voidmercenary
Holofractale de l'hypervérité
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Salut !
Dans ce post je vais parler de MA relation avec le cannabis merci de ne pas en faire une généralité car j'ai des relations très étranges avec les produits. Cependant je pense que on peut tous se retrouver dans ce que je vais écrire.
Voici une petite musique pour mettre dans l'ambiance, je ne suis pas imaginatif sur le coup mais je pense que tout le monde sera d'accord :
The Velvet Underground - All Tomorrow's Parties - YouTube
Quand j'ai commencé à fumer, c'était un peu par dépit des cours, le lycée ne m'intéressait pas plus que ça. Le cannabis m'intriguait pas mal mais je n'avais pas trop de quoi m'en procurer. Mes amis se sont tous mis à fumer donc j'ai eu l'occasion d'essayer. Je ne sais pas si c'est une constante (ou une qualité médiocre) mais la première fois j'ai vraiment fumé beaucoup et aucun effets. Pareil pour la seconde fois, j'ai fumé tant que je pouvais et rien. Bon, et bien certes, mais l'effet de groupe autour du chanvre (avis aux amateurs : le chanvre c'est le mâle) me plaisait beaucoup. J'ai rencontré beaucoup de personnes qui sont devenues de très bons amis grâce à lui (ou elle). C'est un cadre tellement spécial de se retrouver en pleine nature pour fumer un petit joint (ou plus si affinités). J'ai vraiment commencé à apprécier le geste et l'effet tant désiré commençait à se faire sentir, au bout d'une semaine intense je ressentais de violents effets lors des premières taffes. Les effets que je ressentais, c'était de la défonce physique et une grande confusion mentale, qui fait que tu rigoles pour rien avec tes amis. C'était plaisant et j'arrivais à gérer les cours même avec ça. J'ai commencé à fumer tous les jours environ 4 à 5 joints par jour, mais que la journée. Pas d'effet de manque lorsque le matos était absent. Que des avantages !
J'ai commencé à me remettre en question en terminale lorsque je voyais mes notes chuter comme il fallait, ( moyenne au trimestre : 8 7 6 ) j'ai donc décidé de faire une pause. En terminale ma copine (qui ne l'est plus maintenant) antidrogue voulait vraiment que j'arrête. J'ai donc décidé d'arrêter, (amour de merde). Fin de la terminale, toujours avec la même copine, plus de joint à la bouche, et mon bac en poche.
Rendez vous la fac d'info, aucun tox dedans, c'est fou. Plus de cannabis sous la main, mouais, c'est pas grave. J'ai vécu une année sans, et sans aucun signe de manque. J'ai d'ailleurs foiré mon année (coïncidence ?). Je me retrouve cette année en première année de prépa maths physique informatique (intégrée dans une école d'ingénieur informatique, si vous voulez le nom ce sera par mp). je me retrouve avec le petit frère d'un ancien pote de fumette, ça promet.
Dès la première semaine, je me remet à fumer tous les jours. La réussite est étrangement au rendez vous (une coïncidence ?). Une majeure partie de la classe fume régulièrement, aaaah Je commence à fumer de plus en plus et je commence à m'intéresser de plus en plus au psychédélisme. Je ne connais pas encore ce forum, je commence à ressentir des effets de plus en plus fou avec le cannabis. Avant je n'avais pas toutes ses idées et pensées étranges, révélations divines et autres en fumant. A chaque fois que ça apparait, je suis clairement coupé du monde extérieur, avec un temps d'attente pour revenir à la normale. Je découvre ce forum mais ne m'y inscrit pas car je n'avais pas encore 18 ans (2 ans d'avance + 2 redoublements). Après avoir vraiment remuer ce forum et lu énormément d'informations je commence vraiment à m'intéresser à autre chose que le cannabis (déjà essayé la salvia, mais j'étais probablement pas encore assez mur pour en comprendre les effets, une grosse défonce bien confuse). Je découvre alors le DXM, trois expériences complètement folles, bien sévère mais à la hauteur de ce que j'attendais. J'ai enfin manger la claque que j'attendais, je pensais vraiment avoir atteint mes limites, et faire une longue pause.
Je continue à fumer, le cannabis me dit clairement "Tu peux t'arrêter de fumer, tu reviendras forcément vers moi.". Et en ce moment lorsque je fume les effets sont bien plus intenses, typés DXM.
C'est bon j'ai fini de raconter ma vie, mais c'est pas fini
Une autre musique je suppose ?
Shpongle - Shpongolese Spoken Here - YouTube
Maintenant que j'ai fini de raconter ma vie, je passe au vif du sujet. J'ai cette impression, que le cannabis c'est une case qui s'ouvre, quelque chose dont tu peux te passer sur une durée mais qui reviendra forcément. Un peut comme les autres psychés, bien que je n'en ai pas essayé beaucoup, tous m'ont fait cet effet. Une envie irraisonnée d'en reprendre, qui surgit de temps en temps. La défonce compulsive mélangée aux trop nombreuses soirées de cette année. Suis je le seul qui pense ne plus pouvoir se passer de ça ? Sur le long terme bien évidemment pas de défonce h24. J'ai de plus en plus l'impression de m'enfoncer dans les trips, et parfois même avec de l'herbe uniquement.
