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Dépendance Codéine, Besoin de vos conseils SVP

  • Auteur de la discussion Auteur de la discussion alexis33000
  • Date de début Date de début
Oui mais le TSO à l'héro, c'est pour les cas désespérés. On est sur un thread parlant de dépendance à la codéine, et tu nous parles de TSO à l'oxy et à l'héro^^

Puis franchement avec ces produits, on ne peux plus parler de TSO alors, puisque on ne substitue plus le produit. Là c'est plutôt distribution de came. Moi je suis pas contre, ils l'ont fait en Suisse il me semble (??) et ça a bien marché.
Et la démarche du TSO, quelque soit le but visé, y'a quand même une recherche de s'éloigner de la came (ou autre). Enfin y'en a qui s'en servent juste pour pas être en chien quand y'a plus rien, mais là ce n'est plus de la substitution.

Les gens qui ont ces traitements, ce sont des gens sur qui la métha et la bupré n'a pas fonctionné je pense, c'est un dernier recours quoi. Ceux sur qui la substitution classique marche, y'a aucune raison de leur filer de l'héro ou de l'oxy.

Mais sinon fait un thread (si y'en a pas déjà un) pour parler de ça si tu veux, parce que là, ça n'a plus rien à voir avec le sujet.
 
200mg de codéine par jour ça peut pas s'arreter a la dure ? Ca ne me parait pas etre une dose de ouf.... Ca va etre dur pdt 1 semaine, et petit a petit ça va s'améliorer.... Par contre apres c'est comme la clope faut PLUS JAMAIS y retoucher

J'aurai bien voulu t'envoyer un mp Alexis, j'ai aussi eu une dépendance a l'hero/codéine (bien moin longue mais dose un peu plus forte - 300mg de codé, ou alors un dem d'héro soit l'un soit l'autre / jours, sur trois mois - deja ça le sevrage a été assez dur, ne pas compter travailler, ect... Par contre c'est un plaisir une fois que la vie revien et qu'on passe de l'autre coté), et 2 personne de ma famille sont aussi passé par la (dépendance a la codé sur 1 an), on devrai pouvoir partager des trucs...

Quand tu t'es arreté t'es jamais passé par une phase "j'en ai marre, je ne reprend plus jamais ça" ? Parce que perso sur les 2 sevrage que j'ai fais a chaque fois au 2eme jour ça a fait ça (apres j'ai la chance de ne pas ressentir de craving pour ce genre de prod), et c'est ce qui fait que je n'ai pas replongé (la 2eme fois lol)
 
Commencer par remplacer la codéine par de l'ethylmorphine (sirop cla*ix), afin de ne plus ressentir l'effet euphorisant des opiacés sans ressentir de manque.
Petit à petit, diminuer la dose, selon la dépendance on diminue la dose plus ou moins.
Arrêter de consommer demande de se connaître et de pouvoir anticiper les effets de manque.
Quand vous serez arrivés là, vous vous rendrez compte que le plus dur n'est pas d'arrêter un opiacé, mais de ne pas en reprendre plusieurs mois après!
 
Je vous rappelle l'existence du groupe sur la dépendance aux opiacés si vous voulez y échanger.

Perso, dxm<3, je trouve l'éthylmorphine tout aussi voire + euphorisante que la codo seule. Je préférais prendre les cachetons contenant de la codéthyline (autre nom de l'étylmorph) pour l'euphorie plutôt que les cachetons à la codo simple. Ça doit dépendre des gens j'imagine.
 
Ben oui pareil pour l'éthylmorphine, je trouve ça bien meilleurs que la codéine seule.
 
