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La psychonautique selon Stonix.

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Mr.G

Holofractale de l'hypervérité
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L'envie de communiquer est trop incroyable. Et la résultante de tout ce qui vient de m'arriver, c'est pas que le 2C-D.
C'est ma consommation en général, comment je vois la vie.

Et pour pouvoir l'expliquer. Il faut que je parte de plus loin.
Je vais donc faire un compte rendu. Car j'ai envie que vous me compreniez. Dans mon ensemble, même si le sujet sur Dieu.
On ce rejoins vraiment avec beaucoup de gens.

J'ai pas envie de parlez de l'alcool. Mais je dois quand même y passez.

Je préviens, c'est un TR super personnel (et long!). Ceux qui ne veulent pas en apprendre plus sur moi, mes trips, ma vie.
Vous pouvez partir :) Et c'est pas grave. J'aurai bien un retour ou deux et ça sera suffisant.



La légalité.
Quand j'étais plus jeune, mon Dieu, c'était ma mère. Elle était l'essence de la vérité, de la justice.
De comment je concevais la vie et la vie c'était la légalité. S'adapter, rentrer dans le moule. Ma mère c'est longtemps battu pour s'intégré. Être une Femme seul, à la recherche du bonheur. Ca devait vraiment pas être facile et en réalité pour elle. C'est moi qui était Dieu, après ma naissance. Elle a du ne plus y croire à un moment et elle ma eu (Je suis pas sorti comme ça du jours aux lendemain hein, j'ai un père. Mais il ne m'a pas éduquer et la preuve est faite, je ne met pas de majuscule à père).
Et elle à continuer à ce battre, car elle était quand même seul.
Mes premiers problèmes relationnel viennent aussi de là. Ma Maman était seul. C'est mon modèle. Et en réalité, ce n'était pas un bon modèle.
L'enfant doit être élever dans une certaine neutralité, un set et un setting potant. Le bien être doit être un art de vivre depuis la naissance.

Quand j'étais un enfant, avant le collège. J'étais pas un mec cool, car on est pas un mec cool. On est un enfant qui s'ouvre, qui développe sa culture et c'est à ses ages là que le potentiel est à fond. Les connexions dans le cerveau ce font toute seul et vite. On est aux mieux de notre forme physique en réalité. On ne sera jamais plus autant en forme que lorsque l'on ce coucher a vingt-heure, fatigué et que le lendemain aux petit déjeuner, on raconte ses rêve.
Mais c'est après que j'ai commencer à partir en sucette. Quand ma conscience c'est développer à part de ma mère.

Chez moi, j'étais seul. Vraiment seul. Ma mère à travailler toute sa vie, tout le temps. Et très vite, ça n'a plus fonctionner entre nous. L'absence de dialogue, la différence générationnel. Ma mère est une 68art. Je suis née dans les années 90.
J'ai donc eu du mal à me sociabilisé aux collège car dans le travail de ma mère qui était de tenir un bar dans une toute petite ville. Il y a la Loi.
Même si le barman à toujours raison, il ne faut pas froisser les clients, la consommation et mon steak dans mon assiette en dépendais.

La frustration de ma mère était canaliser sur moi, sur mes moindres erreurs, le moindre bordel. Dans des proportions gigantesque. Les prises de tête avec ma mère ... Mais incroyable ! C'est maintenant mon mode de résolution de conflit, je dois crier sur quelqu'un. Mais aux début c'était pas sur les autres!

Car qui dit petite ville, dit bouche à oreille. J'ai vu ma mère ce faire éclater la tête dans le mur d'un bâtiment parce que c'était soi disant une pute (Par une autre femme).
Je devais faire attention à TOUT ce que je disais, je devais aussi être sage. Car sinon. Les gens ne seraient plus venu chez ma mère pour picoler. Car les gens aiment la drogue et ils sont bien content de ce murger aux Ricard. Mais fréquenter des gens pas fréquentable, les gens n'aiment pas. Donc ma mère la fermez, je la fermez. Tout le monde ce taisaient et tout les jours on s'embrouiller.
Le discour dans ma famille est tellement couper que j'ai quelques fois surpris ma mère appeler SOS Amitié. Et en moi même. Ca me faisait du mal. Parle moi!

