on a a faire, la de finissions exacte du bonheur et donc son accès dépendent des diverses philosophies eudémoniste.. (Stoïcisme, épicurisme...).

Quand a ce que tu dit sur le besoin d'avoir une divinité en soi pour pouvoir être neutre (je raccourcis excuse moi), je ne suis pas d'accord, le stoïcisme invoque notamment un état stoïque pour pouvoir atteindre le vrai bonheur et Sénèque ou Zénon n'étaient pas croyants. Si tu as trouvé tes réponses dans les religions je suis très sincèrement heureux pour toi, mais c'est subjectif, je n'y est pas trouvé les miennes alors tache à mon humble d'avis d'utiliser un spectre plus large pour être plus objectif. Même si je t'avoue que même moi j'y est du mal.. ^^

Ensuite je ne pense pas que l'intelligence soit l'art de persuasion, Socrate se retournerait dans sa tombe avec de telles idées sophistes, au contraire je pense que l'art de persuasion relevé de l’ego, au même titre que le complexe de Platon dont j'oublie le nom, quoi qu'il en soit chercher la vérité générale sans la répandre par le sophisme est selon moi un signe d'intelligence.

Deuxièmement, je répondrais à Hypnoziss, je ne pense pas que le malheur soit le manque de quelque chose, par définition de dualité on pourrait dire que le malheur c'est l'absence de bonheur et réciproquement mais en soi on a besoin de rien pour être heureux, si ce n'est tout le passé qui entre dans notre conditionnement pour pouvoir nous faire arriver à cet état, et sur le même principe, le Spleen Baudelairien n'est du a rien, ce malheur omniprésent que j'ai expérimenté a peut être eu des causes biochimique, peut être que le sevrage d'ocytocine a été douloureux néanmoins si on regarde les simple fait physique et non au sens des mots, si on suit cette logique: on ne peut pas être malheureux si on a pas été heureux, on ne peut donc pas non plus être heureux si on a pas connu le malheur.. Donc je pense que ces facteurs sont l'évolution logique du duo plaisir/souffrance et sont donc innés, l'idiot ou le savant pourront être heureux et malheureux de la même manière, puisqu'il sont fait pareils (dans ma logique), après pour l'accès à ce bonheur on rentre dans les paramètres psychologique et la c'est une autre histoire, mais en soi je pense que le bonheur est inné, puisqu'il a bien été inventé, et que donc qu'importe notre quotient intellectuelle il est théoriquement atteignable. (Alléluia)

Troisièmement, Procyon, tes définition du bonheur sont out, le bonheur n'est pas matériel, c'est un état immatériel, toi tu avance les causes matériels qui permettent l'accès au bonheur mais en soi, concernant le bonheur en lui même l'intensité du bonheur varie selon les individus jusqu'à atteindre le paroxysme, le vrai bonheur, après il est plus qu'évident que l'accès au bonheur sera différent selon les personnes, personne n'est pareils, même si on peut tout de même y dessiner des grands axes puisqu'on des parts de conditionnements communs.

A par ça il y a des idées qui se dessinent auxquels je n'adhère pas, pour moi l'intelligence c'est la capacité, la capacité à traiter les données, et la capacité à créer de nouvelles données, de nouveaux algorithmes (apprendre), après, je dissocie totalement l'intelligence de la maturité, et par extension de la sagesse, même si on peut être les 3 en même temps, un être peut demeuré intelligent sans pour autant être mature, et l'inverse est un peu plus complexe (sauf pour ma précédente définition de l'intelligence):
Si on considère l'intelligence comme sa définition moderne, faire preuve de sagesse est donc signe d’intelligence, c'est le nec plus ultra du savoir et le but ultime de la connaissance (= de la mise en pratique de l'intelligence), donc même l'idiot devenu sage (jusqu'à la fin de sa vie) sera par conséquent intelligent, ce qui est un jolie paradoxe en inéquation avec ce que j'ai dit plus tôt dans mon message mais c'est notre langue qui permet ce paradoxe..


Pour terminer avec SHAG, désolé vieux mais:
Wikipédia a dit:
Chez les philosophes grecs ou dans la tradition orientale, la sagesse (« sophia » en grec) est l'idéal de la vie humaine. Il peut se définir comme un état de réalisation qui s'appuie sur une connaissance de soi et du monde, s'accompagne d'un bonheur suprême et correspond à l'état de perfection le plus élevé que puisse atteindre l'humain et son esprit. La sagesse est le "savoir-être heureux" ou encore la science du bonheur. Plusieurs courants de la philosophie antique ont proposé leurs définitions de cet état et du parcours permettant d'y accéder.