Merci de l'info, il doit s'agir des dispositions personnelles au niveau enzymes :idea:
En tout cas le DXM, à dose modérée, est une bonne alternative pour calmer les crises de manque pendant 4-5 heures. Sans en prendre la nuit sous peine de ne pas pouvoir dormir, et sans en prendre plusieurs jours d'affilée, sous peine de perdre le sens des réalités :paranoid:

Après, un bon trip au dxm peut aussi te faire prendre conscience des réalités et de ta situation avec les produits. Tout ce qu'on enfouit au fond de nous se révèle avec le dxm... ça peut donner une motivation, comme ça peut faire flipper...
 
Est ce que les symptômes de manque physique peuvent apparaître 2 a 3 jours voir 4 après avoir consommé sachant que je consomme depuis maintenant 2\3 ans a raison de 1 a 4 fois par semaine suivant mes crises de céphalées et migraines ?
 
Oui tout à fait. Ils peuvent mettre assez longtemps avant d'atteindre leur pic oui.
 
Kanna2 a dit:
Est ce que les symptômes de manque physique peuvent apparaître 2 a 3 jours voir 4 après avoir consommé sachant que je consomme depuis maintenant 2\3 ans a raison de 1 a 4 fois par semaine suivant mes crises de céphalées et migraines ?

Une à 4 fois par semaine c'est peut être pas suffisant pour avoir formé une dépendance physique significative.
 
Merci beaucoup, je me posait la question car j'ai l'impression que mon corps (donc mon esprit) fais exprès de déclencher mes migraines pour avoir un soulagement et c'est de pire en pire, le manque leger me rend irritable seulement. Pour le moment seul l codéine me soulage vraiment mes douleurs mais si elle m'en cause aussi je ne sais plus comment faire...
 
Non, avec la codéine, les symptômes apparaissent assez vite. 24h grand max si t'as vraiment chargé la mule. Mais 3/4 jours, c'est beaucoup trop, ça doit pas être ça.
Puis comme dis Guy, à cette fréquence t'as pas du accrocher physiquement encore. Enfin tu dois pas en être loin par contre. J'imagine que tu sais déjà ce qui t'attend. A cette fréquence, tu es déjà dépendant. Le manque c'est la prochaine étape^^
Essaie peut être de voir avec un médecin pour tes maux de tête, doit y avoir d'autres antalgiques qui fonctionnent.
Mais effectivement, vu la fréquence, y'a moyen que tes maux de tête deviennent un prétexte à la conso.

Ca vaut le coup de faire l'effort de prendre sa conso en main tant que c'est possible pour ne pas s'infliger une telle dépendance.

Enfin je veux pas te faire la morale hein, juste si ça peut aider quelqu'un&#8230;^^
 
alexis33000 a dit:

Salut

alexis33000 a dit:
veuillez m'excusez le message est long

Comme ma bite.

alexis33000 a dit:

Moi aussi.

alexis33000 a dit:
Si je fais appel à vous, c'est pour savoir si vous pourriez me donner quelques conseils pour arrêter de prendre de la codéine.

Le meilleur conseil que je puisse te donner, c'est d'en parler à des gens qui ne vont pas te juger, mais qui auront tout de même une "emprise" rassurante avec toi. Pas forcement paternaliste mais qui vont t'écouter attentivement et réagir de façon terre a terre sans être trop envahissant.
C'est comme ça que j'ai réussi a dépasser le manque. Mais ça ne concerne que mon expérience.

alexis33000 a dit:
je n'ai jamais cherché à être vraiment défoncé, juste apaisé.

Comme tous le monde mec...comme tout le monde...


alexis33000 a dit:
hyperactivité, mal d'estomac terrible, diarrhée et j'en passe ).

Ne te focalise pas trop sur les symptômes, il s&#8217;arrêteront d'eux même en 1 semaine. Si tu as trop peur de la douleur, le meilleur système c'est d&#8217;arrêter progressivement (30 mg en moins tous les trois jours pendant une semaine, puis 60 mg tous les deux jours, etc...En plus quand les symptômes s&#8217;arrêtent, la libido revient et il ne faut jamais sous estimer le pouvoir des endorphines sur le manque. Jte fais pas un dessin.