Arriver aux collège la relation entre les enfants c'est plus pareil. On tente de s'affirmer plus. Mais je ne pouvais pas ! Je devais la fermer!
J'étais donc isoler. Mais on est obligé de s'adapter, on trouve tous un amis, un groupe.
J'en ai trouvez un. Mais je ne trouvez pas ma place dans le groupe, comme je l'ai déjà souligner avec mon TR sur ma prise de beluga, qui remonte à l'année dernière. J'ai du mal à me situer dans le groupe, qui je suis par rapport aux autres.

J'ai donc, avec les autres, à 12ans ou 11. Prit ma première cuite. Mais vraiment une cuite. Plusieurs pac de bière. Du rosé. Et j'ai vraiment bu, j'avais pas fait semblant. Encore maintenant, la dose que j'avais bu, me mettrais ivre.
J'ai pas était bien du tout ce jours là et ça a théorisé pendant longtemps ma relation aux drogue et a la défonce.

J'avais des hallucinations, je ne comprenais plus rien, le temps et l'espace. Le lendemain je suis rentré chez moi torse nu car j'avais perdu mon t-shirt quoi.
Mais j'ai pas commencer à boire compulsivement, l'expérience avait était très forte. Traumatisante. L'alcool, on verra plus tard. Et je n'ai plus jamais bu avant d'avoir 16-17ans.
J'étais aussi amoureux d'une fille, dès la sixième. Et quand j'y repense, finalement, cette fille. Elle est vachement terre à terre. Peux intéressante. Mais bon.
Tout mon collège, elle avait était LA fille, j'avais des coups de coeur pour d'autres car ça me faisait souffrir.
Je n'osais pas allez la voir. Lui parlez. Je vivais dans un bar, les parents de mes connaissance leur disaient de ne pas traîner avec moi. J'étais seul à mon anniversaire, j'en oublis que c'est festif, le jour de ma naissance.

Arriver en seconde, après toujours une descente plus profonde dans la déprime. Je me décide à enfin faire quelque chose avec elle. Je lui écris une lettre et je demande à un pote de la lui transmettre. Et ouai. La timidité chez moi, ça me bouffe mais je voulais déjà, me transcender.

Mes connaissances, sont devenue des ennemis. A part Luba et une ou deux personne qui comme moi était quand même renfermez mais aussi plus ouverte.
Ils m'ont martyrisé mon love.
Je ne pouvais pas l'aimer, car j'étais moi. Ils tournaient ça aux ridicule. On me prenait pour un gothique ou je sais pas quoi.
Elle ne voulait pas de moi, mais vraiment. Car être avec moi, c'était ridicule. ( Mais quels bande de connard quand même, ils m'ont gâcher un gros moment de ma vie )

Mais j'ai passez outre car ça m'a énerver. Et chez moi, s'énerver, c'est communiquer. J'ai donc mis les points sur les I. J'avais le soutient de tout les profs.
J'étais meilleurs qu'eux sans rien foutre, j'avais des vrai discutions avec les profs, on m'interroger tout le temps. J'avais bon, tout le temps.
je leur ai mis profond. Mais, on a commencer à ce comprendre. J'étais plus, une petite victime.

Et là j'ai déménager. Et la crise avec ma mère est devenue énorme.
J'étais intégré, enfin ! J'avais les cheveux rouge et les gens trouvez ça "cool" Je pouvais le faire, pour moi et pas pour les autres. Je devenais moi même.
Et on est partit !

Je me suis retrouvez dans une ville plus petite, plus fermez mais j'allais dans un lycée plus grand mais la ville où il y a ce lycée. C'est l'un des endroits en France, où il y a le plus de cas sociaux, d'alcoolisme, de suicide. C'est une ville qui est mauvaise pour l'esprit ! Et je me retrouve là dedans. En 1er S. Avec des gens qui ce connaisse depuis le collège/primaire. Et moi je suis le nouveau.
J'étais DEJA le nouveau avant, dans un groupe de personne que j'ai connu jeune.
Ca a était très dur.
Par dessus ça, ma mère est tomber malade. Le cancer.

Je n'allais plus en cour, je me sentais investi d'une mission, faire tenir le bar droit. Comptez la recette, balayer le matin, recevoir le tabac tout les vendredis matin à 7h et demi ( car ma mère avait passez une License exprès pour faire un peux plus d'argent )
Et je buvais. J'avais pour moi tenir, un mois de salaire, pour moi tout seul. Préparez par ma mère express pour ses long mois d'hosto.
Je tournais à la vodka en shooters. Et je commencer à fumez le bédo, mais je ne savais pas roulez. C'était ultra occasionnel.

