Je suis d'accord avec pas mal de gens mais je ne le suis pas avec certaine choses:
Premièrement, Devanagari, mettre en opposition un athée et un religieux est une erreur, la plupart des philosophes étaient athées, et certains religieux ne cherchent pas le bonheur, quel que soit sa conception sous jacent leur religion. Encore une fois je sais que tu y a mis de la nuance, mais même avec c'est erroné.
Après lorsque tu dit que le bonheur n'est qu'une illusion, je ne suis fondamentalement pas d'accord avec toi, la pensée est neutre, cette, mais le bonheur n'est pas un vulgaire sentiment comme le plaisir, le bonheur c'est la philosophie, le lien entre pensée logique et rationnelle et sentiment irrationnelle, le bonheur c'est une sorte d'État d'âme on est fier de ce que l'on a accompli, de ce que l'on fait et de ce que l'on a a faire, la de finissions exacte du bonheur et donc son accès dépendent des diverses philosophies eudémoniste.. (Stoïcisme, épicurisme...).
Quand a ce que tu dit sur le besoin d'avoir une divinité en soi pour pouvoir être neutre (je raccourcis excuse moi), je ne suis pas d'accord, le stoïcisme invoque notamment un état stoïque pour pouvoir atteindre le vrai bonheur et Sénèque ou Zénon n'étaient pas croyants. Si tu as trouvé tes réponses dans les religions je suis très sincèrement heureux pour toi, mais c'est subjectif, je n'y est pas trouvé les miennes alors tache à mon humble d'avis d'utiliser un spectre plus large pour être plus objectif. Même si je t'avoue que même moi j'y est du mal.. ^^
Ensuite je ne pense pas que l'intelligence soit l'art de persuasion, Socrate se retournerait dans sa tombe avec de telles idées sophistes, au contraire je pense que l'art de persuasion relevé de l’ego, au même titre que le complexe de Platon dont j'oublie le nom, quoi qu'il en soit chercher la vérité générale sans la répandre par le sophisme est selon moi un signe d'intelligence.
Deuxièmement, je répondrais à Hypnoziss, je ne pense pas que le malheur soit le manque de quelque chose, par définition de dualité on pourrait dire que le malheur c'est l'absence de bonheur et réciproquement mais en soi on a besoin de rien pour être heureux, si ce n'est tout le passé qui entre dans notre conditionnement pour pouvoir nous faire arriver à cet état, et sur le même principe, le Spleen Baudelairien n'est du a rien, ce malheur omniprésent que j'ai expérimenté a peut être eu des causes biochimique, peut être que le sevrage d'ocytocine a été douloureux néanmoins si on regarde les simple fait physique et non au sens des mots, si on suit cette logique: on ne peut pas être malheureux si on a pas été heureux, on ne peut donc pas non plus être heureux si on a pas connu le malheur.. Donc je pense que ces facteurs sont l'évolution logique du duo plaisir/souffrance et sont donc innés, l'idiot ou le savant pourront être heureux et malheureux de la même manière, puisqu'il sont fait pareils (dans ma logique), après pour l'accès à ce bonheur on rentre dans les paramètres psychologique et la c'est une autre histoire, mais en soi je pense que le bonheur est inné, puisqu'il a bien été inventé, et que donc qu'importe notre quotient intellectuelle il est théoriquement atteignable. (Alléluia)
Troisièmement, Procyon, tes définition du bonheur sont out, le bonheur n'est pas matériel, c'est un état immatériel, toi tu avance les causes matériels qui permettent l'accès au bonheur mais en soi, concernant le bonheur en lui même l'intensité du bonheur varie selon les individus jusqu'à atteindre le paroxysme, le vrai bonheur, après il est plus qu'évident que l'accès au bonheur sera différent selon les personnes, personne n'est pareils, même si on peut tout de même y dessiner des grands axes puisqu'on des parts de conditionnements communs.
A par ça il y a des idées qui se dessinent auxquels je n'adhère pas, pour moi l'intelligence c'est la capacité, la capacité à traiter les données, et la capacité à créer de nouvelles données, de nouveaux algorithmes (apprendre), après, je dissocie totalement l'intelligence de la maturité, et par extension de la sagesse, même si on peut être les 3 en même temps, un être peut demeuré intelligent sans pour autant être mature, et l'inverse est un peu plus complexe (sauf pour ma précédente définition de l'intelligence):
Si on considère l'intelligence comme sa définition moderne, faire preuve de sagesse est donc signe d’intelligence, c'est le nec plus ultra du savoir et le but ultime de la connaissance (= de la mise en pratique de l'intelligence), donc même l'idiot devenu sage (jusqu'à la fin de sa vie) sera par conséquent intelligent, ce qui est un jolie paradoxe en inéquation avec ce que j'ai dit plus tôt dans mon message mais c'est notre langue qui permet ce paradoxe..
Pour terminer avec SHAG, désolé vieux mais:
Wikipédia a dit:
Chez les philosophes grecs ou dans la tradition orientale, la sagesse (« sophia » en grec) est l'idéal de la vie humaine. Il peut se définir comme un état de réalisation qui s'appuie sur une connaissance de soi et du monde, s'accompagne d'un bonheur suprême et correspond à l'état de perfection le plus élevé que puisse atteindre l'humain et son esprit. La sagesse est le "savoir-être heureux" ou encore la science du bonheur. Plusieurs courants de la philosophie antique ont proposé leurs définitions de cet état et du parcours permettant d'y accéder.
En plus c'est en adéquation parfaite avec ce que j'ai dit plus tôt
Edit: Tartopom outstrip me ><