Voila que te dire d'autre à part que tu pourras décrocher une fois, ou deux, mais si tu veux arreter a vie faut que tu te fasse aider.
C'est assez obvious mais on peut rien faire tout seul dans la vie. Et surtout pas décrocher des opis. Tu t'en fous de l'opinion des gens, tu remballe ton égo et tu accepte humblement d'avoir fais une erreur. C'est ça être adulte. Et pas le costard et le mariage comme on voulait nous faire croire.

Désolé je m'étale et je deviens emphatique. Pour ma défense il est 10h50 et j'écoute la BO de Morrowind donc :crybaby:

Edit: ha oui et vu que t'as lair d'un noob de l'addiction:
Ne substitue jamais une autre drogue genre alcool pour combler le manque de codo.
Ca ne marche JAMAIS. Et tu te retrouve avec 2 addictions. C'est vraiment l'erreur a ne pas faire.

Take care dude.
 
je n'ai jamais cherché à être vraiment défoncé, juste apaisé.
Comme tous le monde mec...comme tout le monde...

Ah bon? Moi j'ai toujours cherché à être le plus défoncé possible à la codéine sans que ça devienne désagréable. Pourtant, c'est désagréable souvent cette merde. Ces cachets rouges, cette envie de gerber juste à les voir... Et pourtant, alors que 9 prises sur 10 sont désagréables pour moi maintenant, je remet le couvert toutes les 3 semaines juste parce que j'ai des souvenirs (lointains) de soulagement intense avec ce produit. Je me rappelle 1 prise de codéine sous 6APB qui m'as foutu trop bien, une autre prise sous DXM qui m'as foutu pareil. Résultat pour 2 prises : Des souvenirs positifs à combattre pendant des lustres.

Je pense que lorsqu'on ressent un fort soulagement du a la drogue, ça crée un "souvenir positif traumatique". Le cerveau l'enregistre comme LE moyen super efficace de se soulager. Et il fait pas la différence entre une angoisse normale de la vie de tous les jours, et une angoisse d'une descente de stim. Donc pour tous ceux qui veulent devenir des gros camés sans avoir eu de problème dans la vie initialement, la manière la plus efficace de faire ça d'un point de vue rationnel, c'est :

- de se foutre (très) mal avec le stimulant de votre choix. J'aurai tendance a vous recommander le MDPV pour se faire, mais un composé tapant sur les 3 monoamines principales (séroto/noradré/dopa) créera une déprime plus complète sans pour autant vous conduire forcément a la psychose amphétaminique.

- Puis de soulager ça avec une grosses dose d'opiacé. Si vous avez les couilles de mélanger opiacé avec un benzo, le soulagement sera d'autant plus fort, et la cicatrice mentale résultante sera d'autant plus profonde, si vous ne vous faites pas claquer dans la man&#339;uvre.

Répéter le processus quelques fois, et ça sera buen!
 
Si tu te défonce c'est parce que sobre t'as pas d'apaisement.

C'est peut être autrement avec d'autre trucs comme les psychés par ex.
Mais si tu prend la porte des opis, c'est que quelque chose te manque. C'est une drogue dur et c'est pas anodin comme geste.

Mais ça on le comprend quand on est au fond. Malheureusement...

Et le guide pour être le plus junk possible je vois pas trop ce que ça vient foutre la y'avait pas de posts apologiques en haut...
 
Il t'explique avec second degré son expérience, histoire de contrebalancer avec ce que tu dis, et tu le prends perso. Tu veux un benzo ?

Et puis ce sèche linge (pardon Sludge, je sèche mes vêtements avec un appareil éléctrique, qui pollue la planète à cause du nucléaire, MAIS qui a contribué à l'épanouissement de la femme, euh ? o_O) qui n'en finit jamais m'oblige à te dire ça :

C'est peut être autrement avec d'autre trucs comme les psychés par ex.
Mais si tu prend la porte des opis, c'est que quelque chose te manque. C'est une drogue dur et c'est pas anodin comme geste.