Mais j'arrive bientôt dans la fin de la légalité.
Avant que ma mère n'aille à l'hosto, mais vraiment juste avant. On a eu un gros clash. Ma prof principal de première S avait senti mon malaise, elle voulait m'aider. Elle à donc conseiller à ma mère que j'aille voir un psy(chologue) avec elle.
Ma mère à prit rendez vous avec un psychiatre.
Le jours du rendez vous, j'entre dans le bâtiment et je vois des fou. Pas partout, mais dans l'acceuil, je vois des gens, qui en réalité trip.
Ils bloquent le carrelage, ils bavent, des gens leurs tiennent la main, leurs parlent tout doucement.
Mais je suis où là?!

Le rdv est aux troisième, moi je monte, ma mère escalade. Elle souffre arriver en haut et comme moi je suis asthmatique, mes médecins m'ont toujours dit, de dire à ma mère de ne pas fumez dans la maison, dans le bar oui. Dans la cuisine oui. Mais à l'étage, là où moi je vis. Il ne faut pas fumer. Et elle la toujours fait.
La voyant crachante et mal. Je la regarde avec toute la haine que j'ai en moi. Ce don limite que j'ai de pouvoir foudroyer quelqu'un, avec mes yeux. Je l'avais déjà fait avant et maintenant que je grandis, je peux le prendre comme une force. Car je peux tétanisé quelqu'un. Et m'en sortir.

" Tu vois, là, tu es mal. Tu sais quoi. Tu va mourir. Je te le dis. Tu va mourir, t'as le cancer. Tu m'as jamais écouter et bien déguste espèce de conne "

Mais je lui ai vraiment dit. Elle à grave badder après. Deux ou trois jours après, son médecin vient me prendre à part. Oui, elle a un cancer et vu l'état. Oui. Ma mère va mourir.
La semaine prochaine elle rentrer à l'hosto.

J'étais donc dé-scolarisé, je vivais en ermite et un jours, le jeudi 12 Avril 2007. Je reçus le fameux coup de fils, en deux fois, car la couverture réseau fonctionner très mal. Mais c'était ma tante, qui m'annoncer que ma mère était parti.
J'étais choquer mais je ne réaliser pas encore. Sachant quand même qu'elle était morte. Je décidais de prévenir ses amis.
Après tout un tas de coup de fils, ma tante et mon oncle arriver pour m'emmener à l’hôpital. Où je pu voir le seul et unique cadavre humain que j'ai vu pour l'instant. Ma mère. J'étais horrifier.
On m'a demander si je voulais rester, lui parler. Mais je voulais m'enfuir. Je voulais pleurer.
Je me suis donc enfui aux lycée.
( On m'avait placer en internat mais j'étais LE rebelle de la vie, j'y allais plus et je devais juste essayer d'allez en cours suffisament pour pas qu'on me vire et je devais voir une assistante social aux lycée pour voir si ça allait car je ne voulais pas allez vivre chez mon oncle pendant l'hospitalisation de ma mère. C'était mort. La distance école - oncle / ma psyché actuel. J'aurai fait la guerre aux frère de ma mère. Je voulais qu'on me laisse dans mon coin )
Pour parlez à l'assistante social, je me rappellerai toujours. Quand je suis rentré, elle était avec sa secrétaire. Elles étaient tout sourire. Je les regarde, elle me demande ce qui ce passe. Je fond en larme. Ma mère est morte.

Je n'ai plus jamais était le même.


