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Dxm et setting original (hôpital psychiatrique)

Je ne me rappelle pas si j'avais de la fièvre. Ok je prendrais plus de dxm, du moins je ferais  soft par graduation des doses. Après je transpirais peut etre, je ne m'en souviens plus


Je ne me rappelle pas si j'avais de la fièvre. Ok je prendrais plus de dxm, du moins je ferais  soft par graduation des doses. Après je transpirais peut etre, je ne m'en souviens plus


À l'extérieur on aurait dit un mec extrêmement drogué, j'ai pris quelques videos, c'était chaud, j'avais les yeux comme des pastèques, je tremblais, je parlais vraiment chelou. Après à l'intérieur ça allait, je me sentais très social, j'ai fumé 2 pétards, impression que tout semblait distant, sans sens, mais aucun hallus, donc j'en conclus à un plateau un, c'était pas très intense.
 
Au plateau 2 il n’y pas forcément d’hallu non plus
D’ailleurs selon le métabolisme le ratio d’effets disso/seroto peut varier et foutre en l’air cette notion de plateau
 
mohamed chirac a dit:
À l'extérieur on aurait dit un mec extrêmement drogué, j'ai pris quelques videos, c'était chaud, j'avais les yeux comme des pastèques, je tremblais, je parlais vraiment chelou. Après à l'intérieur ça allait, je me sentais très social, j'ai fumé 2 pétards, impression que tout semblait distant, sans sens, mais aucun hallus, donc j'en conclus à un plateau un, c'était pas très intense.

Ce que tu décris c'est la confusion d'un plateau 2, presque sévère.

L'impression d'être lucide alors qu'on est en pleine confusion (phase psychotique avec début de perte du sens des réalités ) est due à l'effet dissociatif, qui réduit ta subjectivité à pas grand chose (dépersonnalisation+déréalisation). Autrement dit, à ton état de défonce t'avais l'impression d'être toi-même comme lorsque tu es sobre, mais en comparaison de quand tu es sobre, t'étais complètement défoncé sans t'en rendre compte...tellement t'étais défoncé.

Ce sont des phénomènes compensatoires qui, face à la destructuration de ta personnalité, tendent à équilibrer ta réalité. D'où l'illusion subjective que tout est "normal" dans ton état, alors qu'objectivement, vue de l'extérieur c'est évident que t'es diminué intérieurement et que tout ton être lutte pour ne pas décompenser.

Fais gaffe, en cherchant trop ses limites, on fait de ces états de crises une norme. Et on s'en remet d'autant plus difficilement qu'on s'est habitué à surfer sur les crêtes les plus extrêmes. Ne pas faire de cet état d'entrée en psychose une référence dans son mode de vie. Il y a d'autres manières de se sentir exister puissamment, plus utiles et constructives.

Up To You !
 
Yoshinabis a dit:
C'était juste la minute réac du boomer.

Et c'est pour ca qu'on t'aime!
 
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