En plus c'est en adéquation parfaite avec ce que j'ai dit plus tôt :D

Edit: Tartopom outstrip me ><
 
Tu as raison , mon spectre est assez large mais je ne voulais pas épiloguer puisque aucun accords ne sont possibles dans ce style de fil :)
Pas contre tout ce qui touche à ces choses , bien de théosophes ne se limitent pas qu'à la recherche , je respecte le stöicien comme le religieux mais notre sens aiguisé de perception du bonheur ne peut être similaire à autrui . Les bonheur existe bien sur , il se forge avec l'extériorisation de nos énergies mais dans d'autres dimensions justement , comment est le bonheur , se compose t-il de quelque chose , est ce que nous sommes issus du bonheur lui même .
Quels sont les éléments pour qualifier le bonheur , la joie ?
J'ai du mal à me faire comprendre mais pour moi si le bonheur n'est pas omniprésent il n'est pas bonheur qui lui devrait être infini .
 
Xochipilli94 a dit:
Deuxièmement, je répondrais à Hypnoziss, je ne pense pas que le malheur soit le manque de quelque chose, par définition de dualité on pourrait dire que le malheur c'est l'absence de bonheur et réciproquement mais en soi on a besoin de rien pour être heureux, si ce n'est tout le passé qui entre dans notre conditionnement pour pouvoir nous faire arriver à cet état, et sur le même principe, le Spleen Baudelairien n'est du a rien, ce malheur omniprésent que j'ai expérimenté a peut être eu des causes biochimique, peut être que le sevrage d'ocytocine a été douloureux néanmoins si on regarde les simple fait physique et non au sens des mots, si on suit cette logique: on ne peut pas être malheureux si on a pas été heureux, on ne peut donc pas non plus être heureux si on a pas connu le malheur.. Donc je pense que ces facteurs sont l'évolution logique du duo plaisir/souffrance et sont donc innés, l'idiot ou le savant pourront être heureux et malheureux de la même manière, puisqu'il sont fait pareils (dans ma logique), après pour l'accès à ce bonheur on rentre dans les paramètres psychologique et la c'est une autre histoire, mais en soi je pense que le bonheur est inné, puisqu'il a bien été inventé, et que donc qu'importe notre quotient intellectuelle il est théoriquement atteignable. (Alléluia)

En effet je me suis mal exprimé, je ne parlais pas d'un "quelque-chose" matériel ou autre, plus quelque chose d'indéfinissable, variant selon le moment, mais bien là et la cause du bonheur ou du malheur. Après, j'ai du mal a définir ce qu'est le bonheur et le malheur, car un état neutre n'existe pas... à part certains cas comme le mien ou certaines occasions me plongent dans un état apathique incapable de ressentir des sentiments. Seul reste ce vide interstellaire, je m'égare, mais je préfère être malheureux que comme ça. Une sorte de malheur sans en être un, ou seul la logique te prouve que tu déteste cet état apathique. Bref je m'égare. T'est soit malheureux, soit heureux. A faible doses certes, mais quand bien même.
Ce quelque chose désignait un élément de bonheur, ou de malheur. Sa cause, son résultat. Comme tu le dit si bien :
"par définition de dualité on pourrait dire que le malheur c'est l'absence de bonheur et réciproquement" ce qui me chiffonne est la suite : "on a besoin de rien pour être heureux". Au contraire, il faut bien quelque chose pour être heureux, autant qu'il faut quelque chose pour être malheureux. Ce quelque-chose n'est pas forcément matériel, ni identifiable à tout les coups. D’où le terme "quelque-chose"... souvenir, pensé, sourire, bonne bouffe, ambiance, ou simplement le moment présent... bref TOUT.

Le bonheur n'a pas été inventé non plus, c'est ton cerveaux qui le crée, ta conscience qui l'interprète. Comme le malheur, c'est une réponse de ton cerveaux à une cause, te le faisant ressentir. Pour quelle raison particulière ce mécanisme ? J'aimerais bien savoir, mais le fait est qu'il est pour moi l'une des mine d'or de l'humanité, autant que son plus mauvais coté. Foyer de l'émotion, il nous est essentiel. Bref je vais loin, pour finir par dire que je suis tout à fait d'accord avec toi pour la réponse à ce thread, nous sommes égaux face au bonheur. Seul variable qui change, la complexité et la richesse de celui-ci. Un simple d'esprit aura un mécanisme de pensée moins complexe et diversifié que le plus grand génie de ce monde (social, logique ou émotif), mais il peuvent trouver autant de bonheur que de malheur l'un que l'autre.

