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Non mais le mec il foire ses quote, il commence sa phrase par un point suivi d'une minuscule, il a une orthographe de dyslexique dysorthophonique, met des espaces improbables, utilise les points d'exclamation par trois et se paie le droit de faire le malin ! J'ai envie de dire... Non en fait tout est dit.cocbruxelles a dit:schtroumpfette a dit:Pour t'éviter une inutile déconvenue future : je ne cherche pas le contact, je ne vends pas de drogue, et je n'en a achète pas à des inconnus qui me démarchent sur le net.
.c'etais juste pour un docc de Lucien delanoy "réalisateur".On étais a la recherche de personnes , assez caler dans le domaine .....première approche , premier site, première grosse surprise !!! vos réaction !!!!on se croirai sur le site Paranoïa.com ;=)
bon, ben .....encore désolé pour le dérangement, ne vous déranger pas, je fermerai la cage en sortant ;=)
Ah bon, ça sort d'où, ça? En Belgique, à ce que je sache en tout cas, la seule restriction qu'il y ait au droit du journaliste à taire ses sources c'est en cas de danger pour la vie d'autrui. Genre si t'as interviewé un serial killer qui t'a confié des informations sur sa prochaine cible, t'es pas sensé pouvoir te retrancher derrière le secret des sources.kaziskom a dit:J'ai récemment appris que la protection des sources des journalistes ne s'applique pas aux cas des stupéfiants, donc faites ultra-gaffe avec ça.
(GREVISSE Benoît, Déontologie du journalisme, Bruxelles : De Boeck Université, coll. Info&Com, 2010)Le secret des sources n'est pourtant pas absolu. En Belgique, la loi fixe les cas d'exception au principe. Les journalistes ne sont plus tenus de répondre aux questions d'un juge (...) que lorsqu'il s'agit de prévenir la commission d'infractions constituant une menace grave pour l'intégrité physique d'une ou de plusieurs personnes et ceci seulement si le renseignement recherché est d'un intérêt crucial pour la prévention de ces infractions et ne peut par ailleurs être obtenu d'aucune autre manière. Tous les collaborateurs qui assistent les journalistes dans leur tâche bénéficient de la même protection.
Oui mais non, pas du tout, en fait.mérimin a dit:Sinon, concernant les journalistes, et de ce que je comprends, qu'ils soient protégés (ou pas d'ailleurs, mais bon) sur leurs devoirs ne veut pas dire qu'ils n'aient pas le droit de balancer. Autrement dit, à moins qu'eux-mêmes aient un intérêt à rester discret sur leurs sources, je leur ferais pas confiance, surtout quand on voit le repère d'enculés (déontologie) qu'est devenu ce métier.
Code de principes de journalisme adopté par l’ABEJ, la FNHI et l’AGJPB
La liberté d’expression est un des droits fondamentaux de l’homme ; sans elle, l’opinion publique ne peut être informée adéquatement. Soucieuses de préserver l’intégrité et la liberté de la presse, l’ABEJ, la FNHI et l’AGJPB ont adopté le code suivant de principes de journalisme.
1. Liberté de la presse
La liberté de la presse est la principale sauvegarde de la liberté d’expression, sans laquelle la protection des autres libertés civiques fondamentales ne saurait être assurée. La presse doit avoir le droit de recueillir et de publier, sans entrave, informations et commentaires pour assurer la formation de l’opinion publique.
2. Les faits
Les faits doivent être recueillis et rapportés avec impartialité.
3. Séparation de l’information et du commentaire
La séparation entre la relation des faits et les commentaires doit être bien visible. Ce principe ne doit pas limiter le droit du journal à présenter sa propre opinion et le point de vue d’autrui.