Non c'est pas autrement avec les psyché. Quand on va mal on cherche une niche, la mauvaise c'est L'ABUS de drogue. Quelle que soit son action pharmacologique.

Et un truc qui me dérange plus, parce que ça fait des années et que ça va bien (et que ça vient tout droit de la gentille propagande qu'on nous sers...), c'est la distinction drogue dure/douce. NON, les opiacés ne sont pas des drogues dures... Ce sont des molécules qui lorsqu'elle se retrouve dans ton sang ont une action pharmacologique qui pourrait éventuellement t'apporter du plaisir. Comme toute drogue. Inutile d'aller plus loin je pense, sinon j'vais m'fâcher tout seul. Et c'est pas bon pour ma santé.
 
T&#8217;inquiète je le prend pas perso. Je suis juste complètement à la masse niveau des échanges sociaux.

Je vis seul depuis trop longtemps (depuis toujours ?). Si j'arrive encore à capter certains truc, c'est parce que je me drogue. La drogue c'est la vie.

Joyeux noël, vive la codéine, l'impuissance et le foie gras (désolé Sludge :mrgreen:).
 
Mr Sandman a dit:
Salut

En plus quand les symptômes s’arrêtent, la libido revient et il ne faut jamais sous estimer le pouvoir des endorphines sur le manque. Jte fais pas un dessin.

Je reviens sur ce forum après un moment d'absence.
Très bonne remarque de Mr Sandman! Je m'explique : la dizaine de fois où je me suis trouvé dans l'impossibilité d'assouvir mon addiction à la codo durant plus de 24h (addiction depuis 2 ans), le seul moyen que j'avais de trouver le sommeil (réveils en sueur et douleurs dans les jambes toute la nuit jusqu'à 5h du mat), était de me procurer le seul plaisir de type opioïde qui soit naturel... je ne vous fais pas de dessin moi non plus :p
Pour ceux qui essaient d'arrêter un opiacé, vénérez le dieu du plaisir charnel, il vous aidera grandement :nod:

Je reviens sur ce forum pour car mon addiction à la codéine a trouvé son salut suite à un énooorme bad trip au lsd (première expérience au lsd) : je n'avais jamais eu écho de personnes soignées des opiacés grâce au lsd!
Ce bad trip, qui m'a emmené à l'hosto, et qui a failli me coûter la vie (j'étais persuadé que j'étais dans un rêve et que je devais me tuer pour me réveiller...), a été une sorte de renaissance psychologique, me faisant perdre mon addiction à la codo : je ressens le manque au bout de 48h (seulement), contre 24 avant, et ce manque m'est presque agréable. En fait l'effet psychologique de ce bad trip me rend insensible au manque opiacé, c'est étrange à expliquer, mais bien réel.. Je précise que ça faisait 2 ans que je consommais de la codo (au moins 4 fois par semaine), et 1 an que c'était quotidien. Il y a 6 mois ce fût méthadone (de rue) durant 3 semaines, faisait exploser mon accoutumance.
Voilà voilà, je pense faire un "bad-trip report" dans un forum approprié pour détailler cette expérience foudroyante :p
 
Salut, moi ça fait un an que j'en prend 1 boîte par jour. Je me ruine à acheter ça. Le truc c que les anxio 'de base' (valium et lexo) ne me font pas grand chose. Alors qu'avec la codé j'ai trouvé ma muse. Pour répondre à ta question va voir ton médecin il te conseillera. Et tes médoc seront sûrement remboursé. Après réduire petit à petit peut aussi être une solution. Courage à toi ;)
 
J'ai envie de poster un message pour parler de mon expérience mais aussi parce que j'ai rechuté.

