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Ce morceau en fond, le soleil pâle des matinées d'hiver, tout embrumé par l'ultime joint d'une soirée beaucoup trop longue... j'en viendrais presque à aimer janvier.
Je ne connais pas la peur, car la peur tue l'esprit. La peur est la petite mort qui conduit à l'oblitération totale. J'affronterai ma peur. Je lui permettrai de passer sur moi, au travers de moi. Et lorsqu'elle sera passée, je tournerai mon oeil intérieur sur son chemin. Et là où elle sera passée, il n'y aura plus rien. Rien que moi.