L'illégalité. Après ça, j'ai était vivre chez mon oncle. Et j'ai du mal avec mon oncle, il est trop rationnel. Il est boucher. Ma tante était mon seul radeau dans cette galère. Elle tentais de peser mon pour et son contre. J'ai donc fait mon premier tatouage. La veuve noir. Les femmes. Vous êtes mon ennemis, vous me possédé. Et vous me mangez. Mais si la vie n'était pas saugrenue avec moi, j'irais déjà mieux ! Je m'étais inscrit en CAP Photo car avec 3 de moyenne en 1er S, c'est le redoublement ou la réorientation. Et je ne voulais pas repiquer, ni la 1er S et surtout pas dans la ville où ma mère est morte. J'avais passez les entretiens après le BAC Français que j'avais eu. Je me disais. Ok. La vie a était très dur. Mais ta vie n'est pas fini. La situation avec mon oncle s'arrangeait même. Nous trouvions notre rythme. Je vivais en famille. Car pour eux, le fait qu'on mange ensemble, qu'on ce couche tôt etc. C'est bon pour la vie et OUI! Mais mon père. Maintenant que je parle de lui, il faut que je précise que je suis métisse. Et quand j'étais jeune, aux collège, pour m'intégré, j'étais devenue raciste. L'embrigadement. En même temps, mon premier collège, il y avait des bagarres entre skin et arabe. Tout le temps ou presque et il a presque fallu choisir un camp. Ca n'a pas durer longtemps, je me suis fait griller, passez un savon monumental. Mais c'est surtout pour dire que mon père à reçus une éducation arabo-laique teinté de Coranisme ( mais mon père est athé ) et moi j'étais cent pour cent laique. Fuck Jesus. Mes test pour le CAP Photo était parfait, tellement parfait, qu'il me voulait absolument pour le BAC Pro, qui allait à l'époque être nouvellement créer. Leurs argument : Les mathématiques, la science, le Français. Tout le général, tu vas avoir 20 de moyenne en CAP. Mes arguments : Oui, mais c'est du pro. J'ai des truc à apprendre avec mes mains ! Ils ont étaient ok. Mais il y a eu mon père : Tu vas en Bac Pro OU je te désinscris, tu perd pas ton à faire des années en plus dans un CAP sinon je te met à l'usine. Et puis, je suis ton père, tu m'obéis, tu n'es pas majeur, tu vas vivre chez moi. Mais espèce de con regarde moi maintenant ! J'ai donc du accepter, c'était mort, j'allais pas à l'usine, mon bras était déjà niquer à l'époque. Je sais que je ne peux pas travailler manuellement, ça me fait souffrir. Et ça a clacher aussi sévère chez mon père : La relation avec mon père en elle même, est passable, il est complêtement conscient d'avoir fait beaucoup d'erreur, de toute manière, il a eu 5 garçon, deux son plus jeune que moi et il ne veut plus faire les même erreurs, vu qu'il veux rester pour le reste de sa vie avec ma belle mère, maintenant je le respecte.
Mais ma belle mère et moi. Ce fut un choc, elle est arabo-musulmane. Elle vient d'avoir un enfant, c'est son nouveau Dieu et moi je suis l'anthéchrist.
On a failli passez à coté des coups lorsque pour une raison à la con, elle monte en tension, moi aussi et me dit que SON fils ne sera jamais élever comme moi, car sa mère n'est pas une alcoolique ! Putain, j'ai failli lui sauté dessus. Ca a pas tenu un an de plus. Mon père me demandais alors de partir faire ma vie. Car j'ai l'héritage de ma mère, j'ai un cerveau et je sais l'utiliser... Je débarque donc en Bac Pro (avec la tension décrite plus haut avec ma belle mère, c'était électrique tout les week-end) et le premier jours : Oui bon, on a trois nouveau qui ont pas fait le CAP. On N'A PAS le temps de refaire les bases. Voyez avec vos collègues. Mais WTF! C'était que des nanas, presques toutes BC-BG. Elles étaient fermez, j'ai mis deux ans à avoir des connaissances du terrain, à pouvoir prendre mon APN ( appareil photo numérique ) et commencer à shooter sans réfléchir. Sans réfléchir mais avec des idées. J'ai eu beaucoup de tension avec ma prof d'art, elle aussi une grande folle. J'ai rien appris dans la technique, la culture, oui. Mais quand je rendais un travail, c'était merdique et je devais travailler de moi même. Mais je n'ai aucun talent particulier en dessin, elle n'aider que ceux qui savait dessiner, les poussée dans leur idée. Mais voilà la prof. Par contre en général, j'étais sur la vague, je me permettais même de signalez aux prof de math ( pourtant c'est un prof de ouf, c'est trop un crack en mathématique mais quand il était avec nous, il ce lâcher plus sachant que sa matière, bien qu'importante, n'est pas réellement importante pour la photo ) qu'il avait fait une faute aux tableau, que le calcul était inexact et le prof me remercier. Les filles BC-BG ont mis longtemps à comprendre que je ne les aiderais que si elles ne m'aideraient. Et c'est pas moi qui