4. Respect de la diversité d’opinion
La presse reconnaît et respecte la diversité d’opinion, elle défend la liberté de publier des points de vue différents. Elle s’oppose à toute discrimination pour des raisons de sexe, de race, de nationalité, de langue, de religion, d’idéologie, d’ethnie, de culture, de classe ou de convictions, dans la mesure où les convictions ainsi professées n’entrent pas en conflit avec le respect des droits fondamentaux de la personne humaine.
5. Respect de la dignité humaine
Les éditeurs, les rédacteurs en chef et les journalistes doivent respecter la dignité et le droit à la vie privée de la personne et doivent éviter toute intrusion dans les souffrances physiques et morales à moins que des considérations touchant à la liberté de la presse, telle que définie à l’article 1 ne le rendent nécessaire.
6. Présentation de la violence
Les crimes, le terrorisme et autres actes de cruauté et d’inhumanité ne doivent pas être glorifiés.
7. Rectification des informations erronées
Les faits et informations qui, après avoir été publiés, se révéleraient faux, doivent être rectifiés sans restrictions, et sans préjudice des dispositions légales sur le droit de réponse.
8. Protection des sources d’information Les sources d’information confidentielles ne peuvent être communiquées sans autorisation expresse des informateurs.
9. Maintien du secret
Le maintien du secret des affaires publiques et privées tel qu’il est défini par la loi ne peut porter atteinte à la liberté de la presse telle qu’elle est définie à l’article 1.
10. Droits de l’homme
Si la liberté d’expression entre en conflit avec d’autres droits fondamentaux, il appartient aux éditeurs et rédacteurs en chef, après consultation de tous les journalistes intéressés, de décider, sous leur seule responsabilité, du droit auquel ils accordent la priorité.
11. Indépendance
Les journaux et les journalistes ne doivent céder à aucune pression.
12. Annonces
Les annonces doivent être présentées de façon telle que le lecteur ne puisse les confondre avec les informations. L’ABEJ est l’Association Belge des Editeurs de Journaux. La FNHI est la Fédération Nationale des Hebdomadaires d’Information (devenue, en 1999, FEBELMA).
schtroumpfette a dit:Ah bon, ça sort d'où, ça? En Belgique, à ce que je sache en tout cas, la seule restriction qu'il y ait au droit du journaliste à taire ses sources c'est en cas de danger pour la vie d'autrui. Genre si t'as interviewé un serial killer qui t'a confié des informations sur sa prochaine cible, t'es pas sensé pouvoir te retrancher derrière le secret des sources.kaziskom a dit:J'ai récemment appris que la protection des sources des journalistes ne s'applique pas aux cas des stupéfiants, donc faites ultra-gaffe avec ça.
Art. 172 Protection des sources des professionnels des médias
1 Les personnes qui, à titre professionnel, participent à la publication d’informations dans la partie rédactionnelle d’un média à caractère périodique et leurs auxiliaires peuvent refuser de témoigner sur l’identité de l’auteur ainsi que sur le contenu et la source de leurs informations.
2 Ils doivent témoigner:
a.
lorsque leur témoignage est nécessaire pour porter secours à une personne dont l’intégrité physique ou la vie est directement menacée;
b.
lorsque, à défaut de leur témoignage, une des infractions suivantes ne pourrait être élucidée ou que le prévenu d’une telle infraction ne pourrait être appréhendé:
1.
un homicide au sens des art. 111 à 113 CP1,
2.
un crime passible d’une peine privative de liberté d’au moins trois ans,
3.
une infraction visée aux art. 187, 189, 190, 191, 197, ch. 3, 260ter, 260quinquies, 305bis, 305ter et 322ter à 322septies CP,
4.2
une infraction au sens de l’art. 19, al. 2, de la loi du 3 octobre 1951 sur les stupéfiants
Je veux bien le croire, mais ca reste théorique à mon avis.. Dans la pratique, chuis pas convaincu !schtroumpfette a dit:C'est une faute très grave de divulguer l'identité d'une source qui avait demandé l'anonymat. Un coup à être grillé partout, et va-t'en retrouver du boulot après ça.