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J'arrête

Le cannabis, je l'adore, mais lui ne veut plus de moi.....

J'etait fortement addict (et je le suis toujours dans unsens), entre 15 et 20 piges, c'etait alors la grande décadence des drogues diverses et variés, je tournai facile a 20-25 douilles / jour, c'etait devenu quasi systematique , c'etait la première chose que je fesait en ouvrant les yeux, etje me reveillait au milieu de la nuit, pour en taper une ou deux.....par la suite, je ne saurait pas exactement quand ni comment, ca a commencé a ne plus aller du tout.....je fesait des crises de panique et de paranoia de plus en plus souvent.....jusqu'a décider de ne plus en acheter, de ne plus en chercher.....et c'est la que le bat blesse

Meme seul avec ma copine, ou avec mes meilleurs amis, si je fume la latte de trop, c'est la cata....une seule taffe peut me faire l'effet d'un pet entier, c'est infernal, et très souvent peu agréable (a une exeption pres, quand je suis bourré, la je peut fumer autant que je veut).Je devient pale comme un mort, je sue, j'ai le souffle court et mon coeur s'accelere fortement (trop), et surviennet souventdes nausées, et meme de la panique parfois !!

Je n'aime donc plus les effets du canna sur moi, c'est désagreable au possible, mais , et c'est la que je voulait en venir en disant que je suis toujours accro, c'est que meme en sachant que ca va pas le faire, je suis incapable de dire non a un pet qui tourne...
 
Arf, fait chier ce remontage de topic: entre temps, j'ai arrêté d'arrêter.

:oops:
 
schtroumpfette a dit:
Arf, fait chier ce remontage de topic: entre temps, j'ai arrêté d'arrêter.
:oops:

tout pareil, de nombreuses fois :mrgreen:
Étrange impression de se rendre compte que finalement, l'arrêt n’apporte absolument rien, toussa, toussa....
 
haha exellent le remontage :lol:
 
Tiens moi aussi j'ai arrêté d'arrêter. C'est fou comme ne pas avoir un sou en poche aide à devenir un être pur et raisonnable. \o/

Personnellement je verrais quand même un avantage à l'arrêt (ou au moins au changement de méthode de conso) : Ne plus goudronner mes poumons avec l'équivalent de 5 paquets de clopes par jour (sans fumer de clopes...) ><
 
schtroumpfette a dit:
Arf, fait chier ce remontage de topic: entre temps, j'ai arrêté d'arrêter.

:oops:

Justement, après avoir lu ton 1er post, j me demandais si tu tenais. Moi aussi, j'arrête d'arrêter depuis un bon bout de temps, c'est peut être un problème, mais s'il était le pire, je me pencherai peut être dessus. Comme c'est pas le cas, bédoooo party every day !
 
Bah j'ai arrêté d'arrêter, mais je ne fume toujours pas énormément. Plus de douille, juste un joint ou deux quand j'suis avec des potes qui fument. Très rarement toute seule. Ce qui fait que ma weed dure bien longtemps. J'avais été en chercher à Maas y a trois semaines, il m'en reste toujours.
 
Une semaine et demi d'arret pour moi après 7 ans de fume quotidienne..
C'est pas évident les premiers jours mais effectivement ça passe, je re-rêve aussi, journée sans la tete dans le cul.. Je me consacre aux week ends, et un ptit le soir devant le film, après que la journée soit passée, c'est mieux que ma dizaine de douilles quotidienne... Et du coup c'est beaucoup moins "encombrant" pour la vie de tous les jours et le plaisir d efumer n'en est que multiplié.. Et puis, ne pas dépenser 30 tous les deux jours mais pour une semaine, ça fait des économies ! on verra si ça tient !
Bah j'ai arrêté d'arrêter, mais je ne fume toujours pas énormément. Plus de douille, juste un joint ou deux quand j'suis avec des potes qui fument. Très rarement toute seule. Ce qui fait que ma weed dure bien longtemps. J'avais été en chercher à Maas y a trois semaines, il m'en reste toujours.
Plus de douille j'pense que c'est le mieux, ça aide à mieux apprécier.. puis fumer en société, c'est différent que fumer seul dans son coin !
 
