Vous savez les gars qu'on fait des fours micro ondes combinés aujourd'hui ?
Par rapport aux responsabilités individuelles et des libertés d'être ou ne pas être technologique, si aujourd'hui on est dépendant de smart phones, d’ordinateurs et d'internet, dans la plus grande des servitudes volontaires, là où ça fait peur c'est en se demandant comment l'on va devoir se plier à des règles imposées de manières perverses, c'est à dire présentées de façon à y adhérer de soi-même, sous l'effet d'une propagande bien rodé comme avec l'exemple des pontes de la Silicone Valley...les ricains c'est trop bien, les chinois et les soviets c'est les cocos, c'est l'enfer.
Par exemple, à quel moment le dépistage génétique est obligatoire vis à vis des assurances, et qu'avant même qu'on ne soit conscient d'être une personne, on nous aura catégorisé comme sain, moyen sain, ou pas sain, et que ça va influencé toute notre vie avec des portes qui s’ouvriront ou se fermeront selon ses déterminismes génétiques.
Autre exemple, on invente le passeport biométrique sous forme de puce électronique implantée dans le poignet, à quel moment t'as le choix de dire j'accepte ou je n'accepte pas de me faire implanter la puce. Parce que si tu n'acceptes pas t'es suspect, et là pareil plus personne te t'acceptera dans un boulot respectable, etc.
Dernier exemple qui va nous tomber sur le coin de la figure sous peu, la disparition de l'argent liquide. Là c'est la fin de toute liberté, les banques connaitront tout de nos achats, de nos goûts, de nos situations, donc place aux influences diverses et ce au détriment des libertés. Aussi finit le petit billet de grand mamie qui fait plaisir à son petit fils, la banque interdira toutes ces pratiques qui ne lui bénéficient pas. Mais le plus ouf si ça se trouve, c'est qu'on nous vendra progressivement ça comme un gage de transparence, d'anti corruption, etc...afin qu'on accepte aveuglément les volontés de quelques oligarques tirant les ficelles. On le sait, mais les lanceurs d'alerte sont les méchants dans l'histoire, et la masse le dindon de toute ces farces.