est mit les barrières. Ce lycée c'est là où je vis encore, d'ailleurs je vis devant le lycée. Et c'était assez le carnage. La découverte réel du bédo, de ce remettre des claques à l'alcool. Ces cette année là, en 2008. Que je vais en festival pour la 1er fois. Grosse mine, gros délire. La liberté retrouvé. J'étais complet mais je me complaisais dans la fête (et encore maintenant) Je rencontrais même une fille et j'avais mon premier rapport sexuel. Après ça a pas marcher avec elle, d'autre bad, d'autre fille, mais les causes sont déjà plus haut. Je rencontre alors sur internet une fille. Sa photo me dit quelque chose. En faite je connaissais son ex, aussi par internet et il m'avait demander de faire des photomontage pour elle, c'est normal que je reconnaisse sa tête. On discute, beaucoup, elle aussi souffre. C'est Grande Prêtresse de la drogue dans mes TR. Et elle ce lâche déjà plus que moi à l'époque. Elle coule des douilles, elle boit, elle veut prendre du chimique, elle s'en fou complêtement. Moi j'ai encore des limites. Mais les connaissances que j'ai dans ma ville commence à prendre des champis, un peux de salvia. Très peux d'effet pour tout le monde ou l'incompréhension. Comment je suis un gourou de la drogue dans mon groupe est la preuve. Mais ils me font quand même tester mes premières truffes. Avec de l'alcool, du joint, de la chaleur, manque de repos, même si j'avais manger qu'un gramme ou deux, c'est suffisant pour badder mais je ne le prend pas comme un bad aux champi. De toute manière. Badder c'est badder. Que ce soit de l'alcool, tout seul ou aux champi. On auto-alimente sa psychose et il faut parler pour pleurer pour décompresser. Et ça passe. La psychonautique selon Stonix. Il faut faire attention avec les prods et apprendre à ce connaitre. Et aux début, je ne connaissais pas psycho. Ni le psychédélisme. J'avais que ma vie, mes potes, la défonce. Et en partant de Breda, en allant dans un smart et ayant tester des petites dose de truffe sans avoir prit conscience que j'avais déjà toucher le trip. J'en achète une boite. Je demande aux vendeur ce que je dois faire. Tout prendre. All?Sure? Yes. Je regarde mon pote, lui est résistant, lui aussi prend une boite complet mais moi je suis réactif et je ne le sais pas encore! Posé sur le parking à la sortie de Breda, en bordure d'autoroute! Je décide de prendre la boite. Je regarde les truffes, je sens, je touche. Mouai. On va pas tout prendre, les trois quart. Je mange les truffes. Et par dessus je bois du coca et mange du chocolat. Il ne faut surtout pas faire ça ! Mais j'avais la fringuale des gros bédot alors bon. Quand la monté est arrivé, j'ai eu de la claustrophobie, à cinq dans une voiture... Je monte en tension, tout m'opprime. Je sors et vomi. Je vomi jaune, de l'acide, les truffes commencent à peine à digéré. Je vomi pendant de longue minute ( encore heureux en faite, le corps savait que ça allait être dangereux ) Je rentre dans la voiture, claustro again. Je vomi de nouveau. Je comprend en m'étant un tout petit peux renseigner que c'est normal. Je sors m'installer sur une table de picnic. Je regarde les arbres, je commence à phaser. Mais je ne me dis pas que je phase. Je suis juste démonté. Je me questionne sur les effets. Car j'en ai. Sa fratalise aux minimum du minimum. Soit. Je veux comprendre, je veux le faire mieux. Car ce potentielle. Le potentielle du psychédélisme. Mon esprit qui s'ouvre à lui même. VMVS! Je regarde alors sur wikipedia, la globalité des effets des champignons et je comprend que ce sentir mal, sous ça. C'est normal mais qu'il ne faut pas paniquer. J'en reprend très rapidement, j'habite presque en Belgique, allez aux pays bas, c'est pas du tout une longue route, on peut faire deux allez retour et quand même prendre son temps. Voyez le délire ( surtout les belge ) La première vrai prise donc, ce passe chez Azrael, en petit commité. Ca ce passe bien, pas de sale expérience. Peux d'hallu. Mais c'était cool. Arrive mon TR aux Beluga où je commence à comprendre que badder c'est violent sous prod. Mais je me débinne pas ! C'est NORMAL. Je suis conscient qu'il m'est arriver des trucs louche et pas cool qui ont formatez ma psyché. Je suis comme ça. Badder, ça me fait limite pas vraiment peur. Je bad depuis longtemps en faite ! C'est habituel chez moi. Et là. Aux Cabaret Vert 2011. J'ai fait la rencontre. Nox. J'étais tripé mais je le vivais déjà bien, j'ai pas attendu pour arriver ici pour me faire une RDR en faite, même si ma RDR n'est pas d'atteindre longtemps entre chaque prise mais aux moins d'essayer de comprendre les effets, de ne pas avoir peur. La tolérance, les HPPD. Je connais pas