Perso j'en suis à 50 pour deux semaines et 100 un peu plus d'un mois.

Après, c'est du teuteu assez basique sans aller jusqu'au com, ca reste relativement dégueulasse. Vivement le déménagement à la campagne et l'outdoor.

Ceci dit, quand y'a plus y'a plus, aléatoirement j'ai fait des "arrêts" volontaires ou non de 1 semaine à 2 mois, ca passe assez tranquillou. Mais bon, quand je sais que ça vend dans mon entourage, pas facile de pas choper ^-^
 
J'ai fumé +/- 20 euros par jour pendant 2 ans, puis arrêté d'un coup, sevrage total sur 6 mois et depuis je me rend compte que ma vie se porte vachement mieux sans ce trou dans le porte monnaie et la mémoire. Je fume en société, et je prend souvent entre 20 et 40 euros pour les week ends, que je fais tout le temps tourner. Et je me suis débarassé du besoin absolu de fumer en semaine. Quand il me reste quelque chose je l'achève le lundi ou le mardi devant un bon film, et le reste de la semaine se passe sans y penser.

Bon en fait il y a vraiment un moment ou j'ai besoin de fumer, c'est en descente. Mis à part ça, aucun sushis.
 
Ah oui c'est sûr qu'en descente de psyché ou de stims, ça fait toujours bien plaisir
 
Pour ma part je ne suis pas tellement motivé à arrêté, car je ne ressens pas le moindre problème au quotidien (sauf le niquage de mes poumons en bonne et due forme of course) malgré ma consommation qui pourrait être qualifiée de problématique : Je ne fume des clopes que la journée quand je taf et le soir c'est 2-3 joints. Le week-end, vaut mieux pas que je compte...

J'ai fumé mes premiers joints vers 12ans (ne faites pas ça chez vous...), entamé une conso régulière environ une année après (ça encore moins...) et je n'ai pas eu le moindre problème scolaire ou de mémoire à déplorer depuis... Et encore maintenant, je ne ressens pas cette impression "journée tête dans le cul" que tout le monde décrit, je n'ai aucun problème à me lever très tôt le matin, aucun problème a rester alerte et bosser efficacement toute la journée.

D'ailleurs, même si je ne me permettrais jamais de fumer avant d'aller bosser, je n'ai aucun problème à faire exactement le même travail à la maison en fumant comme un cochon. Bref, je ne vais pas encourager les gens à trop fumer c'est sûr, mais je pense que les problèmes cognitif et de motivation ne sont pas directement dus au cannabis lui-même...

EDIT : Par rapport à certains propos de mon premier message qui sont, je le conçois, contradictoires :
- Je fume toujours compulsivement et très peu par plaisir (je remplace un peu les clopes par des joints), je ne le nie pas et c'est effectivement regrettable, même si je ne le considère pas comme un problème en soi.
- Pour l'entretien de mon "problème", j'ai pu constater après abstinence, qu'il était d'intensité variable et directement du à mon état psychique, peu importe que j'aie fumé ou pas.
 
Pour la démotiv totale aka je suis la pire lock du monde je vais rienfoutre de mon année (ou journée) a part rouler, c'est comme le bad trip avec les psychés, ca fait parti des risques mais c'est ton cerveau (et surement la volonté un peu) qui gère. :mrgreen:

L'hygiène de vie joue aussi pas mal je pense, notamment pour la mémoire

Perso je n'ai commencé que bien plus tard que toi, vers 17 ans. Ben une année le cul vissé devant wow (t'façon la fac tu t'emmerde vite si tu fais pas gaffe) avec des plaquettes pour seule compagnie, ca te ravage un cerveau et y'a deux ou trois truc à faire réviser quand tu décide de faire autre chose de ta life ^-^
 
Don_Fouinardo a dit:
Pour ma part je ne suis pas tellement motivé à arrêté, car je ne ressens pas le moindre problème au quotidien (sauf le niquage de mes poumons en bonne et due forme of course) malgré ma consommation qui pourrait être qualifiée de problématique : Je ne fume des clopes que la journée quand je taf et le soir c'est 2-3 joints. Le week-end, vaut mieux pas que je compte...