Dans ce post je vais parler de MA relation avec le cannabis merci de ne pas en faire une généralité car j'ai des relations très étranges avec les produits. Cependant je pense que on peut tous se retrouver dans ce que je vais écrire.
Voici une petite musique pour mettre dans l'ambiance, je ne suis pas imaginatif sur le coup mais je pense que tout le monde sera d'accord :
The Velvet Underground - All Tomorrow's Parties - YouTube
Quand j'ai commencé à fumer, c'était un peu par dépit des cours, le lycée ne m'intéressait pas plus que ça. Le cannabis m'intriguait pas mal mais je n'avais pas trop de quoi m'en procurer. Mes amis se sont tous mis à fumer donc j'ai eu l'occasion d'essayer. Je ne sais pas si c'est une constante (ou une qualité médiocre) mais la première fois j'ai vraiment fumé beaucoup et aucun effets. Pareil pour la seconde fois, j'ai fumé tant que je pouvais et rien. Bon, et bien certes, mais l'effet de groupe autour du chanvre (avis aux amateurs : le chanvre c'est le mâle) me plaisait beaucoup. J'ai rencontré beaucoup de personnes qui sont devenues de très bons amis grâce à lui (ou elle). C'est un cadre tellement spécial de se retrouver en pleine nature pour fumer un petit joint (ou plus si affinités). J'ai vraiment commencé à apprécier le geste et l'effet tant désiré commençait à se faire sentir, au bout d'une semaine intense je ressentais de violents effets lors des premières taffes. Les effets que je ressentais, c'était de la défonce physique et une grande confusion mentale, qui fait que tu rigoles pour rien avec tes amis. C'était plaisant et j'arrivais à gérer les cours même avec ça. J'ai commencé à fumer tous les jours environ 4 à 5 joints par jour, mais que la journée. Pas d'effet de manque lorsque le matos était absent. Que des avantages !
J'ai commencé à me remettre en question en terminale lorsque je voyais mes notes chuter comme il fallait, ( moyenne au trimestre : 8 7 6 ) j'ai donc décidé de faire une pause. En terminale ma copine (qui ne l'est plus maintenant) antidrogue voulait vraiment que j'arrête. J'ai donc décidé d'arrêter, (amour de merde). Fin de la terminale, toujours avec la même copine, plus de joint à la bouche, et mon bac en poche.
Rendez vous la fac d'info, aucun tox dedans, c'est fou. Plus de cannabis sous la main, mouais, c'est pas grave. J'ai vécu une année sans, et sans aucun signe de manque. J'ai d'ailleurs foiré mon année (coïncidence ?). Je me retrouve cette année en première année de prépa maths physique informatique (intégrée dans une école d'ingénieur informatique, si vous voulez le nom ce sera par mp). je me retrouve avec le petit frère d'un ancien pote de fumette, ça promet.
Dès la première semaine, je me remet à fumer tous les jours. La réussite est étrangement au rendez vous (une coïncidence ?). Une majeure partie de la classe fume régulièrement, aaaah Je commence à fumer de plus en plus et je commence à m'intéresser de plus en plus au psychédélisme. Je ne connais pas encore ce forum, je commence à ressentir des effets de plus en plus fou avec le cannabis. Avant je n'avais pas toutes ses idées et pensées étranges, révélations divines et autres en fumant. A chaque fois que ça apparait, je suis clairement coupé du monde extérieur, avec un temps d'attente pour revenir à la normale. Je découvre ce forum mais ne m'y inscrit pas car je n'avais pas encore 18 ans (2 ans d'avance + 2 redoublements). Après avoir vraiment remuer ce forum et lu énormément d'informations je commence vraiment à m'intéresser à autre chose que le cannabis (déjà essayé la salvia, mais j'étais probablement pas encore assez mur pour en comprendre les effets, une grosse défonce bien confuse). Je découvre alors le DXM, trois expériences complètement folles, bien sévère mais à la hauteur de ce que j'attendais. J'ai enfin manger la claque que j'attendais, je pensais vraiment avoir atteint mes limites, et faire une longue pause.
Je continue à fumer, le cannabis me dit clairement "Tu peux t'arrêter de fumer, tu reviendras forcément vers moi.". Et en ce moment lorsque je fume les effets sont bien plus intenses, typés DXM.
C'est bon j'ai fini de raconter ma vie, mais c'est pas fini
Une autre musique je suppose ?
Shpongle - Shpongolese Spoken Here - YouTube
Maintenant que j'ai fini de raconter ma vie, je passe au vif du sujet. J'ai cette impression, que le cannabis c'est une case qui s'ouvre, quelque chose dont tu peux te passer sur une durée mais qui reviendra forcément. Un peut comme les autres psychés, bien que je n'en ai pas essayé beaucoup, tous m'ont fait cet effet. Une envie irraisonnée d'en reprendre, qui surgit de temps en temps. La défonce compulsive mélangée aux trop nombreuses soirées de cette année. Suis je le seul qui pense ne plus pouvoir se passer de ça ? Sur le long terme bien évidemment pas de défonce h24. J'ai de plus en plus l'impression de m'enfoncer dans les trips, et parfois même avec de l'herbe uniquement.