J'en ai pris de temps en temps pendant 7 ans, à cette époque je gérais bien ma conso. Je m'étais beaucoup renseigné sur le sujet notamment sur les dangers. Mes prises étaient espacées de plusieurs mois.
Plus récemment j'ai commencé à rapprocher les prises, à partir de ce moment elles n'étaient plus purement récréatives et me permettaient d'avoir un oasis de bien-être, de sentiment de sécurité devant les difficultés de la vie (j'abusais d'autres substances pendant cette période également, celles-là j'ai pu m'en passer sans trop de soucis).
Ma consommation bien que régulière était modeste, en général 60mg ou 100mg par jour avec des pics à 150/300mg de temps en temps (1 fois par semaine environ). J'avais déjà commencé une psychothérapie à l'époque (janvier/février dernier) et on parlait d'arrêter la codéine avec le psy. Au début j'essayais tout seul mais ça se soldait par des échecs.

Fin février je lui ai demandé qu'il me prescrive lui-même la codéine (avant j'achetais du T....... dosé à 10mg de codéine et 10mg d'éthylmorphine par comprimé). Avant de commencer à me soumettre aux prescriptions, j'ai fait le con pendant 1 ou 2 semaines à prendre entre 2 et 4 boites par jour (c'était ridicule, les effets étaient loin d'être agréables). Une fois la conso encadrée par les ordonnances ça a été plus facile et je suis passé à 3 prises de 1 cp à heures fixe dans la journée. D'ailleurs je conseille vivement à tous ceux qui sont en sevrage seul, en particulier à répétition, d'encadrer médicalement leur sevrage et achat de codéine. Le fait que la conso soit encadrée par un médecin généraliste/psychiatre/addictologue change la manière dont on se positionne psychologiquement vis à vis de la substance et encourage au sevrage (perso ça m'a bien aidé).
Fin mars j'ai décidé de jeter tout ce que j'avais en codéine car j'en avais marre d'avoir à en prendre à heures fixes et d'en avoir toujours sur moi. J'ai jeté tout ça avec le psychiatre après lui avoir dit la raison de ce geste. J'avais également fait un faux pas et pris 200mg le jour précédent ce qui m'a conforté dans le choix de m'en débarrasser.

Après 1 mois et demi sans en prendre avec des hauts (car j'étais fier de moi) et des bas (le souvenir lancinant des effets) j'ai rechuté lundi dernier en prenant 2 fois 150mg dans la soirée. J'étais en descente de mdma que j'avais pris pendant le week-end dans un festival psychédélique qui a été magique. Le fait que le festival soit transcendant a rendu le contre coup de la mdma vraiment soft, pas de déprime mais une grosse envie de codéine avec plein de pseudo excuses pour me l'autoriser. Aujourd'hui j'ai racheté une boite de T.......et j'en ai pris 100mg à l'heure ou j'écris ces lignes et je compte pas en prendre plus. J'ai prévu de garder la boite et en prendre max 60mg si dans les jours suivant des envies dures reviennent. En tout cas je ne veux pas en prendre des grosses doses à nouveau.

Voilà voilà je l'ai fait courte, c'était pour ajouter ma pierre à l'édifice. Tout en sachant qu'un sevrage n'est pas une route linéaire je suis déçu d'avoir remis le nez là-dedans, j'essaye cependant de ne pas trop être sévère envers moi-même. Je remet le compteur à 0 et je recommence, je compte pas reprendre de petite dose pour aider, je stop net à nouveau. Dans mon vécu le sevrage psychologique est bien plus compliqué que le sevrage physique même à des doses modestes (je me positionne comme ayant une dépendance légère à modérée, votre avis ?).

Bon courage à tous ceux qui sont en sevrage. Et à ceux qui prennent de la codéine de manière récréative, en gérant leur conso, soyez très vigilant (ça allait très bien pendant 7 ans perso) et ne vous réfugiez pas dans la codéine ou autre substance quand la vie se montre dure, c'est dans ces moments que l'addiction vous attrape. Et méfiez vous du Kratom et de ces extraits.
 
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