Une question sérieux... les écrivains de dico, ils réfléchissent autant que nous à la définitions des mots ? =D
Si oui... je les plains autant que je les envies... mais bon j'en doute ! ^^

Après tout , ça reste une vision personnelle, et heureusement d’ailleurs, que l'ont ai pas tous la même façon de voir et de penser... ah ! la richesse de ce monde <3
 
Wikipédia: La sagesse désigne le savoir et la vertu d'un être. Elle caractérise celui qui est en accord avec lui-même et avec les autres, avec son corps et ses passions (vertus de tempérance, de modération et de justice), qui a cultivé ses facultés mentales, tout en accordant ses actes à ses paroles.

Enfin bon j'irais pas dans un conflit sans intérêt sachant que les deux définition ont leur point fort et leurs point faibles, d'autant que je suis d'accord avec tout ce que tu viens de dire ^^

''le bonheur, c'est le plaisir sans remords", Socrate
 
Dévanagari: Ce sont tes convictions, même si cela puisse suivre une logique dans ton raisonnement, il en suit également une dans le mien, mais après c'est peut être ce qui fait que je suis athée, ce besoin de rationalisme qui m'empêche d'adhérer au tien.. Pour faire cours je ne pense pas que c'est une question d'extériorisation des énergies puisqu'au contraire j'ai trouver les clefs avec beaucoup d'introspection..

Hypnoziss: Je me doutais bien que nous étions d'accord sur le fond et c'est pour ça que je rentre en compte le "passé et tout ce qui font notre conditionnement" ce qui revient à dire TOUT, mais néanmoins j'y attache la valeur immatérielle de chaque chose (et donc leur incidence sur notre individu) et non leur seul existence. Pour illustrer le gribouillage lexicale que je vient d'écrire je vais prendre pour exemple la personne qui prend de la MD par exemple, c'est pas le fait que ce soit la MD qui va influencer sa vie mais les effets qu'il ressentira.. M'voyez ?!

Sinon je me reconnais bien lorsque tu parle d'état totalement apathique, mais personellement meme si cet état m'a fait peur, je le préfère mille fois aux pires idées et aux pleures du malheur. Vraiment.
Hypnoziss a dit:
ah ! La richesse
de ce monde <3
Ahah je reconnais bien là la joie de vivre du sage !!


SHAG: Ça me fait plaisir surtout que ta citation est en total adéquation avec mon idéologie (d'ailleurs ça rejoint ma signature).
 
Xochipilli94 a dit:
mais néanmoins j'y attache la valeur immatérielle de chaque chose (et donc leur incidence sur notre individu) et non leur seul existence.
Gribouillage lexical en parfaite adéquation avec ce que je pense de ce "quelque-chose". J'vois bien donc.

Xochipilli94 a dit:
je vais prendre pour exemple la personne qui prend de la MD par exemple
Je reconnais bien là un psychonaute averti !

On a bien là, la même pensée (surement à des détails près), simplement pas les mêmes monts et interprétations. J'aime bien, en tout cas, ta façon de voir les choses, et de les exprimer. J'ai du travail à faire sur ma propre expression !

Pour reparler un peu de mon apathie, je pense, et je te le souhaite que tu n'a pas vécu les mêmes expériences que moi. Si oui, on a pas la même façon de voir les choses car cela ne m'a pas du tout fait peur... en fait incapable de la ressentir. Même la douleur physique à un autre gout dans cet état, la bouffe à moi de gout que d'habitude. Aucune envie, aucune motivation, aucun sentiments de peur , de haine, d'amour, de tristesse... c'est absolument affreux après coup. Sur le moment, c'est simplement que tu te dit "je suis un chewing-gum, l&#8217;âme d'une plante verte dans un corps humain". Je ne veux pas détailler plus ce sujet mais voilà. Je préfère mes idées noires et mon malheur, que je troque contre du bonheur, ce que j'essaye de faire le plus souvent possible. Mais ressentir c'est vivre, même si ça peut pousser à ne plus vouloir de cette vie.

Bref je m'égare. ;)

Mon conseil de vie, profitez de vos sentiments, malheur, bonheur, haine, amour. Ils sont beaux et frais, ils peuvent vous apporter tout un tas de choses, et un avenir toujours bien meilleur.
 
Devanagari: je n'aime pas trop l'infini mais oui le bonheur est à mon sens omniprésent pour qu'il soit véritable (le niveau maximum, celui que seul les sages atteignent), ce à quoi j'espère qu'Hypnoziss tu te réfère parceque dans cette idéologie là, on ne peut pas "troquer du malheur contre du bonheur" puisque les 2 ne peuvent pas se mêler, le vrai bonheur doit prendre début à la fin d'une ère et perdurer jusqu'à la mort.

