Seul je suis et serais car je l'ai toujours était.
Victime latent d'un calvaire incomprit.
Je comprend que vous ne comprenniez pas.
Les choses chez moi qui me font me haïr semble banal.
Mais si moi je le sait et que rien ne change c'est car je suis dressez.
Je ne parle même pas ici de conduite addictive à un stupéfiant ou un autre.
Non le problème est plus profond que ça dans ma conscience.
Je n'arrive à prendre conscience que j'existe que lorsque je suis sous psyché.
Dans ces moment là, le recul que je prend par rapport à moi même me permet de comprendre que je ne suis pas forcément une si grosse merde que ça et que je mérite des trucs.
Et je sais que ça ne paraît pas crédible à certaine personne, notamment celles qui maintenant me connaissent et trouvent en moi une énergie si factice en moi.
Mais à chaque instant qui régit ma vie, aux moins quand je suis sobre et ceux avant même pour moi la découverte des psycotropes. Non le problème est antérieur encore à l'adolescence.
C'est pendant l'enfance et la petite enfance que j'ai prit conscience que j'étais une merde, en tout et pour tout. Déjà je me moquais de moi même avant d'entrez aux collège.
J'ai grandis dans la certitude que j'étais inférieurs aux autres.
Et tout ce qui s'enchaîna dans ma vie me donna la certitude que j'avais raison.
Je suis inférieur aux autres, dans tout ce que j'entreprend.
Je ne suis bon à rien.
Dans la vie, il y a des gagnants et des perdants, c'est une réalité alors venez pas me faire chiez avec vos on est tous égaux. Tout les jours on voit le fait d'être inégaux, par nos gènes, lieux de naissance, croyance et autres éducations.
Et le truc qui me choque c'est qu'on essaie de me mettre dans la case gagnante mais on peut pas mettre un carrée dans un rond ! On l'apprend très jeune pourtant et les gens s'obstinent à essayer.
C'est ça le truc, je suis un perdant. Oh.
J'essai d'être un gagnant mais aux final la réalité revient toujours brûtalement dans ma figure comme je vous l'avez exposé dans ma psychonautique.
Le sort s'acharne ou alors comme je suis un perdant, c'est moi qui voit que le sort s'acharne.
Et avec vos théorie gagnantes vous voudriez me faire voir l'absurde de mon raisonnement.
Mais, je le vois l'absurde. Mais moi je vois la boucle.
Car je l'ai déjà dit, badez, ça me connais.
Ce n'est même pas un état stressant et je suis relax.
Pourtant je me lapide le dos depuis deux heures trentes dans ma tête et ça me fait à peine trésaillir tant le fait est redondant et connu.
C'est mon état psychologique normal, me haîr et ne pas me souhaitez le meilleur.
Aux Hadra, quand j'ai épprouver tout cette amour factice je n'ai pas pensez à me dire que oui, j'allais la retrouvez ma vie de merde d'avant ça m'aurait peut être calmez car j'étais pas bien en réalité, trop proche du trop good trip.
C'est fort quand même, à ce moment là quand j'étais un volcan en fusion et que des coulées de larmes s'écoulaient en torrent. J'étais pas bien physiquement.
Dans ma tête c'était un éclatement de bulle et d'extase mais moi je vous dit que si il avait fait plus chaud ou si il m'était arriver ça à midi, j'aurai pas était bien. Du tout.
Et aux final ça me travail plus qu'un bad.
Car pour moi c'est ça le bad, c'est l'amour, c'est aimez. Être aimez.
C'est pas compatible avec mon mode de pensée et ça c'est vérifié car le lendemain soir j'ai chercher à fuir l'état en me laissant emportez dans un gros bad des familles mais là c'était vraiment un bad de descente de prod alors c'était quand même chanmé et j'ai fait pêtez un plomb aux deux personne qui était avec moi dans la voiture.
On m'avait calmez à coup de carrée dans des rond et j'y croyais encore.
Mais c'est fini.
Je vois la boucle.
Je vais pas bien, on me dit d'allez mieux, j'essai, ça marche, 1.2.3. BOOM. Game Over. Continue?
Pour sortir du bad faut sortir de la boucle.
Mais là c'est tentez de m'en sortir qui l'entretient, got it?
Donc j'ai qu'a plongez dedant et en avoir plus rien à foutre de moi.
Appliquez ce que je pense. Déjà que je dit la vérité quand je devrais mentir..
Pauvre Luba, Hatsu, Maman et autres personnes qui m'aimaient et que j'ai fait souffrir juste parce que j'étais là et que j'agissais comme j'agissais.
Je suis désolé, mais c'est comme ça. Et je le regrette.
J'ai eu de nombreuse fois l'occasion de changé et ça n'a jamais eu lieu car je ne suis pas assez motivé à sauvez ma carcasse. Car je ne le mérite pas et suit inférieur.
Car vous tous quand vous baddez, ça vous dérange, ça vous tracasse, vous avez peur.
Vous voulez retrouvez un monde où vous vous sentez mieux.
Moi finalement, c'est l'inverse.