par contre à l'époque. Et donc j'étais tripé et je vois à nouveau une personne que j'ai rencontré aux CBvert 2010 et 2009. Je le regarde et je lui dit que je suis tripé car son aura appel la mienne, je sais que c'est un percher. Il me fait alors des bollas clignotante, me parle du shamanisme, me fait écouter de la GOA. Il m'écoute, me pousse dans la réflection dans quoi je parle. Il bouge aussi de façon à ce que les visuels soit aériens. Je fais vraiment un trip avec lui, découverte de ce monde. Il fait aussi tripé des teuffeur avec son enceinte et je comprend d'un coup le monde percher. Je me dit : ah ouai. Mais en faite c'est juste des mec qui poussent le délire hors de leur tête. Car le bad qui chez moi est normal, peut vraiment terrorisé quelqu'un d'autre. Arrive Septembre et mon inscription. J'ai pas grand chose à dire là dessus. Je vous aime. Point. Ma consommation est la mienne, ici certain font pire, pour d'autre, je devrais vraiment me calmer et je les rejoins. J'en arrive donc à hier. Je me suis accepter, j'ai vécus l'expérience par le Set. Car mon trip de la semaine dernière dans l'hypercube ma rapprocher de Dieu. De moi même mais j'avais encore le concept dans ma tête. Je comprenais le terme enthéogène mais je ne le vivais pas à travers moi. Car moi c'est moi et je ne devais jamais m'en sortir. Car la vie ma formaté à l'échec. Hier, car les boucles sont ce qu'elles sont, Stylo, c'est même avant hier, à fait son sujet sur Dieu. Et j'ai commencer à le lire avant de tripé avec mes potes. Et surtout avec un pote qui comme moi ne savait pas ce que c'était le Trip. Lui ne l'a pas vécu aux fin fond de lui même. C'était très léger. La monté à était longue et en réalité. Tant qu'on a pas passez la porte, les Trip, c'est étrange. Le fait de lui apprendre, de vivre une expérience dans un set&setting en béton armé blindé sans thc ( ou presque ). De pensé à Stylo et à son Dieu. J'ai vécu la réminiscence, pas de ma vie, car je la connais. Mais que tripé c'est atteindre ce but. L'osmose. Le Nirvana, la plénitude. Et je les atteins. Je n'avais pas de réflexion transcendante, j'étais en train de tripé récréativement mais c'était là. C'était en train d'exploser. Et hier ça a pétais, mais ça devais péter. Je me suis lâcher et ça donne ce truc là aujourd'hui. Car les concepts que j'ai sentie, finalement. C'est moi. C'est mon bonheur. Je VEUX être heureux. Car sinon je vais mourir ! Car je me laisse allez, je suis toxicomane ! Mais c'est "fini". Je vois une psy, une assistante social, je parle de mes problèmes. Tout le long de cette année de trip. Je me suis ouvert, toujours plus. Je me suis fermez à d'autre truc aussi. Mais c'est normal, c'est l'apprentissage de la réalité de la drogue, ce qu'on nous inculque. La société moderne. La société moderne qui a fait que je n'ai pas pu m'intégré plus jeune. Mais la société moderne veux mon bien, surtout. Par des préceptes qui ne s'adapte pas tout le temps. Surtout aux niveau des drogues. Mais sinon?! Trouvez une activité, avoir un foyez, une passion, pouvoir se soigner, vivre la religion qu'on désire. C'est aussi l'expression de la conscience. C'est aussi ça être bien, tout les jours. Pas que quand on trip. Et je veux pouvoir revivre l'expérience transcendantale. Par le Set&Setting. Ne jamais plus avoir peur. Ne jamais plus faire n'importe quoi. Me respectez. Et ça n'a pas était facile. Et je vous en remercie. Sludge surtout, qui me supporte plus souvent que vous tous. Et je l'en remercie plus particulièrement. Mes potes m'ont aider. Mais je suis psychédélique. Et dans mes connaissance peux de personne le sont. Aborder le sujet de la toxicomanie sans passez pour un faible, sans la critique ou sans le : mais non, c'est que du bédo, c'est naturelle, c'est pas dangereux. FTG!!! Car je le dis, HAUT et FORT. Je n'aurai jamais rencontré Nox et Vous, je ne me serai jamais intéresser à ça. Mais si je ne l'avais pas fait. Je serai encore bûté, à me hair. A fumez tout les jours car je mourais un spliff à la main. . . Non. Je ne peux pas, je ne le veux pas. Car j'ai aussi eu en moi le doute de la paternité. Si j'étais un père, je serai un con, j'abandonnerai mes enfants, comme là fait le mien. Et comment mes relations avec les meufs étaient ( je l'espère ) et bien ça serait arriver. Avant aujourd'hui, j'aurai eu un enfant, je l'aurai abandonner. Alors que maintenant je comprend qu'élever son enfant bien, lui évite déjà, de souffrir pour rien. Et putain qu'es que j'aurai voulu souffrir que de problème d'adulte. Merci ma psy, merci vous, merci moi. Car si je crois avoir fait les bon choix actuellement. Ca me fera sortir d'une décénnie de dépression!
 