J'ai fumé mes premiers joints vers 12ans (ne faites pas ça chez vous...), entamé une conso régulière environ une année après (ça encore moins...) et je n'ai pas eu le moindre problème scolaire ou de mémoire à déplorer depuis... Et encore maintenant, je ne ressens pas cette impression "journée tête dans le cul" que tout le monde décrit, je n'ai aucun problème à me lever très tôt le matin, aucun problème a rester alerte et bosser efficacement toute la journée.

D'ailleurs, même si je ne me permettrais jamais de fumer avant d'aller bosser, je n'ai aucun problème à faire exactement le même travail à la maison en fumant comme un cochon. Bref, je ne vais pas encourager les gens à trop fumer c'est sûr, mais je pense que les problèmes cognitif et de motivation ne sont pas directement dus au cannabis lui-même...

EDIT : Par rapport à certains propos de mon premier message qui sont, je le conçois, contradictoires :
- Je fume toujours compulsivement et très peu par plaisir (je remplace un peu les clopes par des joints), je ne le nie pas et c'est effectivement regrettable, même si je ne le considère pas comme un problème en soi.
- Pour l'entretien de mon "problème", j'ai pu constater après abstinence, qu'il était d'intensité variable et directement du à mon état psychique, peu importe que j'aie fumé ou pas.

Heu moi ça fait 35 années de carburant en tout genre ,il y a eu des hauts, des bas, des bad, et des toumutch,
mais je ne fume jamais pour bosser sauf le soir 2~3 rouleaux de weed avec ma nana. Mais perso ça m empeche pas de bosser , d 'etre actif et j 'ai pas l 'intention d'arréter sauf quand j 'aurai ma convocation a St pierre.
 
Oui voila, soir ça passe, je m'en rends compte aussi... mais personnellement, ça a toujours été "le pétard du matin", puis après, par temps durs, la douille du matin, et les deux douilles du matin.. pas le top pour commencer une journée, réussir des études.. Et puis, la frustration permanente, l'irascibilité quand tu sais qu'il te reste presque plus rien. Bref, bien content d'avoir eu un "electrochoc" (forcé) à mes 20 ans !
 
Bah moi même si j'ai toujours été d'un naturel speed et dormeur moyen (7h/nuit), j'ai bien du me rendre compte que quand je fumais tout les jours, j'avais beaucoup plus de mal à me lever le matin et à me motiver...que ma mémoire en prenait un sacré coup...

MAIS SURTOUT: Que même en ne fumant "que" le soir, je perdais le contact avec moi même:
La journée, la tête dans le cul à essayer de me motiver à faire ce que j'avais à faire tout en attendant impatiemment le soir de pouvoir s'en fumer un...
Le soir, soulagé de me retrouvé fonfon à nouveau...
Bref aucun moment pour penser et avoir du recul sur "qui suis-je, où vais-je, dans quel état j'aire?"

Accessoirement:
_Retrouver du temps pour faire des choses plutôt que de passer du temps devant des trucs débiles à la TV....
_Ne plus avoir ces "fringales" qui me faisaient bouffer tout et n'importe quoi, surtout si c'est riche en hydrates de carbones...
_Dormir mieux, rêver, ce qui est probablement à relier à l'amélioration des performances mnésiques.

