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Si on adopte une définition assez restrictive de ce qu'est une BDSM session (c'est-à-dire qu'on en exclut les bisous à poil, attachée et les yeux bandés, après avoir été menacée d'une lame et fouettée), les trois derniers mots sont en effet une simple licence poétique pour les besoins du mème.
Pour le reste, euh, n'importe quelle histoire de la Wicca qui n'est pas écrite par des wiccans ?
(sans compter le caractère indispensable du Great Rite, i.e. de la sexualité rituelle entre le High Priest et la High Priestess, Gerald Gardner étant Grand Prêtre à vie tandis que les Grandes Prêtresses successives avaient semble t-il un âge limite à ne pas dépasser)