:crybaby:Merci de ton témoignage.. Penses tu que les psychés sont en mesure de t'amener quelque chose en plus de la thérapie classique?
 
Oui, sinon je ne l'aurai pas fait.

Mais ça c'est moi :)
 
Dense! whoa
Heureux que tu aies pu avancer, trouver des lignes positives
Remettre en question les schemas que les aléas de la vie t'avaient imposer; te reconstruire et trouver l'entousiasme. Fait attention à toi, on est jamais sorti des pièges de la vie, comme on est jamais si éloigné du prochain état de grace
 
Non les pièges de la vie sont multiples mais me sortir de ma situation actuel, c'est déjà bien.
Je devais finalement en passez par là. Car c'est moi.

Et avec ça en tête. là je suis descendu, je suis fatigué, mon corps physique fait comme d'hab : tu souffres mec !
Mais là mon esprit est posé, serein.

Nous allons nous en sortir, car c'est plus fort que moi, c'est moi qui veux vivre ! Et je ne peux pas lutter contre moi même indéfiniment.
Car si je me révèle à moi même, je transcende mon existence. Je deviens unique. Je deviens moi.

Et le moi m'appel depuis trop longtemps pour que je l'oublis. Je peux pas faire machine arrière de cette réflexion, je ne peux pas. Comme le fait qu'avant je ne pouvais pas m'en sortir. Car je ne m'étais pas révélé !

Ca a était ultra chanmé les mecs, ça fait deux jours que j'en dors presque pas. C'est le truc le plus furieux qui m'est arriver mais c'était le meilleur truc qui devait m'arriver.

Plus que trouvez un plan cul, une copine, une putain de grosse soirée. Non. C'était ça et rien d'autre.
Car mon problème c'était que je badder. Mais. C'est pas ma faute, c'est ma vie ! Et ma vie, j'en suis maitre.
Alors c'est fini ce temps là.

Et j'aime ça :) Même si ça fait que même pas 24h.
Je sens l'énergie pleine, la chaleur. Dans le dedans de moi. J'écope plus, je rame !
 
J'ai versé quelques larmes, je dois l'avouer !

C'est le genre de témoignage, qui m'impressionne vraiment, il faut l'avoir la force d’exposer tout cela ! Je t'en félicite, c'est quelque chose que j'aurai jamais put faire mal grès mes aigreurs contre la vie et ses tourmentes, ce sont d'autres souffrances mais bon ... une souffrance est une souffrance.

J'ai été très très ému, je voudrai t'écrire tellement de choses pour te féliciter de t'avoir trouvé et de pouvoir ressentir ce que tu ressent ces dernières 24h !! Je te souhaite de pouvoir profiter de ce bonheur le plus longtemps possible ! C'est ce que tu mérite !

Il y a tout de même un point qui m'intrigue, libre à toi de me répondre, mais je comprend pas pourquoi tu te sentirai pas capables d'avoir un/des enfant(s) ? Sincèrement, je pense pas que faire vivre le fossé qu'il y a eu entre toi et ton père à tes enfants soit idées qu'il faille suivre, personne ne mérite ça et au contraire, de mon point de vue ce pourrai même être une manière de consolider ce bonheur que tu "découvres" et le transmettre.
 
