Tridimensionnel
Cheval théorique
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En lisant les derniers posts en cours j'ai remonté du fond de ma tête cette idée: ne serait-ce pas intéressant de partager nos affinités avec différentes substances, et de voir s'il y a une corrélation avec le type MBTI?
(je connais les critiques que l'on fait à cette théorie psychologique, mais je la trouve tout de même intéressante, parce qu'elle s'applique assez facilement, assez pertinemment, et qu'elle est de plus d'une simplicité exemplaire en ce qui concerne la compréhension de son architecture)
Pourquoi cette idée? Parce que si notre personnalité est en partie due à un équilibre chimique (cette croyance devrait être acquise après les expériences que nous partageons, expériences qui justifient notre intérêt pour ce forum), équilibre ressemblant plutôt à un modèle a, ou b, ou c etc, alors une perturbation X de cet équilibre devrait donner des résultats systématisables, en très gros, en Xa, Xb, Xc... Et que donnerait Yb? Et Zc?
Par exemple: je suis INFP, avec une tendance vers le E et le T (si je me fie aux pourcentages).
- LSD : je suis dans un terrain connu car j'ai déjà l'habitude de jongler avec mes sentiments et mes réflexions. En société ça me rend joyeux, ouvert, affectueux, spontané.
- Mes quelques expériences de dissos m'ont également plu. J'apprécie cette distance avec mes propres affects, les rendant similaires à des rouages que je peux scruter à ma guise. J'ai toujours aimé observer / démonter idéelement les systèmes.
- La codéine m'apporte la même chose, avec moins de force mais le bien-être en plus.
- Je ne supporte pas le cannabis. Cela me fait partir en vrille à la premier bouffée. Je me renferme en moi-même, je fais des boucles déprimantes et je finis par avoir envie de mourir.
- J'ai un grand kiff pour les benzodiazépines. L'expérience peut être carrément chiante mais en lui-même ce rêve éveillé me passionne.
- Je n'ai aucun souvenir d'avoir un jour mal supporté l'alcool (en dehors de surdoses incapacitantes et vomitives).
- La MDMA m'a déjà tiré d'une dépression. Mais je peux souffrir le lendemain de m'être trop dévoilée.
- Rien de très excitant en souvenir de ma seule prise de 3MMC. J'ai voulu triper en introversion et ça m'a cassé l'effet stimulant.
- Le protoxyde de carbone: n'sorte de disso? J'adore la plongée en moi-même, les hallus très claires que cela me donne pour une minute. Mais si je ris ça devient très désagréable, tout me paraît vide de sens et je ris plus pour me protéger du monde que par joie. De plus, je déteste la confusion qui suit.
Pour moi ces "résultats" sont en parfait accord avec une personnalité censée donc être: introvertie, intuitive, sentimentale et désorganisée, avec une tendance vers l'extraversion et la rationalité.
Mais vous?
(je connais les critiques que l'on fait à cette théorie psychologique, mais je la trouve tout de même intéressante, parce qu'elle s'applique assez facilement, assez pertinemment, et qu'elle est de plus d'une simplicité exemplaire en ce qui concerne la compréhension de son architecture)
Pourquoi cette idée? Parce que si notre personnalité est en partie due à un équilibre chimique (cette croyance devrait être acquise après les expériences que nous partageons, expériences qui justifient notre intérêt pour ce forum), équilibre ressemblant plutôt à un modèle a, ou b, ou c etc, alors une perturbation X de cet équilibre devrait donner des résultats systématisables, en très gros, en Xa, Xb, Xc... Et que donnerait Yb? Et Zc?
Par exemple: je suis INFP, avec une tendance vers le E et le T (si je me fie aux pourcentages).
- LSD : je suis dans un terrain connu car j'ai déjà l'habitude de jongler avec mes sentiments et mes réflexions. En société ça me rend joyeux, ouvert, affectueux, spontané.
- Mes quelques expériences de dissos m'ont également plu. J'apprécie cette distance avec mes propres affects, les rendant similaires à des rouages que je peux scruter à ma guise. J'ai toujours aimé observer / démonter idéelement les systèmes.
- La codéine m'apporte la même chose, avec moins de force mais le bien-être en plus.
- Je ne supporte pas le cannabis. Cela me fait partir en vrille à la premier bouffée. Je me renferme en moi-même, je fais des boucles déprimantes et je finis par avoir envie de mourir.
- J'ai un grand kiff pour les benzodiazépines. L'expérience peut être carrément chiante mais en lui-même ce rêve éveillé me passionne.
- Je n'ai aucun souvenir d'avoir un jour mal supporté l'alcool (en dehors de surdoses incapacitantes et vomitives).
- La MDMA m'a déjà tiré d'une dépression. Mais je peux souffrir le lendemain de m'être trop dévoilée.
- Rien de très excitant en souvenir de ma seule prise de 3MMC. J'ai voulu triper en introversion et ça m'a cassé l'effet stimulant.
- Le protoxyde de carbone: n'sorte de disso? J'adore la plongée en moi-même, les hallus très claires que cela me donne pour une minute. Mais si je ris ça devient très désagréable, tout me paraît vide de sens et je ris plus pour me protéger du monde que par joie. De plus, je déteste la confusion qui suit.
Pour moi ces "résultats" sont en parfait accord avec une personnalité censée donc être: introvertie, intuitive, sentimentale et désorganisée, avec une tendance vers l'extraversion et la rationalité.
Mais vous?