DONC j'ai arrêté...pourtant ma femme fume tout les soirs devant moi...
De temps à autre, je me fait un petit plaisir...Et parfois même en vacances je retrouve l'addiction en fumant un soir, puis deux, puis trois tout en me disant le matin suivant "ce soir je ne refume pas" et en ayant le plaisir pervers de "recraquer" le soir mais ça ne dure jamais longtemps, la vis quotidienne et ses contraintes me rappelle à l'ordre...et c'est très bien comme ça!
 
mister_x a dit:
Oui voila, soir ça passe, je m'en rends compte aussi... mais personnellement, ça a toujours été "le pétard du matin", puis après, par temps durs, la douille du matin, et les deux douilles du matin.. pas le top pour commencer une journée, réussir des études.. Et puis, la frustration permanente, l'irascibilité quand tu sais qu'il te reste presque plus rien. Bref, bien content d'avoir eu un "electrochoc" (forcé) à mes 20 ans !
Hm, j'aurais peut-être dû commencer par là : Je n'ai jamais fumé le matin (en semaine) à quelques rares exceptions près pendant des journées "relax" en études. D'ailleurs même le week-end, je passe facilement plusieurs heures entre le moment du réveil et l'allumage du premier joint.

Donc du coup j'vois tout à fait pour la sensation "journée mode tête dans le cul", mais j'ai pas souvent eu l'occasion de la vivre. :p
 
Bon. Hop.

J'ai vu de la lumière, alors j'suis entré.

Donc. Alors le teuteu.

J'ai commencé vers mes 12-13 ans. Un peu en même temps que la clope.

J'avais. Des trüks à oublier. Une conscience à annihiler, des pensées à tuer. Alors j'ai très rapidement fumé de manière régulière. Je me faisais mon premier stick le matin devant le collège. Et à chaque pause, je me fumais le préroulé de pendant les cours.

Ca a marché. Pas trop pour les études, enfin j'veux dire j'avais moins de problèmes de dispersion et de bavardage. Et puis voila, j'étais dans un supaÿr collège, dans une supaÿr classe pour IPs, et je m'en suis bien sorti.

En même temps j'ai commencé la tise. On se mettait des caisses et on sèchait pour aller au cyber du coin se faire des parties de Starcraft en réseau.

J'suis entré au lycée. Avec toujours la même merde. Et puis une tripotée d'autres chieries en parallèle. Un bon lycée hein, Hoche, versailles, élite de la nation et tout. Et moi je fumais mes 25 meuj de tcherno par semaine. Je buvais mes münsterbrau au fond de la classe. J'avais 14 ans, une veste en jean patchée, des cheveux longs des mitaines à clous et j'étais anar' rebelle.

J'ai commencé à sévèrement taper. Autre chose. Tout ce qui me tombait sous la main. Tout, trop. Rien à bat' du prod, je cherchais pas un effet mais une absence. Par un "pote" j'suis tombé sur de la meth. Ou alors elle m'est tombée dessus, question de point de vue. Le seul autre trük qui a réussi à m'aggro comme le teuteu. Mes deux amours de jeunesse. On tue la pensée et on booste le corps. Putain de zombie décérébré. j'ai continué de boire un peu aussi. Pas tous les jours, mais presque.

Le oinj' du matin, je le chargeais. Il me faisait décoller. En attendant le bus, une petite douille, qui traînait toujours dans mon sac. En sortant du train, je remettais ça. Et les heures passaient, entrecoupées de snüf et de douilles.

Par un concours de circonstances X et Y et puis aussi Z, j'ai continué mes études. Les merdes, je ne les remarquais même plus. Ailleurs. J'allais en cours, faire acte de présence. Diversion pour que les vieux remarquent pas. J'ai passé mon bac.

Je l'ai eu. Je sais pas comment, vu que le jeu était de rester le moins longtemps possible pendant l'épreuve et d'être le plus défoncé possible. Mais je l'ai eu.

Je voulais toujours, quelque part, être médecin. Alors j'me suis inscrit à la fac. Et par tout un tas de merdes, j'ai arrété tous les prods. J'ai compensé aux benzos, opis pharmaceutiques et surtout à la ganja. A cette époque, je touchais plus au teuteu. Pas de sum, d'afghan ou autres olives. J'fumais que de la verte. Une pure skunk de folie, je m'enquillais mes 10-12 spliffs par jour. Plus de douilles.

