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Et c'est déja bien,ou tout du moins plus constructif que de ronchonner d'un air aigri contre ces saloperies de toxs...
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Vétéran a dit:Peut-être mais si vous craquez déjà à la seule remise en cause de votre petit pétard il vaut mieux pas envisager d'aller dégobiller dans la forêt amazonienne
Tout le monde ici n'est pas dans ce cas de figure non plus.Vétéran a dit:Peut-être mais si vous craquez déjà à la seule remise en cause de votre petit pétard il vaut mieux pas envisager d'aller dégobiller dans la forêt amazonienne
Barakat a dit:Ce que je regrette et constate sur toute une génération de tripés pseudo-mystiques, c'est qu'ils sont aptes à avaler des produits pour voir des plans sur la comète et refaire l'âme, mais ne seraient pas capable de se tenir ne serait ce qu'à deux prières par jour, une méditation quotidienne orientée ( pas une simple méditation qui a pour unique but de se calmer ou reposer son corps, la spiritualité n'est pas l'exclusive traduction de la recherche du bien être )... Tout le monde veut accéder au divin, ou du moins pour les néo-athé-spiritistes à l'esprit supérieur mais le plus vite possible, par le raccourci le plus pratique..
Jack Kornfield a dit:Grâce à la méditation ou à la prière régulière, à la pratique approfondie et assidus du yoga et de la concentration, à des exercices spéciaux de respiration- ou parfois à d'autres circonstances extrêmes telles qu'un accident corporel ou l'utilisation de drogues psychédéliques- nous nous sentirons intensément présents, sans être gêné par une quelconque distraction intérieure.Avec la découverte de cette attention intégrale, notre conscience passera réellement à un niveau de perceptions différentes et radicalement nouvelles.
Faire l'expérience de ces états peut nous apporter un guérison et une transformation profondes, mais leurs dangers et le risque d'en faire mauvais usage sont tout aussi grands.
Nous pouvons nous sentir exceptionnels parce que nous avons connu ce genre d'expérience; parfois nous nous y attacherons et nous ne pourrons plus nous en passer; enfin, le côté spectaculaire, les sensations physiques, l'exaltation et les visions peuvent créer une dépendance et ,en fin de compte, accentuer le sentiment de manque et la souffrance qui colore notre vécu.
Le risque le plus répandu est du au mythe selon lequel ces expériences vont nous transformer totalement, qu'à partir d'un moment "d'éveil" ou de transcendance, notre vie va changer du tout au tout, et pour le mieux.C'est rarement le cas, et l'attachement à ses expériences peut aisément engendrer la suffisance, l’orgueil et l'aveuglement.
Mushin a dit:Faut aussi savoir rester light ... on enfonce pas des vis avec un marteau, surtout si le bois est dur, si c'est pas du beton ^^.
tomestat a dit:Internet, c'est un outil de révolution des consciences.
Tissu a dit:Question de réponses physiologiques.
Certes un dispensateur d'ivresse -comme il dit- qui donne cependant l'illusion d’être bien plus que ça. Les seules révélations qu'on a sous hallu c'est au final d’être raide tel un enfoiré de Teletubbies.
"Nous sommes en 1967. Il ne fait aucun doute que Berkeley à été le théâtre d'une révolution, mais le résultat de répond pas exactement aux aspirations des initiateurs du mouvement. Plus d'un militant a plaqué pour de bon la politique et s'est tourné vers la drogue. D'autres ont même plaqué Berkeley...
...Il y a encore deux ans, les plus brillants d'entre eux se sentaient passionnément concernés par les réalités socio-politico-économiques de ce pays. La période a changé. L'engagement militant a vécu. "Transformation", "progrès, "révolution", c'est mots n'ont plus cours. La mode est à l'évasion. On veut s'ancrer à la périphérie d'un univers qui aurait pu exister - qui aurait dû, peut-être - et, chacun de son côté, on fait le pari de survivre.
Les militants eux, s'arrachent les cheveux devant l'extension du mouvement hippie. Une génération de rebelles s'enfonce dans les limbes de la drogue, prête à beaucoup accepter en échange d'un peu d'"extase".
Steve DeCanio a longtemps milité à Berkeley. Aujourd'hui, chercheur au MIT, il représente bien cette multitude de jeunes radicaux qui sont conscients d'avoir perdu leur influence mais ne savent trop comment s'y prendre pour la regagner..."un gouffre sépare le "Flower Power" du vrai combat politique avec ses échéances brutales. Quelque chose doit céder, et la drogue est un trop bel "opium du peuple" pour que ces salauds (les flics) n'en profitent pas."
En attendant, comme tant d'autres militants, il rigole doucement de voir la "culture" hippie déteindre sur l'establishment. La panique qui s'est emparée des bureaucrates de San Francisco à la perspective des 200 0000 hippies qui menacent de fondre sur le Hashbury cet été a encore le pouvoir de faire rire les anciens de Berkeley. En décrivant la crise imminente, DeCanio n'avait pas la prétention de jouer les Cassandre, mais compte-tenu de la situation, il se peut qu'il ait raison lorsqu'il écrit: "j'imagine Shelley, notre maire, debout sur les marches du Civic Center, hurlant dans les micros de la télé: "Le peuple veut du pain ! Du pain vous entendez ! Laissons-les se brancher !".
New York Times Magazine, 14 mai 1967
Tissu a dit:Je comprends pas ton projet Vétéran
Aimerais bien mais c'est ma première réelle tentative de participer à un forum, d'où l'impression de monologue, "aigri et ronchon" est aussi un truc tout fait, peut-être que c'est vrai, est-ce vraiment important ?yoshinabis a dit:Il serait plus constructif de tenter de guider ou de partager
lu aussi des histoires de jeunes qui s'enfoncent des psychotropes dans l'anus pour se caler devant la console, ça n'annonce pas la troisième phase du psychédélisme.