Sinon Hypnoziss, en effet moi je n'ai pas ressenti exactement les même choses dans mon apathie, j'était plus "insensible aux évenements extérieurs", en gardant soit un sourire archaïque soit un visage parfaitement neutre, le manque de motivation me rappel plus ma période de Spleen que j'apparente a du malheur, avec je m'en souvient, la perte progressive de goût dans les choses, qui elle laisse place a l'abnégation.
En revanche la douleur physique elle s'estompe petit à petit depuis que je touche du bout du doigt le bonheur, c'est l'aponie, le chemin est encore long pour quelle soit totale (comme l'ataraxie), mais je suis fier d'avoir monter une marche de plus qu'hier.

Enfin bref là je m'égare franchement, je ne suit pas totalement d'accord avec ton conseil de vie Hypnoziss, il y a une antithèse dedans, pour revenir au sujet, si on défini l'intelligence comme la capacité a, alors oui un être intelligent a la capacité a être heureux, puisque quelqu'un de vraiment vraiment heureux sera quoi qu'il arrive intelligent spirituellement puisqu'il aura eu la capacité a s'émanciper de ses plaisirs les plus primaires pour toucher un bonheur encore plus grand.
 
Ah sur le coup je ne te rejoins donc pas. Si le bonheur perdure, il n'en est pas. Tu t'en habitue et t'en lasse. Ce pourquoi le bonheur est personnel et non une constante pour tout le monde. A l'image du confort, tu t'y habitue et il te deviens nécessaire : un éthiopien sera content d'une alimentation que nous trouvons normale, en revanche, ce confort alimentaire si on nous le retire il sera devenu un manque, jusqu&#8217;à en prendre l'habitude. Le bonheur n'est pas infini, il est certes omniprésent mais propre à chacun...

Si on défini l'intelligence comme la capacité à, alors oui, un être intelligent à la capacité à être malheureux. (pour reprendre tes mots) Autant que celle d&#8217;etre heureux. Donc la difficulté n'est pas la, et il n'est aucune difficulté à trouver le bonheur, autant que le malheur. Mais il n'est pas forcément atteignable consciemment, les variables de ta vie, de tes choix, et du choix des autres rentrent en compte... il y a une part de "chance" dans le processus du bonheur, et une part de volonté. Il y'a d'autres variables surement, mais je suis assez fatigué ^^.
Je vous souhaite une bonne nuit ;)
 
@Hypnoziss: je suis tout a fait d'accord, notre societe occidentale nous "vend" un ideal du bonheur, le bohneur va de pair avec le malheur, il n'y aurait l'un sans l'autre.

Lors de mon eveil spirituel, j'ai vecu des grand moments d'extase et de bohneur, j'ai finis par "bader" car je ne pouvais pas atteindre cette etat tout le temps et j'en suis rapdement arriver a ta conclusion, le bohneur ne peux pas etre permanent, c'est un moment precieux q'il faut attraper en vol.
Tout est en mouvement c'est illusoire de vouloir certaines choses permanentes

Maintenant j'apprecie tout mes etats emotionnels , les uns n'existeraient pas sans les autres, de meme qu'il n'y aurait de printemps sans hiver.

Il n'y as pas que du noir et du blanc mais de nombreuses couleurs, qui elles meme vont cree de nouvelles couleurs ...
 
Dans ce cas ce que vous définissez comme bonheur n'en est a mes yeux pas,cette avec ses degrés),je parle d'un état d'harmonie suprême ou le plaisir brute et inconstant laisse place a un délicat "bonheur" constant et dont les nuances l'expérimenté dans les différents évènements de la vie néanmoins le but est d'être imperméable a tout les petits tracats quotidien (état stoïque), ma vision des choses date de la naissance de la philosophie puisque la plupart de mes philosophes préférés ce sont inspirés de Socrate qui lui même se rapproche d'une idéologie épicurienne (malgré qu'elle soit né après), enfin bref votre vision des choses (que je restecte bien entendu) me parait plus être proche de la société occidentale, "profitez de vos sentiments quels qu'il soit" ça me fait pensez a un esprit de consommation des sentiments, de "bon vivant", et je trouve que ça n'a plus grand chose de spirituelle puisqu'on est encore assujetti a la matière (sérotonine, dopamine), et ce n'est plus véritablement une "maitrise de son corps" propre aux grands sage.


Puis pour revenir a la définition du bonheur, le bonheur est un absolue (certes avec ses degrés) mais on ne peut pas être heureux et malheureux a la fois (logique), n'admet que des gens sont heureux puis malheureux mais je considère qu'une fois qu'un sage a expérimenter le vrai bonheur son but eest de le faire perdurer jusqu'à la fin de sa vie puisque c'est sa seule raison, et comme cet ultime bonheur de s'acquiert qu'avec une grande sagesse, il n'est plus possible de retomber dans le malheur.
 
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