Bien sûr, j'ai raté médecine. j'allais jamais en cours, et quand j'y allais je n'étais pas conscient, je jouais aux magic ou à des jdr. J'me suis débarassé de ma psychotique de meuf de l'époque. J'ai tenté de remettre de l'ordre.

l'année d'après, j'ai recommencé. J'ai pas réussi à lacher completement la beuh, je fumais moins, 2-3 par jour. Un le matin, un le midi et un le soir en général, posologie optimale pour un fonctionnement neural minimal. Toujours de la bonne herbe de qualité, un machin qui me faisait tutoyer les étoiles, qui faisait tabula rasa de mon cerveau et qui faisait place nette. Page blanche, on écrit tout et on recommence.

J'ai encore raté.

J'me suis barré de chez mes vieux, ai pris un appart', me suis inscrit en fac de biochimie. J'ai trouvé un taff d'ASH les week-ends. Et j'me suis incrusté dans une petite routine agréable. Ca a duré deux ans, peace, sympas. J'ai continué à fumer. De l'herbe de pauvre, une petite thaï bien agréable, légère, qui t'endormait pas. Toujours de manière journalière. le soir, le matin, chez moi, à la fac ou sous terre. Dans mon canap' avec des potes, devant mon pc à gamer, avec ma copine au lit devant un film. Routine. Mon état basal. je réussissais la fac, sans rien branler. Vie sociale. Tout ça.

Et puis. Ya 3 ans, j'ai tout laché. j'me suis barré en Roumanie recommencer médecine. J'ai totalement cessé de fréquenter Marie-jeanne pendant que j'étais la bas. Alors ouais, certaines mauvaises-langues vous diront que je fumais tous les jours des merdes pleines de jwh. c'est vrai, mais c'est pas pareil. Ca a fini par me dégoûter.

Quand je rentrais les étés, j'étais en stage la journée. Toujours clean. Et puis le soir, j'me faisais mon petit tarlu avant de me poser devant un film, un bouquin, mon ordinateur. Vie pépère, tout seul, chez moi. Routine.

En août, j'ai pris un coup dans la gueule. J'ai recommencé à fumer un peu plus. pas trop, mais toujours un peu plus qu'avant.

Et puis je suis rentré. En fin septembre, j'ai repris un autre coup dans la tronche. Un de ems potes de la bas a pété un cable. on a tenté de le gerer, mais impossible. On a du le faire interner. Puis rapatrier au pays. Et moi j'ai plus vraiment eu le coeur à toucher aux beuh "légales".

Bref. Ca va faire genre 3 mois que je fume plus (hé, d'accord, j'ai du fumer 4-5 sticks sur 4-5 jours pendant cette periode hein, mais bon, voila quoi.), et ça ne me manque pas. Ni l'un, ni l'autre.

La, je réapprends à fonctionner normalement. A penser. A ressentir. A mémoriser (j'ai des putains de gros problèmes de mémorisation et de stabilité émotionnelle depuis mes deux ans de jwh...). A se concentrer. A travailler.

A vivre en fait.

Et je crache pas sur un petit bédo de temps en temps hein. J'veux dire, je ressens aucune compusion. Je suis en train de finir de règler mes derniers problèmes. Je fais ce que j'veux faire de ma vie. Et j'suis plus qu'accro à deux trüks: la caffeine et la clope. :mrgreen:

Alors ouais, ça cause de moi, et pas forcément du teuteu. Mais j'veux dire le contexte. C'est le contexte qui fait tout. c'est le contexte qui fait l'addiction, ou presque.
 
La vache!
On dirait un témoignage dans un reportage scientologue!
Nan j'déconne.
Très intéressant, Saankan...
Je pense que tu sais comme moi que quand on a vraiment beaucoup besoin de sa mémoire, le cannabis est peut être moins efficace que le poisson! :mrgreen:
 
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