" Si j'étais un père, je serai un con, j'abandonnerai mes enfants, comme là fait le mien. Et comment mes relations avec les meufs étaient ( je l'espère ) et bien ça serait arriver. Avant aujourd'hui, j'aurai eu un enfant, je l'aurai abandonner.

Alors que maintenant je comprend qu'élever son enfant bien, lui évite déjà, de souffrir pour rien. Et putain qu'es que j'aurai voulu souffrir que de problème d'adulte. "

J'ai pas dit que je voulais pas le devenir, avant oui, maintenant pourquoi pas.
 
Un lotus s'ouvre. C'est vraiment magnifique.

Oui, j'ai pleuré de joie.
 
Ha oui en effet ^^" sa m'apprendra à finir de lire avant de ce poser des questions

Bah c'est super :') ! Je te souhaite de transmettre ce bonheur !!!
 
Mais faut pas pleurer, moi même j'ai eu que la gorge serrer et les larmes aux yeux.
Tout vas bien, Stylo. :)
 
Impressionant big boy ;)

J'adore la toute dernière phrase (et toutes les autres aussi mais j'ai un faible pour celle là !)

Ce qui me sort de tout ça c'est que j'ai l'impression que tu viens de "naître", ça y est, la vie commence pour toi ! C'est peut être un peu exagéré, ouai...

Mais merci à toi !
 
J'ai rarement été aussi bouleversé qu'en lisant ce post. Ce que tu as vécu, j'ai l'impression d'avoir ressenti tes émotions du fond de mes entrailles.
Je vais être gnian gnian, mais je suis vraiment extrêmement heureux que tu aies vécu cette expérience, tant l'émotion qui se dégage de tes propos laisse supposer que le meilleur reste à venir, malgré l'apothéose en fin de post.
Bisous, sincèrement.
 
Un nouveau Stonix parmi nous ! :finger:
Ton histoire est émouvante et touche les cordes sensibles de mes émotions, d'ailleurs toi-même tu sembles touchant, attachant et sensible. Ta promise est surement plus très loin !
 
Ton histoire ne laisse pas indifférent, pour réussir à parler comme ça de ta propre vie dès ton enfance, tu as réussi à prendre un sacré recul !
 
J'aurai jamais cru que ça toucherait autant de gens.

Merci beaucoup. Et pour répondre à Morroes, je suis conscient de ma vie depuis le CP.
J'ai aussi beaucoup de bribe d'avant mais c'est quand même pas mal flou mais à partir du CP je peux commencer à raconter ma vie.

En tout cas ça ma fait du bien.
 
Petite larme aussi. Je suis très heureux de lire ça, que tu arrives à te dévoiler autant, toi qui a une vie pleine d'aléas, difficile, mais qui t'a forgé comme tu es aujourd'hui. J'ai un peu de mal à trouver les mots, étant bien crevé, mais tu es vraiment une personne que j'aimerais côtoyer, je t'admire et en même temps je sais qu'il te reste beaucoup de choses à faire. Mais ça me ramène à mon parcours aussi. Si j'accomplis mes projets peut-être qu'un jour tu me rejoindras si le destin le permet, où si tu en as l'envie en tout cas.

Bref, vivement le Hadra, j'espère que tu seras là. Et dans tous les cas que tu continueras sur cette lancée, tu es en train de grandir, de devenir un homme même si c'était déjà plus ou moins le cas depuis des années. Il te manquait peut-être encore ce que tu as trouvé là.
 
M'admire pas.
Je suis légal de tout le monde :)
 
Oui et non
Oui car la souffrance n'est pas une mesure adécuate de la qualité des gens
Non car ceux qui dépassent cette souffrance et ces noeuds sont porteur d'expérience, de capacité, pas toujours évident a trouver dans notre société (c'est ca qui m'a attiré chez mon ex peruvienne par exemple; d'avoir démontré sa capacité a lutter et a s'en sortir; alors qu'une bourgeoise européenne sans problème, c'est un peu une kich molle, parfoi)

Moi je dirais que je compatis, surtout
 
Touchant comme histoire :cry:

Un seul mot à dire : Bravo !
 
Stonix a dit:
Il fait aussi tripé des teuffeur avec son enceinte et je comprend d'un coup le monde percher. Je me dit : ah ouai. Mais en faite c'est juste des mec qui poussent le délire hors de leur tête. Car le bad qui chez moi est normal, peut vraiment terrorisé quelqu'un d'autre.

=)
 
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